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immigration - Page 736

  • Notre capacité à nier le danger devient spectaculaire

    Notre capacité à nier le danger devient spectaculaire

    De Paul-Marie Coûteaux dans La Nef :

    Quiconque s’est un jour penché sur l’Histoire ne peut qu’être frappé par la capacité des hommes à s’aveugler devant les dangers collectifs qui les menacent, et les plus immédiats. On pense à l’espèce d’obstination avec laquelle les Français (et les Anglais) refusèrent de voir, au long des années trente, la montée du péril allemand – péril pourtant annoncé dès les premières victoires d’Hitler (près de 38 % aux élections de juillet 1932), et d’autant plus évident que son effrayant programme Mein Kampf avait été publié en 1925. Rares furent ceux qui s’alarmèrent – l’Action française dès 1930, ou le futur Pie XII qui, bien en vain, écrivait en 1929 : « C’est un homme à enjamber des cadavres et à fouler aux pieds tout ce qui est en travers de son chemin. » L’aveuglement des Européens fut si constant que, en 1939 encore, alors qu’Hitler violait les accords de Munich signés six mois plus tôt en envahissant la Bohême et la Moravie, le Premier britannique, Neville Chamberlain, répugnant à s’entendre avec Staline, n’accepta son offre d’alliance qu’après des mois de tergiversations, envoyant des plénipotentiaires par le bateau le plus lent qu’il avait trouvé : en août, las d’attendre, Staline finit par accepter l’offre d’alliance de Ribbentrop et signa le traité qui ouvrit à Hitler l’invasion de la Pologne, plongeant l’Europe dans les ténèbres que l’on sait.

    Aveuglements

    Ces aveuglements sont fréquents dans l’Histoire : les Français du XVIIIe siècle dénigrèrent le « renversement d’alliance » au profit de l’Autriche contre l’empire prussien naissant (ce fut l’une des causes de la Révolution, et de l’impopularité de « l’Autrichienne »), mais la suite prouva que c’était bien la Prusse qui était dangereuse. De même, quand Caton l’Ancien, effrayé par la prospérité de Carthage, achevait tous ses discours par le fameux « Delenda est Carthago », on raillait son entêtement de vieillard, alors même que la cité punique violait les traités de paix et attaquait Massinissa. Et qui ne se souvient des arguties des Byzantins qui, assiégés par les Turcs, n’en poursuivaient pas moins les querelles théologiques qui les séparaient sans cesse davantage de Rome et des royaumes d’Occident, seuls capables de les défendre ? « Discussions byzantines » : on en fit un proverbe, il ne servit d’aucune leçon. Comme me le dit un jour un de mes maîtres de jeunesse, Jacques Ellul : « Au début, les peuples commencent par aimer leurs envahisseurs ; quand ils se réveillent, il est souvent trop tard. » Bien des Français aimaient l’Allemagne, comme ils aimèrent, derrière leurs « philosophes », la jeune Prusse, les Romains la magnifique Carthage, comme les Byzantins, avant qu’ils ne la renversent, avaient conclu de multiples accords avec les Turcs…

    De même aujourd’hui, on ne veut pas voir avec quelle constance, l’islamisme fait la guerre aux chrétiens dans le monde entier […] Notre capacité à nier le danger devient spectaculaire : la chute de l’État islamique est fréquemment mise en relation avec la diminution des attentats pour conclure fièrement que la menace islamique régresse. C’est méconnaître (mais comment les connaître, quand tout est caché ?) les énormes progrès que font dans le monde entier les réseaux islamistes, dont les effectifs auraient au mieux triplé depuis deux ans, dont les « trésors de guerre » (reconvertis souvent en placements boursiers) deviennent si imposants qu’ils constituent l’une des plus grandes puissances financières du monde, dont les réserves en armes de plus en plus lourdes, des massifs d’Afghanistan aux forêts d’Afrique centrale, ne cessent de croître : méconnaître en un mot que le péril, loin d’être écarté parce que les stratégies changent, est plus grave d’année en année.

