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immigration - Page 758

  • Livre : L’islam à la conquête de l’Occident, de Jean-Frédéric Poisson

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    Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate et membre du collectif Les Amoureux de la France, signe ici L’islam à la conquête de l’Occident (Éditions du Rocher). Il s’agit de l’étude d’un document datant de 2000 et actualisé en 2006, rédigé par l’ISESCO (Organisation islamique pour la science et la culture).

    Ce document a été pensé comme une « Stratégie de l’action culturelle islamique à l’extérieur du monde islamique ».

    Alors que la question migratoire alimente les débats depuis quelques années, et que s’y mêlent des critiques de l’islamisation du pays, l’existence d’une stratégie liée à ces phénomènes a toujours été niée. L’enquête récente de Gérard Davet et Fabrice Lhomme sur l’islamisation des banlieues, Inch’Allah, L’islamisation à visage découvert, si elle rapporte bien la réalité du terrain, ne traite absolument pas les causes profondes. Si le point de départ, la raison de ce processus ne sont pas dévoilés, il est impossible de le combattre. C’est ce à quoi l’ouvrage de Jean-Frédéric Poisson s’attaque.

    Les pays signataires du document qu’il étudie sont les membres de l’ISESCO, c’est-à-dire tous les États musulmans, de l’Arabie saoudite au Qatar en passant par l’Iran ou le Tchad. L’objectif de ce document est d’installer à la place de la société occidentale « une civilisation de substitution ».

    Jean-Frédéric Poisson étudie avec précision chaque chapitre de ce document qui décrit la manière « d’imposer la charia en Europe » et, par extension, à l’ensemble du monde occidental. Les moyens prescrits par les signataires concernent plusieurs domaines : l’action sociale, la famille, le statut des femmes, l’enfance et la jeunesse, les institutions sociales et religieuses, l’ouverture à l’environnement, l’éducation et l’enseignement et, enfin, la langue arabe.

    Les moyens d’investir ces domaines sont nombreux : le mensonge (la taqiya et ses diverses formes), le soi-disant dialogue avec l’Occident sur le principe de la dhimmitude. « Il s’agit d’amener l’Occident à reconnaître […] que l’islam est la meilleure solution possible pour lui-même. » Tout homme étant né musulman, il n’y a pas d’autre aboutissement possible au dialogue. « Il ne peut être question, donc, d’un dialogue d’égal à égal. »

    Le document revient ensuite longuement sur la faillite de la civilisation occidentale, sur sa perversion et sur sa faiblesse. Il montre comment s’engouffrer dans les brèches laissées par la tolérance de ces sociétés, comment les fragiliser et les détruire pour y imposer la loi islamique. L’Occident est « une terre de conquête ».
    Jean-Frédéric Poisson développe ensuite les moyens de répondre à cette stratégie d’action culturelle islamique à l’extérieur du monde islamique. Il s’agit d’apporter une réponse politique à cette volonté de conquête par l’islam, présente dans nos sociétés par le communautarisme. Il développe ainsi plusieurs axes de réflexions : l’évolution de la loi de 1905 ou, du moins, son application, la lutte contre l’influence néfaste des États étrangers, notamment pour les questions de financement des mosquées, le soutien aux réformateurs, aux courants plus « modernistes », et la lutte contre le communautarisme.

    C’est la première fois que cette stratégie d’action culturelle est commentée. Jean-Frédéric Poisson signe, ici, une analyse complète de ce document, pour que ce sujet soit discuté et débattu dans le champ politique, pour que les Français sachent, pour que les élites ne puissent pas dire « Je ne savais pas ».

    Nicolas Pécari

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Jean-Marie Le Pen : “L’immigration massive est depuis 40 ans le principal problème français”

    Jean-Marie Le Pen : “L’immigration massive est depuis 40 ans le principal problème français”

    Certains gilets jaunes l’ont bien compris : 

    Jean-Marie Le Pen
     
    @lepenjm

    Esquivée dans le débat, l’immigration massive est depuis 40 ans le principal problème français, dans la crise du logement, du chômage, de l’insécurité, des déficits budgétaires et sociaux, et même de l’identité nationale.
    Signer le pacte de Marrakech serait une trahison.

