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immigration - Page 735

  • Grand remplacement en Europe : l’Autriche veut éviter le pire

    Polémia continue son tour d’Europe du Grand Remplacement. Après avoir étudié l’emblématique cas de la Suède puis l’inquiétante submersion démographique de la Belgique, l’espoir d’une réaction politique au Danemark, le désastre multiculturel britannique et enfin le suicide de l’Allemagne… c’est au tour de l’Autriche d’être étudiée par Paul Tormenen. La situation y est compliquée mais les dirigeants de ce pays tentent d’éviter le pire !

    L’immigration en Autriche a pris ces dernières décennies,comme dans d’autres pays européens, une ampleur inégalée. La transformation rapide et profonde du pays a contribué à amener au pouvoir en 2017 une coalition résolue à donner une nouvelle orientation à la politique migratoire. Bien que le gouvernement dirigé par le chancelier Kurz ait mis un terme anticipé à son mandat, ses premières mesures ont tranché avec le laxisme des gouvernements précédents.

    L’immigration en Autriche : une ampleur inégalée dans les dernières années

    L’Autriche a connu au cours du 20e siècle plusieurs vagues migratoires. La répression politique et la pauvreté dans les anciens pays communistes d’Europe de l’est ont fait affluer près de 180 000 hongrois en 1956, 162 000 Tchèques et Slovaques en 1968 et 33 000 Polonais en 1981. La guerre lors de la dislocation de la Yougoslavie a également amené dans les années 1990 de nombreux réfugiés dans le pays (1).

    Mais c’est à partir des années 1970 que l’immigration a décollé, le nombre de ressortissants étrangers passant de 326 000 en 1978 à 713 000 en 1994. Dans les années 2000, le nombre d’étrangers arrivant chaque année dans le pays a continué à augmenter, passant de 82 000 en 2006 à un pic en 2015, avec 198 000 arrivées (2). Un nombre à rapprocher à la population totale de l’Autriche, 8,2 millions (3).

    L’immigration nette (immigration moins émigration) est excédentaire en moyenne de 77 000 personnes par an dans la période 1998-2017.

    La proportion d’habitants en Autriche nés à l’étranger est en augmentation croissante : elle est passée de 9,7 %en 2007 à 16,2 %en 2019 (4).Le gouvernement évalue à 22,8 % la population issue de l’immigration (5). Le nombre total d’étrangers est passé de 804 000 en 2007 à 1,395 millions en 2017. Ceci bien que sur le période 2006-2016, la nationalité autrichienne ait été accordée à 1,3 millions de personnes (6).

    Une immigration diverse

    En dépit de l’importance de l’immigration intra-européenne des années 50 aux années 80, la population étrangère dans le pays est majoritairement non-européenne (à 61%) (7). La population musulmane en Autriche est estimée à environ 700 000 personnes (8).L’Institut démographique de Vienne (I.D.V.) a publié en 2017 un rapport qui met notamment en avant le doublement de la population musulmane de 2001 à 2016. Selon différentes projections réalisées par l’I.D.V., la population musulmane pourrait représenter entre 12 et 30 % de la population totale à l’horizon 2046. Dans cette dernière hypothèse, l’islam serait la religion la plus pratiquée dans la capitale Vienne (9). La politique migratoire choisie par le gouvernement présent et à venir, favorisant soit la mobilité européenne soit la « diversité », est pour les chercheurs de l’I.D.V. un facteur déterminant de l’évolution de la population du pays.
    La crise de 2015 subie de plein fouet en Autriche

    En raison de sa position géographique, l’Autriche a subi de plein fouet la crise des migrants en 2015. Le pays a été exposé non seulement à l’afflux de migrants venant d’Italie mais surtout de ladite « route des Balkans » (passant par la Turquie, la Grèce, la Macédoine et la Hongrie). Sur la seule année 2015, près d’un million de clandestins ont transité dans le pays. 90 000 y ont déposé une demande d’asile (10).Parmi eux, de nombreux étrangers se sont déclarés mineurs pour se prémunir contre une expulsion. En avril 2017, le ministre de l’intérieur autrichien estimait que près de 40 % des migrants se déclarant mineurs avaient mentis (11).