    Il y a pire : notre refus collectif de voir et nommer le danger fait commettre aux dirigeants des pays de civilisation chrétienne des erreurs stratégiques stupéfiantes : oui, la France, sur ordre de MM. Sarkozy et Juppé, puis Hollande et Fabius, a bel et bien fourni des armes à des « rebelles syriens » qui étaient en réalité des conscrits du djihad ; oui l’UE continue à accorder à la Turquie de substantiels « crédits de pré-adhésion », les négociations d’adhésion n’étant toujours pas suspendues malgré les innombrables provocations d’Erdogan qui vient d’obtenir que l’Allemagne naturalise les familles polygames et invoque ouvertement la grandeur de l’Empire ottoman, lequel soumit pourtant une partie de l’Europe à un joug atroce. Oui, M. Trump se trompe d’adversaire en choisissant pour ennemi prioritaire et obsessionnel l’Iran, alors que les foyers islamistes sont en Turquie et dans les pays du Golfe, avec lesquels nous entretenons les meilleurs rapports, ses menaces de déclencher l’apocalypse sur l’ancienne Perse ne faisant que jeter de l’huile sur le feu islamiste. À moins que ce ne soit son but…

    https://www.lesalonbeige.fr/notre-capacite-a-nier-le-danger-devient-spectaculaire/

  • Européennes. En Europe centrale, victoire des identitaires

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    Par le Visegrád Post ♦ Si les médias français ont consacré la quasi-intégralité de leur temps d’antenne à analyser les résultats nationaux des élections européennes, le scrutin ne s’est évidemment pas limité aux frontières de l’hexagone ! Le Visegrád Post nous offre une bouffée d’air frais en analysant avec minutie les résultats des pays du groupe de Visegrád : Hongrie, Slovaquie, Tchéquie et Pologne.
    Dans ces pays, les scores des partis opposés à l’immigration sont très élevés.

    Comme partout dans l’Union européenne, le taux de participation à l’élection européenne a été faible dans les pays du V4. Cependant, dans chacun des quatre pays du Groupe de Visegrád, l’élection européenne de 2019 a connu une participation record, comme le montre le tableau ci-dessous :

      Hongrie Slovaquie Tchéquie Pologne
    2019 43,37 22,74 28,72 42,96
    2014 28,97 13,05 18,20 23,83
    2009 36,31 19,64 28,22 24,53
    2004 38,50 16,96 28,32 20,90

    Taux de participation en pourcentage, par pays et par année, aux élections européennes. Record de participation dans chacun des pays du V4.

    Hongrie

    Source : resultats-elections.eu

    Victoire écrasante et sans surprise du Fidesz, le parti national-conservateur de Viktor Orbán, avec 52,30% des suffrages. Pour le Premier ministre hongrois, en guerre ouverte avec le monde « libéral » et l’élite bruxelloise, cette victoire absolue lui offre encore une fois un argument de légitimité démocratique pour continuer sa politique – anti-immigration, pro-chrétienne, pro-famille – et s’impliquer plus encore dans la politique à l’échelle continentale. En effet, son contingent de 13 députés pourra, qu’ils restent au PPE ou pas, lui être utile comme argument de négociation. Les eurodéputés Fidesz sont, après les députés travaillistes maltais, les mieux élus du Parlement européen 2019-2024.

    En deuxième, le DK de l’ancien Premier ministre Ferenc Gyurcsány, politicien en faveur des États-Unis d’Europe, figure clivante de la politique hongroise pour sa répression sanglante des émeutes de l’automne 2006. Ce libéral de gauche est souvent critiqué comme un allié indirect objectif de Viktor Orbán, car vu comme un élément de zizanie dans l’opposition – toutefois très désunie avec ou sans Gyurcsány.

