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immigration - Page 736

  • Ectoplasmes et union gazeuze

    drapeau-UE.jpgHypocrisie quand tu nous tiens! Quelques ectoplasmes progressistes  se sont déchaînés pour fustiger l’annonce par Décathlon de la mise en vente d’un hijab (foulard couvrant intégralement les cheveux)) conçu pour leur clientèle féminine musulmane désirant pratiquer la course à pied. Devant la polémique, la direction de cette enseigne spécialisée dans le sport a finalement annoncé qu’elle renonçait à la commercialisation de ce produit. «Nous nous concentrons sur la démocratisation de la pratique du sport. Le fait est que certaines femmes pratiquent la course à pied avec un hijab, souvent peu adapté » avait notamment déclaré sur twitter,  pour justifier cette  démarche,  la communication de Décathlon. «Vous vous concentrez sur la démocratisation d’une pratique religieuse» a rétorqué le député Macroniste Aurore Bergé, «le sport émancipe. Il ne soumet pas. Mon choix de femme et de citoyenne sera de ne plus faire confiance à une marque qui rompt avec nos valeurs. Ceux qui tolèrent les femmes dans l’espace public uniquement quand elles se cachent ne sont pas des amoureux de la liberté. » Le ministre de la Santé, Agnès Buzyn, celle-là même qui assimile sans complexe les nationaux a à des nazis,  y a été également de son commentaire: «C’est une vision de la femme que je ne partage pas. J’aurais préféré qu’une marque française ne promeuve pas le voile.» Même son de cloche du président du MoDem François Bayrou: «la société française, c’est une société qui dans sa tradition refuse qu’on couvre le visage et le corps humain à l’excès», «l’image de la femme en France, c’est une image de liberté.»

    De qui se moquent-ils sinon des Français en jouant aux vierges effarouchées? Ils sont les premiers responsables des pertes de libertés des femmes, celle de s’habiller comme elles l’entendent, de circuler librement dans l’espace public, dans les transports en commun, à certaines heures et/ou dans certains quartiers. Ce sont eux, note Bruno Gollnisch,  qui refusent l’inversion des flux migratoires. Ce sont eux qui vouent aux gémonies les lanceurs d’alertes qui ont averti des conséquences de l’immigration massive non européenne, étrangère à nos moeurs, à notre culture et dont l’ampleur même rend l’assimilation des populations en question, sinon impossible, du moins extrêmement problématique.

    Le défi principal pour la survie d’une France française c’est le fait que Mme Bergé, Mme Buzyn, M. Bayrou, ce gouvernement, ce président,  en un mot la quasi totalité de la classe politique  de M. Mélenchon à Mme Pécresse, restent favorables au regroupement familial, au droit du sol, à l’immigration dite légale à haut débit. Si la France, mieux dirigée, avait été en capacité de maintenir sur son sol une immigration raisonnable et  contrôlée, le fait que quelques femmes préfèrent courir en hijab plutôt que têtes nues ne serait pas vraiment un problème.

    Le dogme de la laïcité dans notre pays,  issu de la loi de 1905 et visant alors à combattre le catholicisme, est souvent très étranger à la mentalité et aux principes qui régissent la vie en société de nos voisins européens. Cette question a bien sûr une résonance particulière aujourd’hui, d’autant que la France n’est pas (n’est plus) le seul pays de l‘UE à accueillir une immigration très massive. Les anglo-saxons notamment, qui assument le communautarisme, ont moins de pudeur sur la question des signes religieux dans l’espace public et les commentateurs ont eu beau jeu de souligner qu’une marque comme Nike commercialise sur le vieux continent et dans le monde entier des hijabs pour les sportives musulmanes. Une Amérique qui s’invite aussi, via un  de ses symboles planétaires, à savoir Coca-Cola, dans le débat européen, alors que la Roumanie assure  depuis janvier  et pour six mois la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne.

    Une présidence qui intervient  à un moment ou la  Roumanie, dont le gouvernement n’est pas exempt de critiques, est très remonté contre la Commission européenne qui lui reproche des atteintes à  la liberté de presse. La meilleure défense c’est l’attaque et Bucarest vient ainsi d’ouvrir  une enquête sur (le socialiste, vice-président de la commission européenneFrans Timmermans et (la tchèque social-démocrate) Věra Jourová (commissaire européen à la Justice, aux Consommateurs et à l’Égalité des genres). Ils  sont accusés par l’exécutif roumain  d’avoir « falsifié le dernier rapport du mécanisme de coopération et de vérification sur la Roumanie, évaluant les progrès du pays en termes d’état de droit et de lutte anti-corruption.»

