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immigration - Page 732

  • Pacte de Marrakech. Vers l’effacement de la liberté d’opinion

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    Par André Posokhow, consultant ♦ Pour Polémia, 2018 aura été l’année de la propagande et de la censure d’Etat. Elle aura été marquée entre autres par la Loi scélérate « fake news », la censure numérique et mondiale exercée par les GAFA ou encore la fermeture massive de comptes sur les réseaux sociaux et YouTube.
    Nous ne nous trouvons pourtant qu’au début du processus de l’effacement des libertés fondamentales que sont les libertés d’opinion, d’expression et de la presse. Les années 2019 et suivantes s’annoncent comme pires si les révoltes populaires ne renversent pas la table.
    C’est ce que révèle la lecture de l’objectif 17 du Pacte pour les migrations. Parmi ses 23 objectifs, l’objectif 17 (O17) est certainement celui qui constitue la menace la plus aiguë pour les libertés d’expression et d’opinion. Le danger qu’il représente et l ’idéologie totalitaire qu’il reflète doivent être particulièrement mis en exergue et dénoncés.

    Liste des articles déjà publiés par Polémia sur ce texte catastrophique : 

    L’objectif 17 du Pacte : le pivot de la lutte contre la liberté de l’esprit

    Un engagement d’élimination des « discriminations »

    L’en tête de l’O17 utilise des mots de violence et se montre à la fois global, partial et hypocrite.

    Il s’agit clairement d’un engagement, pour l’instant moral, des pays signataires, donc de la France.

    La violence des mots et des actes

    L’O17 veut que les signataires condamnent, combattent et éliminent toute forme de discrimination. Ces verbes sont l’expression d’une logique d’affrontement et à terme de guerres civiles.

    Seules les discriminations et les violences à l’égard des migrants sont prises en considération

    Les violences, les viols, les agressions, la guérilla même auxquels se livrent nombre d’envahisseurs sont ignorés et occultés. Ce n’est pas le sujet. Les seules victimes possibles sont les allogènes.

    Les discriminations qu’il faut éliminer sont globales et vagues

    Le texte s’abstient évidemment de préciser ce que sont ces discriminations contre les migrants. Ce sont des mots fourre-tout : expressions et manifestations de racisme, discrimination raciale, xénophobie, qui peuvent recouvrir n’importe quel mot et n’importe quel acte.

    Ce sera à la jurisprudence des tribunaux qu’il reviendra de leur donner une signification plus précise pour condamner les opposants, « conformément au droit international des droits de l’homme », on devine dans quel sens.

    L’hypocrisie de ces engagements

    Les signataires s’engagent à protéger la liberté d’expression. Bravo et quel soulagement ! Mais, dit le texte, il faut que ce soit dans le respect du droit international afin de contribuer à une compréhension globale des migrations sous tous leurs aspects. Quel peut être en l’occurrence ce droit international ? Rappelons que l’OIM (Organisation Internationale pour les Migrations) a formulé l’ambition de développer un droit international des migrations.

    La stratégie défensive : la répression

    Donner un droit de dénonciation aux migrants

    Les migrants et les communautés, nous supposons qu’il s’agit des diasporas, pourront dénoncer tout acte « d’incitation à la violence contre les migrants ». Il en découlera une sujétion des Occidentaux de souche et un renforcement de l’éclatement des pays occidentaux en populations  communautarisées dressées les unes contre les autres.

    Faire juger et condamner les opposants à l’invasion

    Les migrants et les communautés, naturalisés ou non, pourront amener quiconque participerait à « la commission d’une infraction inspirée par la haine des migrants »à répondre de ses actes. C’est quoi la haine des migrants ? Si un citoyen français comme une majorité de ses concitoyens dit qu’il y a trop d’immigrés en France, est-ce de la haine ?

    Il est ajouté que cette démarche se fera dans le respect du droit interne et du droit international des droits de l’homme. Même observation que ci-dessus, mais surtout quel droit prédominera ? A terme les différentes communautés pourraient exiger l’application de leur propre droit interne comme c’est le cas de la charia dans des villes anglaises

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  • Un journaliste allemand falsifiait ses articles sur les migrants

    Un journaliste allemand falsifiait ses articles sur les migrants

    Le camp du bien se met aux fausses nouvelles… Ce journaliste du Spiegel a pour sujet de prédilection, les migrants :

    Confronté aux accusations d’un autre journaliste avec qui il a travaillé, Claas Relotius a admis avoir inventé des citations et des scènes auxquelles il n’a en fait jamais assisté. Ce journalistes, primé à plusieurs reprises, falsifiait depuis plusieurs années ses articles. Claas Relotius avait encore reçu début décembre le prix du Reporter de l’année pour un article sur de jeunes Syriens qui seraient à l’origine de la guerre civile qui a éclaté en 2011.