    En troisième position, Momentum, le jeune parti libéral allié d’Emmanuel Macron et de Guy Verhofstadt, après une ascension fulgurante. Ce parti souvent moqué comme étant un parti du centre-ville de Budapest réalise une percée également en province, en particulier dans certaines villes secondaires.

    En quatrième et cinquième positions, le parti socialiste et le Jobbik, au coude à coude, réussissant à avoir chacun un eurodéputé. Les deux partis connaissent un déclin dangereux pour leur survie de l’aveu même de leurs cadres. Lire ou relire notre dossier sur l’évolution du Jobbik ICI.

    Parmi les partis n’obtenant pas d’eurodéputés (sous la barre des 5%), le nouveau parti nationaliste de László Toroczkai, Mi Hazánk, le MKKP, le parti satirique et anarchiste, mais surtout le LMP, parti vert-libéral qui accuse un coup potentiellement fatal ; sa direction a même démissionné suite à l’annonce des résultats.

    Slovaquie

    Source : resultats-elections.eu

    Dans la logique de la récente élection présidentielle qui a porté à la tête de l’État la juriste libérale de 45 ans Zuzana Čaputová, l’élection européenne en Slovaquie a vu la victoire de la coalition entre Slovaquie progressiste (Progresívne Slovensko) et Ensemble-Démocratie civique (SPOLU – občianska demokracia) avec à peine plus de 20% des voix. Cette nouvelle victoire des forces libérales pourrait bien marquer un tournant dans la politique slovaque.

    En deuxième, le SMER, le parti menant la coalition gouvernementale dirigée par le Premier ministre Peter Pellegrini, successeur de Robert Fico, figure forte de la politique slovaque. Un score de 15,72% qui fait assez pâle figure dans un contexte de défiance. L’éclatement du vote des citoyens slovaques montre également le degré d’instabilité politique qui secoue actuellement le pays.

    En troisième position, les nationalistes radicaux de Marian Kotleba, créant la surprise alors que suite aux régionales de 2017, beaucoup les pensaient sur le déclin.

    Au coude à coude, les chrétiens démocrates du KDH et le parti libéral-libertaire et eurosceptique SaS, atteignent presque 10% chacun. Le KDH sur le déclin maintient toutefois ses deux eurodéputés tandis que le SaS, passé du groupe libéral ALDE au groupe conservateur eurocritique CRE en 2014, peu après les élections, s’est renforcé de 3 points.

    La coalition regroupant Les gens ordinaires et personnalités indépendantes (OL’aNO) et Nouvelle majorité (NOVA), sorte d’enfant illégitime du KDH et du SaS, obtient un élu.

    Fait notable, le parti de la minorité hongroise de Slovaquie, proche du Fidesz de Viktor Orbán, échoue tout juste pour le minimum de 5% nécessaires pour avoir un eurodéputé. Cela peut marquer le début du déclin du vote minoritaire.

    Autres partis n’obtenant pas les 5%, le parti patriotique SNS qui continue son déclin et le parti libéral Most-Híd (parti issu de la minorité hongroise MKP mais se voulant “trans-national”), dont l’électorat a probablement été capté par Zuzana Čaputová.

    Tchéquie

    Source : resultats-elections.eu

    ANO 2011, le parti du Premier ministre Andrej Babiš a réussit à gagner également cette élection, malgré les attaques constantes à son égard. ANO 2011 améliore même son score par rapport à 2014, où le parti libéral-conservateur avait alors récolté 16,13% des suffrages. Une bouffée d’oxygène pour le Premier ministre milliardaire, homme d’affaires se prêtant facilement à l’humour, entré en politique pour casser les codes et améliorer la gestion économique du pays selon vision plus économiquement libérale. Acteur important du renforcement du V4, Andrej Babiš, dont le parti est théoriquement membre de l’ALDE – comme LaREM ! -, est toutefois sur une ligne farouchement opposée à l’immigration massive ainsi qu’à l’euro ou encore au renforcement de l’axe Paris-Berlin.