    Bisbilles intra-européennes et lourdes accusations réciproques qui n’ont pas empêché le marque de soda américaine, comme elle l’avait déjà fait en 2011 pour la Pologne, de soutenir financièrement la présidence roumaine du Conseil de l’UE. Un choix de sponsor qui a fait bondir l’ONG foodwatch en guerre notamment contre la mollesse avec laquelle nos gouvernants luttent contre la malbouffe dont sont victimes nos chères têtes blondes. Cette ONG s’est adressée au président du Conseil européen, le très atlantiste polonais Donald Tusk, et au Premier ministre roumain, Viorica Dancila, pour leur faire part de son indignation.

    Pour foodwatch, « il s’agit d’un criant conflit d’intérêt alors que la malbouffe et l’alimentation figurent parmi les sujets débattus à l’agenda européen (…). Ces conflits d’intérêts sont inacceptables. Quelle influence ce sponsoring par un poids lourd de la malbouffe a sur la politique européenne et, en fin de compte, sur le contenu de nos assiettes ? Par exemple, qu’adviendra-t-il du débat sur un logo nutritionnel, tel Nutri-Score, dont Coca-Cola ne veut pas ? Ou d’une loi interdisant de cibler les enfants avec des produits trop gras, trop sucrés, trop salés ? »

    «Coca-Cola est allée trop loin en tentant d’acheter ses entrées politiques au niveau européen de la sorte. Nous refusons que Coca-Cola, ou toute autre multinationale, puisse être considérée comme sponsor de représentants politiques ou institutions.»

    Un voeu parfaitement louable. Certes, quitte à lui trouver un intérêt politique, ce sponsoring manifeste de manière éclatante, aux yeux de tous, le poids des multinationales, des lobbies au sein de cette Union qui se qualifie bien souvent d‘Européenne par antiphrase. Mais cette Europe souffre plus largement de l’acceptation par ses élites d’un impérialisme marchand, économique, culturel, alimentaire, militaire yankee, qui colonise nos imaginaires, nos forces de production, asservit 512 millions d’Européens, dont ce sponsoring gazeux n’est qu’un épiphénomène. Le regretté Dominique de Roux dans son livre Le cinquième empire, le disait à sa façon:  « Je préfère l’urine au coca-cola. l’une vient du corps et l’autres des Américains» . Lors de son fameux discours prononcé en tant que doyen du parlement européen en 1989, le député FN et grand cinéaste Claude Autant-Lara invitait les jeunes européens à redécouvrir les vertus d’un verre de vin blanc en lieu et place du CocaCette sentence métapolitique reste plus que jamais d’actualité!

    https://gollnisch.com/2019/02/27/ectoplasmes-et-union-gazeuze/

  • Pour Dominique Reynié, « plus on va à la mosquée, plus on est susceptible de partager des opinions antisémites » : et alors, on fait quoi ?

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    Comme l’a bien vu Georges Michel, la guerre lancée par Emmanuel Macron est bien mal engagée : elle s’est dirigée tout droit, comme on pouvait s’y attendre, sur la ligne Fachinot repérée par les radars de Gabrielle Cluzel. On ne tourne même pas autour du pot. On s’en éloigne le plus possible.

    Pourtant, ces derniers jours, deux esprits libres et avisés, peu suspects d’extrémisme, ont dit calmement et rationnellement les choses.

    D’abord, Michel Onfray a rappelé l’antisémitisme inhérent aux textes musulmans. Cela pose problème. Et nul ne voit venir un aggiornamento comparable à celui qu’opéra l’Église au XXe siècle, pour la bonne raison que l’antijudaïsme chrétien n’avait pas la même place théologique ou morale que l’antisémitisme musulman. C’était une déviation de la doctrine et revenir aux racines du christianisme permettait d’éliminer l’antijudaïsme sans incohérence. Il en va autrement pour l’islam.

    Ensuite, Dominique Reynié, directeur général de la Fondation pour l’innovation politique et professeur à Sciences Po, est venu rappeler sur le plateau d’Yves Calvi, dans « L’Info du vrai », les faits et les résultats de plusieurs enquêtes de son institut réalisées ces dernières années sur la perception des juifs par les musulmans français.