    Dimanche, il a remis sa démission de l’hebdomadaire, après avoir admis avoir inventé des citations et des scènes auxquelles il n’a en fait jamais assisté. Au total, au moins 14 articles auraient été bidonnés, dont un sur un Yéménite qui a passé 14 ans sans raison à Guantanamo et un autre sur Colin Kaerpernick, joueur de football américain qui posait le genou à terre pendant l’hymne américain pour protester contre les inégalités raciales. Claas Relotius prétendait avoir interviewé ses parents.

    Ne croyez pas ce que vous racontent les médias.

    https://www.lesalonbeige.fr/un-journaliste-allemand-falsifiait-ses-articles-sur-les-migrants/

  • Grande concertation nationale : l’immigration évacuée du débat – Journal du mercredi 19 décembre 2018

    Société / Grande concertation nationale : l’immigration évacuée du débat

    C’était censé être l’une des trouvailles pour apaiser les gilets jaunes, l’ouverture d’un grand débat national sur les principaux sujets qui secoue le pays s’annonce déjà comme une mascarade. Alors que le président de la République veut tirer les lauriers de la prétendue concertation en marche, ce sont les maires qui seront mis à contribution… Pendant ce temps là, l’immigration, qui devrait être une thématique à part entière, a déjà été reléguée au bout d’un paragraphe.

    Politique / La cacophonie gouvernementale

    Après une reculade remarquée du Premier Ministre sur les dispositions annoncées en novembre, les mesures décidées par l’exécutif pour répondre au mouvement des gilets jaunes ont été précisées… De quoi faire encore grimper la facture…

    Sécurité / Castaner s’embourbe face à la Police

    Fiscalité / Taxes sur les GAFA : le casse-tête lucratif ?

    Face à l’impuissance européenne, le gouvernement français communique sur sa volonté de taxer les géants du numérique… Une mesure populaire qui pourrait toutefois être bien compliquée à mettre en place dans un temps record.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/grande-concertation-nationale-limmigration-evacuee-du-debat-journal-du-mercredi-19-decembre-2018?is_wppwa=true

  • Le Pacte mondial pour les migrations fait tomber le gouvernement belge

    Belgique – Mardi, en fin de journée, Charles Michel, Premier ministre, a présenté la démission de son gouvernement. Cette chute gouvernementale est la conséquence du Pacte mondial pour les migrations mis en place par l’ONU.

    Avant le sommet de Marrakech des 10 et 11 novembre, la NVA, plus important parti de Flandre et partenaire majoritaire de la coalition gouvernementale, avertissait le Premier ministre et ses partenaires gouvernementaux : si Charles Michel s’obstinait à vouloir se rendre à Marrakech pour y valider le pacte au nom de la Belgique, la NVA se retirerait du gouvernement. Mais les autres partis de la coalition gouvernementale ne voulaient rien entendre.  Avant même l’envol du Premier ministre belge vers Marrakech, la crise avait éclaté et la NVA avait donc annoncé la démission de l’ensemble de ses ministres. De facto, le gouvernement belge se retrouvait en situation minoritaire devant les assemblées parlementaires.

    Pendant quelques jours, le Premier ministre tenta d’obtenir au Parlement soit un soutien extérieur de l’opposition constituée par les partis de gauche  soit un soutien ponctuel, notamment pour le vote du budget, de son ancien partenaire gouvernemental ayant rejoint les bancs de l’opposition. Dans cette confusion générale, le Premier ministre belge ne trouva finalement aucun soutien. Plusieurs partis de l’opposition réclamaient même un vote de motion de défiance. Devant cette situation inextricable, et pour éviter l’humiliation du vote de défiance, le Premier ministre a annoncé hier au Parlement qu’il se rendrait en soirée chez le Roi présenter la démission de son gouvernement. Le Roi n’a pour l’instant pas accepté cette démission et consulte durant la journée les présidents des différents partis politiques.

    Nul ne sait pour l’instant si la Belgique s’achemine vers des élections anticipées ou si le gouvernement sera maintenu en affaires courantes jusqu’aux élections générales du mois de mai.