    Le Ministre des affaires étrangères de l’époque, Sébastien Kurz, a fortement critiqué la chancelière allemande pour l’appel d’air qu’elle a provoqué en Europe en ouvrant les frontières de l’Allemagne. Au sein du gouvernement, il ne s’est pas contenté de paroles. Le gouvernement autrichien a fermé en 2016 la route des Balkans. Cette mesure a permis de réduire considérablement les arrivées par cet itinéraire (12). La même année, l’Autriche annonçait qu’elle diminuait de moitié le nombre de migrants accueillis (13).

    Une intégration difficile

    Plusieurs indicateurs montrent une intégration difficile d’une partie des étrangers dans la société autrichienne :

    Les étrangers sont sur-représentés parmi les personnes condamnées pour des délits de droit commun (32,3 % en 2017) (14) et parmi les personnes suspectées de viol (15).
    Tout en distinguant les migrants récemment arrivés des étrangers présents depuis plus longtemps sur le territoire, un ancien membre du parlement indiquait en début d’année, que « dans les zones à problèmes, des pères viennois donnent un voile à leurs filles afin qu’elles ne soient pas harcelées » (16).
    A l’occasion de la présentation d’un plan pour « plus de sécurité pour les femmes », la Ministre de l’intégration, Karoline Edtstadler, déclarait en janvier 2019 : « Les flux migratoires de ces dernières années nous ont aussi importés des opinions comme l’antisémitisme, l’islamisme radical et, associé à cela, une image des femmes que nous rejetons clairement et qui n’a rien à voir avec nos valeurs. Je dis que c’est plus que cela, c’est associé à une dévaluation complète de la femme » (17).
    Sur le marché du travail, les étrangers ont un taux de chômage (10 %) qui est plus du double de celui des Autrichiens (4,2 %) (18).
    Les étrangers constituent près de la moitié des bénéficiaires du revenu minimum d’assistance, un tiers étant des réfugiés (19). On constate donc une sur-représentation des étrangers, eu égard à leur poids dans la population, tant dans les chiffres de la délinquance, du chômage que de l’assistanat.

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    https://fr.novopress.info/

  • Boutiques pillées par des supporteurs algériens : le Rassemblement National réclame des mesures pour éviter “une humiliation nationale !”

    12/07/2019 – FRANCE (NOVOpress)
    Après la victoire de l’Algérie contre la Côte d’Ivoire en quart de finale de la Coupe d’Afrique des nations, des supporters de l’Algérie ont fêté la victoire sur les Champs-Élysées.

    Des affrontements ont éclaté entre supporters et forces de l’ordre. Sur l’avenue de la Grande-Armée, deux magasins ont été pillés.

    La demi-finale opposera l’Algérie au Nigeria dimanche prochain. Afin d’anticiper le risque de nouveaux incidents, le Rassemblement National demande d’interdire les Champs-Elysées aux supporters algériens.

    Dans ce communiqué de presse intitulé “14 Juillet et match de l’Algérie : Christophe Castaner doit éviter une humiliation nationale“, il est notamment possible de lire ceci :

    Ce dimanche 14 juillet à 21h00 se jouera la demi-finale de la Coupe d’Afrique des Nations, opposant l’Algérie au Nigéria. Les deux derniers matchs de l’Algérie au cours de cette compétition ont été le prétexte à des débordements et à des scènes de véritables émeutes dans toute la France, et notamment sur les Champs-Elysées.
    Loin de n’être que des manifestations de joie de simples amateurs de football comme le décrivent la plupart des commentateurs, il s’agit de véritables démonstrations de force dont l’objectif est de signifier ostensiblement une présence massive et un rejet de la France.

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  • L’invraisemblable procès contre l’opération Defend Europe dans les Alpes

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    Ce jeudi 11 juillet se tiendra le procès contre la mission Defend Europe dans les Alpes de Génération Identitaire. Rappelez-vous, le 21 avril 2018, une centaine de jeunes identitaires s’étaient rendus au col de l’Échelle, à la frontière franco-italienne, pour faire barrage aux migrants clandestins. Cette zone était connue pour être un point d’entrée important des immigrés illégaux dans notre pays. Avec des barrières, des hélicoptères, un avion, nous avions réussi à montrer qu’il était réalisable de stopper l’immigration dans la zone en nous opposant à ce trafic le temps de notre action. Comme quoi avec de la volonté tout est possible !