    Les faits, tout au moins les plus graves : « Depuis 2006, dans l’Union européenne, 16 personnes ont été assassinées parce que juives. 11 l’ont été en France. Toutes l’ont été par des musulmans. »

    Les enquêtes : « Selon nos travaux, il y a une corrélation entre le fait d’aller plus ou moins souvent à la mosquée et la propension à partager des opinions antisémites. »

    Il ne faisait que reprendre ses observations, par exemple dans Atlantico, le 26 mai 2017 : « On avait observé que chez les musulmans, l’antisémitisme était d’autant plus affirmé et prégnant que la pratique et la fréquentation de la mosquée était plus importante. »

    Enfin, faut-il rappeler les nombreuses enquêtes internationales montrant les conséquences de cette corrélation dans les pays musulmans ?

    « Les sondages montrent que dans les pays marqués par l’islam les opinions antisémites sont répandues chez une grande majorité de la population. Ainsi, l’étude publiée en mai 2014 par la Anti-Defamation League révèle qu’entre 56 % (Iran) et 93 % (Cisjordanie et Gaza) des personnes sondées approuvaient au moins six des onze énoncés antisémites sur lesquels on les avait interrogées. La moyenne dans les pays du Proche-Orient et en Afrique du Nord était de 74 %, avec 80 % au Maroc, 87 % en Algérie, 86 % en Tunisie, 87 % en Libye, 75 % en Égypte, 81 % en Jordanie, 74 % en Arabie saoudite, 92 % en Irak, 78 % au Liban et 69 % en Turquie 1. »

    La réalité est celle-là : les pays musulmans sont pétris d’antisémitisme, à la fois pour des raisons religieuses et historiques, et cet antisémitisme est en expansion. Et la recrudescence de l’antisémitisme en France est essentiellement due à la constitution d’une immigration arabo-musulmane puissante et au développement de l’islam dans notre pays. Ce n’est pas la seule conséquence de ce processus historique, mais l’une des plus effrayantes certainement.

    Une fois ce constat fait, on peut entrer dans la recherche des responsabilités : qui a favorisé cette immigration ? Qui a permis la diffusion massive de l’islam, la construction de mosquées partout en France ?

    On peut aussi rechercher des solutions concrètes et efficaces qui tiendraient compte de ces réalités que toutes les études montrent, loin des incantations, des manifestations pleines de bonne conscience – et de désolant aveuglement.

    Une piste ? Décider un moratoire. Sereinement et rationnellement. Et sur l’immigration, et sur la construction des mosquées. Ce serait un premier pas. Après toutes les erreurs, les démissions, les complaisances, les lâchetés, les hypocrisies, les récupérations, c’est le minimum que nous devons, et aux juifs persécutés, et à la France. Il reste peu de temps avant que les dirigeants français, ayant perdu le sens de la vérité sur ce sujet, y perdent aussi l’honneur de la France.

    Notes:

    1. Günther Jikeli, « L’antisémitisme en milieux et pays musulmans : débats et travaux autour d’un processus complexe », Revue d’histoire moderne & contemporaine 2015/2-3 (n° 62-2/3), pages 89 à 114 

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/pour-dominique-reynie-plus-on-va-a-la-mosquee-plus-on-est-susceptible-de-partager-des-opinions-antisemites-et-alors-on-fait-quoi/

  • Vaux : 800 habitants et 50 immigrés

    Vaux : 800 habitants et 50 immigrés

    Le conseiller municipal Joël Fenninger vient d’adresser sa démission à la préfecture. Il explique :

    « Je veux protester contre l’indifférence manifestée par la préfecture dans le dossier des cinquante migrants qui doivent arriver. J’ai été choqué de voir que les services de l’État décident de façon péremptoire, de faire de notre petit village un laboratoire expérimental pour l’accueil de demandeurs d’asile. La physionomie de notre petite commune ne le permet pas, dans des conditions optimales. Les initiateurs de ce projet demeurent figés dans une indifférence totale envers les habitants. Je n’imagine même pas qu’à de tels niveaux de responsabilités, on puisse agir avec autant de légèreté. »

