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immigration - Page 698

  • Chiffres de l’immigration – Jean-Paul Gourévitch : « L’INSEE manipule les chiffres du solde migratoire »

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    L’INSEE manipule-t-il les chiffres de l’immigration ? Oui, accuse Jean-Paul Gourévitch, qui avance les mêmes chiffres que ceux de l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration : 11% des résidents en France seraient nés à l’étranger et 23% seraient d’origine étrangère.

    Un entretien-choc autour de l’essai « Le Grand remplacement, réalité ou intox ? ».

  • Trump supprime les aides financières au Salvador, au Guatemala et au Honduras, qui «ne font rien» contre l’immigration clandestine

    Le département d’Etat américain a fait savoir, le soir du 30 mars, que Washington avait décidé de supprimer des aides financières octroyées jusqu’ici à trois pays d’Amérique centrale, le Salvador, le Guatemala et le Honduras. «A la demande du secrétaire d’Etat, nous mettons en œuvre la décision du président et mettons fin aux programmes d’assistance pour le “Triangle du Nord” pour les années budgétaires 2017 et 2018», a expliqué à plusieurs médias, dont USA Today, un porte-parole de la diplomatie américaine.

    jean-eric branaa@BranaaJean

    Le département d’État annonce couper l'aide américaine au , au et au

    (…)

    Le président américain avait auparavant dénoncé la formation de deux nouvelles caravanes de migrants, principalement en provenance du Guatemala. Dans un message publié sur Twitter, il avait vilipendé l’inaction des gouvernements des trois pays face à ce phénomène : «Le Honduras, le Guatemala et le Salvador ont pris notre argent pendant des années et ne font rien.» Il a également menacé de fermer la frontière sud des Etats-Unis si le Mexique ne prenait pas des mesures pour stopper les flux de migrants clandestins.

    RT France

    http://www.fdesouche.com/1184557-trump-supprime-les-aides-financieres-au-salvador-au-guatemala-et-au-honduras-qui-ne-font-rien-contre-limmigration-clandestine

  • « Le chaos aux portes de Paris » : plongée dans le camp de migrants dont personne ne parle

    A environ cent mètres de la « Colline du Crack », un terrain vague où des drogués débraillés se rassemblent pour s’acheter une dose et où nombre d’entre eux vivent à la dure, une mer de tentes s’étend sous une bretelle d’autoroute. Là, quelques centaines de migrants venus de pays pauvres ou déchirés par la guerre vivent dans des conditions déplorables, dans l’attente de leur prochain rendez-vous avec les services de l’immigration. Après un entretien initial, ceux-ci les laissent livrés à eux-mêmes pendant des mois… 

    Le camp qui s’étend sous le périphérique […] demeure invisible à la plupart des automobilistes qui foncent au-dessus de lui.
    Venu d’Afghanistan, Abbas, assis avec quelques amis, parmi lesquels un jeune homme venu du Sénégal, fait brûler des planches […] pour essayer de se réchauffer en ce frisquet matin de mars.
    « C’est affreux, ici, les gens se battent tout le temps, pour la nourriture quand il n’y en a pas assez, ou pour des histoires de drogue des fois« , raconte le jeune homme de 22 ans qui dit vivre sous cet échangeur bruyant depuis deux mois. 

    L’avenir s’annonce sombre pour Abbas, qui a passé quatre ans en Autriche où on lui a refusé l’asile, avant de venir en France. Ses chances de se voir autorisé à s’installer ici légalement après avoir été refusé dans un autre pays de l’UE sont faibles, il risque l’expulsion ou de devoir vivre ici sans papiers ni permis de travail.

    Autour de lui, d’autres jeunes hommes -le camp n’est pratiquement occupé que par des hommes- émergent petit à petit de leurs tentes, attendant que les rayons du soleil printanier s’infiltrent dans la grisaille qui règne sous le périphérique.

    Les autorités ont érigé quelques urinoirs en plastic près du camp, mais il n’y a pas de douches ou d’autres commodités. La nourriture est fournie par des associations caritatives […]. Au-delà du principal groupe de tentes majoritairement vertes et bleues, d’autres camps miniatures ont été construits sur les bords des routes, sous les ponts, ou au milieu des carrefours.

