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immigration - Page 795

  • Bravo l'Italie ! Bravo Salvini !

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    « L’Aquarius avec 141 autres immigrants à son bord : une propriété allemande, affrété par des ONG françaises, avec un équipage étranger, dans les eaux maltaises, battant pavillon de Gibraltar. Il peut aller où il veut, pas en Italie ! »

    Matteo Salvini (Twitter).

    Le navire humanitaire Aquarius avec 141 personnes, sauvées au large de la Libye, a de nouveau été interdit d’entrer dans un port italien, a indiqué le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini dans un tweet.

    Avec 141 migrants secourus près de la Libye, le bateau humanitaire Aquarius, affrété par l’association SOS Méditerranée, a de nouveau voulu entrer dans un port italien, mais a reçu un refus de la part du ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini.

    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    Le mouvement perpétuel

    Quel Aquarius pour sauver l'Europe ? 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Peur de l’islam : Véronique Genest ne regrette rien de ses propos

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    Et une polémique de plus comme on les adore par chez nous, surtout lorsqu’on s’ennuie en plein mois d’août. Et, comme à la télé qui repasse pendant les vacances les valeurs sûres – FantomasAngélique, marquise des anges ou Le Gendarme à Saint-Tropez -, quoi de mieux que de ressortir les vieilles polémiques qui ont cartonné par le passé ! Télé Star vient de nous en donner une merveilleuse occasion en interviewant Véronique Genest.

    « À 62 ans, Véronique Genest semble plus en forme que jamais. Si elle se sent bien dans son corps et dans sa tête, le cap de la soixantaine l’a éloigné (sic) de la télévision », écrit la journaliste pour introduire le sujet. Jusque-là, rien qui augure d’un scandale divertissant. On se souvient en effet qu’en 2013, TF1 avait invité le commissaire Julie Lescaut – 57 ans, à l’époque – à faire valoir ses droits à la retraite par anticipation, après vingt-deux ans de bons et loyaux services à résoudre des énigmes policières. Allez comprendre l’administration : le commissaire Navarro, lui, sous les traits de Roger Hanin, rempila jusqu’en 2007 : il avait 82 ans ! Mais là n’était pas le sujet qui allait faire le bruit susceptible de réveiller la France de sa sieste aoûtienne. Ni même les trente-six kilos que Véronique Genest a perdus en dix-huit semaines. Quoique, cet acharnement à vouloir mincir pourrait être interprété comme de la grossophobie, ce qui n’est pas bien du tout par les temps qui courent.

    Ce qui n’est pas bien du tout, non plus, par les temps qui courent, c’est une autre phobie : celle qui frise la correctionnelle, voire plus, si l’on écoute certains adeptes du vivre ensemble. Vous voyez évidemment de quoi il s’agit. En janvier 2012, l’actrice avait fait part de sa peur de l’islam dans une émission sur NRJ 12 : « Phobie veut dire peur. Donc, oui, peut-être oui, probablement, je suis islamophobe comme beaucoup de Français. J’ai peur de l’islam comme on a peur d’une chose que l’on ne connaît pas. » La polémique était déclenchée. L’Obs, qui sait tout mieux que tout le monde avec Libé, avait titré à l’époque : « Véronique Genest n’est pas qu’islamophobe, elle est ignorante et entend bien le rester. » Car la France est le pays qui ne connaît pas la peur, c’est bien connu. Non seulement le peuple français est le plus intelligent, le plus modeste mais aussi le plus courageux du monde. Donc, logique, il est interdit d’avoir peur. En 2016, quelques attentats islamistes plus loin, Véronique Genest maintenait ses propos sous la question ordinaire de LCI : « Je ne regrette rien, c’était des propos sur la peur. Aujourd’hui, tout le monde a peur. Mes propos n’ont jamais parlé que de la peur… J’ai toujours aussi peur et je ne suis pas la seule à avoir peur. »

