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immigration - Page 733

  • Rappel : ASSOCIATION ÉCOEURÉE, DISCOTHÈQUE : LA NEW JUNGLE DE CALAIS RÉVÈLE SON VRAI VISAGE


     
    Jusque-là peu d’informations filtraient sur les conditions de vie au sein de la new jungle de Calais. Tout juste savait-on que plus de 3000 « réfugiés de guerre » s’entassaient dans ce bidonville dans des conditions «inhumaines » d’après les associations d’aide aux migrants. 
    De nouveaux éléments apparus dans la presse depuis la semaine dernière semblent contredire la version officielle. 
    Une ONG britannique, Human Relief Foundation (HRF), annonçait via son directeur Kassim Tokan, qu’elle cessait son aide après une visite du campement par ses bénévoles qui ont pu constater que les réfugiés en question, « 95 à 97% d’hommes en bonne santé », avaient l’intention de se rendre au Royaume-Uni juste pour « l’argent et de meilleures conditions de vie » et jetaient la nourriture et les vêtements qui leur étaient distribuées en abondance. On peut en effet observer aux alentours proches du centre Jules Ferry des monticules de vêtements et de nourriture jetés négligemment par les « réfugiés ». 
    Choqués par le gâchis et l’attitude des habitants du « bidonville » les dirigeants de l’ONG britannique ont décidé de réorienter leur aide vers les pays du Moyen Orient en guerre. 
    On savait que le campement illégal s’était organisé comme une petite ville informelle, par contre des photos parues sur facebook d’une discothèque en plein cœur de la new jungle ont choqué l’opinion publique. On peut y voir une structure toute équipée en sono, jeux de lumière et bar, pouvant accueillir au moins plusieurs dizaines de fêtards laissant pour le moins perplexe sur leurs conditions de vie « inhumaines ». 
    Les associations françaises chargées de l’aide aux migrants, pour la plupart grassement subventionnées, auraient-elles arrangé à « leur sauce » les conditions de vie au sein de la new jungle, étant les seules pouvant y pénétrer, pour entretenir financièrement une activité humanitaire basée sur l’apitoiement de l’opinion publique ? 
    Suite à ces révélations dérangeantes pour le milieu associatif « solidaire », la version officielle de l’immigration clandestine semble remise en question alors que la région Nord Pas de Calais subit plus que jamais une crise économique, sociale et politique. Le vote Front National ne s’est jamais aussi bien porté et la défiance envers la classe politique (et les associations sous perfusion) s’aggrave de manière irréversible.

  • Un élève braque sa prof avec une arme factice : Castaner crée un comité stratégique !

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    Merci à Catherine Rouvier d'avoir écrit cet excellent billet ! 

    Dans notre civilisation du spectacle, il ne faut pas moins qu’un coup de théâtre pour qu’on s’aperçoive, soudain, de ce qui crève les yeux depuis pas mal de temps.

    Le 21 mars dernier, le proviseur du lycée Saint-Exupéry, à Créteil, était hospitalisé. Il avait reçu un coup de tête de l’un de ses élèves qui fut placé en garde à vue.

    Cette fois, c’est au lycée Branly de la même ville qu’à la fin d’un cours de première en « prévention santé environnement » (!), un lycéen a pointé une arme sur son enseignante pendant qu’un de ses camarades filmait, en lui intimant l’ordre de le noter « présent ».

    La vidéo, vue des milliers de fois sur les réseaux sociaux, a semblé réveiller le château étatique endormi.

    Le premier étonnement, après avoir vu la vidéo, c’est de lire : l’agresseur sera déféré dimanche au juge des enfants. Tu parles d’un enfant ! On ne serait pas un peu en décalage avec la réalité ?

    2054691781.pngAutre sujet d’étonnement : celui qui aurait introduit l’arme dans la classe a été interpellé, placé en garde à vue mais remis en liberté sans poursuites, l’arme, un pistolet à billes « de type airsoft » n’étant, aux yeux de parquet de Créteil, « qu’un jouet ». La consultation rapide d’un catalogue d’armurier nous apprend que l’objet en question est la réplique exacte d’une arme – un colt, en l’espèce. L’intention de terroriser est donc évidente. Mais on nous rassure : l’arme et les billes ont été détruites.

    Ce qui stupéfie, enfin, c’est la réaction des « autorités ».

    Le président du syndicat des collèges déclare : « On ne peut pas gérer tous les problèmes socio-économiques du pays. » Sous-entendu : c’est un « jeune » de banlieue, donc, c’est « la faute à la société ».

    Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, en charge des lycées, se dit « aux côtés des communautés éducatives » pour financer « tous les équipements de sécurité ». L’argent, toujours l’argent !

    Le président de la République a, lui, réagi en fin de soirée. « J’ai demandé au ministre de l’Éducation nationale et au ministre de l’Intérieur de prendre toutes les mesures pour que ces faits soient punis et définitivement proscrits de nos écoles. »

    Il manque un mot, non ? On ne proscrit pas un fait mais une personne… Mais personne ne semble l’envisager.

    Le directeur de l’établissement l’a dit : il est surpris de cet acte car il font au lycée des « séances de sensibilisation au respect ». Va-t-il virer les trois élèves ? Mais non, c’est les vacances ! « Alors, à la rentrée, on réunira un conseil de discipline. » Le 5 novembre, dans quinze jours !

    Le conseil ramolli par les vacances et ayant déjà oublié « l’incident » dira sans doute que c’était le dernier jour d’école et que, donc, c’était sûrement juste pour « rigoler », comme l’a déclaré le braqueur.

    La réponse de Castaner ne dénote pas, non plus, un désir farouche d’en découdre. Il va mettre en œuvre un « comité stratégique pour un plan d’actions ambitieux contre les violences visant les enseignants ».

    Quatorze mots pour ne rien dire.

    Par comparaison, un internat digne de ce nom a renvoyé un élève pour trois jours dans la minute où il avait fait « quelque chose de très grave ». Il avait « mis son doigt sur sa tempe et, en regardant la prof d’allemand bien en face, il avait tourné ». Sous-entendre que la prof est folle : trois jours immédiats d’exclusion.

    Lui, braquer une arme sur la tempe… rien.

    « Rien », comme notait Louis XVI le 14 juillet 1789… Juste la Révolution, au sens propre : la mise sens dessus dessous de la société.  


    Docteur d'Etat en droit public, avocat, maître de conférences des Universités

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/10/22/un-eleve-braque-sa-prof-avec-une-arme-factice-castaner-cree-6098833.html

  • Des crédits d’impôts pour encourager l’immigration clandestine

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Contre l’avis du gouvernement, les députés de la majorité La République En Marche ont voté, mercredi dernier, un amendement permettant l’instauration d’un crédit d’impôt pour les foyers accueillant des réfugiés. D’un montant de 5 euros par nuit, dans la limite de 1500 euros par an, cette mesure est censée permettre aux immigrés arrivés en France, de mieux s’imprégner de la culture et de la langue françaises en vivant auprès d’une famille, plutôt qu’ en centre d’accueil. D’une pierre, deux coups : l’État pourrait ainsi se décharger partiellement du financement de l’hébergement des réfugiés, actuellement estimée à 17 € par nuit et par personne, tout en poursuivant sa politique d’accueil des clandestins.

    Le député La République en Marche du Val d’Oise, Aurélien Taché, a justifié cette mesure en déclarant « Les Français qui sont d’accord pour s’engager dans une démarche de solidarité, il faut qu’il y ait une reconnaissance de cet engagement-là ».

    https://fr.novopress.info/

  • Ces fâchés avec ces fâcheux chiffres sur l’immigration…

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    Même le journal Libération a été forcé de le reconnaître, sûrement la mort dans l’âme : le très vertueux Clément Viktorovitch a laissé paraître un défaut à sa cuirasse étincelante ! Panique à bord chez les disciples de la religion du vivre ensemble : leur porte-étendard favori a dit un mensonge, sur le plateau de l’émission « Punchline » de CNews. De surcroît, sur un sujet qu’il affectionne tout particulièrement : les chiffres de l’immigration, qu’il brandit et manipule toujours avec l’exaltation de celui qui, seul, croit détenir la vérité.

    C’était le 20 septembre dernier, face à Charlotte d’Ornellas – qu’il se vantait pourtant d’avoir mouchée sur Twitter quelques heures après sa passe d’armes, ce qui lui avait valu les louanges de l’intelligentsia parisienne : « Bizarrement, les débats sur “l’immigration massive” changent de tonalité quand on commence à déconstruire les “fake news” et à demander des chiffres précis… »Seulement voilà, pris à son propre jeu, le jeune chroniqueur a fait preuve d’une très grande désinvolture à l’endroit de ces mêmes chiffres censés disqualifier Charlotte d’Ornellas, en affirmant qu’un tiers des entrées légales sur le sol français concernait les étudiants Erasmus, originaires des pays membres de l’Union européenne. Jean-Yves Le Gallou est monté au créneau sur TV Libertés en pointant les mystifications et les errements de Clément Viktorovitch concernant les chiffres réels de l’immigration légale. Et Libération a dû donner raison à Jean-Yves Le Gallou : « Seuls les ressortissants de pays tiers (extra-européens) sont concernés par les titres étudiants. » En substance, ces 80.000 étudiants (c’est leur nombre) ne sont pas des Erasmus (qui, eux, n’ont pas besoin de titre de séjour puisque appartenant à l’Union européenne), mais des jeunes gens en provenance du reste du monde…