    Certains migrants ont investi les abords des feux de circulation, où ils mendient auprès des automobilistes. « Famille syrienne« , peut-on lire sur le carton qu’une femme voilée brandit vers leurs pare-brises.

     

    […] A quelques centaines de mètres de là, alors que l’Armée du salut repart après avoir distribué des centaines de petits-déjeuners à un public avide, une Anglaise, Clare Roberts, donne un cours de français à ciel ouvert, distribuant des photocopies de l’alphabet français à des migrants africains, et montrant du doigt des lettres sur un tableau blanc accroché à un arbre.

    « Je suis enseignante remplaçante en école primaire en Angleterre, alors je prends une semaine de temps en temps et je viens ici », explique cette habitante d’Oxford, ajoutant qu’elle faisait la même chose dans l’immense camp de la « Jungle » de Calais, qui a abrité jusqu’à 10.000 migrants avant sa fermeture en 2016, migrants dont la plupart espéraient se frayer un chemin jusqu’au Royaume-Uni.

    La Porte d’Aubervilliers est la porte d’accès suivante à la capitale, après la Porte de la Chapelle. Elle aussi abrite de nombreux migrants […]. [Ils] sont tout aussi en colère de se retrouver ainsi à la rue.

    Tahir, un jeune Ethiopien, vit là avec sa femme, leur fils d’un an et leur fille de deux ans. Il explique avoir déjà obtenu l’asile en France, mais avoir fini là car il ne trouve pas de travail […].

    Les Jafari, venus d’Afghanistan, sont une autre famille de la Porte d’Aubervilliers. Les deux parents, leurs fils adolescents et leur fille Fatemeh, 12 ans, vivent dans deux tentes, avec toutes leurs possessions empilées à côté d’eux. Ils racontent avoir déjà brièvement vécu dans une tente à Paris, avant d’être installés par les autorités dans un hôtel en banlieue, à Poissy. Mais au bout de trois mois, on leur a dit qu’ils devaient quitter l’hôtel, sans leur fournir aucune aide pour trouver un nouvel hébergement.

    Et les voilà de retour dans la rue […].

    Des voix s’élèvent pour dénoncer une politique délibérée de l’Etat français, visant à rendre la vie difficile pour les migrants, afin de les décourager de venir. Elles citent l’exemple de l’Allemagne, qui a absorbé plus d’un million de migrants en 2015-16, dont très peu ont fini dans la rue ou dans des camps de fortune comme ceux qu’on trouve en France. Si c’est vraiment là le plan secret des autorités françaises, il ne fonctionne pas, à en croire les chiffres de la mairie de Paris, qui recense l’arrivée quotidienne de plus de 100 migrants.

    Dans toute la France, le nombre de demande d’asiles a grimpé de 22% en 2018 par rapport aux années précédentes, avec plus de 120.000 demandes. 33.000 ont été acceptées l’année dernière. L’Etat dépense des millions chaque année pour loger des milliers de migrants […].

    […] Nabi, un vendeur de 30 ans, lui aussi afghan, habite actuellement dans une tente de la Porte d’Aubervilliers avec sa femme de 28 ans, étudiante en biologie. Il dit avoir réclamé à Anne Hidalgo une minute de son temps, mardi, quand elle est venue visiter le camp, mais que le maire a refusé, disant qu’elle était pressée..

    « Les Français parlent des droits de l’homme, des droits de la femme, mais on ne trouve aucune trace de cela dans le cœur de la France. Je ne m’attendais vraiment pas à vivre dans la rue dans cette ville si riche« , dit Nabi. 

    The Local

    http://www.fdesouche.com/1183983-le-chaos-aux-portes-de-paris-plongee-dans-le-camp-de-migrants-dont-personne-ne-parle

  • Réalité du Grand Remplacement et nécessité de la remigration

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    Communiqué de la Dissidence Française cliquez ici

    L’attentat de Christchurch en Nouvelle-Zélande – que nous ne pouvons évidemment que condamner – a donné lieu à une offensive médiatique sans précédent, destinée à démontrer que le Grand Remplacement « ne correspond à aucune réalité » et relève « d’une théorie d’extrême-droite ». Pire, une tribune parue dans Libération appelle même à « inclure le Grand Remplacement parmi les thèmes relevant du discours raciste et de l’incitation à la haine », ce qui constituerait une nouvelle étape dans le processus totalitaire de répression de la liberté d’expression et d’opinion, déjà bien avancé en France.