    Et donc, dans cette interview sur Télé Star parue ce 13 août, la comédienne revient sur ses propos sans rien en retrancher. « Les gens sont intelligents et mes prises de position, ils les ont bien comprises… Certains tiennent des propos bien plus durs que moi… » Paradoxe bien de notre époque : Véronique Genest a le courage de dire qu’elle a peur. Dire ce que l’on pense et ressent, est-ce « déraper », comme le titrait Le Parisien en 2012, en « rajouter une couche », comme l’écrit aujourd’hui Gala ? Celle qui « persiste et signe », comme le relève, visiblement dépitée, Femme actuelle, est déjà condamnée à l’exil médiatique par certains plateaux télé. Faudra-t-il appliquer à la prochaine interview la question extraordinaire pour obtenir repentance de la comédienne ?

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/peur-de-lislam-veronique-genest-ne-regrette-rien-de-ses-propos/

  • Islam radical dans les médias : de quoi cette empathie est-elle le nom ? L’exemple de Libération

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    Par l’Observatoire du journalisme 

    Les médias français sont-ils complices – au moins involontaires – de l’islamisation de l’Europe ? Pour l’Observatoire du journalisme, la question se pose évidemment. Pour répondre à cette question, l’Observatoire du journalisme analyse un cas précis, celui du traitement par Libération de l’attentat islamiste du 12 mai 2018.

    Après l’attentat perpétré à Paris le samedi 12 mai 2018 par un tueur islamiste musulman, Libération a publié un article donnant la parole à d’anciens camarades de classe et à un ancien professeur du terroriste. Les témoignages anonymes sont ceux de quatre personnes ayant connu le tueur ainsi que son complice au lycée Marie-Curie de Strasbourg. Ce qu’ils racontent est édifiant et ajoute à ce que l’on sait par ailleurs de l’état mental, intellectuel et ethnique des lycées français. Toute aussi édifiante est la façon dont Libération « raconte » les faits, par le prisme de ses témoins.

    Voyage au bout de l’islamisme

    Comme il est devenu habituel, le tueur musulman était « gentil »« timide », « sympathique » et rien ne semblait le prédisposer à tuer des innocents avec un couteau de cuisine. C’est ce qui ressort des témoignages. Libération ne prend pas la peine, ni le recul critique, une vertu pourtant éminemment journalistique, d’interroger ce fait : quelle information se cache derrière ce qui est dit depuis plus de trois ans, après chaque attentat islamiste, au sujet de tueurs toujours présentés ainsi ? Et que signifie que des journaux tels que Libération fassent ressortir de tels portraits au sujet d’assassins, sans en interroger le sens ?

    Les témoignages vont très loin dans l’empathie, bien plus que tout ce que pourrait imaginer l’observateur moyen concernant un autre cas de figure potentiel, par exemple si un tel article était publié au sujet d’un tueur évangéliste du Sud des États-Unis : le terroriste musulman « allait chercher à manger », « il n’avait pas de musique sur son téléphone », « on ne le soupçonnait pas de quoi que ce soit », « c’était un mec discret et gentil », « c’était un ami », « il disait qu’il voulait sauver des vies », « nos classes étaient mixtes, avec des athées, des chrétiens et des musulmans. Il n’y avait pas de discrimination », « ils me montraient des textes ou des images pour me prouver que le Coran n’incitait pas à la violence », « personne ne pouvait imaginer cela de quelqu’un de si respectueux, si poli », « un mec adorable, il était discret, studieux, il voulait devenir médecin », « ce qu’il a fait est impardonnable mais quand on l’a connu, quand on l’a côtoyé pendant trois ans, quand on a mangé avec lui pendant trois ans, ça nous choque que le voir diabolisé par les médias » (sic !), « on sait tous qu’il s’est fait laver le cerveau »… Un tueur gentil, sympa, un pote auquel il n’aurait pas fallu toucher, lequel est cependant coupable d’un attentat au motif d’une conception religieuse et politique totalitaire du monde. Imaginons que Libération ait existé en 1945, il est permis de se demander si sa rédaction aurait mené l’enquête au lycée de Himmler, histoire de voir si ce garçon reconnu coupable de quelques meurtres n’auraient pas été un type discret, sympa et poli…