    Suite au succès médiatique de cette opération, le gouvernement s’est senti humilié et a été obligé d’envoyer des renforts de police aux frontières. Il a donc voulu nous le faire payer. Après les multiples menaces de dissolution, les censures sur les réseaux sociaux, l’Etat veut nous faire condamner. Plus d’un après, le gouvernement d’Emanuel Macron nous poursuit pour un motif ridicule qui est « l’immixtion dans une fonction publique ».

    En d’autres termes, on reproche aux Identitaires d’avoir voulu faire le boulot que l’Etat devrait accomplir. Un comble…

    https://fr.novopress.info/215070/linvraisemblable-proces-contre-loperation-defend-europe-dans-les-alpes/
  • Forte hausse de la délinquance à Paris : les étrangers mis en cause

    Forte hausse de la délinquance à Paris : les étrangers mis en cause

    Les instructions de la nouvelle directrice de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) sont destinées à faire cesser la hausse de la “délinquance d’acquisition” (cambriolages, vols à la tire…). Dans une note diffusée le 17 juin aux chefs de la police parisienne, Valérie Martineau détaille :

    “Les six premiers mois de 2019 révèlent une évolution défavorable de la petite et moyenne délinquance”. “Notre action doit être guidée par un principe simple : obtenir des résultats significatifs.”

    Plusieurs infractions sont particulièrement dans le collimateur des policiers parisiens : les atteintes volontaires à l’intégrité physique, les violences conjugales, les vols violents et les cambriolages. ”

    Tous les indicateurs sont dans le rouge selon un cadre de la préfecture. Selon le Canard Enchaîné, citant les statistiques de la Préfecture de police, les atteintes aux biens ont augmenté de 16,4% sur les cinq premiers mois de l’année, comparées à la même période en 2018. Les atteintes volontaires à l’intégrité physique grimpent de +10,7% dans le même laps de temps.

    Un haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur estime que l’afflux d’étrangers n’y est pas pour rien :

    La proportion d’étrangers mis en cause augmente clairement, notamment dans la délinquance du quotidien, comme les vols à la tire. Beaucoup sont en situation irrégulière dans l’Hexagone.”

    https://www.lesalonbeige.fr/forte-hausse-de-la-delinquance-a-paris-les-etrangers-mis-en-cause/

  • Le bébé cobra est un danger mortel sitôt sorti de l’œuf !

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    Pieter KERSTENS

    Quand Madame Belloubet, Garde des Sceaux, prétend que les adolescents de moins de 13 ans seraient « irresponsables pénalement »,(car effectivement ce sont leurs parents qui sont alors responsables de tous les actes de leurs enfants), soit elle ignore la réalité, soit elle fait preuve d’angélisme ou alors elle considère ses concitoyens comme des imbéciles. S’il est exact que l’enfant jusqu’à 3 ans est incapable de discerner le Bien du Mal, ou le Bon du Mauvais, il ressent quand même la différence entre la douleur et la douceur du bien-être. Mais à partir du plus jeune âge et dès 4-5 ans, les enfants sont réceptifs et capables de distinction, ce qui a conduit certains dirigeants, nombre de responsables et chefs politiques dans le monde, à embrigader et à séparer les enfants de leurs parents, afin de les endoctriner et formater leurs esprits à diverses idéologies, hors de toute morale.

    Notre devoir de mémoire nous impose les souvenirs des « Pfimfe » et « Hitlerjugend » de la Seconde Guerre mondiale et des enfants-soldats africains lors des conflits tribaux pré ou postcoloniaux comme au Kenya avec la révolte des Mau-Mau, au Nigéria en 1968, au Congo ex-Belge ou en Somalie avec les milices Al-Chabab, par exemple. En Extrême-Orient, quand les Khmers Rouges ont envahi Phnom-Penh le 17 avril 1975, toutes les gôches européennes se sont extasiées devant la jeunesse des bataillons communistes, composés de soldats de 10-18 ans qui, par la suite ont démontré leurs capacités meurtrières à éliminer plus de 2 millions de leurs parents, à coups de pelles et de faucilles, sans aucune hésitation, au nom de l’Angkor Vat, réelle dictature sanglante de Pol Pot et de Khieu Samphan. Pas une manifestation, pétition ou condamnation de ces barbaries par les prétendus « démocrates » ou « humanistes » qui, aujourd’hui encore, se posent en donneurs de leçons et injurient les opposants à leurs utopies, chimères et idéologies nauséabondes.

