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immigration - Page 761

  • Les moutons de l’Aïd : les dérogations qui font la loi – Journal du mardi 21 août 2018

    Société / Les moutons de l’Aïd : les dérogations qui font la loi
    Pendant trois jours, les musulmans vont célébrer la plus importante fête en Islam : l’Aïd el Kebir. Face à une forte demande, les sacrifices de moutons font souvent des entorses à la loi française. Chaque année, l’Etat ferme les yeux.

    Société / Cigarettes plus chères = moins de fumeurs

    International / Donald Trump maintient ses positions
    Tensions avec la Turquie, conflit commercial avec la Chine et sanctions vis-à-vis de la Russie, Donald Trump est revenu sur ses choix diplomatiques. Face aux nombreux sujets de conflit, le président des Etats-Unis a maintenu ses positions avec un but en tête : les élections de mi-mandat.

    L’actualité en bref
    Lien Dailymotion :

    Lien Rutube :

  • Réduction des budgets de la Police et de la Gendarmerie au profit des immigrés

    Cherchez l'erreur : on coupe les crédits des forces de l'ordre pour les affecter aux immigrés, lesquels génèrent d'énormes problèmes de sécurité...

    Dans un rapport, déposé le 4 juillet 2018, au nom de la commission des Finances, Philippe Dominati note que 133 millions d’euros en autorisations d’engagement et 110 millions d’euros en crédits de paiement ont été annulés pour la police nationale, ainsi que 111,4 millions d’euros en autorisations d’engagement et 90 millions d’euros en crédits de paiement pour la gendarmerie nationale. Ces annulations ont été permises par un décret d’avance du 20 juillet 2017, servant à financer des mesures relatives à l’allocation pour demandeurs d’asile, qui dépend de la mission "Immigration, asile et intégration", explique le sénateur.

    Le rapport relatif à ce décret d’avance précise que ce besoin d’ouverture de crédits est dû d’une part "aux insuffisances des dotations inscrites en loi de finances initiale", et d’autre part "à la hausse constatée des flux de demandeurs d’asile", qui entraîne une augmentation du nombre de bénéficiaires de l’allocation pour demandeurs d’asile et des besoins d’hébergement liés aux opérations de mises à l’abri menées sur les derniers mois.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sur l’immigration, la gauche n’a plus les mots

    Luttant mollement contre la désignation des migrants comme boucs émissaires et la définition de l’immigration comme « problème », les partis de gauche semblent avoir renoncé à imposer un autre discours sur la question.

    Lors de la manifestation du 21 février 2018 – la première unitaire depuis 2015 sur le sujet – seuls les associations et collectifs appelaient à se rassembler pour dénoncer le projet de loi « Asile et immigration ». Parmi les participants, plusieurs centaines de personnes, avocats, agents de l’État du secteur de l’asile et associations d’aide aux migrants. Quelques élus, élus locaux ou députés communistes et insoumis, y ont participé mais leur présence est restée marginale. Parce que dans les faits, à part sur quelques plateaux de télés et de radios pour dénoncer mécaniquement « la politique du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb », il n’y a pas grand monde pour promouvoir une politique d’accueil ambitieuse et volontariste.

    La bataille culturelle abandonnée

    Aujourd’hui, c’est la France insoumise qui donne le la, à gauche. Et lorsqu’on observe les grandes campagnes nationales retenues par ses militants pour l’année 2018, aucune parmi les trois choisies ne concerne les droits des étrangers. Et pourtant, alors que la « crise migratoire » s’intensifie en Europe et que l’année 2018 – notamment par l’agenda politique engagé par Emmanuel Macron et cette loi « Asile et immigration » – va sans doute marquer un tournant sans précédent de la politique d’accueil en France, une mobilisation politique, intellectuelle, syndicale, de l’ensemble de la gauche aurait été nécessaire.

    Comme si la gauche avait abandonné la bataille culturelle. La bataille des idées. Celle des convictions. De la pédagogie, à travers de larges campagnes. Ne serait-ce que pour contrer à l’échelle nationale le discours ambiant qui, de l’actuelle majorité en passant par la droite de Laurent Wauquiez et l’extrême droite de Marine Le Pen, ne cesse de répandre des préjugés les plus nauséabonds. Ainsi, comme le relevait Héloïse Mary, présidente du BAAM (Bureau d’accueil et d’accompagnement des migrants) dans La Midinale du 21 février dernier : « La gauche a perdu une grande partie de son influence sur les questions migratoires par peur du Front national et de sa faiblesse idéologique […]. Elle est prise au piège de l’opinion publique. »  (…)

    http://www.fdesouche.com/1063951-sur-limmigration-la-gauche-na-plus-les-mots

  • Jean-Marie Le Pen convoqué par la Justice pour des propos tenus en... 2009 !