    Par contre, son complice et supposé inspirateur est présenté comme le grand méchant de ce drame. L’effet de contraste est saisissant, renforçant le sentiment d’empathie véhiculé par les témoignages au sujet du tueur. N’oublions pas, à ce propos, que ce qui est dit par les témoins dans cet article résulte d’un choix de la rédaction de Libération, laquelle ne publie pas ici l’intégralité des propos des témoins mais ce qu’elle veut publier. Le complice ? « Je sais qu’il voulait partir en Syrie pendant un petit moment. C’était des rumeurs comme cela. Après ça s’est étendu et tout le lycée l’a su et après il s’est calmé et il a dit qu’il avait retrouvé la raison. On se moquait de lui en disant qu’il allait partir en Syrie », « il était assez brutal », « plus pratiquant », « il voyait tout à travers le prisme de la religion », « j’avais bien perçu qu’il y avait un problème quant à sa vision de la démocratie ou sur le rapport aux femmes. Il était favorable au port du voile et prônait des relations inégalitaires entre hommes et femmes », « il avait fait un exposé sur le sujet et j’ai dû y mettre fin car je ne pouvais pas laisser dire tout ça au sein d’une institution laïque », « quand je le voyais parfois après le bac, je changeais de trottoir », « il avait une vision extrémiste, en tout cas poussée de l’islam. Il s’exprimait toujours contre les actions terroristes mais il disait aussi que c’était normal qu’il y ait des attaques si la France lançait des frappes en Syrie », « il tenait toujours à ce qu’on ne fasse pas d’amalgame entre islam et terrorisme »

    Ce qui devrait étonner Libération

    ‣ Le complice de l’assassin est présenté comme violent et ses camarades se méfient de lui depuis qu’il s’est levé en classe et a jeté violemment des tables et des chaises dans un mur.

    ‣ Ce même complice est radicalisé et fait un exposé de propagande sur l’islam radical en classe, même si cet exposé est interrompu.

    ‣ L’avancée discrète des islamistes radicaux apparaît comme une stratégie évidente dans ce cas d’école et pourtant de cette stratégie Libération ne dit mot.

    Plus surprenant encore :

    • Dans un lycée de la République française, la question de l’islam est devenue centrale : au point que l’on peut envisager d’en exposer les doctrines sectaires et radicales en classe. Il est possible d’affirmer dans ce cadre que la « charia est une bonne chose ».
    • Un élève peut se lever et jeter chaises et tables contre un mur.
    • Des individus scolarisés en France tiennent ouvertement des propos de collaboration avec des ennemis de la France
    • Les lycéens s’amusent, se moquent d’un individu radicalisé dont il est supposé qu’il envisage de partir en Syrie
    • Le chef d’établissement d’un lycée de la République doit concentrer son attention sur des musulmans attirés par le salafisme, source avérée du djihadisme.
    • Le quotidien n’interroge pas l’origine des deux complices, ni le fait qu’ils sont des migrants devenus français depuis peu.

    Cette phrase : « Il était favorable au port du voile et prônait des relations inégalitaires entre hommes et femmes » devrait interpeller les journalistes des médias officiels. Dans l’expression du témoin, le voile en tant que marqueur de l’inégalité hommes femmes au sein de l’islamisme est évident. Voilà qui donne de la perspective à un autre moment de présence de l’islam dans l’espace public et médiatique français, une présence qui est devenue permanente : l’intervention de la musulmane voilée présidente de l’UNEF Sorbonne à la télévision, le 14 mai ; une musulmane voilée prenant la parole en tant que syndicaliste étudiante, responsable d’un syndicat féministe et « progressiste » de gauche.