    Lors de mon premier séjour à Damas en 2014, j’ai eu le privilège de regarder une vidéo produite par Daesh dans laquelle une petite fille de 7-8 ans était embrigadée, dans un camp de formation militaire destiné aux enfants, et qui déclarait tranquillement, avec un joli sourire, que son plus beau rêve serait de pouvoir tuer un « croisé » (un infidèle chrétien).

    Alors quand j’entends les adeptes du Droit de l’Hommiste, les Bisounours de la Justice et tous les défenseurs des assassins et meurtriers mineurs nous déclarer que ces enfants sont « irresponsables » et « victimes » de la société qui les avait persécutés ou frustrés, je leur réponds fermement et avec détermination qu’il faut mettre ces crapules hors d’état de nuire, longtemps. En permanence, ils ont eu le choix de leur décision avant de passer aux actes.

    Depuis des décennies, les favelas au Brésil sont des couveuses de haine, des maternelles du crime, des écoles pour délinquants diplômés et constituent des gisements fertiles pour les études des criminologues et juristes du monde entier. Partout sur notre Planète, les conflits aussi ont engendré le recrutement d’adolescents et d’enfants qui deviennent de réels prédateurs irrécupérables, car devenus totalement étrangers aux valeurs de civilisation ou réfractaires à toute forme de discipline, de respect ou de civisme, quelque soient leurs milieux familiaux et origines ethniques.

    Le dernier bilan de la délinquance pour le premier trimestre 2019, publié mi-avril, laisse apparaître une très sérieuse augmentation des crimes et délits (plus de 700 agressions par jour) en hausse de 7% par rapport au 1er trimestre 2018. Idem pour les vols à la tire (41.709 faits soit + 16,4%), les vols à la roulotte (67.562, soit + 4,7%), les menaces et chantages (33.259 soit + 4,9%), les viols (5.739 faits, soit + 19,4%), les cambriolages (94.516 faits, soit + 2,4%) et cela uniquement sur les 3 premiers mois de 2019, et seulement pour les procédures signalées aux parquets, car beaucoup d’affaires ne donnent lieu à aucune plainte ! 

    Selon Alain Bauer, professeur de criminologie au CNAM :

    « La justice peine à s’adapter à l’exigence d’une réponse rapide et efficace sur un certain nombre de difficultés identifiées depuis longtemps, comme le trafic de stupéfiants, source de nombreux phénomènes de délinquance. (…) La France est un cas atypique avec une augmentation rapide de la violence ces dernières années et des vols du fait de bandes extraordinairement professionnelles, prédatrices et venues de l’étranger. »

    Face à l’anarchie qui gagne, que font alors les voyous, les médias dits d’information et que fait le gouvernement ?

    Les voyous jubilent. Les avocats des « grands frères » (les caïds) ont transmis leur diagnostic : le ministre Castaner -modèle Cazeneuve- aboie à la télé mais ses morsures sont légères. Tout va bien, on continue ! Parce que ce gardien de l’Ordre affirme aussi : « la prison est criminogène ! »Applaudissements dans les banlieues…où les multirécidivistes pullulent.

    Et les médias en remettent une couche : c’est mal de politiser les faits divers. Ils édulcorent et minimisent. La sécurité des Français passe au second plan et sous la loi du silence.

    Quant au gouvernement, lui, il récite la même rengaine en vogue depuis des années : « inadmissible…intolérable…insupportable…inacceptable… » et préfère en revenir au réchauffement climatique et aux Gilets Jaunes, graves sujets plus préoccupants. Mais plus grave encore serait qu’à la suite des gilets jaunes, succèdent les gilets pare-balles !