     
    1 280 personnes parlent à ce sujet 

    https://www.lesalonbeige.fr/jean-marie-le-pen-limmigration-massive-est-depuis-40-ans-le-principal-probleme-francais/

  • Droite et Gilets jaunes contre le Pacte pour les migrations, par Olivier Bault

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    Le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières que la France s’apprête à signer à Marrakech les 10 et 11 décembre serait-il en passe de se retrouver au centre de la révolte des Français contre la dictature des élites mondialistes et progressistes et leur représentant Emmanuel Macron ? Jusqu’à récemment, les médias mainstream français évitaient consciencieusement d’en parler, espérant sans doute comme le pouvoir exécutif que sa signature par la France passerait inaperçue. C’est une fois de plus la réinfosphère et les médias dissidents comme Présent qui obligent aujourd’hui les grands médias à parler de cet important sujet, et à signaler que la thématique de l’immigration et du Pacte mondial de l’ONU pour les migrations « s’invite dans la mobilisation des Gilets jaunes » (dixit France Info). Le sujet du pacte était débattu cette semaine sur la page du groupe Facebook Gilets jaunes (plus de 150 000 membres) tandis que la polémique enflait sur les réseaux sociaux, à l’approche des manifestations du 8 décembre qui se dérouleront deux jours avant l’ouverture du sommet de Marrakech.

    « Menée par Marine Le Pen et l’extrême droite, la fronde contre le pacte de Marrakech agite le mouvement des Gilets jaunes », expliquait BFM TV le 3 décembre. Si BFM TV, comme d’autres grands médias, abordait enfin la question du Pacte pour les migrations et de sa signature par la France, c’était parce que Marine Le Pen avait tenu une conférence de presse pour dénoncer « la trahison silencieuse de la nation » et exiger d’Emmanuel Macron qu’il renonce à le signer. « On ne peut pas accueillir des centaines de milliers de personnes supplémentaires, sans que ça ait une influence sur l’équilibre de nos budgets sociaux et de nos territoires », a fait remarquer la présidente du Rassemblement national après son entretien de lundi avec le Premier ministre Edouard Philippe.

    « En mars 2000, l’ONU préconisait déjà l’entrée de 159 millions d’immigrés en Europe d’ici 2025. Aujourd’hui, l’ONU veut nous imposer son Pacte mondial pour les migrations. Bien qu’on nous répète que ce texte n’ait aucun caractère contraignant, il vise à consacrer un prétendu droit à la migration. Présenté comme un nouveau droit de l’homme, il induirait de nouveaux devoirs pour les pays signataires. Et ce, au nom d’une charité dévoyée qui fait passer les autres avant les nôtres », dénonçait déjà Nicolas Bay, coprésident du groupe ENL, le 13 novembre au Parlement européen.

    Chez les Républicains, l’opposition à ce pacte commence aussi à se faire entendre, à l’image de ce qu’en disait le 29 novembre Eric Ciotti dans Le Figaro : « Ce texte néfaste instaurera un appel d’air mondial et une forme de droit international à la migration. Au nom de l’intérêt de l’Etat et de sa souveraineté, j’appelle Emmanuel Macron à refuser de signer ce pacte. » « Signer ce pacte sans même un débat au Parlement est une nouvelle preuve du mépris de ce gouvernement pour nos institutions », renchérissait, lui aussi cité le 29 novembre par Le Figaro, le député LR du Pas-de-Calais Pierre-Henri Dumont, chargé des questions d’immigration pour LR.

    Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, va encore plus loin puisqu’il exigeait fin novembre la tenue d’un référendum à ce sujet, en dénonçant dans un communiqué cosigné avec le sénateur Jean-Louis Masson : « Ce Pacte […] encourage l’immigration et dépossède les Etats de la maîtrise de leur politique migratoire. De plus, il promeut la propagande en faveur de l’accueil des migrants et les sanctions matérielles à l’égard des médias dénonçant les dérives de l’immigration de masse. »

    A l’étranger, outre l’Italie et la Suisse qui ne seront pas représentées à Marrakech puisque leur signature est suspendue à un débat au Parlement, la Bulgarie a rejoint mercredi la liste des pays qui se sont officiellement retirés de ce Pacte pour les migrations : Etats-Unis, Australie, Israël, Autriche, Hongrie, Tchéquie, Slovaquie et Pologne.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 7 décembre 2018

    https://fr.novopress.info/

  • [vidéo] L’islam radical dans le monde du travail

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    Philippe Lobjois, auteur de “La guerre secrète – L’islamisme radical dans le monde du travail” (Editions Fayard), était l’invité d’André Bercoff

  • Le gilet jaune, c’est celui qu’on porte sur la bande d’arrêt d’urgence

    Le gilet jaune, c’est celui qu’on porte sur la bande d’arrêt d’urgence

    Lu dans L’Incorrect :

    […] Ils ne sont pas opportuns, non. Ils arrivent au mauvais moment. La planète n’en peut plus, le Pacte de Marrakech est à portée de signature, il fait froid, il fait moche, les caisses sont vides, et le Grand Remplacement bat son plein. On n’est jamais  opportun quand on n’en peut plus, quand trop c’est trop, quand on a faim et froid et qu’on s’inquiète pour sa subsistance. Pourquoi maintenant, leur disent ceux qui ont le ventre plein et des revenus assurés ? Ce n’est pas le bon moment ! Cette taxe, c’est vraiment rien du tout ! Bien sûr que ce n’est rien du tout, cette taxe, mais quand tu n’as plus rien dans ton porte-monnaie, tu n’as plus rien. (Ça vous est déjà arrivé, de reposer vos courses à la caisse, parce que vous vous rendez compte que vous ne pouvez pas ?)

    Tu ne peux plus avancer, tu ne peux plus acheter, tu ne peux plus chauffer la maison, tu ne peux plus bouger, et même les mots ont du mal à sortir de la bouche. Ils ne comprennent pas ça, ceux qui expliquent « la dette », « l’écologie », « le Grand Remplacement », « la politique », « la morale », « l’éthique », aux Gilets jaunes. Les Gilets jaunes, ils n’ont pas conscience de « lancer une révolution sociale », et je crois même qu’ils s’en branlent absolument, de savoir si leur colère est sociale, politique, opportune, morale, républicaine, révolutionnaire ou réactionnaire. Simplement on avait pris l’habitude de les traire sans qu’ils renâclent, ou seulement pour la forme, et là, tout soudain, ils trouvent un peu douloureux qu’on leur soutire le lait que leurs mamelles ne contiennent plus depuis longtemps.

    Moi aussi je suis désolé de voir qu’ils ne se sont pas révoltés avant, les Français, et pour plus grave encore, qu’ils ne se sont pas révoltés contre leur disparition programmée, contre la submersion migratoire, contre le changement de peuple et contre l’islam assassin, qu’ils n’ont rien dit quand on les a égorgés un à un, quand on les a obligés à changer de trottoir, quand on a humilié leur langue, leur histoire et leurs traditions. Mais c’est comme ça. Ils n’ont pas vu, ils n’ont pas compris, ils n’ont pas été aware, comme dirait le grand philosophe belge Jean Claude Van Damme. Ils sont obscènes et à contretemps, les Gilets jaunes. La couleur de leur mouvement, cet épouvantable jaune fluo, c’est tout le contraire d’un choix esthétique et éthique ; ils n’ont fait qu’attraper au vol une injonction et l’ont retournée en signal.

    Le gilet jaune, c’est celui qu’on porte sur la bande d’arrêt d’urgence, ce territoire précaire où l’espérance de vie ne dépasse pas une demi-heure. Eux, ces Français-là, ils y sont constamment, sur la bande d’arrêt d’urgence. Ces Français-là – le peuple invisible, le peuple profond –, ils se tiennent sur une toute petite portion du territoire médiatique, et ils sont pétrifiés, car ils sont frôlés en permanence par des bolides des fenêtres desquelles s’échappent une musique et des paroles auxquelles ils ne comprennent rien. Ils ont beau porter leur gilet jaune, ceux qui roulent à 200 à l’heure sur l’autoroute de la France nouvelle ne les voient pas.