    Devant les critiques, une salve d’empathie à fusé, un peu comme au sujet du « sympathique » lycéen devenu tueur dans les rues de Paris. Pourtant, le simple bon sens ne peut que conduire à dire ceci : il est incroyable qu’une représentante syndicale de l’UNEF soit voilée, et tout autant incroyable que nombre de journalistes ne voient pas une évidence en cela. Ce qui n’est pas le cas par exemple de Marianne, très clair à ce sujet. D’autres discours deviennent pour le moins confus : ici. Discours de méconnaissance complète des stratégies des islamistes en direction de la jeunesse. N’est-il pas problématique qu’une religion en particulier occupe une telle place, quotidienne, empathique et souvent militante, dans l’espace public de la République laïque, avec le soutien d’une partie de la gauche radicale et la bienveillance de nombre de médias officiels ?

    OJIM 13/08/2018

    Source : Observatoire du journalisme

    Crédit photo : Libération

    https://www.polemia.com/islam-radical-medias-empathie-liberation/

  • Débarquement des migrants de l’Aquarius : l’Espagne dit « non »

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    Si l’Aquarius avec à son bord 141 « migrants » fait à nouveau cap vers la bien-pensante Espagne qui lui avait ouvert ses ports il y a deux mois, l’Espagne elle a changé de cap dans sa politique d’accueil des migrants. Après l’euphorie, voici venir le temps de la grosse déprime…

    Depuis vendredi dernier le bateau Aquarius vogue donc sans but portuaire, le pays des Ibères ne l’invitant pas comme par le passé récent à accoster dans une de ses villes méditerranéennes. Open Arms, l’ONG espagnole propriétaire du navire, a lancé un appel dramatique aux autorités bruxelloises afin qu’elles interviennent pour qu’un port lui soit ouvert mais cette fois-ci Madrid a fait la sourde oreille. Un signe tangible que le premier ministre espagnol, le socialiste Sanchez, rattrapé par la réalité de l’invasion migratoire et du ras-le-bol de ses concitoyens, est décidé a changé sa politique de l’accueil radical, en s‘alignant sur la fermeté de l’Italie, qui fut accusée pourtant il y a un mois par ce même Sanchez, à l’unisson avec Macron, « de manque de solidarité et d’insensibilité » pour avoir refusé les 600 clandestins de l’Aquarius.

    Ainsi, si la commune de Barcelone, toujours inspirée pour s’opposer au gouvernement madrilène, s’est offerte à accueillir les nouveaux migrants de l’Aquarius, Madrid s’y oppose en arguant que « l’Espagne n’est pas le port le plus sûr selon la loi ». Un dur bras de fer s’amorce entre la ville catalane aux velléités d’indépendance et l’exécutif espagnol. « Même dans ce cas nous nous offrons pour recevoir les migrants » a répliqué le vice-maire de Barcelone délégué aux droits sociaux, Laia Ortiz. Elle a en outre insisté pour que des permis temporaires pour le travail soient concédés aux clandestins.

    En attendant, Malte et l’Italie ont refusé au bateau d’accoster chez eux. SOS Méditerranée et Médecins sans Frontières ont faits avoir par twitter :

    « Les autorités maritimes de Malte et de l’Italie ont informé le bateau Aquarius qu’elles ne concéderont pas un lieu sûr de débarquement aux 140 personnes à bord. Nous avons rejoint une position de stanby exactement entre Malte et l’Italie. Nous restons en attente d’ultérieures indications. »

    La fermeté de l’Italie et de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini fait de émules pour le plus grand dam du business lucratif du trafic d’êtres humains et de l’humanitarisme mondialiste.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/debarquement-des-migrants-de-laquarius-lespagne-dit-non/96554/

  • Meurtre d’Adrien Perez : il faut qu’éclate la juste colère des Français

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    Un communiqué de Romain Espino (Génération identitaire) :

    Le 29 juillet dernier, Adrien Pérez est poignardé à mort par deux racailles en Isère : les frères Younes et Yanis El Habib. Samedi dernier, nous étions 150 jeunes identitaires à demander justice pour Adrien devant le tribunal de Grenoble.