    Pourtant les faits sont têtus, et les chiffres ne mentent pas. Nous avons sélectionné 7 chiffres incontestables qui établissent la réalité du bouleversement démographique qui est en train de se produire dans notre pays. Tous ces chiffres proviennent de sources officielles et vérifiables :

    • 2400 : c’est le nombre de mosquées que compte aujourd’hui notre pays. A titre de comparaison, la France ne comptait que 150 mosquées en 1976, soit 16 fois moins. Le nombre de mosquées salafistes approche la centaine. (chiffres du Ministère de l’Intérieur)
    • 12 millions : c’est le nombre d’immigrés ou de descendants d’immigrés extra-européens qui se sont installés dans notre pays en quelques décennies, profitant du droit du sol, du regroupement familial et des naturalisations massives opérées par les gouvernements successifs. Le nombre de musulmans en France s’élève à 8,5 millions. (chiffres de M. Tribalat, 2011 ; chiffres de J-P Gourévitch, 2017 ; confirmés par F. Héran, ancien directeur de l’INED)
    • 40% : soit 2 personnes sur 5. C’est aujourd’hui la part de la population française issue de l’immigration sur 3 générations. (estimation C. Beauchemin, INED, 2018)
    • 400 000 : c’est le nombre d’immigrés supplémentaires – légaux, clandestins ou au titre de l’asile – qui entrent chaque année en France. (chiffres du Ministère de l’Intérieur)
    • 39,39% : c’est la part nationale des nouveaux-nés qui ont fait l’objet en 2016 d’un dépistage pour la drépanocytose, une affection qui ne concerne que les populations d’origine extra-européennes (essentiellement africaines et maghrébine). Pour la région d’Île-de-France, ce taux s’élève à 73,56%, soit 3 naissances sur 4. (chiffres de l’AFDPHE)
    • 700 000 : c’est le nombre de musulmans dans le seul département de la Seine-Saint-Denis (93), où l’Islam est désormais la première religion pratiquée. (P. Galli, ancien préfet de Seine-Saint-Denis)
    • 20% : c’est la part des prénoms musulmans donnés aux enfants nés en France en 2017, soit 1 sur 5. Ce taux était de 6,5% il y a 20 ans. Pour le seul département de Seine-Saint-Denis (93), ce taux grimpe à plus de 50%. (chiffres de l’INSEE)

    Ces quelques chiffres suffisent à établir la réalité statistique du Grand Remplacement et de ses implications : un bouleversement démographique majeur qui pourrait bien changer à jamais la physionomie millénaire de notre pays.

    La recrudescence d’attentats terroristes, l’explosion de la délinquance et le développement du communautarisme procèdent du multiculturalisme et d’une immigration de peuplement imposés au peuple Français par les gouvernements successifs des quarante dernières années.

    Face au mondialisme et au cosmopolitisme, seule la Dissidence Française propose l’organisation sans délai d’une politique de remigration, c’est-à-dire d’inversion des flux migratoires, par 8 mesures immédiates et concrètes :

    1. le rétablissement permanent des contrôles aux frontières ;
    2. l’instauration immédiate de la préférence nationale ;
    3. l’expulsion systématique des clandestins et délinquants étrangers ou binationaux ;
    4. l’abolition du droit d’asile et du regroupement familial ;
    5. la suppression de l’A.T.A., de l’A.M.E. et des allocations destinées aux clandestins et demandeurs d’asile ;
    6. la réforme du code de la nationalité, impliquant l’abolition du droit du sol et la réintroduction de la prééminence du droit du sang pour l’acquisition de la nationalité française ;
    7. la dissolution des associations immigrationnistes ou communautaristes et l’application des peines concernant l’aide au séjour irrégulier et l’emploi de travailleurs clandestins ;
    8. l’interdiction des financements publics ou étrangers des mosquées et l’interdiction des associations liés aux réseaux islamistes internationaux.