    « Je ne veux pas cautionner ce projet tel qu’il nous est imposé et toutes les conséquences qui en découleront. Il leur importe peu de savoir ce que ressent une majorité d’habitants d’un petit village. Je déplore que cette décision ait été prise dans un bureau à l’ambiance sous doute feutrée, loin des préoccupations, des incertitudes et des doutes des Valois, amenés à subir plutôt que d’avoir été entendus. C’est pour le moins déroutant à l’heure d’une grande concertation nationale, provoquée comme chacun le sait, par un profond mécontentement du peuple pour de nombreuses raisons. »

    Une pétition avait recueilli plus de 460 signatures contre ce projet et le conseil municipal avait voté contre ce projet préfectoral.

    https://www.lesalonbeige.fr/vaux-800-habitants-et-50-immigres/

  • Immigration : les conséquences de l’incertitude algérienne – Journal du mardi 26 février 2019

     

    Immigration : les conséquences de l’incertitude algérienne

    Alors que l’Algérie connaît une vague de manifestations depuis plusieurs jours, le pays est dans l’incertitude quant à la candidature du président sortant, Abdelaziz Bouteflika… une incertitude qui pourrait virer au chaos et menacer la France d’une déflagration migratoire sans précédent.

    Brexit : vers un déni de démocratie ?

    A un mois de la sortie officielle de la Grande-Bretagne de l’Union Européenne, rien n’est prêt. Alors qu’aucun accord n’a été trouvé entre Bruxelles et le Parlement de Westminster, tous les cas de figure sont désormais envisagés, y compris de faire revoter les Britanniques sur le Brexit !

    Assurance-chômage : une réforme malus-malus ?

    Coup de rabot dans les allocations chômage et serrage de vis pour les entreprises, la réforme du ministre du travail Muriel Pénicaud a été présentée ce mardi malgré l’échec des négociations avec les partenaires sociaux. Une réforme qui devrait faire une quasi unanimité contre elle.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/immigration-les-consequences-de-lincertitude-algerienne-journal-du-mardi-26-fevrier-2019

  • Grande-Bretagne : nationalité supprimée pour une musulmane, par Olivier Bault

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    La bataille juridique et médiatique est engagée après que le ministre britannique de l’Intérieur a privé de sa nationalité une jeune femme partie rejoindre l’Etat islamique en 2015, à l’âge de 15 ans, et qui souhaiterait maintenant revenir avec son nouveau-né. Née en Grande-Bretagne dans une famille bangladaise, Shamima Begum faisait partie d’un groupe de trois adolescentes d’un lycée de Londres parties pour la Syrie. La même année, la Haute Cour de Londres avait dû prononcer une interdiction de sortie du territoire à l’encontre de cinq autres lycéennes de la même école qui semblaient nourrir le même type de projet. Réfugiée en Syrie alors qu’elle était encore enceinte, en raison des revers militaires de son Etat d’adoption, la jeune maman, dont le fils aîné est mort en Syrie, a beaucoup fait parler d’elle cette semaine avec une interview pour la BBC dans laquelle elle affiche son absence de remords et sa justification de l’attentat sanglant de Manchester en 2017, tout en exprimant son désir de rentrer en Grande-Bretagne.

    Trois conditions

    Après la diffusion de cette interview, Sajid Javid, le titulaire du Home Office, a décidé de lui retirer sa nationalité britannique. La loi britannique autorise en effet l’exécutif à prendre une telle décision si la personne concernée possède une autre nationalité (en l’occurrence celle du Bangladesh, par ses parents), si la privation de la nationalité britannique vise le bien commun, et si l’individu concerné s’est comporté de manière « portant gravement préjudice aux intérêts vitaux du Royaume-Uni ». Dans le cas de Shamima Begum, il est clair que toutes ces conditions sont réunies. Mais le problème, c’est que le Bangladesh ne veut pas reconnaître cette jeune femme encombrante comme sa citoyenne et que la gauche bien-pensante britannique, le leader Jeremy Corbyn en tête, considère qu’on ne doit pas interdire à une personne née en Grande-Bretagne de rentrer au pays. L’avocat engagé par la famille de Mme Begum veut faire appel de cette décision et il n’est donc pas sûr qu’elle ne soit pas autorisée à revenir un jour. On ne sait pas non plus avec certitude si la décision du ministre privant la jeune musulmane de sa nationalité est intervenue avant ou après la naissance de son enfant. Dans ce dernier cas, celui-ci a droit à la nationalité britannique et le gouvernement pourrait à ce titre être forcé de le laisser entrer sur le territoire national avec sa mère.