    En deuxième, le parti libéral-conservateur et eurocritique ODS, poids lourd historique de la politique tchèque. Avec quatre eurodéputés, et membre du groupe CRE, il peut être un allié objectif de Babiš sur le plan européen pour défendre les intérêts tchèques.

    Le parti pirate confirme sa place de troisième force politique du pays. Ce parti libéral, progressiste et anti-conservateur est porté par une génération s’étant politisée avec internet, se sentant concernée par des enjeux liés au numérique, en faveur d’une démocratie plus directe et intégrée à l’idéologie de « société ouverte ».

    En quatrième place, TOP 09 (« Tradition, responsabilité, prospérité »), parti libéral-conservateur, membre du PPE, maintient une présence incontournable dans la politique tchèque, bien qu’en léger déclin, passant de quatre eurodéputés à trois.

    En cinquième position, le parti Liberté et Démocratie Directe, SPD, du tchéco-japonais Tomio Okamura. Ce parti patriotique, anti-Islam, anti-immigration et fortement critique de l’UE fait son entrée au parlement européen dans le groupe ENL avec deux élus.

    L’Union chrétienne démocrate – Parti populaire tchécoslovaque arrive en sixième position. Parti démocrate-chrétien, membre du PPE, la KDU-ČSL perd un élu et n’enverra que deux eurodéputés à Bruxelles.

    Enfin, le parti communiste tchèque – resté sur une ligne travailliste et marxienne, et donc opposé par exemple à l’immigration pour protéger les travailleurs tchèques – se maintient encore au-dessus de la barre des 5%, malgré un déclin progressif.

    Tout comme en Slovaquie, le paysage politique tchèque est très éclaté et divers. Cela résulte notamment d’une crise durable du système politique tchèque.

    Pologne

    Source : resultats-elections.eu

    En Pologne, première victoire du PiS à une élection européenne, améliorant son score par rapport à 2014 (+11,32%). Le parti national-conservateur au pouvoir depuis l’automne 2015 comptait sur ces élections, à six mois du scrutin législatif, pour prendre la mesure de sa capacité de mobilisation. C’est chose faite et le résultat est plus que satisfaisant pour le PiS. Conforté par ce résultat dans leur politique à échelle européenne, le PiS, parti leader du groupe CRE, entend bien se faire entendre plus que jamais à Bruxelles.

    En deuxième, la coalition européiste regroupant les libéraux de gauche de la PO, membres du PPE, ainsi que les libéraux-libertaires de Nowoczesna, le parti agraire PSL, les sociaux-démocrates du SLD post-communiste et les Verts. Échec de la politique de front uni qui s’annonce inquiétante pour les forces d’opposition en vue des élections législatives de l’automne. Toutefois, l’écart n’est pas très important entre la Coalition européenne (KE) et le PiS, constituant deux blocs majeurs déterminant dans la politique polonaise.

    En troisième, le tout nouveau mouvement Printemps (Wiosna) du militant LGBT Robert Biedroń. Un score non-négligeable pour ce parti progressiste radical, fondé en février 2019, et défendant une ligne LGBT et européiste. Tout semble indiquer que ce mouvement, structuré autour de l’activisme politique LGBT, puisse devenir un poil à gratter permanent pour le PiS catholique et conservateur.

    En quatrième position arrivent les patriotes de Konfederacja, union hétéroclite de nationalistes autour du sulfureux libertarien monarchiste Janusz Korwin-Mikke, connu pour ses sorties provocatrices sur les femmes, la démocratie, le IIIe Reich et l’Union européenne.

    Le mouvement Kukiz’15 retombe comme un soufflé, ne passant pas la barre symbolique (en Pologne, comme au Royaume-Uni, le système intègre une mesure par régions) des 5% et risquant ainsi de sortir bientôt du paysage politique polonais. Ils n’ont pas d’eurodéputé.