    668613750.jpgCaroline Parmentier Présent cliquez ici

    A 90 ans Jean-Marie Le Pen fait encore l’objet d’un acharnement judiciaire aussi grotesque que scandaleux. Il vient d’être convoqué le 17 septembre prochain par le Tribunal de Grande Instance de Paris qui envisage sa mise en examen pour des propos tenus en 2009 lors d’une interview à RTL.

    Interrogé sur l’augmentation des chiffres de l’insécurité en France, notamment celui des violences sur les personnes à l’occasion d’une déclaration du Ministre de l’Intérieur de l’époque (NDLR : Brice Hortefeux, sous le gouvernement Sarkozy), Jean-Marie Le Pen avait déclaré ce jour-là, 20 août 2009 : 

    « Monsieur Sarkozy ne se donne pas le moyens de faire la politique qui passe d’abord par le contrôle de l’immigration. L’immigration qui n’a cessé d’augmenter dans notre pays et qui crée la situation, principalement l’insécurité. Il n’y a qu’à regarder les faits divers. 90 % des faits divers ont, à leur origine, soit un immigré, soit une personne d’origine immigrée. C’est un fait dont il faut tenir compte » (…) 

    « Ces propos », conclut le juge d’instruction dans sa convocation datée du 13 août 2018, « contiennent l’allégation ou l’imputation de faits de nature à porter atteinte à l’honneur ou à la considération envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à un ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». On en est encore là…

    Rien à voir avec une origine ou une religion !

    A noter que dans notre pays doté du plus gigantesque empilement de lois liberticides antiracistes qui aient jamais été imaginées (loi du 23 juillet 1881, loi Pléven de 1972, loi Gayssot de 1990, loi de 1992 sur la réforme du Code pénal etc.) le délai de prescription pour des simples mots tenus au micro d’une radio, est incroyablement long. 

    Propos qui déjà à l’époque n’avait rien d’exagéré mais qui à fortiori dix ans après (et après cinq ans de Hollandie) apparaissent en deçà de la réalité. Car depuis il y a eu de nombreux morts. Entre temps, les violences des racailles sont devenues le quotidien d’une multitude de Français à l’image de l’affaire Adrien Pérez assassiné par les frères El Habib pour avoir défendu ses amis à la sortie d’une boite de nuit à Grenoble. Le nombre de victimes qui tombent sous les coups de « toujours les mêmes », de la délinquance issue de l’immigration, le déferlement de témoignages précis de violences sur les réseaux sociaux, le prouvent chaque jour. 

    Entre temps le terrorisme islamiste est également passé par là. Avec ses 250 morts, ses centaines d’attentats aux cris d’Allah Akbar, militaires et policiers assassinés, jeunes massacrés et mutilés au Bataclan, prêtre égorgé en pleine messe, adolescentes égorgées gare Saint-Charles, enfants écrasés en camion à Nice… 

    Et là plus que jamais au grand jamais, rien à voir avec un groupe de personnes, son origine ou son appartenance à une religion déterminée. Plus la vérité éclate et plus la répression pour ne pas qu’elle sorte, s’intensifie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Stopper toute nouvelle immigration

    Murailles-2-ligne-droite.jpg

    Ligne Droite cliquez ici

    L’immigration n’est plus une chance pour la France. Aujourd’hui, personne sur la scène politique n’ose plus vanter les mérites de ce phénomène tant sont évidents les troubles qu’il crée au sein de la société. Mais dans le même temps, personne n’apporte de solution à ce problème qui ne cesse dès lors de s’amplifier et de s’aggraver. Pour Ligne droite, il est donc urgent de prendre une mesure de sauvegarde qui devrait s’imposer d’elle-même : stopper toute nouvelle immigration.

    L’immigration, une source de problèmes majeurs

    Même des personnalités de premier plan, pourtant très politiquement correctes, ont reconnu en leur temps les difficultés que suscitait ce processus. M. Mitterrand n’a-t-il pas déclaré il y a plus de trente ans que le seuil de tolérance était atteint ? M. Giscard d’Estaing n’a-t-il pas, de son côté, parlé d’invasion? MM. Chirac et Sarkozy, chacun à leur façon, n’ont-ils pas évoqué les tourments qui en résultaient pour nombre de nos compatriotes ? Même M. Hollande, dans son livre confession, a lui aussi reconnu cette réalité.