    Pour la France et les Français d’abord !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Des euro-députés LR votent le texte culpabilisant la civilisation européenne

    Des euro-députés LR votent le texte culpabilisant la civilisation européenne

    Communiqué de Nicolas Bay, Co-Président du groupe « Europe des nations et des libertés » au Parlement européen, à propos du texte sur les “droits fondamentaux des personnes d’ascendance africaine en Europe” :

    Mardi 26 mars, le Parlement européen votait, à Strasbourg, un texte totalement délirant et inspiré des mouvements dits « indigénistes ». Intitulé « résolution sur les droits fondamentaux des personnes d’ascendance africaine », ce document était un condensé des éléments de langage que l’on trouve habituellement défendus par les communautaristes d’extrême gauche que représentent des personnes comme Houria Bouteldja, Danièle Obono ou Rokhaya Diallo.

    Or, Geoffroy Didier, directeur de la campagne de LR pour les élections européennes, a soutenu ce texte, tout comme Renaud Muselier, président LR de la région PACA, et plusieurs de leurs collègues ! Ils ont donc voté pour la théorie du « racisme structurel » de nos sociétés, pour des quotas de personnes d’origine africaine dans les institutions avec « une stratégie pour la diversité et l’inclusion au sein de leur personnel », pour l’interdiction de traditions européennes au nom du délit de « blackface » (sic), pour que les États fassent des excuses publiques au sujet de la colonisation… Et bien sûr, comme d’habitude avec LR, pour toujours plus d’immigration en « invitant la Commission et les Etats membres à garantir aux migrants des voies d’entrée sûres et légales dans l’Union ».

    Geoffroy Didier s’est aplati devant les revendications extravagantes et culpabilisatrices de ceux qui haïssent la France et la civilisation européenne. Est-ce cela, le fameux projet européen qu’il fera porter par la liste LR ? Une fois de plus, il ne se distingue en rien de celui de LREM, dont les députés ont eux aussi voté en faveur de ce texte inique.

    https://www.lesalonbeige.fr/des-euro-deputes-lr-votent-le-texte-culpabilisant-la-civilisation-europeenne/

  • Grâce à Blanquer, l’enseignement islamique prospère

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    Par Claude Meunier-Berthelot, enseignante, essayiste ♦ Jean-Michel Blanquer vient d’autoriser l’ouverture d’une école élémentaire hors contrat islamiste à Strasbourg à l’initiative du mouvement islamiste turc « Millî Görüş ». Deux autres sont en projet à Belfort et Besançon, toujours portés par la même organisation.
    Avec ce nouvel établissement privé créé à la rentrée 2019, la confédération islamique du « Millî Görüş » renforce sa présence au sein de l’enseignement musulman privé en France avec une centaine d’écoles et de projets d’écoles.

    Qu’est-ce que le Millî Görüş ?

    Ce mouvement (en français :  « Vision nationale ») est né à l’initiative de Necmettin Erbakan, principal acteur politique de l’islamisme turc de ces 40 dernières années et ancien premier ministre turc dont les propos sont tout un programme : « Les Européens sont malades… Nous leur donnerons les médicaments. L’Europe entière deviendra islamique, nous conquerrons Rome ».

    Mouvement extrémiste

    Millî Görüş est le principal mouvement islamique encadrant la diaspora turque et dont les liens avec les « frères musulmans » sont connus. Le mouvement est d’ailleurs classé « islamiste fondamentaliste » par le renseignement fédéral allemand et, en 2003, « Millî Görüş » a figuré sur la liste des associations pouvant servir de base arrière au terrorisme dans le pays.

    Des documents de « Millî Görüş » mentionnent d’ailleurs que « chaque individu membre doit s’engager dans la guerre religieuse (djihad)….doit se conditionner de manière à être prêt à tout moment pour le djihad ! …la communauté est un moyen servant l’objectif de l’islamisation de la société ».

    L’objectif de l’organisation est donc clairement annoncé : assurer la domination d’Allah ! Et l’ensemble des organisations avec lesquelles elle a des relations défend le régime de la charia avec la perspective idéologique de « Millî Görüş » de se servir de la violence. Il est donc un danger social pour l’Europe.

    Ajoutons que son logo est la carte de l’Europe enchâssé d’un croissant islamique !

    De plus, en Allemagne, la liste des allégations contre « Millî Görüş » sont nombreuses : fraude, escroquerie sur fonds public, collecte de fonds douteux, faux détournement de fonds et blanchiment d’argent… Des accusations dont il n’est jamais fait état dans la presse française, pas plus qu’il n’est fait référence à son orientation extrémiste, ce qui n’empêche pas non plus nos gouvernants français de lui faire bénéficier de toutes leurs largesses !