    Mais le Premier ministre belge paye cher sa soumission au plan immigrationniste de l’ONU. Et la formation du prochain gouvernement belge s’annoncé déjà particulièrement compliqué.

    https://www.medias-presse.info/le-pacte-mondial-pour-les-migrations-fait-tomber-le-gouvernement-belge/102634/

  • Immigration : une politique colonisée par la morale, et donc étrangère au souci du bien commun

    Immigration : une politique colonisée par la morale, et donc étrangère au souci du bien commun

    Laurent Dandrieu, auteur de Église et immigration, le grand malaise. Le pape et le suicide de la civilisation européenne, déplore le soutien du Vatican au Pacte mondial des migrations. Il invite sur le Figarovox les chrétiens à écouter la souffrance des peuples européens en situation d’insécurité culturelle et à réaffirmer avec conviction le droit de rester dans son pays :

    […] Aujourd’hui, le soutien enthousiaste du Vatican au “Pacte mondial des Nations unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières” ne fait que renforcer la conviction que le propos du pape n’est pas seulement de rappeler la dignité à laquelle a droit toute personne humaine, mais bien de promouvoir une vision du monde où la migration constitue l’horizon indépassable de l’humanité, et la voie de son salut.

    Preuve de cette adhésion enthousiaste, le pape avait dépêché à Marrakech, pour l’adoption du pacte, rien de moins que son Secrétaire d’État, Mgr Pietro Parolin. Rien d’étonnant à cela, puisque le journal la Croix souligne que «dès le début, le Saint-Siège avait (…) fortement promu le processus d’élaboration de ce pacte, en particulier à travers la section pour les migrants et les réfugiés du Dicastère pour le développement humain intégral, qui avait notamment publié vingt pistes d’action». Et, sur la place Saint-Pierre, dimanche 16 décembre, le pape François a tenu à saluer l’adoption de ce pacte qui permettra à la communauté internationale «d’œuvrer avec responsabilité, solidarité et compassion envers ceux qui, pour des raisons diverses, ont quitté leur pays».

    Mgr Parolin aura eu beau, à Marrakech, rappeler le droit fondamental «à ne pas émigrer», cela ne sera apparu, comme les appels à la prudence du pape François, que comme une précaution oratoire ou une concession rituelle aux opinions publiques, dans un contexte où il s’agissait d’apporter son soutien à un texte qui postule clairement que la migration est devenue la loi du genre humain, «partie intégrante de la mondialisation, reliant entre elles les sociétés d’une même région et d’une région à l’autre et faisant de nous tous des pays d’origine, de transit et de destination». Migrations auxquelles il serait d’autant plus absurde de vouloir s’opposer «qu’à l’heure de la mondialisation, elles sont facteurs de prospérité, d’innovation et de développement durable». Dès lors, même si la souveraineté nationale en matière de politique migratoire est posée en principe et même si les signataires s’engagent à «lutter contre les facteurs négatifs et les problèmes structurels qui poussent des personnes à quitter leur pays d’origine», l’objectif prioritaire du texte paraît nettement être moins d’endiguer le flot des migrations que de dégager «une meilleure gouvernance (qui) permette d’optimiser ces effets positifs» qu’elles sont censées engendrer. Il n’est d’ailleurs pas anodin de noter que ce sont les mêmes Nations unies, à l’origine de ce pacte, qui ont inventé dans un texte de 2001, le concept de «remplacement de population» censé pallier par des migrations massives le déficit démographique des nations occidentales.

    Au passage, notons que la dénonciation des “fake news” que constitueraient les craintes sur la nocivité du Pacte, alors que celui-ci, n’étant pas juridiquement contraignant, n’engagerait à rien de précis, est elle-même la plus formidable des “fake news”: car, que l’on sache, la Déclaration universelle des droits de l’homme n’est pas davantage un texte juridiquement contraignant: oserait-on dire qu’il n’engage à rien les États qui la reconnaissent? Si demain, la CEDH ou toute autre juridiction intégrait le pacte pour les migrations à sa jurisprudence, ne constituerait-il pas un formidable moyen de pression sur les gouvernements qui l’auront adopté?

    C’est donc à un texte qui, demain, peut devenir directement opposable aux États que le pape François a donné son aval. Il ne s’agit pas de sa part d’une vague et énième pétition de principe, mais bel et bien d’un acte politique. Et d’un acte politique posé d’autant plus aisément que le texte de Nations unies rejoint au moins trois des constantes les plus marquantes du pape sur le sujet. D’abord, l’idée que les migrations seraient, malgré les tragédies personnelles qui peuvent en être l’origine, un bien fondamental pour la marche du monde. Opportunité d’exercer une «culture de la rencontre», «de créer de nouvelles synthèses culturelles», «occasion que la Providence nous offre pour contribuer à la construction d’une société plus juste»: le pape François n’est pas avare d’expressions pour exprimer cette vision, développée à des degrés divers par tous les papes depuis Jean XXIII: les migrations de masse seraient un moyen privilégié de progresser vers cette «unité de la famille humaine» qui est comme une «préfiguration anticipée de la Cité sans frontières de Dieu». Les migrations, écrit ainsi le pape François, peuvent «ouvrir des espaces à la croissance d’une nouvelle humanité, annoncée par avance dans le mystère pascal: une humanité pour laquelle toute terre étrangère est une patrie et toute patrie est une terre étrangère».

