« Le passeur Cédric Herrou, affilié à l’extrême-gauche, organise le passage de migrants clandestins en étroite concertation avec la Gendarmerie, la préfecture des Alpes-Maritimes et le ministère de l’Intérieur.
Actif au sein l’association “Roya Citoyenne”, Herrou planifie l’infiltration du territoire français depuis plusieurs années, dans l’impunité la plus totale. Comme ici en juillet 2017, à Nice.
Accompagnés de militants de « Roya Citoyenne », environ 130 demandeurs d’asile sont arrivés en gare de #Nice06 ce lundi matin. pic.twitter.com/SKAUIcTSpi — Benoit Guglielmi (@BenoitGuglielmi) 17 juillet 2017
Infiltration organisée sous la supervision de la Gendarmerie
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Cédric Herrou coordonne les passages de clandestins avec un officier de gendarmerie d’origine nord-africaine
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Barcelone : pour les indépendantistes, l’ennemi, c’est le roi d’Espagne, pas les islamistes
Ils ont déployé une banderole choc – en anglais, preuve d’un attachement viscéral à la belle langue catalane… - : « Le roi d’Espagne n’est pas le bienvenu dans les pays catalans ». Ils se sont associés a minima à l’hommage officiel, en présence du Premier ministre Sanchez et du roi Philippe VI. Ils ? Les mouvements indépendantistes catalans. Car, pour eux, l’urgence, c’est la libération de leurs « prisonniers politiques », comme on peut le voir sur d’autres pancartes accrochées ici ou là en Catalogne à certains balcons.
Comme par exemple dans le petit village de Ripoll, au pieds des Pyrénées, d’où sont originaires les fils d’immigrés marocains auteurs des attentats de Barcelone et de Cambrils, à la camionnette, et au couteau. Le Monde est allé enquêter sur le « malaise » qui règne dans la ville. La justice espagnole a rendu publics des documents de l’enquête montrant trois des « djihadistes de Ripoll » manipulant des ceintures d’explosifs, et affirmant « leur haine du koufar » (infidèle) en promettant, entre éclats de rire, « l’enfer pour les ennemis d’Allah ». Des images chocs qui font dire à une employée de la mairie interrogée par Le Monde :
« Nous les considérions comme des victimes secondaires car on leur avait lavé le cerveau mais les voir revendiquer les attaques avec une pareille désinvolture, ça nous a fait un choc, on a l’impression d’être revenus un an en arrière. »
Comme si le deuil n’avait pas été fait. Comme si on était allé un peu vite dans les explications. Comme si on avait été bien pressé de refermer le couvercle… Et en effet, comme en France ces dernières années, il y a eu en Catalogne une tendance à minimiser, et relativiser le phénomène du djihadisme chez certains jeunes musulmans, en les faisant passer pour des « victimes secondaires »…
Il y a d’innombrables manières de fuir la réalité, de détourner le regard. Et la France, depuis « Je suis Charlie », fait figure de championne dans cette catégorie. Que la Catalogne ait, dans une fuite en avant indépendantiste aux conséquences incertaines, choisi l’affrontement avec le pouvoir central espagnol pour cacher l’immense problème de l’islamisme et l’échec de son modèle d’intégration (aussi inefficace que celui de la France) pourrait prêter à sourire, si cela n’était pas dramatique, hier à Barcelone et à Cambrils, mais malheureusement demain ailleurs.En effet, il y a de quoi sourire devant une pseudo-défense de l’identité catalane qui laisse prospérer sur son sol des communautés musulmanes refermées sur leur culture et leur religion, et qui ne sait dire « welcome » qu’aux réfugiés mais surtout pas au roi d’Espagne. Le parallèle avec certains de nos leaders indépendantistes corses est d’ailleurs évident. Et j’attends avec impatience le moment où l’hymne corse, le « Diu salve regina » sera récitée par toutes les petites têtes brunes de l’île.
Quant aux indépendantistes catalans, il leur faudrait peut-être revisiter (et faire admirer à ces communautés musulmanes si peu intégrées) l’un des plus emblématiques monuments de leur Catalogne : l’abbaye de Poblet. Mais à Ripoll, municipalité indépendantiste, on a préféré ouvrir des ateliers sur le vivre ensemble : très peu de jeunes musulmans y sont venus… Alors l’abbaye de Poblet…
Qu’on le veuille ou non, l’identité et la culture catalanes sont intrinsèquement liées au christianisme (l’art roman européen serait né là, importé par des artisans lombards, ce qui fait tout de même rêver…), et à la nation espagnole, qui a été construite, entre autres, par ces rois d’Aragon qui reposent à Poblet, et – même si cela gêne ces indépendantistes – contre la présence musulmane en Espagne.