    Vision de « Millî Görüş » partagée par Edorgan

    La diaspora turque installée en Europe est en prise directe avec « Millî Görüş » qui la relie au pays et vit largement en vase clos dans un communautarisme qui a été conforté par l’actuel premier ministre Erdogan lors d’un discours au Zenith de Paris en 2010, lorsqu’il a déclaré : « Personne ne peut vous demander d’être assimilé. Pour moi, le fait de demander l’assimilation est un crime contre l’humanité… » Et il a incité ses compatriotes venus l’acclamer, drapeau turc à la main, à coloniser légalement le pays, proposant la création d’établissements scolaires turcs en France afin de consolider leur implantation, établissements qui ont vu le jour dès 2014.

    Erdogan a également déclaré : « On ne peut pas être à la fois laïque et musulman… On est musulman ou on ne l’est pas… Parce que c’est Allah qui est le créateur de l’islam, il est le seul souverain ».

    Nos gouvernants sont donc largement prévenus mais obstinément complices et maîtres d’œuvre de la destruction de notre société.

    Edorgan avait, par ailleurs, fait des appels au djihad qui ont été largement occultés lors des débats sur la question de l’entrée de la Turquie en Europe.

    La France, terre d’accueil privilégiée des djihadistes

    Néanmoins, « Millî Görüş » est en pleine expansion, maillant le territoire de nouvelles mosquées et de nouvelles écoles chaque année dans de nombreuses villes de diverses régions de France.

    A cet égard, il peut être instructif de rappeler ce que Monsieur Blanquer a déclaré, au micro de BFMTV le 18 décembre 2018 : « Nous avons les outils juridiques pour pouvoir fermer une école qui n’est pas dans les normes, et notamment celles liées au fondamentaliste safaliste… » Également au cours du même entretien : « Comme je l’avais annoncé lors du vote de la loi Gatel, nous pouvons maintenant fermer les écoles hors contrat qui ne sont pas en conformité avec les règles de la république…. »

    Oui mais voilà ! non seulement Monsieur Blanquer ne les ferme pas, les écoles liées au fondamentalisme islamiste, mais il les ouvre ! Et alors même que le 1er février 2018, il avait dit au président du CRIF (Comité Représentatif des Juifs de France) qu’il était « important de donner à chaque enfant un vaccin républicain » ! dans ces conditions, la question ne se pose même pas de savoir qui va vacciner l’autre !

    Par contre, à n’en pas douter, les écoles qui ne sont pas conformes aux règles de la République et qui vont être vaccinées, ne peuvent être que celles qui sont gérées par ces « dangereux » catholiques !!! Et là… Attendons-nous au pire !

    Claude Meunier-Berthelot 29/03/2019

    Crédit photo : Jérémy Barande / Ecole polytechnique Université Paris-Saclay, via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/grace-blanquer-enseignement-hors-contrat-islamique-prospere-milli-gorus/

  • Histoire de l’islamisation en France, 1979-2019

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    Les auteurs de ce livre ont eu l’idée géniale de reprendre ce qui s’est dit et écrit sur l’immigration et l’islam au cours des quarante ans qui viennent de s’écouler en rappelant « les faits et les décisions », comme le mentionne la quatrième de couverture.

    2885634000.jpgCe rappel se fait à travers de très nombreuses citations tirées d’archives. De ces auteurs nous ne savons rien, puisque la signature est celle d’un collectif anonyme. Mais on comprend, à la lecture, qu’ils se soient mis à plusieurs, compte tenu de la masse documentaire considérable qu’ils ont eu à travailler. 

    Le titre du livre, Histoire de l’islamisation française – et non Histoire de l’islamisation de la France – insiste sur la fabrication française d’un renoncement à être et à persévérer dans son être d’une nation abandonnée par des élites qui s’appliquent à domestiquer des autochtones qui renâclent à l’adaptation qu’elles attendent d’eux.

    Ce livre est l’occasion de nous rappeler tout ce que nous avons eu tendance à oublier ou que nous n’avons tout simplement pas remarqué et qui, au fil des ans, fait système. Il raconte la lente élaboration d’une idéologie islamophile, portée par une bonne partie des élites intellectuelles et médiatiques dont le bréviaire de gauche est en train de changer en début de période et qui va avoir tendance, au fil des ans, à devenir hégémonique.