    Nous voilà donc rassurés : Clément Viktorovitch n’est pas un archange descendu d’un ciel afin de sabrer la foule des affabulateurs terrestres. Bien que pleine de précautions oratoires et d’affectation chevrotante, sa parole n’est pas d’évangile. N’en déplaise au parterre de ses fidèles et aux partisans du sans-frontiérisme, le vicaire à la voix doucereuse peut, lui aussi, commettre une bévue – ou dire un gros mensonge. Lui qui semblait très désireux de se bâtir une iconographie immaculée, vouant un culte à la pure argumentation et à la précision des chiffres, voilà qu’il s’est emmêlé les pinceaux dans son entreprise préférée : parer la Vertu des couleurs de la Vérité. Hélas, le vernis a craqué.

    Dorénavant, gageons que notre père la morale mettra un peu d’eau dans son venin lorsqu’il prendra la parole sur les plateaux de télévision. On ne peut pas toujours avoir raison sur tout. Même quand on enseigne la sophistique – pardon, la rhétorique ! – à Sciences Po Paris.

    Thomas Clavel

    http://www.bvoltaire.fr/ces-faches-avec-ces-facheux-chiffres-sur-limmigration/

  • De la France Interdite à l’islamisation des banlieues, le fantasme devenu réalité décrit par des journalistes

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    Le 17 octobre 2018, sort un livre écrit par des étudiants en journalisme, traitant de l’islamisation d’une partie des habitants du département de Seine-Saint-Denis. Si les constats réalisés sur le terrain par les apprentis journalistes sont intéressants et argumentés, ils ne viennent que confirmer de nombreuses investigations réalisées ces dernières années. Illustration.

    « No go zones »

    En 2015, la chaine américaine Fox News consacrait un reportage aux « no go-zones » à Paris. Ce reportage était en de nombreux points caricatural et s’appuyait sur des données inexactes. Cela a amené nombre de médias français à écarter le sujet d’un revers de main dédaigneux. Il aura cependant eu au moins un mérite : celui de s’interroger sur l’existence de parties du territoire français sous l’emprise de l’islamisme, ces « endroits où l’on ne va pas », traduction littérale de « no go zones ».

    D’autres travaux d’investigation de terrain plus rigoureux ont été réalisés depuis plusieurs années. Nous en présentons quelques uns.

    En 2002 parait chez Pluriel l’ouvrage collectif « Les territoires perdus de la République ». A partir de l’exercice quotidien de leur métier, des professeurs de l’enseignement secondaire de la région parisienne dressent le constat d’une décrépitude des valeurs républicaines et d’une offensive islamiste dans certains quartiers.

    En 2016, Géraldine Smith publie chez Stock le livre « Rue Jean Pierre Timbaud, une vie de famille entre bobos et barbus ». Son auteur, une journaliste, a selon Marianne enquêté « sur l’islamisation du quartier où elle a habité, celui de la rue Jean-Pierre-Timbaud, dans le XIe arrondissement de Paris ». Un récit au quotidien tout en nuance sur la confrontation d’idéaux libéraux-libertaires à la réalité d’un quartier en pleine transformation. Le livre se termine par un constat d’échec et le départ de la famille du quartier.

    Trappes, Saint-Denis, Sevran

    En 2017 aux éditions du Toucan, le journaliste Alexandre Mendel publie une enquête intitulée « Partition », un livre accréditant « l’émergence de frontières invisibles qui divisent le territoire, géographiquement et culturellement ». Il écrit notamment : « À Trappes, Saint-Denis, ou encore Sevran, la mixité n’est plus la règle, elle est l’exception. On enferme ses enfants dans des écoles coraniques, où on leur apprend, à coups de hadiths, à haïr l’Occident et à ne vénérer que l’islam des ancêtres. On ne se marie plus que religieusement, on vit sa polygamie, on répudie les femmes, dans le dos de la République. La présentation de ce livre lors de sa sortie n’a pas dépassé le cercle des médias dits de droite, à l’image du sort réservé à « La France interdite », véritablement ostracisé par les médias mainstream malgré des ventes déjà conséquentes.