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Révolution populiste en Allemagne ? Un mouvement de gauche veut "en finir avec la bonne conscience sur la culture de l’accueil"
Une figure de proue de la gauche radicale lance un mouvement pour durcir la politique migratoire.
Rassembler la gauche pour contrer l’extrême droite ? C’est le projet controversé de la star politique allemande Sahra Wagenknecht, qui compte réduire l’influence du parti Alternative für Deutschland (AfD), la première force d’opposition au Bundestag, en durcissant les positions de gauche sur l’asile.
Inspirée du succès de Podemos en Espagne, de La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon ou de Syriza en Grèce, Aufstehen (Traduisez : « Debout ! » ou « Réveil ! ») va tenter de mobiliser très à gauche, mais sur le thème de la politique migratoire qui bouleverse le paysage politique allemand depuis 2015. Âgée de 49 ans, née d’un père iranien et d’une mère allemande, la Présidente du groupe parlementaire de la gauche radicale (Die Linke) veut « mettre la pression » sur les partis de gauche pour qu’ils engagent une « autre politique migratoire », dit-elle. Sahra Wagenknecht veut en finir avec la « bonne conscience de gauche sur la culture de l’accueil » et ces « responsables vivant loin des familles modestes qui se battent pour défendre leur part du gâteau ».
Crainte pour les bas salaires
« Une frontière ouverte à tous, c’est naïf. Ce n’est surtout pas une politique de gauche », insiste-t-elle. Les milliards dépensés par le gouvernement pour accueillir les demandeurs d’asile en 2015 « auraient pu aider beaucoup plus de nécessiteux en Allemagne », dit-elle. « Plus de migrants économiques signifie plus de concurrence pour décrocher des jobs dans le secteur des bas salaires. Le nombre de logements sociaux n’est pas non plus illimité », estime-t-elle.
Le lancement de ce nouveau mouvement de gauche, prévu le 4 septembre, a été mal perçu, surtout chez les sociaux-démocrates dont le déclin se poursuit inexorablement depuis la reconduite de la « grande coalition » avec Merkel. Le Parti social-démocrate (SPD), grand absent dans le débat sur la politique des réfugiés, se fait régulièrement dépasser par l’extrême droite dans les sondages. « Sahra Wagenknecht se met à rêver d’une gauche populiste en Allemagne », a dénoncé Thomas Oppermann, le Président du groupe parlementaire SPD, qui l’accuse de monter les pauvres et les réfugiés les uns contre les autres.
Pour Die Linke, Aufstehen constitue une menace existentielle. Sahra Wagenknecht défend les mêmes causes que son propre parti, mis à part la politique migratoire. « Un mouvement qui nous affaiblit n’est pas acceptable », a déploré Bernd Riexinger, chef de Die Linke.
Mais le succès de son entreprise reste à prouver. Il est mis surtout en doute par les politologues. « Les mouvements de protestation naissent en général dans la rue. Aufstehen a été organisé d’en haut avec une personnalité très marquée politiquement », constate Gero Neugebauer, politologue à l’Université Libre de Berlin (FU).
Problème de crédibilité
Par ailleurs, l’ancienne chef de la « plateforme communiste » du parti a un problème de crédibilité. Omniprésente dans les talk-shows télévisés, cette brillante économiste fait désormais partie de l’establishment et des « élites » dénoncées par l’extrême droite. « Je ne comprends pas l’objectif de ce rassemblement, sinon celui de faire encore plus de pub à Sahra Wagenknecht dans les médias », a déploré Annalena Baerbock, la Présidente du Parti écologiste.
Si les chances de réussite de ce rassemblement apparaissent réduites, les responsables politiques allemands restent néanmoins très prudents dans leurs pronostics. Depuis l’entrée de l’extrême droite au Bundestag, les Allemands sont confrontés eux aussi au populisme. Plus rien ne paraît impossible.