    Chacun des titres des 40 chapitres est un millésime (de 1979 à 2018), accompagné d’une citation qui en donne la tonalité. Le premier chapitre démarre ainsi sur la révolution iranienne de 1979, avec ces mots de Serge July dans Libération : « La joie fait son entrée à Téhéran ». Le dernier chapitre s’ouvre sur le lapsus du décodeur de France Culture, Nicolas Martin, lapsus qui révèle « son incompétence et ses préjugés inconscients » :

    « Si les immigrés font plus d’enfants, seront-ils plus nombreux ? »

    Ce livre est l’occasion de repérer les prémisses de ce que l’on entend aujourd’hui, de manière récurrente, sans y avoir toujours prêté attention alors. Qui se rappelle qu’en 1979, en réponse aux propos de Georges Marchais, Libération publiait une tribune de Fredj Stambouli de l’université de Tunis qui plaidait déjà pour une décolonisation des esprits des populations occidentales, afin de leur permettre « d’accepter et même d’encourager le droit légitime des Autres à rester ce qu’ils veulent être » ? Nous étions à la fin des années 1970 et, déjà, l’assimilation faisait figure de repoussoir. C’étaient déjà les autochtones qu’il fallait acclimater aux nouveaux venus.

    Déjà, dans les années 1980, les propos des musulmans dits « modérés » étaient reçus avec politesse, même s’ils disaient la même chose que ceux proférés par d’autres qualifiés d’islamistes. Dans Le Monde de mars 1989, Mohammed Arkoun, grand « modéré » s’il en est, pouvait ainsi accuser, sans soulever le moindre tollé « la raison des Lumières d’avoir substitué le dogme de sa souveraineté à celui de la raison théologique ». On ne lui répondit pas.

    « La raison des Lumières d’avoir substitué le dogme de sa souveraineté à celui de la raison théologique. »

    Vingt-cinq ans plus tard, le réflexe de l’inversion ou du mensonge par omission s’est si bien propagé que la presse rapporte parfois exactement l’inverse de ce qui est dit, tout en faisant silence sur les propos les plus gênants. C’est l’objet du chapitre 2014. Cette année là, le « modéré » Dalil Boubakeur, recteur de la mosquée de Paris et président du CFCM, présente à la presse une Convention citoyenne des musulmans de France pour le vivre-ensemble concoctée par le CFCM. Ça sonne bien à nos oreilles. Lors de la conférence de presse, Dalil Boubakeur se garde bien d’évoquer l’article 5 de la convention sur les tenues vestimentaires qui fait du voile une obligation islamique. Les rares médias qui évoquent cette convention trouvent motif à se réjouir, sans jamais parler de l’article 5. Ainsi, Le Monde  déclara que « ce message ne pouvait pas mieux tomber ». Il ajouta que « le texte s’attache aussi à lever les soupçons qui pèsent sur l’islam. “L’islam est parfaitement compatible avec les lois de la République” proclame-t-il […], le texte affirme que “les musulmans de France désirent se joindre au renouveau de la pensée religieuse sur l’islam” et “ajuster leurs pratiques” à la société française. » Jean-Louis Bianco aussi salua cette avancée. MédiapartLe Nouvel Observateur et la Ligue de l’enseignement ne furent pas en reste. La lettre ouverte de trois femmes du collectif « Femmes sans voile » d’Aubervilliers, parue dans Marianne et qui dénonçait le CFCM, n’aura aucun écho. Les féministes ne bougeront pas. Enhardi par cette méprise volontaire, Dalil Boubakeur récidive en juin 2017 lorsqu’il met en ligne, sur le site de la mosquée de Paris, des textes injurieux, méprisants et hostiles au christianisme et au judaïsme, textes qui reprennent en gros la doctrine islamique sur le sujet. Sans provoquer, là encore, la moindre réaction.