    Du reste, au Royaume-Uni comme en France, nombre d’autres recrues de l’Etat islamique ont été autorisées à revenir et circulent aujourd’hui librement. En ce qui concerne la Grande-Bretagne, une douzaine de femmes avec la nationalité britannique sont arrivées dans des camps de réfugiés en Syrie au cours de la semaine écoulée et des centaines de combattants de l’Etat islamique sont déjà rentrés. Ainsi que le révélait le Times dans un article du 21 février, le coût de la surveillance des extrémistes musulmans est tel que la plupart des djihadistes sur le retour y échappent, faute de moyens. Ailleurs en Europe, ces centaines de djihadistes rentrés de Syrie ont en outre la possibilité de circuler librement dans l’espace Schengen, ce qui, ainsi que l’a encore fait remarquer le ministre hongrois des Affaires étrangères cette semaine, génère des « risques extrêmes » pour la sécurité nationale et la sécurité publique en Europe.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 22 février 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Sur fond de violences urbaines, Castaner visite des zones de non-droit en Seine-Saint-Denis

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    C’est lors d’une tournée nocturne dans trois commissariats, Aubervilliers, Pantin et Saint-Denis, que le ministre de l’Intérieur a dû écouter l’état des lieux alarmants dressé par le préfet Pierre-André Durand. Décrivant le quartier des Quatre Chemins, il précise, « un quartier qui présente une très forte délinquance, très jeune, constituée de mineurs étrangers et dominé par le trafic de stupéfiants ». Meriem Derkaoui, maire communiste franco-algérienne d’Aubervilliers déclare quant à elle, « On se demande si on est bien en France et dans la République. On ne peut accepter de mourir en se promenant dans la rue ».

    Et quelle a été la réponse du ministre ?

    Il s’est contenté de rassurer les élus en promettant une augmentation des effectifs de police, une amélioration du parc automobile alloué aux policiers et l’implantation de caméras, sans toutefois évoquer le fléau de l’errance des mineurs clandestins non accompagnés. Il a déclaré platement que « C’est un territoire qui veut s’en sortir, où se forge la France de demain ». Il fallait le dire ! Rappelons que le quartier dit des Quatre Chemins ainsi que la dalle de Pantin, un îlot de logements sociaux en réhabilitation, sont qualifiés de QRR « quartiers de la reconquête républicaine ».

    Mais d’autres les qualifieraient plutôt de « territoires perdus de la République ».

    Cette visite surprise n’aura pas pour autant été ignorée des racailles qui s’en sont donné à cœur joie. Ainsi, pendant la visite du ministre, 20 voitures ont été brûlées, un homme roué de coups gratuitement, un autre étranglé pour 900 € et un restaurateur dépouillé de sa recette pour 6000 €. Une humiliation supplémentaire pour le chef de la police.

  • Pacte de Marrakech. Libération reconnaît le rôle de lanceur d’alerte de Polémia

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    Par André Posokhow, consultant ♦ Sur le thème des migrations, le parti immigrationniste a dénoncé la fake news du « délire anti-immigrationniste qui a suivi la signature de l’accord non contraignant par Macron » du pacte de Marrakech. C’est en référence à une investigation d’une agence Netscouade que, dans un article du 14 février dernier, fidèle au tropisme flicard et coercitif de la gauchosphère, Libération journal subventionné par l’Etat, dont un actionnaire de référence est le milliardaire israëlien Drahi, et le directeur de rédaction Laurent Joffrin, s’est livré à une entreprise de mouchardage.

    Netscouade, en effet, a entrepris de reconstituer le trajet des réactions de la droite à ce pacte, qualifiées de fake news. Son point de départ serait un article d’avril 2018, publié dans Polémia et l’aboutissement dans les échanges Facebook et vidéo des gilets jaunes et de leurs leaders.

    Bien entendu, nous sommes flattés qu’une telle réussite soit involontairement soulignée par le camp du bien. En revanche, comme nous allons le voir, la bobardisation de Libé consiste à fermer les yeux sur le contenu du pacte et en occulter les réalités.

    Les déficiences de l’article de Libération

    Libération se plaint que la fake news ait capté l’attention des gilets jaunes, ceux-ci s’informant sur les réseaux sociaux et rejetant les médias traditionnels. L’explication est que ceux-ci sont en réalité subventionnés, à la botte du politiquement correct et de l’immigrationnisme. Rappelons que seulement 25% des Français leur font confiance. Belle réussite !