    Il y a longtemps qu’on leur a expliqué que le peuple, ce n’est pas eux, ce n’est plus eux. Les quartiers populaires, ils n’y habitent pas, et les subventions que l’État aime à distribuer avec emphase, ce n’est pas pour eux. Eux, ils habitent simplement la Creuse, la Picardie, la Lozère, la Somme, ils habitent dans le désert, ils n’habitent pas les Territoires perdus (de la République), ils habitent les territoires invisibles, ceux qui n’intéressent ni le parti dévot ni les investisseurs internationaux ni l’industrie du spectacle. Tout cela remonte à très loin et c’est ce qui leur donne cet élan qui surprend tout le monde.

    Je trouve indécent qu’on parle d’écologie aux Gilets jaunes. Ils fument des clopes et roulent en diésel ? Mais je m’en fous ! Mais alors qu’est-ce que je m’en fous ! Qu’on leur fiche la paix avec la planète, qu’on s’occupe des gros, des vrais pollueurs, de ceux, par exemple, qui prennent l’avion comme les Gilets jaunes prennent leur voiture, et peut-être, ensuite, pourra-t-on leur opposer le sentiment écologique. Ce qui est certain, c’est que ce n’est pas le problème, aujourd’hui. Quand j’entends des slogans du genre « ensemble pour la planète », par exemple, j’ai l’impression d’entendre les Enfoirés, ces milliardaires déculturés et moralisateurs, qui demandent aux smicards de donner de l’argent aux RMistes et aux chômeurs. Salopards, misérables fripouilles ! Quant aux dépenses, il s’agit bien de ça !

    Tant que des prédateurs milliardaires se goinfreront impunément sur le dos des entreprises publiques et tant que continuera cette folle politique du changement de peuple, on pourra faire tout ce qu’on veut pour économiser trois sous, la balance sera indéfiniment déficitaire, et tout coûtera trop cher. Ces gens qui nous parlent de « la dette » en se rengorgeant de leur pauvre science comptable me sont odieux. Quelle dette ? Imagine-t-on ce que coûte vraiment cette folie, le Grand Remplacement ? Et pour quel résultat ? Même un Giscard d’Estaing en est aujourd’hui conscient, qui fut à l’origine de cette monstruosité, et la regrette. À un bout, ce sont des milliards qui sont soustraits tranquillement aux nations, sans qu’elles mouftent, et à l’autre, on reproche à de pauvres gens de coûter trop cher. Il y a de quoi devenir fou.

    Les Gilets jaunes veulent seulement continuer à exister. Eux seuls n’auraient pas ce droit ? Chacune des minorités de ce pays tyrannise la société pour un oui ou pour un non, et le peuple français dans son immense majorité n’aurait pas le droit de simplement subsister, alors qu’il ferme sa gueule depuis quarante ans, tétanisé par les fêlés qui théorisent un nouveau monde auquel il ne comprend rien ? C’est bien le sens profond de ce mouvement qui est un mouvement de fond : est-ce que nous, peuple français, avons encore le droit de persister dans notre être en ce pays qui naguère était le nôtre ? Je constate une chose : moins on demande et moins on obtient.