    La même année parait chez Albin Michel, un ouvrage collectif intitulé « Une France soumise ». Alors que « Les Territoires perdus de la République » pointait le communautarisme dans des écoles de banlieue, les auteurs du livre font le constat que ce sont maintenant de véritables territoires qui vivent en circuit fermé. « Cette enquête révèle le fossé existant entre une partie des élites médiatiques et la masse du peuple français, classes moyennes et populaires confondues. Le discours formaté des élites apparait de moins en moins audible » affirme un de ses auteurs.

    Le Monde comme Le Figaro

    En février 2018, deux journalistes du Monde, Ariane Chemin et Raphaëlle Bacqué, font selon L’Express, dans le livre « La communauté » (Albin Michel), « un récit implacable de la manière dont la commune de Trappes (Yvelines) est passée en un demi-siècle des “cocos” aux “barbus” ».

    En mars 2018, un reporter du Figaro, Manon Quérouil-Bruneel, raconte dans « La Part du ghetto » (Fayard) le quotidien d’une cité de Seine Saint Denis. Religion, drogue, prostitution, petits trafics et grand banditisme, immigration continue, les aspects les plus sombres de la banlieue sont passés en revue. Au tournant des années 1990, « le mythe du bon immigré a fait long feu. La religion est progressivement devenue un étendard, une cuirasse identitaire qui a fait voler en éclats le « vivre-ensemble ».

    En juillet 2018, un rapport sénatorial pointe le développement du salafisme en France. Le nombre d’adeptes de ce courant rigoriste de l’islam – 40 à 60 000 – ne ferait qu’augmenter. Des sénateurs relèvent l’existence de « zones ghettoïsées», nous apprend RT France.

    En septembre 2018, un rapport de 617 pages de l’Institut Montaigne dresse le constat de l’expansion de l’islamisme en France. L’auteur du rapport publié par le think tank libéral estime que « la séparation devient viable ». « C’est toute la vie quotidienne qui est peut être « halalisée », et qui connaît une progressive codification : des normes religieuses sont appliquées à l’alimentation, aux vêtements et à toutes les pratiques sociales, qui ont pour objectif une coupure nette avec le reste du monde ».

    La grande frayeur de Gérard Davet : « donner raison à Zemmour »

    Le 17 octobre 2018 paraît chez Fayard le livre « Inch’allah, l’islamisation à visage découvert », écrit par 5 étudiants au Centre de Formation du Journalisme et « coordonné » par Gérard Davet et Fabrice Lhomme. Le 15 octobre, les reporters du Monde viennent présenter sur France Inter leur livre sur « l’islamisation de la banlieue».

    Interrogé par Nicolas Demorand et Léa Salamé, Fabrice Lhomme affirme : « il y a une volonté dans une petite partie des musulmans (…) pour que l’islam en Seine Saint Denis et ailleurs, devienne la norme sociale dans la vie publique ».

    En réaction à un auditeur en ligne qui affirme : « J’ai l’impression d’entendre Zemmour », Gérard Davet estime que « c’est effectivement le danger, nous on amène des faits, rien que des faits ». Léa Salamé commente : « des faits qui ressemblent aussi à ceux que relate Eric Zemmour quand on lit le suicide français ». Gérard Davet perd pied et botte rapidement en touche en indiquant que « le livre fourmille de révélations, de chiffres importants qui montrent que quelque chose se passe ».

    Une préoccupation des deux coordonnateurs de l’enquête constitue le sous-titre de l’émission sur le site de France Inter : « il ne faut pas laisser ces questions [de l’islamisation] aux extrêmes ».

    Gérard Davet ajoute : « Le sujet est complétement pollué par les batailles idéologiques. Vous avez des gens qui parlent de ça sans arrêt (…). Ils se saisissent de ce sujet Ils vous balancent des choses avec des clichés incroyables. Ils ne connaissent pas le terrain ».

    Si effectivement, « quelque chose se passe », nos deux reporters n’en oublient pas pour autant de décerner des labels d’honorabilité. Il y aurait d’une part les enquêteurs de terrain, dotés d’une légitimité que leur conférerait leur statut, et de l’autre les politiciens « des extrêmes », qui n’auraient aucune légitimité à parler de ce phénomène en pleine expansion, et encore moins à vouloir le traiter.