    Et, de fait, l’immigration, qui a déjà profondément altéré la physionomie de notre pays, soulève d’innombrables difficultés dont les médias se font quotidiennement l’écho. Car c’est l’immigration qui est à l’origine des zones de non-droit où l’insécurité et la drogue règnent en maîtres. C’est l’immigration clandestine qui conduit à la création de bidonvilles dans de nombreux quartiers de nos villes. C’est l’immigration encore qui a installé l’islam sur notre sol, une religion étrangère à notre civilisation qui provoque tous les jours ou presque des débats sans fin. Un jour c’est le voile, un autre ce sont les repas halal. Un autre encore ce sont les mosquées ou les prières de rue. Et que dire du terrorisme islamique perpétré sur notre sol par des immigrés installés chez nous ? À vrai dire c’est dans d’innombrables domaines, comme celui de l’emploi, du logement, de l’école, de la sécurité ou de l’hôpital, que les problèmes s’accumulent. À cela s’ajoute le coût financier de cette immigration qui pèse sur les dépenses publiques pour plus de soixante-cinq milliards d’euros chaque année. Et, même si ce chiffre est contesté par les tenants du Système, personne aujourd’hui ne peut plus nier que l’immigration soit une source de difficultés majeures pour notre société.

    Stopper l’immigration pendant dix ans

    Face à cette situation, il n’y a donc que deux attitudes possibles. Ou on détourne le regard en ignorant la réalité comme le font les responsables du Système, où on affronte le problème et il n’y a alors qu’une réponse possible : il faut prendre une mesure conservatoire d’urgence et stopper toute nouvelle immigration pendant au moins dix ans. Ligne droite considère qu’une telle mesure s’impose d’elle-même car elle ne procède pas d’une démarche idéologique mais correspond à une attitude purement pragmatique. Lorsqu’un problème se pose, la première mesure à prendre est d’en tarir la source. Si une inondation se déclare dans une maison, avant de réparer les dégâts on obture les arrivées d’eau. De même, face à l’ampleur des troubles provoqués par l’immigration, le bon sens commande d’interrompre les flux d’arrivée de façon à pouvoir résoudre les difficultés liées à ceux qui sont déjà présents sur notre sol.

    Une loi d’exception pour des mesures de sauvegarde

    Or, contrairement à ce qu’affirment les tenants du Système, il est possible de stopper l’immigration. Il faut pour cela expulser ceux qui entrent clandestinement, ne plus autoriser d’arrivées légales, supprimer tous les avantages qui attirent les immigrés chez nous et s’efforcer au plan européen de limiter la poussée des migrants.

    Pour détendre la pression migratoire et en tarir les flux, il faut en effet que la nouvelle Europe, préconisée par ailleurs par Ligne droite, établisse un véritable contrôle à ses frontières extérieures, comme le font les pays du groupe de Visegràd pour leur propre compte, et donne mission aux marines européennes de reconduire les “migrants” dans leurs ports de départ.

    Sur le plan national, il convient d’abord de rendre possibles les expulsions de clandestins et de délinquants étrangers en écartant les juges de la procédure, laquelle doit revenir exclusivement aux préfets. Dans cet esprit, il faut aussi suspendre les règles de Schengen et renforcer les sanctions contre les passeurs et les entreprises qui utilisent de la main-d’œuvre illégale. S’agissant des demandeurs d’asile, ils devraient tous être reconduits sans délai à la frontière, à l’exception de quelques personnes reconnues par le gouvernement pour être effectivement persécutées dans leur pays en raison de leurs prises de position politiques.

    Le regroupement familial devrait par ailleurs être abrogé et le titre de séjour devenir révocable ad nutum, permettant ainsi de renvoyer chez eux les chômeurs étrangers en fin de droits.

    En outre, l’acquisition de la nationalité française ne devrait plus être possible selon la procédure dite du droit du sol. Quant à l’octroi des avantages sociaux d’assistance, il devrait être réservé aux nationaux et aux Européens. Enfin, les immigrants qui démontrent leur refus de s’intégrer notamment par la délinquance, le terrorisme, l’intégrisme islamique et le refus de travailler devraient être expulsés.