    Pour la mise hors d’état de nuire des délinquants juvéniles, il fut une époque où existaient des structures spécialisées : les maisons de redressement, baptisées les « hauts murs », établissements chargés de la rééducation des jeunes délinquants. Pourquoi les avoir supprimés ? Parce que nos « humanistes » aveuglés par les dogmes des Lumières et pétris par des utopies progressistes nous ont imposé leurs lois liberticides et d règlements interdisant la moindre contestation de leurs erreurs que nos concitoyens payent fort cher et même souvent de leur vie.

    Qu’ils soient Djihadistes, terroristes, criminels ou délinquants, majeurs ou mineurs, hommes ou femmes, européens ou eurasiens, salafistes ou hindouistes, végétariens ou claustrophobes, les coupables doivent subir un juste châtiment, être condamnés et emprisonnés. Pas de pitié pour les sauvageons, la racaille et la crapule qui polluent notre quotidien.

    « La vie pour les innocents. La mort pour les assassins »

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  • Trafic de migrants : la main dans le sac

    6a00d8341c715453ef0240a4b6e7d0200b-320wi.jpgDepuis, le 3 octobre 2013, l'île italienne de Lampedusa est considérée comme le symbole même à la fois de la misère migratoire, de l’incurie des technocrates qui nous gouvernent et, bien entendu, de la culpabilité européenne.

    Ce jour-là, en 2013, au large de ses côtes leur 366 migrants clandestins africains sont morts dans le naufrage de leur embarcation illégale. Cette terrible tragédie en Méditerranée paralyse, depuis, ce qui tient lieu de conscience aux dirigeants européens

    Or, en ce 22 juin 2019 on détient enfin la preuve matérielle du fonctionnement d'un trafic d'être humain organisé par les spécialistes historiques du trafic d'esclaves. Elle est fournie par Frontex. Rappelons que cet organisme gère depuis 2016 la coopération opérationnelle aux frontières extérieures des États membres de l'Union européenne. Son siège se trouve à Varsovie. Souvent accusé de laxisme, son budget très limité qui devrait atteindre 322 millions d'euros en 2020 et ne dispose que d'un effectif prévu la même année à hauteur de 1 000 personnes.

    Or, ce 22 juin à 12 h 06 une vidéo[1] de l'agence faisait état d'une opération combinée menée par les autorités italiennes.

    Le Centre national italien de coordination avait en effet lancé sur cette affaire la Guardia di Finanza. Cette police spéciale très efficace, créée en 1774 par le royaume de Sardaigne[2] emploie aujourd'hui 68 000 fonctionnaires. Habituellement mobilisés contre les trafics en tous genres, ils ont ainsi arraisonné devant Lampedusa 81 illégaux. Ils étaient épaulés ce jour-là par les garde-côtes traditionnels. Or, ils ont rattrapé le plus gros navire et arrêté les trafiquants présumés. Le bateau de migrants a été intercepté dans les eaux italiennes.

    Étrangement, à vrai dire, au moment où son auteur entreprend de rédiger cette chronique, à 17 h 04 heure de Paris, il n'avait connaissance d'aucune dépêche en provenance des sources, médias ou sites internet franco-français.

    Voici cependant les faits attestés à 18 h 33.

    Ils établissent à quel point l’arrivée de migrants ou de réfugiés sur les côtes européennes est l’œuvre de bandes bien organisées. Celles-ci procèdent par un système de bateaux-mères. Les canots pneumatiques, souvent de mauvaise qualité partent en l'occurrence des plages libyennes. Les réseaux mafieux turcs procèdent de même vers la mer Égée, les Marocains vers l'Andalousie, etc. Les trafiquants recourent à une technique plus raffinée que ce que l'on imagine. C'est un bateau-mère qui remorque un ou plusieurs navires ou canots en haute mère, et à une distance raisonnable des côtes italiennes ou maltaises, ils coupent le cordon laissant voguer leurs clients vers leur destination finale. Plus cher mais plus sûr pour les migrants illégaux, plus difficile à intercepter ce voyage se révèle plus lucratif pour les trafiquants.