    Pourtant, l’abondante production éditoriale à ce sujet ne semble en rien freiner l’expansion du radicalisme islamique et du séparatisme religieux. Ce qui rappelle humblement que les journalistes sont là avant tout pour rapporter la réalité comme l’a fait Laurent Obertone dans son ouvrage La France Interdite (Ring), largement boycotté par les médias.

    Article paru sur le site Ojim daté du 19 octobre 2018

    https://fr.novopress.info/212379/de-la-france-interdite-a-lislamisation-des-banlieues-le-fantasme-devenu-realite-decrit-par-des-journalistes/#more-212379

  • Matteo Salvini déploie la police à la frontière franco-italienne pour éviter le renvoi de migrants en Italie

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    Le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini a annoncé le 20 octobre qu’il envoyait des policiers italiens pour patrouiller à la frontière avec la France.
    Cette mesure découle du renvoi de migrants dans la ville italienne Claviere la semaine dernière, par les autorités françaises.

    https://fr.novopress.info/212370/matteo-salvini-deploie-la-police-a-la-frontiere-franco-italienne-pour-eviter-le-renvoi-de-migrants-en-italie/

  • Résister au grand effacement de l’histoire de France, par Guillaume de Thieulloy

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    Comme je l’avais évoqué récemment, je reviens sur le dernier livre d’Éric Zemmour : « Destin français ».

    Disons-le tout net : c’est un excellent cru !

    D’abord, parce qu’il a été écrit comme un livre et non comme un recueil de chroniques et qu’il se lit donc avec plaisir.

    Ensuite, parce que ce livre signe une intéressante évolution d’Éric Zemmour.

    On sait que le journaliste était très attaché à la figure du général De Gaulle. Ce qui peut naturellement se comprendre quand on voit les successeurs du général, mais ce qui ne peut occulter la responsabilité de ce dernier dans l’actuelle décadence de la France. En particulier, comment oublier les guerres civiles auxquelles le général présida ?

    Bien sûr, il ne s’agit pas de faire porter à l’intéressé toutes les turpitudes des communistes en 1944 ou des politicards de la IVe République en 1958.

    Il n’empêche que le Général ne sut pas tendre la main aux soutiens du Maréchal – dont l’écrasante majorité n’avait rien à voir avec la collaboration – pour rebâtir la France.

    Pour sa propre légitimité, il choisit de se mettre dans la main des communistes, les laissant maîtres de la sordide épuration et les laissant prendre, entre autres, le contrôle de l’Éducation nationale, ce dont nous subissons encore les conséquences.

    Quant à l’abandon sanglant de l’Algérie et des populations qui avaient cru en la France, il restera une tache indélébile.

    Ce qui n’empêche pas d’admirer l’œuvre de restauration de l’État, la politique d’indépendance, le scepticisme devant les différents « machins » multinationaux.

    Mais, ici, Zemmour plonge aux sources de la France et, sans rien renier de son admiration pour De Gaulle, la nuance nettement – notamment par un éloge de Pétain comme « bouclier ».

    À l’exact rebours de l’histoire telle qu’elle est enseignée par l’Éducation nationale, il assume sa fierté d’être Français ; j’oserais presque dire, sa piété filiale – vertu qui apparaît si désuète à nos oligarques, mais sans laquelle aucune civilisation ne peut tenir.

    Il met en scène des grands hommes, les héros de notre longue histoire, alors même que l’histoire biographique et l’histoire chronologique semblent si « ringardes » pour nos dirigeants.

    Et c’est là que se trouve la troisième raison d’apprécier ce livre. C’est en effet un ouvrage de résistance à la dissolution de la France.

    Comme le fait remarquer Zemmour lui-même, « le grand effacement de notre histoire accompagne le grand remplacement des populations ».

    C’est pourquoi s’attacher à notre histoire n’est pas seulement un acte culturel louable, c’est aussi, c’est surtout un acte de résistance politique.

    Si nous ne voulons pas que la France disparaisse, la première des choses à faire est de l’aimer, dans son histoire, ses paysages, son identité charnelle.

    Je sais bien que ces expressions donnent de l’urticaire à ceux qui prétendent nous gouverner et qui, pour la plupart, croient, comme Emmanuel Macron, qu’il n’existe pas de culture française. Mais c’est la réalité et c’est pourquoi le livre de Zemmour est si important : il nous rappelle la grandeur de la France, que nos pseudo « élites » ignorent. Et il rend ainsi possible la renaissance de la France que nos pseudo « élites » veulent à tout prix empêcher.