    Un moratoire consensuel

    Ces mesures, prises dans le cadre d’une loi d’exception pour une durée de dix ans, devraient rencontrer un large assentiment. Car, que l’on soit pour ou contre l’immigration dans son principe, chacun devrait reconnaître que la situation exige une pause dans les flux migratoires afin de mettre l’État en mesure de résoudre réellement et efficacement tous les problèmes actuels. Certes, les mesures préconisées sont en rupture avec les principes du politiquement correct et demanderaient pour être adoptées que soit mis fin au gouvernement des juges, mais n’est-il pas temps de sortir de ce carcan pour résoudre les problèmes qui sinon ne le seront jamais ?

    Un révélateur des intentions de la classe politique

    Au demeurant, l’attitude des responsables politiques et médiatiques à l’égard de ces mesures de sauvegarde serait très révélatrice. Ceux qui, bien qu’idéologiquement favorables à l’immigration, accepteraient le dispositif en reconnaissant le bien-fondé d’une pause dans le processus migratoire, démontreraient ainsi leur sens de l’intérêt national. En revanche, ceux qui s’opposeraient à ce moratoire, acceptant délibérément de laisser les problèmes de l’immigration continuer à s’aggraver, révéleraient la volonté qui est sans doute la leur d’utiliser cyniquement ces vagues migratoires dans le but mortifère de déconstruire notre civilisation.

    Vers la réémigration

    Chacun serait ainsi amené à prendre ses responsabilités. Mais il est clair que nos compatriotes seraient, quant à eux, largement favorables à l’arrêt de l’immigration pendant dix ans. Une période qui serait mise à profit pour assainir la situation et à l’issue de laquelle le choix serait donné au peuple français de lever ces mesures d’exception ou de les maintenir de façon définitive. Ne doutons pas que les Français, qui auraient expérimenté une amélioration spectaculaire de leur qualité de vie, se prononceraient massivement pour un arrêt définitif de toute immigration et pour le retour dans leur pays d’origine des étrangers qui ne souhaitent pas, ou ne peuvent pas, s’assimiler.

    L’immigration n’est pas une fatalité. Si l’on sort du politiquement correct, les solutions existent.

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  • Un débat sur l'islamisation et le féminisme où Zemmour dit bien des vérités... A écouter !

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    Sans commentaire. Il nous semble que ce débat (env. 25 minutes) mérite d'être écouté, médité, discuté. Du grand Zemmour !  LFAR 

     [Janvier 2018]

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Voilà ! Un terroriste algérien attaque un commissariat en Catalogne ! Accueil, générosité ? Vers une réaction espagnole

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    La galère de Don Juan d'Autriche au Musée Maritime de Barcelone

    L'attaque, hier lundi, du commissariat de police de Cornellà est un échec pour son auteur car il n'a fait ni victimes ni dégâts. Il ne provoque pas non plus cet intense écho médiatique et cette émotion universelle que suscitent les morts et les blessés en grand nombre. Seul le terroriste a été tué. C'est un raté.    

    Mais, un an après presque jour pour jour,  il se voulait clairement une réplique des attentats de Barcelone et Cambrils des 17 et 18 août 2017 qui, eux, avaient  été très meurtriers. (21 morts dont 5 terroristes et 130 blessés) et avaient eu un effet médiatique de grande ampleur. Qu'en avions-nous dit à l'époque ? 

    Des archives de Lafautearousseau nous extrayons cet article écrit peu après ces événements... Sont-ils déjà passés au domaine de l'Histoire  ? Sans-doute mais ils se prolongent aussi dans l'actualité et se renouvelleront probablement pendant de longtemps. De l'histoire en train de s'écrire. Bonne lecture ...  LFAR 

    Barcelone : « No tinc por » [22 août 2017]

    L'attentat de Barcelone - réplique des précédents à travers le monde, sur lesquels tout a déjà été dit - a donné aux médias l'occasion de diffuser leur dispositif de propagande idéologique habituel et, en appui, les images qui correspondent. Ce ne sont que des clichés rebattus.

    Ainsi, l'on n'a pas manqué de présenter Barcelone comme capitale du tourisme, au sens postmoderne - celui de l'homme au bermuda, ainsi nommé par Philippe Murray - et du « festivisme » comme idéal et religion du temps. Barcelone, en somme, ce serait un grand Bataclan, pour fête servile.

    Pour qui est concerné, Barcelone est en effet cela - qui reçoit 8 millions de touristes / an (3 à 4 fois sa population), dans une Espagne dont 20% des ressources proviennent du tourisme. Tourisme de masse, s'entend, qui a opéré dans ce pays, au fil du temps, ses ravages d'une ampleur égale à celle que peuvent produire les armes de destruction massive.