    La deuxième constante est que, dans ce processus censé conduire naturellement à un enrichissement humain et culturel des pays d’accueil, seul l’intérêt du migrant est considéré, puisque, «fuyant la guerre et la faim», comme ne cesse de le marteler le pape François, ce nouveau prolétaire des nations a pour ainsi dire un crédit illimité sur les anciens peuples colonisateurs, coupables de sa misère (le pape a explicitement limité la colonisation à une entreprise de pillage) et confits dans une opulence coupable, qu’ils ne répugneraient à partager que par des réflexes de peur ou de xénophobie. Quand il s’agit des Européens inquiets de l’immigration de masse et de la progression de l’islam, le “Qui suis-je pour juger?” n’est plus de mise: la sentence est prononcée, sans même entendre la défense.

    Le problème est que cette vision caricaturale véhiculée par les déclarations du pape François ne correspond pas le moins du monde à la réalité. Des réfugiés «fuyant la guerre et la faim»? Aussi opposés soient-ils sur la lecture politique du phénomène, les démographes s’accordent sur une chose, comme le notait Jean-Pierre Robin dans un récent article du Figaro: «Ce n’est pas “la misère du monde” qui franchit (…) la Méditerranée, mais les mieux formés et les plus argentés qui tentent l’aventure migratoire.» Loin de résoudre le problème de l’inégale distribution des richesses dans le monde, les migrations de masse l’aggravent en réalité, en privant les pays pauvres de leurs forces vives et en les plongeant dans une spirale de l’échec. Des pays opulents qui refuseraient, par pur égoïsme, d’ouvrir leurs frontières aux miséreux? La récente révolte des “gilets jaunes” et l’attention médiatique trop longtemps déniée qu’elle a enfin value à la France des oubliés a rappelé de manière tonitruante que la richesse apparente de nos sociétés masquait la paupérisation accélérée des classes populaires, qui admettent de moins en moins que leurs souffrances soient niées. Dans les innombrables déclarations du pape François sur l’accueil des migrants, on cherchera en vain une attention pour ces souffrances. Comme on cherchera en vain, sinon pour les condamner, une mention des inquiétudes que fait naître la présence de plus en plus massive d’un islam conquérant sur le territoire d’une Europe qui s’est construite comme une terre de chrétienté. «Le phénomène des migrations contribue à cultiver le “rêve” d’un avenir de paix pour l’humanité tout entière», écrivait Jean-Paul II en 2004: aujourd’hui, communautarisme, dissociété, islamisme radical et appauvrissement généralisé aidant, le “rêve” a tourné au cauchemar pour toutes les parties concernées, mais le pape continue de rêver…

    Ce décalage entre ce que vivent les populations européennes et le discours pontifical amène à la troisième convergence entre le pape et les Nations unies: contaminé sans doute par le “en même temps” macronien, le texte du pacte mondial pour les migrations, tout en s’inscrivant «dans le plein respect de la liberté de la presse», n’en propose pas moins aux États signataires d’orienter le débat public en vue d’«amener le public à considérer les effets positifs qu’ont des migrations sûres, ordonnées et régulières» ; pour ce faire, il faudra «sensibiliser» les journalistes «aux questions de migration et à la terminologie afférente» et punir les récalcitrants qui persisteraient à ne pas présenter l’immigration sous un ses aspects les plus positifs, et donc «cesser d’allouer des fonds publics ou d’apporter un soutien matériel aux médias qui propagent systématiquement l’intolérance, la xénophobie, le racisme et les autres formes de discrimination envers les migrants». Ce programme subjectif (on sait avec quelle facilité l’accusation d’intolérance est imputable à quiconque ne cède pas aux sirènes du sans-frontiérisme) et fort peu libéral rejoint les préoccupations de longue date du pape François qui, depuis le début de son pontificat, ne cesse d’admonester les journalistes coupables de propager une vision anxiogène de l’immigration, et à les appeler, au contraire, non pas à informer objectivement, mais à concourir à la «conversion des attitudes et à favoriser ce changement de comportement envers les migrants et les réfugiés». Un appel à une “information” militante quelque peu consternante pour tout journaliste soucieux de décrire le réel tel qu’il est. C’est avec une consternation similaire que l’on entendait il y a quelques jours l’archevêque de Strasbourg, Mgr Ravel, lors de l’office en mémoire des victimes du récent attentat islamiste, déclarer qu’il ne fallait surtout pas en profiter pour réfléchir à la place de l’islam dans nos sociétés, ou à l’ampleur des migrations, «vieux démons» de division. Quand les disciples du Maître qui a enseigné que «la Vérité vous rendra libres» préfèrent cacher la poussière sous le tapis de peur de nuire au “vivre-ensemble”, la belle liberté des enfants de Dieu a dangereusement du plomb dans l’aile.