    L’article donne l’impression d’une action de désinformation organisée, concertée et relayée par la « droite extrême ». Inutile d’imaginer un complot. Tout simplement il s’agit d’une réaction de révolte à l’encontre d’une décision autocratique d’un imposteur illégitime et contesté. Cette décision présente un risque vital pour notre pays mais n’a fait l’objet d’aucun débat même parlementaire contrairement à de nombreux autres pays.
    Sans la réinfosphère, le pacte de Marrakech aurait été ignoré jusqu’au jour de sa signature à l’image du traité d’Aix-la-Chapelle. Ce sont des actes diplomatiques fondamentaux dont le processus en France a été quasi clandestin.

    Libération oublie de préciser que de nombreux pays ont refusé de signer ce traité : USA, Australie, Israël, Pologne, Hongrie, Autriche. Excusez du peu. Quant à la Belgique citée par le journal, celui-ci s’abstient de rappeler que le gouvernement de C.Michel est tombé sur cette question.

    Quant à la droite extrême qui fait gémir Libération, il faut rappeler les prises de positions énergiques sur ce pacte des Ciotti, Wauquiez et Dupont-Aignan qu’il est difficile de confondre avec des brutes fascistes.

    L’article cite Polémia à deux reprises : un article en avril 2018 et une reprise de video le 29 novembre (?). Si l’on cite des dates soyons précis. En réalité il y a eu dans Polémia – qui a joué avec d’autres sites comme Réinformation TV – un rôle de lanceur d’alerte, deux articles au mois d’avril et quatre autres articles jusqu’au mois de décembre pour finir avec un article de Karl Hubert le 20 décembre dernier. Celui-ci a souligné le rôle de Louise Harbour , successeur de Peter Sutherland, et ancienne présidente de l’International Crisis Group, ONG financée notamment par l’Open Society Institute de Soros. Pouvait-on compter sur Libération pour présenter les informations contenues dans ces articles ?

    Liste des articles publiés par Polémia sur le texte catastrophique qu’est le Pacte de Marrakech :

    Quant à Jean-Yves Le Gallou, il a d’autres titres que d’être ancien frontiste, notamment d’être l’organisateur des Bobards d’Or auxquels Tristan Bertelot, auteur de l’article, est cordialement invité. Polémia serait enchanté de faire sa connaissance. Mais Libé est littéralement obsédé par l’ex Front.

    Lire la suite sur Polémia

  • L'asymétrie politiquement correcte

    6a00d8341c715453ef022ad3e4950d200b-320wi.jpgAu cours de la même semaine, deux débats totalement biaisés ont souligné la permanence des hypocrisies parisiennes. La première affaire s'est développée autour de l'agression verbale dont a été victime l'un des plus remarquables intellectuels de notre pays.

    L'intéressé, auteur de "L'Identité malheureuse"[1]s'est vu grossièrement, et ajoutons : stupidement[2], injurié par un militant de l'islamisme radical, vite identifié.

    Au secours ! il ne faut pas présenter ainsi les choses. Ce serait qualifié d'islamophobie : quelle horreur.

    Et, tout un montage médiatique et politicien s'est déployé. Au centre du dispositif s'est agitée la survivance du parti socialiste, qui croit pouvoir par ce subterfuge se refaire une santé et s'est employé à retourner cette séquence.

    On a même entendu sur BFMTV le soi-disant humoriste Yassine Bellatar lancer une sorte d'hallali, pour ne pas dire une petite fatwa personnelle contre Éric Zemmour[3].

    Dans son article du 19 février[4], qu'il faudrait citer entièrement, Élisabeth Lévy décrit le malaise qui en découle : "Et puis, c’est un peu délicat à écrire, mais on peut craindre que cette focalisation subite et exclusive sur le malheur juif finisse par lasser. D’accord, il y a ces tags et ces chiffres inquiétants. L’obsession de Rothschild et des sionistes qui dirigent le monde qui court les réseaux sociaux sur fond de désastre éducatif. Mais nombre d’autres groupes souffrent. Ne faudrait-il pas par exemple faire aussi place à la tristesse des catholiques qui voient des églises profanées ?" (...) Quant aux démonstrations artificielles de l'unanimisme politicien elle ajoute : "Il est vrai que les foules sentimentales sont réconfortantes. On a envie d’en être, de marcher et de marcher. Seulement, on sait ce qu’il est advenu de l’esprit du 11 janvier et de nos belles promesses de défendre la liberté d’expression et la laïcité. Dans nos banlieues, la sécession islamiste a continué à progresser, s’appuyant sur les calculs politiques des uns, la résignation des autres et notre indifférence à tous. Alors j’ai de plus en plus de mal à croire aux phrases qui commencent par 'nous n’accepterons pas', 'nous ne tolérerons pas', 'nous résisterons' car elles précèdent souvent les abdications en rase campagne. On déclare, la voix grave, que rien ne sera plus comme avant. Et tout est comme avant. Ou pire."