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Alain de Benoist : « L’Union européenne est en train de se casser sur la question des migrants »
Par Alain de Benoist
Ces derniers jours, Alain de Benoist a donné à Boulevard Voltaire plusieurs entretiens qui nous intéressent à l'évidence. Celui-ci [16.08] traite de l'impact de la crise des migrants sur l'Union Européenne. Une idée intéressante et positive d'Alain de Benoist, que nous avons nous-mêmes développée à plusieurs reprise ici, est que « L’Europe se disloque, mais aussi se recompose ». Même s'il ne faut pas se cacher les difficultés et les limites de cette recomposition embryonnaire, il y a là la perspective d'une Europe des Etats, des nations et des peuples, qui pourrait se construire enfin sur de bons et sains principes. LFAR
En s’amplifiant, la crise des migrants semble en train d’aboutir à une crise institutionnelle en Europe. Quand la fronde anti-migratoire ne concernait que des pays « mineurs » et « lointains » (Pologne ou Hongrie), la Commission européenne pouvait encore traiter cette affaire par le mépris. Mais quand c’est l’Italie, pays fondateur de l’Europe, qui tape du poing sur la table, l’affaire ne prendrait-elle pas une autre tournure ?
Les historiens de l’avenir retiendront que l’Union européenne, qui avait survécu tant bien que mal à un élargissement hâtif, à un déficit de démocratie permanent et à la crise de l’euro, est aujourd’hui en train de se casser sur la question des migrants. C’est un tournant effectivement historique, mais peut-on s’en étonner ? Au fil des années, les pathologies sociales liées à l’immigration ont fini par occuper la première place dans les préoccupations des Européens. Les gens ne supportent tout simplement plus ce qu’ils perçoivent comme une « invasion » ou une « submersion », et ils le supportent d’autant plus mal qu’ils ont l’impression que les flux ne sont pas près de se ralentir. Plus important encore, ils ne croient plus ceux qui, depuis des années, leur expliquent doctement que l’immigration est une « chance » économique et démographique, et qu’il faut avoir le cœur singulièrement sec pour ne pas y voir aussi une « obligation morale ». Les Français sont volontiers xénophobes, mais absolument pas racistes (les Allemands, c’est le contraire). Ils savent bien que ce ne sont pas les « préjugés » qui leur gâchent la vie. Bref, ils voient ce qu’ils voient, et ils savent qu’ils le voient.
L’Europe se disloque, mais aussi se recompose. Les pays d’Europe centrale, qui ne veulent pas se transformer à leur tour en caravansérails, se retirent du jeu. On dit qu’ils se replient sur eux-mêmes, mais ils s’associent entre eux. Non seulement les pays du groupe de Visegrád (Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie) s’opposent frontalement aux consignes immigrationnistes de la Commission de Bruxelles, mais ils ont aussi rallié l’Initiative des trois mers, lancée il y a trois ans par le président polonais Andrzej Duda et la présidente croate Kolinda Grabar-Kitarović, qui comprend également les trois pays baltes, l’Autriche, la Slovénie, la Croatie, la Roumanie et la Bulgarie. Ce bloc de douze pays et de 120 millions d’habitants, s’étendant de la Baltique à l’Adriatique et à la mer Noire, pourrait bien constituer l’embryon d’une autre Europe.
Les sondages montrent que la question migratoire arrive depuis longtemps en tête des préoccupations des Français et des Européens, et que l’hostilité à l’immigration ne fait que croître. Pourquoi les gouvernements n’en tiennent-ils pas compte, alors que cela risque de leur coûter politiquement très cher ?
D’abord parce qu’ils sont tétanisés par les lobbies associatifs et médiatiques, qui répètent soir et matin les mantras du politiquement correct. Ils ne veulent les affronter à aucun prix. Mais la raison la plus profonde est qu’ils sont eux-mêmes acquis à l’idéologie dominante. Or, du point de vue de l’idéologie dominante, l’immigration n’est pas un problème et ne peut pas en être un, puisque les cultures et les peuples comptent pratiquement pour rien. Seuls comptent les individus. Toute réglementation de l’immigration revient à violer le principe libéral selon lequel on ne peut accepter l’utilisation des aspects contingents de l’identité des individus, à commencer par leur origine ou leur appartenance socioculturelle, pour légitimer des « inégalités de traitement ».
Le libéralisme aborde la question dans une optique purement économique : l’immigration se résume à une augmentation du volume de la main-d’œuvre et de la masse potentielle des consommateurs. Elle se justifie, en outre, par l’impératif de libre circulation des hommes, des capitaux et des marchandises. Un million d’extra-Européens venant s’installer en Europe, c’est donc seulement un million d’individus qui viennent s’ajouter à d’autres millions d’individus. Le problème, c’est que les habitants du pays d’accueil, eux, ne voient pas arriver des « individus » mais des contingents de Maliens, de Sénégalais, de Maghrébins, de Pakistanais, etc., dont ils constatent qu’ils sont porteurs de mœurs difficilement conciliables avec les leurs. C’est ce qui fait toute la différence.