    Mais, souligne le centre d'information Bruxelles 2[3], il est repérable par voie aérienne, en effet :

    "Les experts du corps européen des garde-frontières Frontex ont eu le nez fin quand ils ont détecté un bateau de pêche remorquant un petit radeau à coque rigide, vide. Bizarre en pleine mer. Ils ont décidé de le suivre à la trace, durant plusieurs heures, à l’aide d’un avion et d’un drone. Quelques instants plus tard, bingo ! La preuve de l’activité devient irréfutable. La vidéo le montre :

    Sur les images, on voit ainsi des personnes sortir une par une du bateau, certaines avec des gilets de sauvetage, et monter, ou plutôt s’entasser sur le radeau. Quand le plein est fait, 81 en tout, le bateau mère remet les gaz, toute puissance, pour s’éloigner au maximum du radeau qui devra atteindre ensuite, seul, les côtes italiennes de Lampedusa.

    L’alerte est donnée à Rome et à Malte, ainsi qu’au QG de l’opération Sophia Eunavfor Me. La Guardia di Finanza et les garde-côtes italiens sont mobilisées à la recherche des deux navires. Le bateau-mère est finalement intercepté dans les eaux internationales. Les passeurs présumés — six Égyptiens et un Tunisien — sont arrêtés et ont été débarqués à Licata en Sicile, escortés par la police financière italienne, ce matin du 22 juin à l’aube. Le canot rempli de migrants est intercepté dans les eaux italiennes."

    Les faits sont sacrés, les commentaires sont libres, nous suggère depuis 1821 la devise du Guardian de Manchester que tout Européen de bonne foi devrait reprendre à son compte.

    À Lampedusa, comme en Mer Égée, comme en Andalousie, la misère migratoire, l’incurie des technocrates qui nous gouvernent et la mauvaise conscience européenne doivent cesser.

    JG Malliarakis  
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    Épilogue

    C'est seulement après un délai de plus de 24 heures que les médias hexagonaux ont répercutés cette information. Par exemple BFM TV la diffuse le 23 à à 17 h 35... Les JT du soir à 20h le même jour. Or, elle était connue depuis la veille. Ce type de retard à l'allumage est assez constant en face de ce genre de nouvelles...

    Apostilles

    [1] cf. Frontex du 22 juin 2019.
    [2] cf. Chi Siamo
    [3] cf. "Bruxelles 2 Un bateau mère de passeurs pris sur le fait au large de Lampedusa".

    https://www.insolent.fr

  • Un symbole : la France condamnée… par le terroriste Abdeslam

    Salah Abdeslam est le seul rescapé du commando islamiste qui, le 13 novembre 2015, a tué 131 personnes, et en a blessé 413 autres. Il a obtenu la condamnation de la France par le tribunal administratif de Versailles. Une condamnation certes symbolique. Mais un crachat de plus sur notre pays.

    L’Etat de droit est une bien belle chose, et loin de nous l’idée d’en fustiger le principe, mais certaines circonstances exceptionnelles plaident parfois pour une mise entre parenthèses. La déclaration de guerre de l’Etat islamique, les centaines de victimes, en France, les dizaines de milliers de morts dans le monde, ne correspondaient-ils pas à une telle situation ? Nos politiques nous ont dit que nous étions en guerre. Mais le prestigieux tribunal administratif de Versailles ne l’a pas entendu de cette oreille et, par une décision du 24 mars 2017, a donc donné raison au tueur.

    L’assassin, qui est incarcéré à Fleury-Mérogis, avait attaqué l’Etat sur ses conditions de détention, et il avait gagné la somme symbolique de 500 euros, les juges ayant estimé que la vidéosurveillance installée dans sa cellule reposait sur une loi qui n’était pas encore votée.

    Le plus extraordinaire, dans cette affaire, c’est qu’on ne connaît ce jugement qu’aujourd’hui, à l’occasion de la parution du Journal de Frank Berton (sans lien apparent avec Germaine Berton, la tueuse anarchiste de 1923), l’avocat d’Abdeslam.

    La sentence était tellement incroyable, tellement scandaleuse, tellement susceptible de choquer les Français, voire d’orienter leurs votes, qu’elle est apparemment restée secrète jusqu’à ce que, au détour d’une page de ce livre paru en avril 2019, un journaliste du Figaro découvre cette décision, rendue en mars 2017 mais restée inconnue ! Mars 2017, rappelez-vous : nous sommes alors à un mois exactement du premier tour de la présidentielle. Une telle information, divulguée à cette date, aurait pu orienter, au moins marginalement, le vote des Français. Ce type de décision a en effet le don d’irriter fortement. Alors, quelle est l’hypothèse ? Un manque de curiosité des chroniqueurs judiciaires de la totalité des grands médias ?