    Visegrád Post 27/05/2019

    Source : Visegrád Post

    Crédit photo : Visegrád Post

  • Une juriste explique aux migrants comment obtenir l’aide médicale d’État

    « Tu vis en France? Tu n’as pas de papiers? N’attends pas d’être malade, avant de te demander comment te faire soigner. Essaye d’obtenir ton AME. Je t’explique tout dans la video!« 

    Merci à paolus

    http://www.fdesouche.com/1216101-une-juriste-explique-aux-migrants-comment-obtenir-laide-medicale-detat
  • Attentat à Lyon : le mur du politiquement correct des grands médias

    Les médias parlent des fortifications construites en Israël, ils déblatèrent sur la clôture renforcée contre les migrants en Hongrie, ils vocifèrent sur le mur que Trump tente de construire à la frontière mexicaine. Ces actions sont analysées, scrutées, dénoncées, dévoilées comme des scandales. 
    Il n’y a pas de phrases assez dures dans les journaux pour décrire ces « horreurs ».
    Pourtant, il y a un autre mur qui existe et dont les grands médias ne parlent jamais, un mur non en pierre ou en béton mais en pensée unique et en opinion convenue : c’est le mur du politiquement correct. 
    Celui que les médias refusent de franchir, celui qui interdit de nommer, de discriminer (comme ils disent), celui qui transforme un descendant d’allochtones, notamment musulman, en « jeune des cités », sans plus de précision, pour ne pas fissurer la bien-pensance.
    Car si radio et télévision valorisent journellement l’intégration dans les écoles ou le travail, a contrario, ils ont un regard méfiant sur ceux qui prônent la protection des frontières. 
    Le but est simple : laisser passer un minimum de mots sur l’insécurité terroriste ou ordinaire provenant de personnes issues de l’immigration. 
    Hélas, pour ces médias, il devient parfois impossible de cacher la vérité.
    C’est le cas pour Mohamed Hichem M., cet Algérien qui a conçu le colis piégé dont l’explosion a fait treize blessés, le 24 mai dernier à Lyon. 
    Le Parisien est bien allé chercher à Oran le témoignage surprenant d’Islaam le « meilleur ami » de Mohamed. 
    Un ami qui déclarait : « Quand bien même il aurait des compétences pour fabriquer une bombe, jamais il ne ferait de mal à quelqu’un… Il n’est pas du tout un extrémiste. Il n’a jamais été violent, tout le monde l’adore ici. Il est musulman, fait la prière et le ramadan, mais il n’est pas du tout extrémiste. Lorsqu’on discute de religion, c’est pour parler du prophète et des versets du Coran, mais pas de l’État islamique. »
    Sauf que l’exploitation de son matériel informatique saisi au cours des perquisitions a mis en évidence des recherches sur Internet relatives au djihad et que le suspect vient d’admettre avoir fait allégeance à Daech.
    Mais pour les médias du système, il ne pouvait être qu’un brave gosse à vélo, un étudiant en informatique qui était également pion au Lycée Ampère à Lyon. 
    Or, l’école lyonnaise, où il était censé être inscrit, a précisé qu’il n’avait jamais fait partie de l’établissement. 
    Ayant des visas de court séjour, il avait demandé un visa étudiant qui lui avait été refusé.
    Si ce terroriste était clandestin et surveillant dans un lycée, qui l’a recruté pour cet emploi ? 
    Qui a signé pour sa protection sociale ? 
    Qui a vérifié qu’il faisait véritablement partie d’un établissement universitaire ?
    Cela est le cas, aussi, de ce chauffeur de car qui, à Paris, a écrasé un automobiliste, mardi dernier, quai Voltaire. 
    Celui-ci, « furieux d’avoir été percuté », sort de son véhicule et se dirige vers le chauffeur du bus, la discussion s’envenime, ils finissent par se battre. 
    Puis le chauffeur du car touristique reprend sa place au volant, démarre et écrase l’automobiliste contre un bus. 
    Âgé de 56 ans, ce dernier meurt sur le coup. 
    Le conducteur, interpellé pour « homicide volontaire », est présenté sans plus de précision comme un simple Parisien âgé de 46 ans résidant dans le XVe arrondissement. 
    Il faut aller sur Valeurs actuelles pour en apprendre un peu plus : l’auteur s’appelle Omar M., né en Algérie en 1973.
    On le voit, le mur vient de se lézarder par deux fois mais il tient bon. 
    J.-P. Fabre Bernadac

  • Lyon : c’était bien un attentat islamiste !Lyon : c’était bien un attentat islamiste !