    En effet, on feint délibérément, surtout, d'ignorer la réalité sinistre de l'influence salafiste dans les territoires perdus de [par] la république.

    Au passage on décide donc de dissoudre trois groupes étiquetés comme d'extrême droite. Voilà qui prétend marquer à la fois la détermination des autorités de la république et les vraies responsabilités : l'infamie par excellence ne trouvera pas de défenseurs. Ah mais.

    À l'inverse de Finkielkraut, qui proteste clairement à ce sujet[5], on impose le silence sur les attentats antichrétiens.

    Et bien sûr le champ libre est laissé à la milice totalitaire des prétendus "anfifa".

    Cette asymétrie, habituelle au règne du politiquement correct, ne nous surprend même plus. Elle reflète trop souvent, chez nos grands habiles, le simple souci arithmétique de sauver l'existence d'un électorat de gauche en perdition, de se raccrocher, pour battre la droite et le centre, au vote supposé d'une partie des banlieues ex-rouges, là où les mosquées du salafisme voisinent avec les avenues Maurice-Thorez et les lycées Pablo Neruda.

    Elle ne mériterait que le mépris si l'on ne se situait dans une situation de guerre qui s'est caractérisée cette même semaine par un autre événement, heureux celui-là, la liquidation de la destruction du pseudo-État islamique.

    Dans cet écrasement salutaire, la nouvelle de la mort de l'ignoble tueur et recruteur Fabien Clain a permis que se manifestent d'autres types de complicités, d'un niveau supérieur, en l'occurrence, à celui des calculs politiciens sordides manifestés.

    Passons sur la victimocratie courante, qui rend hommage aux gens qui n'ont rien fait, et qui pleure la mort de l'assassin dans la mesure où elle prive les psys de tous poils de la gestion du deuil. Ah ! comme on l'attend cette parole des islamistes, ah ! quelle déception de ne pouvoir l'entendre, ah comme leur intervention devant un tribunal permettrait de tout effacer : 25 ans de prison sur le papier, qui seront réduits à la moitié, et surtout pas de cette peine de mort éliminatoire qu'ils ont eux-mêmes pratiquée sans remords.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] cf. Alain Finkielkraut "L'identité malheureuse" Stock 2013, 240 pages. Intéressant de se souvenir aussi que Juppé, qui reclame désormais à son seul bénéfice, le "droit à l'oubli", s'accrochait au concept inverse d'identité "heureuse".
    [2] il semble en effet quelque peu contradictoire, au pays de Descartes, d'utiliser le mot "sioniste" comme une injure et d'enjoindre à un Français juif de "retourner à Tel Aviv", d'où il n'est pas originaire.
    [3] À écouter : l'intervention d'Éric Zemmour sur LCI
    [4] cf. article "Antisémitisme: une peste plus rouge que brune"
    [5] Sur Europe n°1, au micro de Sonia Maktouf proteste contre le scandaleux traitement méditique et l'instrumentalisation de l'affaire. cf. "Alain Finkielkraut sur les injures à son encontre"

    https://www.insolent.fr/

  • La Terre est plate, la preuve: c’est écrit dans le Coran

    Une lecture littérale du Coran progresse en France et en Belgique

     
     

    Financée et encouragée par l’Arabie saoudite, la lecture littérale du Coran et son cortège d’absurdités scientifiques progressent. Ce mouvement appelé « concordisme » sévit en France et en Belgique. Enquête. 