    Ceux qui gueulent très fort et emmerdent le monde à longueur d’année – féministes, LGBT, minorités diverses, casseurs – obtiennent à peu près tout ce qu’ils veulent. Les Gilets jaunes ont fini par entendre la leçon, et sortent de l’ombre. Mais comme ils sont beaucoup plus nombreux que ces fameuses minorités, évidement, ça fait beaucoup plus de bruit, et ça effraie, car le mouvement une fois mis en branle, il semble difficile à arrêter. Pour ma part, je m’en réjouis. C’est – enfin – le retour à un ordre des choses normal, en démocratie. La majorité veut se faire entendre comme ce qu’elle est, la majorité – pour combien de temps, ça c’est une autre question…

    La transcendance et les bonnes manières sont remises à une date ultérieure, car la vie est courte. Les Gilets jaunes, c’est ça qu’ils voient : leur vie est courte, et elle n’a pas encore commencé. Ils s’impatientent, et je comprends cette impatience. Et puis, merde, ils sont détestés de BHL et de Kassovitz, et ça, ça compte double.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-gilet-jaune-cest-celui-quon-porte-sur-la-bande-darret-durgence/

  • Contre le Pacte de Marrakech

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    Source Valeurs actuelles cliquez ici

    Décision. Le chef de l’État devait prochainement ratifier un pacte mondial sur les migrations piloté par l’ONU, par ailleurs très décrié. En pleine crise des “gilets jaunes”, il va finalement déléguer la tâche.

    Tandis que les « gilets jaunes » s’apprêtent à participer à l’acte IV de leur mobilisation, à Paris, samedi 8 décembre, Emmanuel Macron n’ira finalement pas, comme prévu, à Marrakech (Maroc) les 10 et 11 décembre prochains, où il était censé ratifier un pacte onusien sur les migrations. Pas de quoi calmer les ardeurs de certains manifestants, qui voient en ce texte la porte ouverte à tous les migrants, d’autant plus que c’est le secrétaire d’État aux Affaires étrangères qui le signera pour lui, rapporte Libération ce vendredi.

    Une ratification en catimini ?

    Le désistement du président Macron aurait suscité une « grande déception » du côté du Maroc, qui voit dans cette conférence un « moment historique », selon une source diplomatique locale. Ce changement de dernière minute peut être vu comme une stratégie de la part du chef de l’État, qui sait l’impopularité du pacte en question dans les rangs des « gilets jaunes ». Pourtant, l’idée est bel et bien de ratifier ledit texte, qui a déchaîné les passions depuis son adoption en juillet dernier à New York. Aujourd’hui, seuls deux tiers des quelque 190 pays qui l’avaient validé ont confirmé leur présence à l’événement.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Des Suédois protestent contre les migrations de masse aux cris de « Réveillons le Viking qui est en nous »

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     EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Dimanche dernier un millier de manifestants participait à un rassemblement devant le Parlement suédois à Stockholm. Les orateurs, après avoir déploré la perte par la Suède de son statut d’état modèle, mirent en garde contre les dangers du traité de l’ONU sur les migrations.

    Tous soulignèrent que son adoption limitera la liberté d’expression en introduisant le droit d’interdire toute critique de l’immigration. Adjurant le peuple suédois de défendre corps et âme sa liberté de parole ils proclamèrent, : « Il est temps de réveiller le Viking qui est en nous, de défier le « politiquement correct » avec courage et une parole plus claire ». L’un des orateurs souligna que le traité regorgeait de nouveaux droits accordés aux immigrants sans leur imposer aucun devoir.

    Curieusement cette réunion se déroula sans contre-manifestation gauchiste, comme si même les antifas prenaient conscience que la Suède connaissait des problèmes majeurs. On chanta l’hymne national suédois à la fin et, bien entendu, aucun média du système ne rendit compte de l’événement !

    https://fr.novopress.info/212909/des-suedois-protestent-contre-les-migrations-de-masse-aux-cris-de-reveillons-le-viking-qui-est-en-nous/

  • Qu'est ce que le Pacte de MARRAKECH pour les migrants ?

  • Gilets jaunes : le mouvement de révolte s’étend en Europe !

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    En Allemagne, Belgique, Pays-Bas ou encore Bulgarie et Serbie, des vagues de contestations, avec le port du gilet jaune comme étendard de la lutte, contre les politiques menées par leurs gouvernements respectifs prennent de l’ampleur.