En Italie, l’union des populistes de gauche (M5S) et de droite (la Ligue) est une nouveauté par rapport à l’Autriche, par exemple, avec sa coalition droite-extrême droite. Ce phénomène est-il spécifiquement italien ou peut-il survenir dans d’autres pays, dont la France, toujours à la recherche de son éternelle « union des droites » ?
Les phénomènes politiques de grande ampleur s’exportent rarement à l’identique d’un pays à l’autre, mais y prennent plutôt des formes différentes. Il en va ainsi des mouvements populistes, qui ne cessent aujourd’hui de monter dans toute l’Europe, mais qui s’y configurent de manière variable. Ils ont, cependant, un trait essentiel en commun. C’est que le sentiment d’insécurité culturelle suscité par la vague migratoire ne suffit pas à expliquer le populisme. Il ne commence à y avoir de populisme que là où l’insécurité économique et sociale s’ajoute à l’insécurité culturelle, essentiellement dans les couches populaires et dans une partie (grandissante) des classes moyennes. C’est pour cela que le clivage « exclus d’en bas contre nantis d’en haut » se substitue de plus en plus au clivage gauche-droite. Et c’est exactement ce qui se s’est passé en Italie, pays en première ligne face aux flux migratoires, mais qui a aussi été très gravement touché par la crise financière de 2008. N’en doutons pas, c’est ce qui va se produire de plus en plus ailleurs.
Alain de Benoist Intellectuel, philosophe et politologue
Entretien réalisé par Nicolas Gauthier -
Les identitaires autrichiens entièrement acquittés des accusations de « mafia » et de discours haineux
Les 17 militants du Mouvement identitaire autrichien accusés d’avoir formé une organisation criminelle de discours haineux ont été déclarés innocents de toutes les accusations majeures, deux accusés ayant été contraints de payer des amendes mineures par un juge de Graz.
A l’issue de l’affaire, les 17 militants anti-migration de « droite-hipster » ont été disculpés des accusations portées contre eux plus tôt ce mois-ci par les procureurs de Graz qui ont utilisé la loi anti-mafia du pays pour tenter de prétendre que les militants s’engageaient dans la promotion d’un discours de haine, rapporte Kronen Zeitung.
Alors que tous les militants ont été disculpés des accusations majeures, deux d’entre eux ont été condamnés à des amendes : 240 euros pour des dommages matériels et 720 euros pour avoir blessé au coude un membre de la faculté de l’Université de Klagenfurt en 2016 lors d’une manifestation contre un cours universitaire sur l’intégration des migrants dans la population active autrichienne.
En ce qui concerne l’incident, le procureur a fait remarquer : « Vous n’êtes pas un front de patriotes pour moi, mais un front de lâches. »
À l’époque, l’activiste Luca Kerbl prétendait que le professeur l’avait agressé et avait tenté de le détenir après que le groupe ait quitté la salle de classe.
Les charges de l’affaire découlent en grande partie d’une action du groupe en avril 2016 dans laquelle ils ont déposé une banderole indiquant « Islamisation Kills » sur le toit du siège du Parti Vert de Graz.
Alors que le procureur dans cette affaire a tenté d’affirmer que l’expression « l’islamisation tue » était un discours de haine, le juge a jugé que la bannière n’était « pas une critique de l’islam, mais du Parti Vert et de l’islamisme radical ».
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Naturalisation : la Suisse refuse de se coucher devant la culture musulmane
Quand un étranger demande la nationalité de son pays d’accueil, il paraîtrait naturel qu’il adhérât à ses principes et à ses valeurs. Bref, qu’il marquât sa volonté d’intégrer sa nouvelle communauté. C’est d’ailleurs, en théorie, une des conditions pour obtenir la nationalité française. Oh ! Oh ! Vous raisonnez comme un facho ! Cette évidence ne s’impose pas partout en Europe, comme le prouvent les deux exemples suivants.
À Lausanne, la nationalité suisse a été refusée à un couple de musulmans qui refusait de serrer la main de personnes du sexe opposé, voire de répondre à leurs questions. L’un des membres du comité de naturalisation a expliqué, pour justifier cette décision, que « la Constitution et l’égalité entre hommes et femmes l’emportent sur la bigoterie ». Le couple dispose d’un mois pour déposer un recours.