    Le cas Redeker

    Heureusement, le chapitre 2006 nous a déjà rappelé la veulerie dans laquelle se sont vautrés les contempteurs de Robert Redeker, menacé de mort et condamné à la clandestinité pour avoir écrit dans Le Figaro ce que d’autres avant lui avaient écrit sur l’islam. C’est vrai, c’est plus facile et moins risqué de se mettre du côté du plus fort. Olivier Roy y vit « un tissu d’imbécilités », Le Monde, « des vociférations ». Libération parla d’une « tribune satanique ». Et, n’écoutant que son courage, la responsable de la page « Débats » du Monde rassura les lecteurs du journal : Si la tribune avait été proposée au Monde, « nous ne l’aurions certainement pas publiée ». On retrouve donc les “Usual Suspects”, dont Le Nouvel Observateur qui a l’audace d’écrire que Robert Redecker n’est pas victime d’islamistes, de musulmans vindicatifs mais « de son orgueil de roseau pensant », mettant ainsi en doute sa compétence de philosophe. C’est la curée. S’y joignent Témoignage chrétien qui voit dans la tribune de Robert Redeker une injure islamophobe digne de l’extrême droite et Paris Match qui pousse au maximum le renversement moral en parlant de chronique haineuse d’un « simplet » qui cherche la notoriété et n’est pas digne d’être défendu au nom de la liberté d’expression.

    Les auteurs du livre y voient une inversion, dénoncée au fil des chapitres, qui place la violence du côté de celui qui en est victime. Olivier Roy gagne le pompon de la lâcheté lorsque, dans Libération, en septembre 2006, il accuse Robert Redeker de « chatouiller la fatwa », lequel ne devrait pas s’étonner de ce qui lui arrive. Pour Olivier Roy, qui remet ça dans Esprit, « Robert Redeker est raciste ».

    Et, si l’on veut bien remonter au chapitre 1989, on trouvera le même genre de veulerie intellectuelle lors de l’affaire Rushdie. Rappelons simplement ce que le grand Jacques Berque écrivait dans Le Figaro à l’époque. Il aurait préféré que Les versets sataniques ne soient pas diffusés en France et considérait que Salman Rushdie ne pouvait en aucun cas être pris pour un héros de la libre-pensée après avoir insulté si grossièrement le prophète de l’islam.

    Les caricatures danoises de 2005

    Sans oublier l’affaire des caricatures danoises publiées en 2005 qui donna l’occasion aux députés européens de montrer leur courage en adoptant une résolution dénonçant les abus de la liberté d’expression qui incitent « à la haine religieuse, au racisme et à la xénophobie » et exprimant leur « sympathie à l’égard de ceux qui se sont sentis offensés par les caricatures du prophète Mahomet ». Le Conseil des ministres de l’UE s’était fendu, rappelons-nous, d’un texte où il avait cru bon de préciser que « la liberté d’expression devait respecter les croyances et les convictions religieuse ». On a là un renversement de l’interprétation de l’incitation à la haine décrit par Flemming Rose, qui parle d’inversion de l’effet et de la cause dans son livre, jamais traduit en français, The Tyranny of Silence. Rappelons seulement la stupéfaction qui fut la sienne lorsqu’il fut accueilli le 10 décembre 2005 pour participer à un débat organisé par Amnesty International et l’Institut danois des droits de l’homme, lesquels avaient installé une bannière au titre orwellien « Victimes de la liberté d’expression » (http://www.micheletribalat.fr/439913052). Le livre illustre la progression de cette inversion et de l’activisme nécessaire pour, au moins, faire taire ceux qui seraient tentés par la lucidité.

    Jacques Chirac lui-même avait condamné les caricatures, ce qui avait rendu le CFCM audacieux au point de demander une loi interdisant le blasphème, demande relayée par Éric Raoult qui fut un temps ministre de l’intégration ! Cette affaire des caricatures a eu les conséquences que l’on sait et a renforcé la tyrannie du silence dénoncée par Flemming Rose, dont les effets désastreux sont parfaitement décrits au fil des pages de ce livre.

    Même sans loi écrite sur le blasphème, la liberté d’expression n’est plus qu’un lointain souvenir. Les poursuites en justice qui se sont multipliées ont un puissant pouvoir d’intimidation. Même lorsque les personnes poursuivies gagnent leur procès, l’intimidation dont elles ont fait l’objet tend à les rendre plus discrètes et plus prudentes et à dissuader celles qui seraient tentées de s’exprimer librement de le faire. Et, depuis Charlie Hebdo, la menace s’est concrétisée.

    La peur a abîmé la notion de respect et de tolérance. Salman Rushdie craignait par dessus tout que des gens bien puissent céder à la peur en appelant cela du respect. Jens-Martin Eriksen et Frederik Stjernfelt, deux chercheurs danois, parlent de « respect-mafia ».