    À l’heure où tous les peuples européens, les uns après les autres, entrent en rébellion contre des élites qui ont voulu les emmener de force là où ils ne voulaient pas aller, il est tragique de constater que le Vatican, comme le montre son soutien au pacte mondial pour les migrations, a choisi de se solidariser avec ces élites hors-sol plutôt que d’écouter les souffrances des peuples, au risque de creuser encore un peu plus le fossé béant qui la sépare désormais des Européens. À cette voie suicidaire, on nous permettra d’opposer les fortes paroles du cardinal Robert Sarah, prononcées lors d’une conférence donnée à Varsovie en octobre 2017: «Je le redis avec conviction: il s’agit de coopérer ardemment au développement intégral des peuples touchés par la guerre, la corruption et les injustices de la mondialisation. Et non pas d’encourager le déracinement des individus et l’appauvrissement des peuples.

    Certains se plaisent à utiliser des passages de la Parole de Dieu pour apporter une caution à la promotion de la mobilité universelle et du multiculturalisme. On utilise ainsi allégrement le devoir d’hospitalité envers l’étranger en déplacement pour légitimer l’accueil définitif de l’immigré. L’Église respecte les médiations naturelles voulues par le Créateur dans sa sagesse. Le génie du christianisme est l’Incarnation de Dieu dans le monde humain, non pas pour le détruire, mais pour l’assumer et l’élever à sa destination divine.»

    Rétablir l’équilibre miraculeux, bimillénaire, entre le respect de l’identité des nations et l’appel à la fraternité universelle, convaincre à nouveau les Européens que le catholicisme est l’avenir des peuples et non leur destruction, telle est la seule voie pour que l’Europe et l’Église aient encore un avenir commun.

    https://www.lesalonbeige.fr/immigration-une-politique-colonisee-par-la-morale-et-donc-etrangere-au-souci-du-bien-commun/

  • A Bruxelles : gigantesque démonstration de force contre le Pacte génocidaire de Marrakech

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    La presse européenne n’a pas donné beaucoup de place à la manifestation populaire contre la pacte de Marrakech qui a paralysé le cœur de Bruxelles. Pourtant, il s’agit de la première révolte populaire contre un pacte qui veut notre mort comme peuple. Seuls les journalistes anglais du Daily Mail lui ont accordé l’importance qu’elle méritait. Ci-après un extrait de leur reportage.

    Le dimanche 16 décembre, à l’appel des nationalistes flamands, près de dix mille personnes se sont rassemblées à Bruxelles pour manifester leur opposition au pacte mondial des Nations unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières. On remarquait dans le cortège des élus du Vlaams Belang comme Filip De Winter et des jeunes de la NV-A dont le part a quitté la coalition gouvernementale en raison de son opposition à la signature par la Belgique du pacte.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Gilets Jaunes, RIC, Attentat qui tombe à pic...

  • Dépenses pour l’immigration : les tabous français

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    Par Paul Tormenen, juriste ♦ En cette période de fronde des gilets jaunes, le gouvernement est contraint de lâcher du lest. Des mesures en faveur du pouvoir d’achat ont été annoncées, sous la contrainte. Contrairement aux dépenses pour l’immigration qui échappent aux règles d’une politique qui s’affiche comme « maîtrisée » et rigoureuse.
    En la matière, le gouvernement semble vouloir donner sans cesse plus de moyens pour accompagner un phénomène qui le dépasse. La préparation du budget 2019 de l’Etat et des collectivités territoriales nous le montre de façon évidente, tant en qui concerne la prise en charge des mineurs étrangers, l’aide médicale d’Etat que les crédits pour l’asile et l’immigration. Alors que des pays européens voisins prennent des mesures pour freiner l’afflux de migrants essentiellement économiques, la France poursuit une politique qui s’apparente de plus en plus à une fuite en avant.

    La prise en charge des mineurs étrangers

    Le congrès des Départements de France qui s’est tenu à Rennes le 7 novembre 2018 a été l’occasion d’évoquer l’explosion du nombre d’arrivées de mineurs étrangers en France et du budget des départements pour les prendre en charge. Selon les dernières estimations de l’Assemblée des Départements de France (1), les services sociaux des conseils départementaux français auraient accueilli, en 2017, 25 000 Mineurs non accompagnés (MNA) au titre de l’Aide Sociale à l’Enfance. Ce chiffre atteint 40 000 en cette fin d’année 2018. Un rapport établi par différentes administrations (2) paru en début d’année indique que « le nombre de MNA intégrant les dispositifs de protection de l’enfance a triplé entre 2014 et 2017 ». La motivation des jeunes étrangers est résumée sobrement : « la protection de l’enfance est donc d’autant plus attractive pour ces jeunes migrants qu’il s’agit souvent du seul moyen de pouvoir bénéficier d’une prise en charge et espérer obtenir à terme une régularisation administrative ».