    Mais le Barcelone des touristes et des médias n’est pas la ville réelle. Naguère, au contraire de l’autre, on lui reprochait de n'être qu'une cité populeuse et laborieuse, marquée par le sérieux sans fantaisie du peuple catalan traditionnel. Le panache, le brillant, étaient à Séville ou à Madrid, où s'allument les feux aristocratiques de l'Espagne.  Les Catalans, de leur côté, travailleurs et bourgeois, prétendaient nourrir par leur seul travail le reste de l'Espagne dite paresseuse, exception faite pour les Basques, frères de labeur.

    Cette Barcelone subsiste, bien entendu, mais son peuple a déserté les Ramblas, n'y fait plus son paseo comme au temps jadis. Les Ramblas, à vrai dire, il les a abandonnées au tourisme interlope et à ses trafics. Et, in fine, aux Marocains terroristes qui y ont tué quatorze personnes et blessé cent autres. Principalement des étrangers.

    La réaction populaire ne semble pas avoir été très différente à Barcelone de ce qu'elle est, sous formatage médiatique, partout ailleurs : fleurs, peluches, bougies, pleurs etc.

    Cependant, tout Barcelone et au-delà s’est retrouvé dimanche, pour une Messe solennelle à la Sagrada Familia, autour du roi Philippe VI, de son premier ministre Rajoy, et, nonobstant l'indépendantisme catalan, du très contestable président de la Généralité, Puigdemont. 

    A la Sagrada Familia, donc, l'emblématique et improbable basilique toujours inachevée, imaginée par Antoni Gaudi à la fin du XIXe siècle, produit de sa passion mystique, d'un évangélisme profond et savant, d'un catholicisme ardent et des canons souvent excentriques de l’Art Nouveau.

    Ainsi le terrorisme islamique a-t-il eu d’autres conséquences que prévu : montrer une certaine dissociation entre une Espagne réelle, Catalogne incluse, pas vraiment disparue et celle des inévitables festifs mondialisés, ainsi que leurs fournisseurs en plaisirs vulgaires de tous ordres ; faire apparaître Barcelone pour ce qu’elle est : une grande ville d’Espagne, à coup sûr selon la modalité catalane, mais, qu’elle le veuille ou non, indéniablement espagnole ; enfin, une population confrontée, comme en d’autres temps, à l’agression de l’Islam, dont un imam tapi loin de là, à Ripoll, au fin fond des Pyrénées catalanes, avait préparé son attaque. « No tinc por », je n’ai pas peur, a été le cri de la foule et du roi.   

    Souhaitons donc à la Catalogne, bien qu’elle n’en prenne pas le chemin, de sortir de son tropisme antiespagnol, de calmer son hubris sectaire, de conserver son vieux fond traditionaliste et de mettre un frein à ses inclinations postmodernes naïves, d’ailleurs, et à tout coup, destructrices de ses traditions.

    Souhaitons à l’Espagne de garder son unité. L’Europe d’aujourd’hui est trop affaiblie face aux autres pour se payer le luxe de l’éclatement des grandes nations historiques. Un luxe (si l’on peut dire) dont personne ne profiterait.    

    Souhaitons, enfin, aux Barcelonnais comme à toute l’Espagne, de se souvenir, pour aujourd’hui ou pour demain, qu’au Musée Maritime, sur le port de Barcelone, tout en bas des Ramblas, est magnifiquement présentée la galère de Don Juan d’Autriche, ce jeune infant de 24 ans, qui à Lépante, en 1571, à la tête d’une flotte chrétienne, vainquit les Ottomans.

     

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Sondage : 65% des jeunes Écossais de 11 à 18 ans veulent que l’immigration « s’arrête » ou au moins « n’augmente pas »

    Une enquête réalisée par Ipsos Mori a révélé que près des deux tiers des jeunes Écossais de 11 à 18 ans estiment que l’immigration devrait être arrêtée ou maintenue à son niveau actuel.

    Plus d’un tiers des adolescents interrogés (35%) estiment que le niveau d’immigration en Écosse devrait rester le même, tandis que 30% déclarent que l’immigration doit être «réduite» ou «complètement arrêtée». 65% des personnes interrogées souhaitent que l’immigration « n’augmente pas ».

    Les points de vue des adolescents sont apparus grâce à une étude commandée par le gouvernement écossais, qui a sollicité leur avis sur l’une des plus grandes questions politiques au Royaume-Uni.