    La peur a aussi démonétisé toute idée de subversion…

    Alors qu’on attendait des élites politiques, intellectuelles et médiatiques qu’elles défendent la liberté d’expression, elles se sont trop souvent illusionnées en croyant défendre les faibles et les déshérités. Elles ont ainsi pratiqué l’amalgame qu’elles dénoncent tant par ailleurs en prétendant défendre les musulmans qu’elles considèrent authentiques, sans grand discernement, tout en abandonnant les dissidents acquis aux valeurs libérales. L’assimilation des critiques et des moqueries de l’islam à du racisme a produit cet amalgame et favorisé l’infantilisation des musulmans.

    Ce livre permet de mesurer ce qui nous sépare aujourd’hui d’un temps pas si lointain où les connaisseurs de la question, tombés dans l’oubli pour ce qu’ils ont écrit sur l’islam (c’est le cas de Jacques Ellul), écrivaient ce qui leur vaudrait aujourd’hui un passage à la 17e chambre, sans parler des menaces de mort. Et les livres scolaires sont à la pointe du « progrès ».   

    Article paru sur le site de Michèle Tribalat, avec son aimable autorisation

    Source : ICI

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • “De l’argent pour les Français / Pas pour les étrangers” – Génération Identitaire a occupé la Caisse d’Allocations Familiales de Seine-Saint-Denis !

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    Ce vendredi 29 mars, les jeunes Identitaires ont bloqué l’accès à la CAF de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, et occupent le toit du bâtiment. Une grande banderole « De l’argent pour les Français / Pas pour les étrangers » a été déployée sur la façade. Par cette action symbolique, Génération Identitaire réclame la suppression de toutes les aides sociales aux étrangers extra-européens.

    Depuis le mois d’octobre 2018, le peuple français se soulève pour réclamer une véritable justice fiscale et sociale. Révoltés contre la multiplication et l’augmentation des taxes, les Français sont tout autant scandalisés par le gaspillage de l’argent public et les choix opérés par les gouvernements successifs. Chaque année, des milliards d’euros sont ainsi déversés sur les banlieues, via notamment la « politique de la ville », pendant que la France périphérique est délaissée.

    Les prestations attribuées par les caisses d’allocations familiales – sans condition de cotisation préalable – sont les plus emblématiques de ce pillage qui, de fait, profite majoritairement aux populations issues de l’immigration. Le coût des allocations familiales perçues par les immigrés représente ainsi plus de 8 milliards d’euros par an, tandis que le coût du RSA versé aux étrangers dépasse les 2 milliards (Jean-Paul Gourévitch, « Les véritables enjeux des migrations », 2017).

    Cette situation, profondément injuste, crée un appel d’air massif qui pousse des millions d’extra-européens à venir profiter de la générosité de notre système social. L’arrêt de l’invasion migratoire passe par la fin de toutes les aides sociales aux étrangers : les nôtres avant les autres !

    En occupant la Caisse d’Allocations Familiales de Seine-Saint-Denis, Génération Identitaire veut faire passer le message suivant : Les nôtres avant les autres !

    La police a réussi à déloger les militants en fin de matinée et placé 19 d’entre eux en garde à vue. Selon les premières constatations, il n’y a pas eu d’effraction. Ce vendredi soir, il est encore trop tôt pour connaître les suites judiciaires. La CAF a d’ores et déjà déposé plainte, dénonçant « une agression » qui « porte atteinte au fonctionnement du service public, mais également à ses valeurs ». L’institution ajoute : « En appelant à restreindre les droits sociaux des étrangers, le groupe Génération identitaire nie l’identité de la branche Famille de la Sécurité sociale. »

    Les réactions de colère des immigrationnistes ont été nombreuses. Stéphane Troussel, le président (PS) du conseil département de Seine-Saint-Denis, a notamment déclaré : “Ils sont dans un département qu’ils exècrent, un département qui représente un modèle de société qu’ils exècrent : jeune, populaire, mixte et divers.
    La municipalité a également condamné l’action de Génération identitaire : “Bobigny est fière de sa diversité, de son multiculturalisme et d’accueillir sur son territoire des administrations qui rendent un service nécessaire à la population.

    Soutenez Génération Identitaire : https://generationidentitaire.org/soutenir/

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