    En termes de coût, la note pourrait atteindre pour les seuls départements 1,5 milliard d’euros, voire 1,9 milliard d’ici la fin de l’année, selon le Président du conseil départemental de Seine-et-Marne (3). La prise en charge de chaque jeune est quant à elle évaluée annuellement à 50 000 euros. Il faut ajouter à ce montant les frais d’évaluation de la minorité pris en charge par l’Etat et les actions d’insertion des jeunes qui sortent de l’Aide Sociale à l’enfance à leur majorité.

    Quelles conclusions les rapporteurs ont-ils tirées de leur enquête ? Changer la législation pour freiner cette nouvelle filière d’immigration ? Hors de question. « Toute évolution institutionnelle devra respecter les engagements internationaux de la France notamment l’article 3-1 et l’article 20 de la convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) qui prévoient que tout enfant qui est temporairement ou définitivement privé de son milieu familial a droit à une protection et une aide spéciale de l’Etat », peut-on lire dans le rapport. Les deux principales pistes que préconisent les rapporteurs pour répondre à ce phénomène sont une meilleure prise en charge financière par l’Etat de l’évaluation de la minorité des jeunes étrangers et la création d’un fichier national des évaluations. Une position qui est également celle du Premier Ministre, qui écarte les « mesures visant à dissuader l’arrivée de ces mineurs » (4).

    Une comparaison des conditions d’ « accueil et de prise en charge des mineurs non accompagnés dans huit pays de l’Union européenne » a été effectuée en 2010 par plusieurs Organisations Non Gouvernementales (5). Il en ressort que la France est, dans le panel des 8 pays retenus, parmi ceux qui ont les conditions les moins restrictives. Ceci explique peut-être cela. Une question reste taboue dans le débat public : l’Aide Sociale à l’Enfance a-t-elle vocation à favoriser une immigration massive, quel qu’en soit le coût pour la collectivité ?

    L’Aide médicale d’Etat

    Tout au long de l’année, la question des crédits alloués à ce dispositif disparaît des radars médiatiques pour ne réapparaître qu’au moment de la discussion parlementaire sur le budget de l’Etat. L’année 2018 ne fait pas exception à la règle. La majorité à l’Assemblée nationale a récemment voté une augmentation de 54 millions d’euros du budget de l’AME, qui passera en 2019 à 934 millions d’euros (6). A un tel rythme de progression, le milliard d’euros dédié aux soins des étrangers en situation irrégulière semble proche.

    Un rapport parlementaire (7) présenté en 2015 pointait, là aussi, le fait que « les modalités de prise en charge adoptées par nos voisins européens conduisent à une dépense beaucoup plus contenue ». Le panier de soins, la participation aux frais, l’encadrement de la prise en charge, autant de modalités différentes de celles de la France qui ne font pas de nos voisins des « sans cœurs », mais qui contribuent à éviter des dérives en tous genres. Pourtant, l’alignement sur d’autres pays européens pour réduire l’envolée de ce type de dépenses ne semble pas à l’ordre du jour.

    Crédits pour l’asile et l’immigration

    Ces crédits concernent différentes mesures consacrées au traitement des demandes d’asile et à la prise en charge des nouveaux entrants sur le territoire français. Le budget de l’Etat pour l’intégration augmentera en 2019 de 200 millions d’euros pour attendre 1,58 milliard d’euros (8). Une hausse de 14 % par rapport à 2018, dans un contexte de disette budgétaire (le budget général de l’Etat augmentant de + 0,6 %).

    Les prévisions gouvernementales tablent sur une stabilisation des demandes d’asile, alors que celles-ci progressent fortement depuis le début des années 2010. La France est d’ailleurs un des rares pays européens qui ne connaît pas de baisse de la demande d’asile (9). Une démarche qui semble être un sésame pour rester en France. Comme l’indique un rapport de la Cour des comptes (10), les déboutés du droit d’asile restent en effet ultra-majoritairement sur le territoire français. Le taux d’exécution des obligations de quitter le territoire français (OQTF) notifiées aux personnes déboutées du droit d’asile était en effet de 6,8 % lors de la rédaction du rapport, en 2015. Parmi les différentes mesures, les moyens consacrés au « programme « Intégration et accès à la nationalité française » augmentent de 40%, pour s’établir à 395 millions d’euros contre 282 millions en 2018.