    Le silence sent la manipulation d’information

    Le silence fait à l’époque sur cette décision de justice par la classe politico-médiatique sent la manipulation d’information à plein nez. Alors qu’elle était tout entière mobilisée contre une présence de Marine Le Pen au second tour, cette condamnation de la France au profit du pire des tueurs aurait pu faire l’effet d’une bombe. Mais on le voit bien : rendue publique trente mois plus tard, l’information n’est guère commentée que sur un plan technique, juridique, et ne soulève donc pas d’émotion.

    Mais il n’y a pas que la dimension immorale de la condamnation de la France qu’il faut retenir, dans ce dossier. Il y a aussi le fait que la vidéosurveillance a pour but de prévenir toute tentative d’évasion, quand ce risque existe. Ce qui signifie que, dans le cas d’Abdeslam, le risque existait, et qu’à bien comprendre la décision de justice, nous aurions dû prendre ce risque d’une évasion, plutôt que de commettre la « terrible » infraction à l’Etat de droit.

    Notons enfin que de malheureux militants identitaires sont parfois condamnés à payer plusieurs milliers voire plusieurs dizaines de milliers d’euros pour de pacifiques occupations de chantiers de mosquées ou de locaux du PS, tandis qu’on fait droit aux demandes financières d’un assassin de la pire espèce.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 9 juillet 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Afrique du Sud : viols et crimes dans l’indifférence internationale

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    Sous prétexte que les fermiers blancs ont été partie prenante de l’apartheid jusqu’en 1994, les crimes commis contre eux semblent être, pour l’opinion internationale, des crimes mineurs et non dignes d’intérêt. La terre étant aujourd’hui le principal enjeu du panorama politique sud-africain, on saccage les fermes et on tue et viole leurs occupants blancs dans l’indifférence générale du reste du monde, qui pense probablement que la couleur de peau des victimes n’est pas digne d’intérêt.

    La dernière victime en date de ces attaques qui restent, la plupart du temps, impunies à cause de l’état de décomposition de la police sud-africaine est Annette Kennealy, 51 ans, tuée la semaine dernière à coups de marteau dans sa ferme du Limpopo, fief de Julius Malema, l’extrémiste qui avait déclaré, il y a un temps, « Un fermier, une balle… »

    Dans le sud du pays, la Western Province, la région du Cap, qui avait été jusqu’ici plus ou moins préservée de cette violence, quatre fermes ont été attaquées, il y a quelques jours. Dans l’une d’elles, Dolla Engelbrecht, 72 ans, a été violée, tandis qu’un peu plus loin, un fermier a été abattu alors qu’il emmenait sa fille de 17 ans à l’école.

    Devant cet état de choses, la communauté Afrikaner se structure pour faire connaître ce que beaucoup appellent aujourd’hui « un apartheid à l’envers », promouvoir sa culture et lutter pour les droits souvent bafoués de ses membres. C’est ainsi que fut fondée, il y a quelques années, AfriForum, une organisation qui milite non seulement pour ces droits, mais qui intervient aussi légalement à chaque fois que des scandales liés à la corruption éclatent dans ce pays. Parmi ses membres, le célèbre procureur Gerrie Nel, qui avait représenté le ministère public dans la non moins célèbre affaire Oscar Pistorius, accusé d’avoir tué sa petite amie il y a quelques années. Nel a ensuite quitté ses fonctions de procureur pour se mettre au service d’AfriForum.

    Il resterait, aujourd’hui, sur l’ensemble du pays, 42.000 familles fermières, contre 60.000 il y a quinze ans. Beaucoup de ces familles ont émigré en Australie devant la détérioration constante de la sécurité dans les fermes. Ils recréent, là-bas, dans les grands espaces australiens, la même passion fermière qui a fait le succès de l’agriculture sud-africaine (et zimbabwéenne avant Mugabe). Pour ceux qui restent, il s’agira de lutter pied à pied contre le projet d’expropriation que mettra en œuvre le nouveau gouvernement sud-africain.