    C’est un peu comme si on avait subitement ouvert la bonde : le faux étudiant mais authentique clandestin algérien Mohamed Hichem M., auteur de l’attentat qui a fait treize blessés, dont une fillette de 10 ans, dans le cœur de Lyon, a finalement avoué jeudi avoir fait allégeance à l’Etat islamique et à son chef, Abou Bakr al-Baghdadi– confirmant au passage ce que Présent et quelques autres observateurs avaient envisagé dès le 24 mai, à l’annonce de ce que politiciens et grands médias qualifiaient pudiquement d’« explosion ». Il aurait même confié aux policiers avoir volontairement choisi de passer à l’acte à la veille des élections européennes pour « faire monter le vote populiste et raciste » (sic), « afin de pousser les musulmans à la révolte en France »…

    Plus fort encore : alors que certains experts se sont « étonnés » tout le week-end de la mauvaise qualité des photos tirées de la vidéosurveillance et diffusées dans les médias pour l’appel à témoins, l’ancien ministre de l’Intérieur Collomb confiait mercredi que la police avait reçu pour consigne de « flouter » les photos du suspect jusqu’à lundi soir, « de manière à ne pas donner l’alerte » avant le scrutin du 26 mai. Dans la foulée, il avouait même que le suspect avait été identifié et placé sous surveillance dès le samedi…

    Autant de manipulations honteuses qui viennent confirmer ce que Marine Le Pen écrivait si justement mardi sur Twitter, en soulignant que « c’est APRÈS l’élection que l’on apprend que le terroriste de Lyon est un ressortissant algérien » : « ce timing scandaleux est tout sauf un hasard… » Une vérité qui lui vaut malgré tout de se voir accusée aujourd’hui de « complotisme » par les grands médias !

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 31 mai 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Les examens décalés pour la fin du ramadan

    Les examens décalés pour la fin du ramadan

    La faculté de médecine de l’université Paris Diderot a décalé de 2 jours les partiels de 700 étudiants à cause de… l’Aïd et l’annonce aux étudiants 5 jours auparavant :

  • L’islam aux Amériques

    200804650.pngGeorges Feltin-Tracol

    La chronique hebdomadaire du 11 mars dernier abordait l’existence méconnue des communautés arabes sur le sol américain. Penchons-nous aujourd’hui sur une conséquence de cette présence, à savoir l’islam, quand bien même tous les Américains d’origine arabe ne professent pas la foi musulmane.

    Endroit par excellence du multiculturalisme, le Canada en compte environ 3% au point que le gouvernement provincial du Québec cherche à interdire toute ostentation vestimentaire, ce que ne peut accepter le gouvernement fédéral du libéral Justin Trudeau. Les musulmans aux États-Unis ne sont que 1%. La plupart sont des arrivants de fraîche date. La diaspora iranienne préfère ainsi la Californie. Bien des Noirs ont adopté l’islam à l’instar de Malcolm X dans les années 1960. Plusieurs organisations défendent l’islam. L’une des plus anciennes, des plus célèbres et des plus actives demeure Nation of Islam de Louis Farakhan. Elle souhaite la partition des USA et la formation d’un État afro-américain indépendant.