    Si l’origine de ces contestations n’est pas tout à fait similaire à celle connue en France : hausse des carburants en Serbie, dénonciation du pacte sur les migrations en Allemagne, appauvrissement des classes moyenne aux Pays-Bas et outre le gilet jaune, ces mouvements ont en commun de dénoncer les politiques populicides de nos dirigeants européens de ces dernières décennies.

    Il n’existe cependant aucun lien organique entre ces divers mouvements.

    https://fr.novopress.info/

  • Charles de Meyer : “J’irai manifester demain et ma conscience catholique sera tranquille.”

    Charles de Meyer : “J’irai manifester demain et ma conscience catholique sera tranquille.”

    Charles de Meyer écrit sur Facebook :

    J’irai manifester demain et ma conscience catholique sera tranquille.

    Nous pouvons recevoir ci et là des appels à ne pas participer aux manifestations demain. Ils viennent souvent de relais d’influence de l’Eglise.

    Cette position me semble intenablePour des raisons dont il ne s’agit pas de débattre ici, l’Eglise est identifiée par la ruralité française comme une des institutions qui l’a le plus abandonnée. Le départ du curé a précédé de beaucoup celui du bureau de poste. Est-ce vraiment être ouvert au « signe des temps » que de se ranger, encore une fois, du côté du pouvoir et de ne pas entendre le pays réel ?

    Je comprends mal l’appel au jeûne. Nous autres croyants n’avons pas que des estomacs. Nous avons aussi des bras et des jambes pour agir et manifester. Nous avons toute l’année pour jeûner et prier pour une société fraternelle mais nous devons aussi affronter le réel et force est de constater qu’il sera samedi davantage dans les mobilisations que dans les salles paroissiales. Qui peut juger de la prière du coeur de ceux qui seront dans les rues ?

    Je remarque sur cette question comme sur d’autres une tendance à ne pas vouloir avoir de parole forte et accessible sur de longues périodes puis à tenter la pirouette d’une journée de recueillement pour réagir. Je me souviens du très beau texte de monseigneur Centène pendant les Bonnets Rouges. Et de combien les Bretons furent reconnaissants de sa publication. J’ai honte quand je lis le communiqué de la CEF évoquer : « Des changements profonds qui marquent notre société, des choix politiques mal compris accentuent le sentiment d’exclusion. » Il n’y a pas de sentiment d’exclusion, il y a des pauvres qui sont sciemment abandonnés à leurs sorts. Monseigneur Aupetit le dit parfaitement dans son texte : « Comme archevêque de Paris, je comprends la peine de ceux qui manifestent pacifiquement et luttent pour conserver une vie digne »

    L’archevêque de Paris insiste alors sur la nécessite de construire un dialogue. Et il a raison. Mais avec qui dialoguer ? Faut-il ronronner des caresses du discours des Bernardins ou « oser notre risque » auprès des manifestants samedi ? Le dialogue s’établit-il prioritairement avec ceux qui crient leur souffrance ou avec ceux qui arborent leur arrogance ? Ou alors s’agit-il de nous enfermer dans notre caricature et discuter « expertise en humanité » entre nous, loin des évènements, loin des gens, loin des mobilisations politiques ?

    Je lisais dernièrement le Raison du Cleuziou sur les cathos d’aujourd’hui. Il souligne l’incompréhension entre les générations, ou plutôt les “types”, catholiques. Je crois que les appels à ne pas aller manifester en sont encore une preuve flagrante. Après trente ans de levain dans la pâte, des influenceurs dépassés nous invitent à ne pas être intégralement dans le monde, jusque dans les moments ou la justice est délicate et les choix difficiles. Alors oui, allons dialoguer, mais allons dialoguer dans le réel, et même si certains tombent dans des écarts malheureux, la majorité se sera bravement salie les mains, abîmée les poumons de lacrymo et délestée quelques neurones par coups de tonfas. Ce sera bien moins chiant qu’une intervention de patron du cac 40 sur la doctrine sociale de l’Eglise et certainement plus efficace.

    https://www.lesalonbeige.fr/charles-de-meyer-jirai-manifester-demain-et-ma-conscience-catholique-sera-tranquille/