    Guillaume de Thieulloy

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/212361/resister-au-grand-effacement-de-lhistoire-de-france-par-guillaume-de-thieulloy/

  • Aujourd’hui, en France, c’est Clovis ou le Coran!

    Aujourd’hui, en France, c’est Clovis ou le Coran!

    Les Français doivent choisir tant qu’ils le peuvent :

  • Manifestation pro-migrants en Bretagne : « Fachos hors de nos campagnes ! ! »

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    Le samedi 13 octobre, près de 150 militants anti-migrants se rassemblent devant l’ancienne caserne de gendarmerie d’Allaire (Morbihan) contre la décision d’implanter une vingtaine de « sans-papiers », mineurs isolés, sans l’aval du maire et de ses administrés. Comme chaque fois se trouvent en face un nombre équivalent de gens venant de partis comme le PCF, d’associations comme la Ligue des droits de l’homme ou le comité de soutien aux migrants. L’ambiance électrique oblige les gendarmes, en milieu d’après-midi, alors que les pro-migrants tentent par les champs de se confronter aux anti-migrants, à faire usage de bombes lacrymogènes contre ces derniers.

    Heureusement, vers 15 h 30, les deux rassemblements se dispersent et le calme revient. Ceux appelés par le Rassemblement national à se réunir ont dû regagner leurs véhicules, protégés par leur propre service de sécurité et les gendarmes sous les huées des pro-migrants.

    En résumé, rien de bien particulier dans ce face-à-face entre la France enracinée majoritaire (six Français sur dix) et l’Anti-France. Des informations tirées d’un article du journal Ouest-France. Ce qui est le plus symbolique, dans cet article, n’est pas tant le récit de ces deux manifs que la photo encadrant l’article. On y voit, en effet, une pro-migrante assise sur la route brandissant une affichette sur laquelle est écrit : « Fachos hors de nos campagnes ! »

    Un slogan simpliste et, pour tout dire, assez effarant qui amène à poser deux questions à son « rédacteur ».

    Tout d’abord, cette pro-migrante est là pour s’opposer à des gens simples : des Bretons, des artisans, des petits paysans ou des retraités qui privilégient le proche au lointain. Elle n’est pas confrontée à une garde prétorienne, armée jusqu’aux dents. Or, si l’« humanisme » pousse cette manifestante à défendre les migrations, pourquoi, sur son affiche, privilégie-t-elle la chasse aux « fachos » ? Certes, il est difficile d’argumenter et développer des idées sur un morceau de carton, mais gommer le sujet antagoniste pour mieux diaboliser l’adversaire est simpliste et grotesque.

    Ensuite, cette manifestante connaît-elle véritablement le sens des mots qu’elle a écrits ?

    Les fachos, ou « fascios », en italien, étaient des groupes créés par Mussolini à la fin de la Première Guerre mondiale ; le totalitarisme fasciste en résulta. Difficile, avouons-le, d’assimiler ces Morbihannais à des chemises noires ! Mais sait-elle que ses camarades de combat communistes ont menés des répressions bien plus féroces, qui se chiffrent par près d’une centaine de millions de morts ? Voici, dans les années 70, ce que déclarait Pietro Nenni, président du Parti socialiste italien, adversaire farouche du « Duce » : « Mussolini n’est pas cruel. Il ne se livrera jamais aux accès habituels de dictateurs comme Hitler, Staline ou Mao. »

    Il est vrai que de taxer de « fachos » tout ce qui est considéré comme étant un peu à droite est caractéristique de l’inculture et, je dirais même, de l’analphabétisme chez les « antifas ». Inculture car ceux-ci ne se sont jamais penchés sur les livres d’histoire de l’entre-deux-guerres, trop occupés à manier la batte de baseball. Quant à leur analphabétisme, il se révèle par leur incapacité à communiquer normalement, préférant un langage primaire basé sur quelques mots scandés inlassablement : « Facho, raciste, SS, nazis ! » comme si le rabâchage tenait lieu d’argumentaire, comme si l’éructation de ces noms dispensait du raisonnement.

    Incapables de délivrer une pensée aboutie, ils se muent en perroquets fiers de rabâcher leur pauvre vocabulaire. « Fachos hors de nos campagnes ! » Un slogan d’autant plus scandaleux que ces « fachos » sont tout de même « un peu, beaucoup » chez eux, dans ces campagnes.

    J.-P. Fabre Bernadac

    http://www.bvoltaire.fr/manifestation-pro-migrants-en-bretagne-fachos-hors-de-nos-campagnes/