    Leur but, et celui d’Afriforum : lutter contre cette idée préconçue selon laquelle 80 % des terres leur appartient. La communauté fermière soutient que seulement 50 % de ces terres sont exploités par elle. Les 50 % des terres restants appartiennent, selon eux, en petite partie à des fermiers noirs, mais surtout au gouvernement sud-africain qui devrait les libérer pour que les fermiers noirs les mettent en valeur, comme l’ont fait les fermiers blancs depuis leur arrivée sur cette terre, il y a plusieurs centaines d’années…

    Il y a trois ans eut lieu une première tentative de distribution de fermes volontairement abandonnées par leurs propriétaires, qui furent redécoupées et données à des propriétaires noirs. La grande majorité de ces bénéficiaires s’empressa de les revendre pour empocher le fruit de la vente…

    Jean-Pierre Lenoir

    https://www.bvoltaire.fr/afrique-du-sud-viols-et-crimes-dans-lindifference-internationale/

  • AfD : « Certaines parties de l’Allemagne sont maintenant sous le contrôle d’un califat islamique »

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    Le parti de droite allemand AfD a publié un graphique démontrant que certaines parties du pays sont désormais sous le contrôle d’un « califat » islamique. La gauche, quant à elle, dit qu’elle préférerait vivre sous un califat islamique que dans une Allemagne contrôlée par l’AfD.

    Au terme des élections européennes, l’une des succursales d’Alternative for Germany à Berlin (AfD) a publié une image sur Facebook indiquant que les États de l’ouest et du sud, où l’AfD recevait le moins de soutien, avaient été repris par des islamistes.

    L’image montre le pays divisé entre la «république d’Allemagne» et le « califat allemand », séparés par une bannière noire sur laquelle figure la déclaration de foi islamique.

    Voir l'image sur Twitter
    bernd bollmann ⭕️@berndbollmann

    lieber Gott lass Hirn regnen

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    Le message, qui a par la suite été supprimé, comportait la légende suivante: « Les images parlent plus que les mots ».

    En dépit de recevoir des critiques contre cette publication, une personne a suggéré qu’elle préférerait vivre dans un califat islamique plutôt que dans une Allemagne gouvernée par l’AfD.

    « Si je devais vivre sous l’égide de l’AfD dans un pays intitulé « République fédérale d’Allemagne », je préférerait le califat, s’il vous plaît. Il y a du soleil et de la nourriture délicieuse ! », à commenté Christina Fischer.

    Pour rappel, une affiche créée par le parti AfD avait déjà fait forte polémique au sein du paysage politique allemand, montrant une femme blanche vendue sur un marché d’esclaves islamique à côté des mots « Pour que l’Europe ne devienne pas » Eurabia »… les Européens votent pour l’AfD! »

    Plus tôt ce mois-ci, les gauchistes allemands ont applaudi aux menaces de mort proférées contre l’AfD, lors d’un débat politique.

    Traduction Carole Compostella pour alter INFO

    Lire aussi:  L'AfD est devenu le parti le plus fort de l'est de l'Allemagne - les victoires aux élections d'État pourraient forcer Merkel à partir plus tôt que prévu

    Source Infowars

    L’Allemagne est, sans conteste, la première puissance économique d’Europe. Et elle semble vouloir, depuis quelques années, reprendre le poids politique qu’elle avait avant 1945. Va-t-elle reprendre les funestes aventures qui ont, à de nombreuses reprises, mis le feu à notre vieux continent ?

    La question mérite d’autant plus d’être posée que la situation allemande a été profondément modifiée, au cours des dernières décennies, par l’afflux massif d’immigrants musulmans.

    Il est désormais possible que les démons allemands, associés à l’esprit de conquête de l’islam, fassent de l’Allemagne le chef d’un nouveau califat en Europe.

    C’est pour conjurer ce sinistre avenir que cet essai a été rédigé.

    https://www.alterinfo.ch/2019/06/01/afd-certaines-parties-de-lallemagne-sont-maintenant-sous-le-controle-dun-califat-islamique/