    On recense respectivement 20%, 7% et 6% de musulmans dans trois États de l’aire Caraïbe (le Surinam, la Guyana et Trinité-et-Tobago). Si l’islam reste négligeable au Brésil, en Argentine, 2,5% de la population serait musulmane. Encore catholique, l’Amérique romane engendre en réalité un syncrétisme christiano-animiste et devient dorénavant la cible privilégiée des sectes évangéliques et du prosélytisme mahométan. Des prédicateurs, locaux ou venus dautres continents, parlent sans arrêt des souratesauprès des populations indigènes les plus pauvres de l’Altiplano dans les Andes, en particulier en Bolivie, au Pérou et en Équateur.

    La révolte zapatiste du Chiapas au Mexique en 1994 à l’initiative du fameux sous-commandant Marcos attira des imams téméraires. Ils parvinrent à convertir des familles mayas intriguées par cette foi qui inquiète tant le grand voisin du Nord. D’autres Mexicains, indigènes, d’ascendance européenne ou métis, ont eux aussi prononcé la chahada. Ils se justifient par un syllogisme audacieux : « Le Mexique a été conquis par l’Espagne. Or l’Espagne fut une terre d’islam. Donc le Mexique peut devenir musulman. »

    Pour l’instant, l’islam maya s’inscrit dans la spiritualité soufie. Embryonnaire, cet islam mexicain n’est pas organisé et n’a toujours pas de structure officielle. Ne maîtrisant pas (ou très mal) l’arabe, ces fidèles lisent le Coran et écoutent les prédications en espagnol et en tzotzil, une langue maya. Cela n’empêche pas les autorités et le renseignement extérieur étatsuniens de les surveiller. Si l’islamisation de l’Amérique n’est pas d’actualité, il reste possible que la religion musulmane soit dans les prochaines décennies une alternative crédible au catholicisme conciliaire sclérosé et à la « théologie de la prospérité » des sectes néo-protestantes.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°126, mise en ligne sur TVLibertés, le 20 mai 2019.

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  • L’arnaque du prétendu « racisme systémique »

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    Par Nicolas Faure, journaliste ♦ Beaucoup de militants fanatisés croient que les différences sociales (contrôles policiers, taux de délinquance et de chômage, etc.) existant entre les Africains vivant en Europe et les Européens sont dues à un racisme systémique.
    Cette posture est obscurantiste ! Explications.

    Pour les idéologues qui manient ce concept de racisme systémique, la seule explication autorisée pour expliquer les différences entre les populations vivant dans un même pays est la cause sociale. Si les Africains ou les Arabes vivant en France sont plus au chômage que la moyenne nationale, c’est car les discriminations contre eux sont très fortes, au point d’être systémiques, c’est-à-dire consubstantielles à la société française et à ses institutions.

    Les populations humaines diffèrent génétiquement

    Ces militants se refusent à envisager une autre cause possible : les différences biologiques entre les populations.

    Ce manque d’esprit critique est d’autant plus étonnant qu’il ne fait aucun doute que les populations humaines (Européens, Asiatiques, Africains, etc.) diffèrent génétiquement les unes des autres !

    2 exemples parmi d’autres :

    1/ Une étude scientifique récente a démontré que les différences moyennes de taille, de masse corporelle et de propension à la schizophrénie entre Asiatiques, Européens et Africains sont significativement génétiques.

    2/ David Reich – professeur généticien à Harvard, juif et de gauche – admet que les populations humaines diffèrent génétiquement les unes des autres.
    Dans une tribune pour le New York Times, il déclare : « Les études génétiques récentes ont démontré qu’il existait des différences entre les populations. »

    Une fois que c’est dit, attaquons-nous au cœur du problème…

    Ces différences génétiques entre les populations vont-elles jusqu’à des différences intellectuelles, ce qui aurait un impact énorme ?

    Des différences intellectuelles moyennes

    Pour répondre à cette question, il suffit de regarder la vidéo de Sunrise et prendre connaissances des sources complètes mises à disposition.

    Il ne fait aucun doute que le QI moyen des Africains vivant dans des pays occidentaux est inférieur à celui des Européens qui est lui-même inférieur à celui de certaines populations comme par exemple, les Est-asiatiques.