    Pendant ce temps, des pays européens plafonnent le nombre des demandeurs d’asile à leurs capacités d’accueil. On peut citer l’Autriche (11), l’Allemagne (12), le Danemark (13), la Suède (14), la Belgique (15). Cette question est taboue en France. Pourtant, l’accueil d’étrangers n’est-il pas tributaire de l’effort qu’un pays décide d’y consacrer ? La France a instauré de fait un droit de tirage à double détente : tout étranger peut faire une demande d’asile en France, y compris les ressortissants de pays sûrs, les déboutés restent sur le territoire et sont pris en charge par le système social le cas échéant.

    Dans les différentes mesures dédiées à l’immigration, un mot semble banni, celui de la limitation de l’accès, dans un contexte de pression migratoire massive et de contrainte budgétaire. Combien de temps cette situation va-t-elle être considérée comme soutenable ? Si en France les réponses se font attendre, certains pays européens n’ont pas attendu pour prendre des initiatives en la matière.

    Paul Tormenen 17/12/2018

    (1) Assemblée des Départements de France. 18 novembre 2018

    (2) Rapport de la mission bipartite de réflexion sur les mineurs non accompagnés. IGA, IGAS, IGJ et ADF, 15 février 2018

    (3) « Mineurs étrangers, le grand silence de la loi asile et immigration ». Jean-Louis Thiériot. Le Figaro 22 avril 2018

    (4) Question d’actualité au gouvernement n° 0484G. Sénat. 12 octobre 2018

    (5) « L’accueil et la prise en charge des mineurs non accompagnés dans huit pays de l’Union Européenne ». France Terre d’asile. octobre 2010

    (6) Projet de loi de finances de finances pour 2019. Rapport législatif. Sénat. 22 novembre 2018

    (7) Rapport d’information sur l’évaluation de l’aide médicale de l’État. Assemblée nationale. 3 novembre 2015

    (8) Projet de loi de finances pour 2019. Sénat. 24 septembre 2018

    (9) « Comprendre la hausse des demandes d’asile en quatre graphiques ». Le Monde. 8 janvier 2018

    (10) Rapport de la Cour des comptes sur l’accueil et l’hébergement des demandeurs d’asile. Juillet 2015

    (11) « Le plafond de demandeurs d’asile accueillis en Autriche en 2016 atteint « avant l’été ». Le Monde. 24 janvier 2016.

    (12) « Merkel accepte de limiter à l’avenir le nombre de réfugiés en Allemagne ». Le Point. 8 octobre 2017.

    (13) « Est-il vrai que le Danemark n’accueille plus aucun réfugié ? » Libération. 8 octobre 2018.

    (14) « La coalition au pouvoir en Suède serre la vis sur l’asile ». Le Monde. 3 septembre 2018.

    (15) « L’Office des étrangers limite le nombre d’enregistrements de demandeurs d’asile ». Rtl.be23 novembre 2018.

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Domaine public, via FlickR

    https://www.polemia.com/depenses-immigration-tabous-francais/

  • Pacte de Marrakech : 13 généraux accusent Macron de « trahison » (MàJ : le ministère des Armées réfléchit à des sanctions disciplinaires)

    18/12

    Contacté par L’Opinion, le ministère des Armées a qualifié d’«inadmissibles et indignes» les termes de la lettre ouverte adressée à Emmanuel Macron par 13 officiers, opposés à l’adhésion de la France au pacte de Marrakech.  

    La lettre ouverte de 13 chefs militaires français à l’attention du président de la République Emmanuel Macron, dénonçant le pacte mondial de l’ONU sur les migrations (dit pacte de Marrakech), n’a guère été du goût du gouvernement. Contacté par L’Opinion ce 17 décembre, le cabinet de la ministre des Armées Florence Parly a jugé les propos contenus dans cette lettre «inadmissibles et indignes». «Les généraux 2S [de la 2e section, c’est-à-dire qui ne sont plus actifs au sein de l’armée mais toujours mobilisables] qui ont signé ce texte sortent du devoir de réserve auquel ils sont soumis. Ce devoir de réserve les oblige et ce d’autant plus qu’en tant qu’officiers généraux ils incarnent le sommet de la hiérarchie militaire, c’est-à-dire qu’ils ont la charge de montrer l’exemple», a confié au quotidien le cabinet de la ministre.

    Ils ne répondent pas à leurs obligations statutaires et s’exposent de ce fait à des sanctions disciplinaires, dont nous apprécierons l’opportunité dans les jours à venir

    RT

    14/12

    Un ancien ministre de la Défense, dix généraux, un amiral et un colonel. Dans un contexte de crise politique issue de la fronde des Gilets jaunes, un groupe d’officiers à la retraite vient de contresigner une lettre ouverte, demandant à Emmanuel Macron de renoncer à signer le pacte de Marrakech.