Nul doute que si l’affaire s’était passée en France, il trouverait de nombreux appuis parmi nos dirigeants « progressistes » et les associations antiracistes, plus prompts à défendre les cultures étrangères que la culture française. Horreur ! En avril dernier, le Conseil d’État a validé le rejet de la naturalisation d’une Algérienne qui avait refusé de serrer la main d’un représentant du préfet, lors de sa cérémonie d’accueil dans la nationalité française. Quelle intolérance, n’est-ce pas ? Il va falloir changer la loi ou la Constitution pour que le Conseil d’État ne tombe plus dans de pareils errements.
Dans le même temps, en Suède, un tribunal a condamné une entreprise à verser 3.822 euros de dommages-intérêts à une Algérienne, de confession musulmane : elle n’avait pas voulu serrer la main du responsable de l’entreprise, ce qui avait provoqué l’annulation de son entretien d’embauche. La Justice suédoise a estimé que le refus de serrer la main pour des raisons religieuses était protégé par la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH). Exemple à suivre ?
Il est probable que l’Europe va redoubler d’attention pour repérer et réprimer tous les pays qui feraient preuve, à ses yeux, de « discrimination religieuse ». La femme algérienne, à qui le tribunal suédois a donné raison, s’est confiée à la télévision : « Je crois en Dieu, ce qui est très rare en Suède », a-t-elle déclaré, ajoutant que « dans [son] pays, on ne peut pas traiter différemment les hommes et les femmes » : c’est pourquoi « [elle n’a] de contact physique ni avec les hommes ni avec les femmes ». Non contente d’avoir gagné son procès, elle donne une leçon d’égalité aux pays occidentaux. Sans doute se moque-t-elle d’eux, mais ce serait pire si elle était sincère !
Cette anecdote montre, une fois de plus, la fragilité de nos démocraties face à la montée des revendications religieuses et communautaires, qui ne s’embarrassent guère de scrupules puisqu’elles prétendent être l’expression de la vérité. Sous prétexte de respecter « les droits de l’homme » (je vais me faire accuser de sexisme pour ne pas dire « les droits humains »), on cède devant les manifestations d’une identité étrangère, criant haro sur ceux qui ont le culot de défendre l’identité française. C’est ainsi qu’on se couche devant ceux qui, loin de vouloir intégrer notre société et ses usages, veulent imposer leurs propres conceptions.
Par une sorte de perversion de l’esprit ou, pire, par la volonté délibérée d’effacer ce qu’il reste de notre culture chrétienne, des dirigeants politiques et associatifs prennent plaisir à saper les fondements de notre société. C’est pour l’enrichir, paraît-il !
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Les Suisses découvrent les immigrés accueillis en France
5 jeunes femmes ont été tabassées par des jeunes français de cité « d’origine maghrébine ». « Ils ont shooté dans leur tête ! ».
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La haine des Blancs explose en Afrique du Sud
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Une Yézidie réfugiée en Allemagne, rencontre par hasard son tortionnaire
Une adolescente yézidie asservie par l’État islamique est retournée en Irak après avoir rencontré l’un de ses tortionnaires dans les rues d’une ville près de Stuttgart, en Allemagne, où il résidait en tant que réfugié. Ashwaq Ta’lo a déclaré qu’elle marchait dans la rue en février dernier lorsqu’elle a aperçu Abu Humam, un ancien gardien de l’Etat islamique, qui l’avait achetée en Irak pour 100 dollars.
« J’avais des sueurs froides en regardant attentivement son visage ». « C’était Abu Humam, avec la même barbe effrayante et le même visage hideux. »
L’adolescente a déclaré que Humam avait immédiatement proféré des menaces en lui disant:
« Je suis Abou Humam et je sais vous étiez avec moi pendant un moment à Mossoul. Je sais où tu vis, avec qui tu vis et ce que tu fais. »
Ta’lo a dénoncé Humam aux autorités, mais la police allemande a signifié qu’elle ne pouvait pas l’arrêter parce que le tortionnaire djihadiste a obtenu un statut de réfugié politique. L’adolescente a décidé de quitter l’Allemagne et est retournée au Kurdistan irakien pour vivre avec son père. « Je ne reviendrai jamais ».
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FILLETTE VOILÉE CHEZ GAP : POURQUOI ÇA CHOQUE ?