    Cette différence entre QI moyen des populations vivant dans un même pays occidental est-elle d’origine significativement génétique ?

    Selon une majorité écrasante de spécialistes, oui !

    Or, un faible QI est négativement corrélé à de nombreuses variables importantes.
    Taux d’éducation, taux de chômage, taux de délinquance, etc.

    Aveuglement idéologique

    Les adeptes de la théorie complotiste du « racisme systémique » refusent d’étudier la possibilité que les différences sociales entre Africains vivant en Europe et Européens soient – pour tout ou partie – d’origine biologique.

    Cette démarche obscurantiste suffit à les discréditer auprès de toute personne possédant un minimum d’esprit critique.

    Quoi qu’il en soit, les indignations des obscurantistes égalitaristes auront du mal à modifier les gènes.

    Nicolas Faure 26/05/2019

    https://www.polemia.com/arnaque-racisme-systemique/

  • La SNCF lance un programme d'1,3 million d'euros pour aider les migrants à s'intégrer

    1043513-sncf.jpgSouvent mise en présence des réfugiés dans ses trains et ses emprises ferroviaires, SNCF lance un programme d'1,3 million d'euros pour les aider à s'intégrer, par l'intermédiaire d'associations mais aussi par l'action directe de ses salariés.
    La crise migratoire européenne est un enjeu économique, social et politique majeur. Le train est pour les migrants un moyen de transport souvent utilisé pour circuler en Europe.
    Face aux flux de migrants, SNCF - tout en assurant la sécurité de ses infrastructures - a mis en œuvre des actions de prévention pédagogiques pour les migrants et de sensibilisation pour les agents avec l’aide d’associations.
    Aujourd’hui, elle passe à l’étape supérieure, comme l’explique Stéphane Volant, secrétaire général : "SNCF a pris les mesures de sécurité qui s’imposaient pour protéger les migrants. Aujourd’hui, il faut aller plus loin et aider les réfugiés à s’intégrer".
    SNCF et sa fondation souhaitent ainsi accompagner 1 000 réfugiés d’ici 2021 avec l’appui de partenaires associatifs et de ses salariés.
    Le programme prévoit ainsi une aide financière de 1,3 million d’euros et propose un accompagnement de salariés SNCF pour aider les réfugiés à parler le français et à comprendre la culture française.
    [...]
    En savoir plus sur sncf.com

  • L’Allemagne dépense 23 milliards d’euros pour les réfugiés

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    BERLIN (Reuters) – L’année dernière, l’Allemagne a consacré un montant record de 23 milliards d’euros à l’intégration de plus d’un million de réfugiés, a rapporté lundi un document gouvernemental présenté par Reuters.

    Cela représente une augmentation de près de 11% sur les 20,8 milliards d’euros que l’Allemagne a dépensé l’année précédente, rapporte le document du ministère des Finances.

    Angela Merkel et ses ministres discuteront du rapport annuel du gouvernement sur les coûts liés aux réfugiés et à l’intégration lors de la réunion ordinaire du gouvernement mercredi.

    Merkel a défendu à plusieurs reprises sa décision de 2015 de laisser les frontières allemandes ouvertes à des centaines de milliers de migrants, principalement originaires de pays musulmans, en tant que nécessité humanitaire, mais s’est depuis engagée à empêcher la répétition de cette migration de masse en s’attaquant à ses causes.

    Alice Weidel, leader parlementaire de l’alternative d’extrême droite Alternative for Germany (AfD), a reproché au gouvernement de Merkel d’avoir dépensé des milliards d’euros pour les réfugiés, affirmant: « C’est un cadeau de bienvenue coûteux aux dépens des citoyens ».

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    Traduction Fabrice Drapel pour alter INFO

    Source Reuters

    Vu sur LesObservateurs.ch

    https://www.alterinfo.ch/2019/05/29/lallemagne-depense-23-milliards-deuros-pour-les-refugies/