    Les signataires de cette lettre, écrite par le général Antoine Martinez, un ancien haut gradé de l’armée de l’air estiment qu’en ratifiant le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, Emmanuel Macron se rendrait « coupable d’un déni de démocratie, voire de trahison à l’égard de la nation ».

    (…) Parmi les signatures connues, figure Charles Millon, l’ex-ministre de la Défense de Jacques Chirac. Mais aussi le souverainiste Didier Tauzin, général, ou encore le général Christian Piquemal, radié des cadres de l’armée en septembre 2016, après avoir organisé une manifestation interdite contre les migrants à Calais.

    (…) Le Parisien

    http://www.fdesouche.com/1126359-pacte-de-marrakech-ces-generaux-qui-accusent-macron-de-trahison

  • Incohérence de la jurisprudence de la CEDH, selon que les croyants offensés sont chrétiens ou musulmans

    Incohérence de la jurisprudence de la CEDH, selon que les croyants offensés sont chrétiens ou musulmans

    L’ECLJ vient d’organiser un séminaire de haut niveau au Conseil de l’Europe sur la liberté d’expression en matière religieuse, c’est-à-dire sur la question du « blasphème » (voir les vidéos). Les six experts invités ont analysé la jurisprudence récente de la Cour de Strasbourg en la matière. Ils sont, pour la plupart, directement impliqués dans ces affaires. On se souvient que la Cour européenne a récemment validé la condamnation d’une conférencière autrichienne pour avoir critiqué Mahomet, alors même qu’elle venait, à l’inverse, de censurer la condamnation d’auteurs de blasphèmes antichrétiens, par la Russie et la Lituanie.

    Plusieurs intervenants ont souligné l’incohérence de la jurisprudence récente de la Cour, qui donne l’impression d’un « deux poids, deux mesures » selon que les croyants offensés sont chrétiens ou musulmans, majoritaires ou minoritaires.

    En effet, la CEDH a scandaleusement validé en octobre la condamnation d’une conférencière autrichienne pour avoir assimilé la consommation du mariage de Mahomet avec la jeune Aïcha de neuf ans à de la pédophilie. À l’inverse, la Cour a donné raison en juillet au groupe punk et féministe des « Pussy riots », qui avait organisé un concert sauvage blasphématoire dans le chœur de la Cathédrale orthodoxe de Moscou. Quelques mois avant, les juges ont également condamné la Lituanie pour avoir sanctionné des publicités commerciales représentant le Christ et la Vierge Marie de manière inappropriée.

    L’objectif du séminaire était de contribuer à l’établissement d’une meilleure jurisprudence européenne, conciliant les libertés d’expression et de religion. La finalité de ces droits est de permettre la recherche sincère de la vérité, y compris religieuse, et des débats contradictoires fondés sur la raison et mêlant fermeté et courtoisie. La liberté d’expression doit donc pouvoir être limitée en cas d’offense gratuite aux croyants ou d’incitation à la violence, mais pas par peur des réactions d’islamistes ne supportant pas la critique de leur religion.

    Pour défendre le droit de critique des religions, l’ECLJ était intervenu à la Cour pour soutenir la liberté d’expression de la conférencière autrichienne. Cette affaire sera peut-être rejugée en Grande chambre. Vous pouvez vous associer à la démarche, en signant la pétition « Défendez le droit de critiquer l’islam en Europe ».

    Pour protéger les croyants contre l’offense gratuite, l’ECLJ soutient la requête portée à la Cour européenne par l’Association espagnole des juristes chrétiens, à la suite de la profanation de 242 hosties consacrées par un « artiste ». Après avoir subtilisé ces hosties au cours de plusieurs messes, l’« artiste » les a arrangées sur le sol, puis a posé nu avec son « œuvre ». Il a assumé le fait que sa démarche visait à blesser les catholiques et s’est réjoui d’y être parvenu. L’association requérante reproche aux autorités espagnoles de n’avoir pas voulu protéger les chrétiens, et plus encore d’avoir soutenu cet « artiste » en mettant une salle d’exposition à sa disposition.

    Au cours d’une messe de réparation, l’archevêque de Pampelune Mgr Francisco Perez a rappelé que « l’Eucharistie constitue le sommet de l’action de salut de Dieu », par la présence réelle de Jésus. Si la CEDH validait l’inaction des autorités espagnoles, elle donnerait alors carte blanche à tous les gouvernements hostiles aux Chrétiens pour laisser libre cours à ces nouvelles formes de haine et à d’intolérance.

    https://www.lesalonbeige.fr/incoherence-de-la-jurisprudence-de-la-cedh-selon-que-les-croyants-offenses-sont-chretiens-ou-musulmans/