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  • Le coût de 40 000 migrants mineurs isolés aurait permis de sauver 40 000 paysans

    Capture.pngÀ l’heure où s’ouvre le Salon de l’agriculture, à la fois la plus grande ferme de France et  la manifestation la plus fréquentée par les politiques, faisons un tour d’horizon du monde paysan, auquel 85 % des Français sont très attachés.
    4 000 animaux et 360 races seront présentés par 1 050 exposants. (Figaro)
    Pendant cette 56e fête de l’agriculture, on va célébrer l’excellence de l’élevage français et faire l’éloge d’un savoir-faire unique au monde. Une réputation largement méritée.
    Les plus belles stars de nos élevages vont être bichonnées, lustrées, brossées comme un sou neuf, telles des mannequins de haute couture, pour se pavaner devant le public et les photographes. La star du salon, c’est « Imminence ».
    Dans chaque stand, chacun pourra goûter ce qui se fait de meilleur comme produits du terroir pour satisfaire son palais. Éleveurs, maraîchers, céréaliers, vignerons, tous passionnés par leur métier, feront honneur à la réputation de notre production agroalimentaire.
    Les Français aiment leurs agriculteurs. Ils les jugent sympathiques, passionnés, courageux et surtout utiles.
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    En effet, un paysan nourrit 60 personnes en 2019, contre 15 il y a 40 ans.
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    Le nombre d’exploitations s’est effondré. Le secteur agricole ne représente plus que 3,6 % de la population active.
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    Il reste 474 000 exploitations générant un chiffre d’affaires de 75 milliards d’euros.
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    Pour la 3e année consécutive, le modèle agricole français a été promu « le plus durable au monde » par The Economist, loin devant l’Espagne (19e) ou les USA (26e).
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    Mais au-delà de cette belle fête, à laquelle participeront les principales figures politiques, et au-delà des beaux discours, des éloges et des sourires de circonstance, c’est un monde en grande difficulté que ce monde rural, soumis à une concurrence mondiale et une réglementation européenne toujours plus dures.
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    Quand nos paysans produisent et vendent à perte, parce que les intermédiaires et la grande distribution sont toujours plus voraces, quand les prix au consommateur ne tiennent aucun compte des prix à la production, il ne faut pas s’étonner de la grande détresse qui gagne nos campagnes.
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    Selon la Mutuelle agricole, 40 % de nos paysans gagnent moins de 360 euros par mois.
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    En 10 ans, un tiers des exploitations a disparu.
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    Un agriculteur se suicide tous les deux jours dans l’indifférence générale, incapable de faire face à ses échéances de crédit.
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    25 000 agriculteurs sont en situation de quasi-faillite.
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    Les emprunts contractés pour les mises aux normes environnementales et sanitaires, exigées par Bruxelles, les ruinent et les pénalisent sur le marché mondial, où règne une concurrence déloyale.
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    Nos paysans sont aussi accusés injustement de pollution ou de maltraitance envers les animaux par des ayatollahs de l’écologie ou de la condition animale.
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    Il font face au véganisme et à un agribashing permanent qui n’arrangent rien.
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    Quant à la solitude qui les frappe, c’est un véritable fléau qui les mine. 25 % d’entre eux sont célibataires, soit le double de la moyenne nationale.
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    Dans son discours devant de jeunes agriculteurs européens, Emmanuel Macron veut « réinventer la Pac ».
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    Emmanuel Macron‏Compte certifié @EmmanuelMacron
    « Le danger pour notre agriculture n’est pas la concurrence des fruits espagnols. C’est le fait que notre bétail soit nourri au soja OGM importé et que le prix de nos volailles en dépende. Le danger n’est pas en Europe mais dans notre dépendance à l’égard d’autres puissances. »
    Du vent que tout cela. Jamais la Pac ne sauvera nos paysans. Elle est insuffisante. Le carcan des règles imposées par l’UE les asphyxie.
    Avec Macron, nos paysans doivent se contenter de promesses sans lendemain. Tout part dans l’accueil des migrants pour lesquels rien n’est trop beau.
    Le coût des 40 000 mineurs isoles accueillis en 2018, plus de 2 milliards, aurait permis de sauver 40 000 paysans en difficulté, en leur accordant une aide 50 000 euros chacun !
    Combien de suicides évités si des dizaines de milliards n’étaient pas engloutis chaque année dans une immigration de miséreux incultes, totalement inutiles à une économie numérique ?
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    Il en arrive 400 par jour dans la clandestinité, allant s’entasser dans les bidonvilles qui fleurissent partout et détruisent le quotidien des riverains.
    Sans parler de l’immigration légale qui explose chaque année en distribuant les visas sans compter.
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    Macron espère redresser la France en 3 ans. Il va la couler définitivement au nom du vivre-ensemble.
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    Jacques Guillemain pour ripostelaique.com