    Cette étude à propos de l’attitude des jeunes face à l’immigration est basée sur des recherches menées par des enquêteurs qui ont parlé à plus de 1 700 élèves du secondaire dans des écoles publiques en Écosse, couvrant une tranche d’âge de 11 à 18 ans.

    Seulement 15% des jeunes interrogés ont déclaré qu’ils pensaient que l’immigration devrait être augmentée, tandis que 20% n’ont pas souhaité répondre.

    Scotsman.com

    http://www.fdesouche.com/1063491-sondage-65-des-jeunes-ecossais-de-11-a-18-ans-veulent-que-limmigration-sarrete-ou-au-moins-naugmente-pas

  • Les Français ne veulent pas de clandestins – Journal du lundi 20 août 2018

    Immigration / Les Français ne veulent pas de clandestins

    Un nouveau sondage prouve que les Français sont majoritairement opposés à l’arrivée des clandestins dans notre pays. Malgré les efforts de l’IFOP pour tordre la vérité, les chiffres ne vont toujours pas dans le sens des dirigeants européens immigrationnistes.

    Politique / La rentrée sous tension d’Anne Hidalgo

    Union européenne / La Grèce sort “un peu” la tête de l’eau
    La Grèce sort officiellement de sa mise sous tutelle. Dix ans après le début de sa crise économique, le pays souffle un peu mais le niveau de chômage demeure très élevé et l’avenir politique reste incertain.

    L’actualité en bref

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)

    Lien Rutube :
  • AQUARIUS : L'ÉTERNEL RETOUR

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    Jean-François Touzé

    Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaire

    Comme des dizaines d'autres bâtiments néo-négriers affrétés par les organisations complices des passeurs comme SOS Méditerranée (label « grande cause » décerné par le Premier ministre en 2017 permettant de bénéficier de campagnes publicitaires gratuites dans les médias), agissant sous pavillon de complaisance humanitaire et en partie subventionnées sur fonds publics ou régionaux (Occitanie par exemple), l’Aquarius, jouant de sa proximité phonétique avec l'Exodus à fin de production lacrymale optimum, poursuit ses allées-venues, véritable navette de l’ingression migratoire en Méditerranée.

    Qu'au final le gouvernement français n'ait cédé ni aux demandes pressantes du communiste Gayssot (ex-ministre des transports de Mitterrand et auteur de la loi que l’on sait interdisant l’expression non conforme), d’accueillir le vaisseau pirate dans le port de Sète qu'il préside et d'en faire une plate-forme de débarquement pour les nouveaux colons, ni aux mises en demeure du chœur immigrationniste des vierges internationalistes, ne change rien à l'affaire.

    Qu'ils débarquent à Malte, en Espagne, au Portugal ou en France comme hier – et peut-être hélas à nouveau demain - en Italie, c'est vers le continent tout entier, à l'exception des pays ayant su retrouver leur dignité nationale comme la Hongrie de Victor Orban, que, par la grâce de Schengen et des quotas de répartition imposée par la Commission européenne, en vagues successives et incessantes, déferle l’écume invasive. Un flux à long terme destructeur de notre civilisation, et à court terme porteur des futurs acteurs de « faits divers » comme ceux – meurtres, viols ou agressions, qui se sont multipliés cet été en France, en Allemagne et ailleurs, sans même parler de la menace islamiste. On notera à ce propos que les demandes d'asile connaissent en France une très forte hausse (+ 17,8 % depuis le 1er janvier) et sont en passe de devenir une des formes les plus usitées d'immigration économique. Nul besoin, on le voit, d'accoster à Sète puisque, de toute façon, ils finissent toujours par échouer chez nous.

    • Rien pourtant qui ne pourrait être stoppé si existait une volonté politique.
    • Rien que ne pourraient bloquer en quelques heures quatre ou cinq frégates des marines nationales européennes par coups de semonce voire plus si nécessaire, et opérations d’arraisonnements avant retour vers la Libye ou la Tunisie.
    • Rien qui ne pourrait être traité par la liquidation physique des réseaux de passeurs et l’arrestation de leurs complices.
    • Rien qui ne pourrait être inversé par une politique de contrôle drastique des frontières maritimes comme terrestres, d'immigration zéro et de rémigration.

    Cela, nous l'avons dit, exigerait une volonté sans faille et une détermination radicale.

    Cette volonté et cette détermination que possède le Parti de la France.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/