    Encore une fois, c’est un jeune Français qui est mort pour « une cigarette refusée ou un regard de travers », comme nous le dénoncions déjà dans la Déclaration de Guerre de Génération identitaire en 2012. Quelques jours après, en Meurthe-et-Moselle, c’est un autre jeune homme fêtant ses 30 ans qui a été égorgé et qui se trouve aujourd’hui en état de mort cérébral. Dans les deux cas, les jeunes hommes ont payé de leur vie leur intervention pour protéger un ami ou une fiancée.

    Un silence médiatique assourdissant entoure le meurtre d’Adrien Pérez. Lorsque l’on sait tout le raffut qui a été fait autour de l’affaire Théo, cette différence questionne sur l’émotion à géométrie variable qui règne au sein de la classe journalistique.

    C’est sans doute que, contrairement à elle, nous nous sommes déjà tous interposés entre une racaille et sa proie. Nous savons très bien qui agresse qui dans la vraie vie. D’ailleurs, la mère d’Adrien Pérez l’a dit et les bien-pensants ne le supportent pas : « nos enfants se font assassiner et toujours par les mêmes ! »

    Cette racaille nous la connaissons par cœur parce que nous avons grandi avec elle. Nous l’avons fréquentée, malgré nous, dans les collèges et les lycées, dans les transports en commun, ou bien le soir venu dans les fêtes où elle s’incruste et les rues qu’elle écume. Cette racaille, c’est celle qui parle toujours de respect, mais qui n’attaque jamais à moins de trois contre un, qui s’en prend aux plus faibles. Nous n’avons pas besoin de sociologues de seconde zone qui nous expliquent que Younes et Yanis avaient subi plusieurs difficultés sociales, des problèmes familiaux ou n’allaient plus à l’école. Les racailles n’ont pas besoin d’excuses, leur haine n’est pas la responsabilité de la société. Elles nous haïssent pour ce que nous sommes et notre vie n’a pas d’importance à leurs yeux.

    C’est pour cette raison que depuis sa création, Génération Identitaire se présente comme un mouvement anti-racaille. Loin d’être un simple slogan, défendre les « gwers » ou les « babtous », comme ils nous appellent, constitue l’ADN même de notre mouvement de jeunesse.

    Nous avons sécurisé des métros dans les grandes villes de France, nous avons donné des cours d’autodéfense gratuits, nous avons distribué des bombes lacrymogènes aux jeunes femmes lors d’actions de sensibilisation. Nous avons fait prendre conscience aux nôtres qu’ils pouvaient et avaient le droit de se défendre et d’être solidaires.

    Chaque Français qui tombe ne doit surtout pas être oublié. Mais ces morts aussi tragiques et douloureuses soient-elles ne doivent pas uniquement laisser place à l’émotion légitime qu’elles provoquent. Comme le dit Gilles-William Goldnadel : « entre les marches blanches avec bougies victimaires et les saccages, il devrait désormais exister un juste milieu pour la juste colère. »

    Cette colère est indispensable pour que notre peuple réapprenne à réagir en situation d’agression, réapprenne la solidarité et surtout tire les conclusions politiques de ces meurtres et de toutes les violences dont sont victimes aujourd’hui les jeunes Français.

    Source cliquez ici 

  • Trump, un an après Charlottesville : « Paix à TOUS les Américains ! ». L'Amérique en est loin... Et nous ?

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    L'an passé, à Charlottesville, les confrontations entre manifestants avaient été violentes

    Hier dimanche, les médias ouvraient leurs flashes d'information sur le rassemblement des « suprémacistes blancs » prévu le soir même à Washington, square La Fayette, face à la Maison Blanche, renouvelant celui qui s'était tenu à Charlottesville l'an dernier à même date, dans un climat de violences dont les images avaient fait le tour du monde. Voici ce que nous avions écrit l'an dernier de cet événement [21.08.2017]. Nous n'avons rien à y changer. Notre conclusion vaut surtout pour la France.  LFAR 

    Dans l'affaire de Charlottesville, Trump, malgré ses volte-face grotesques et erratiques, a tout de même une idée et elle est juste.

    C'est qu'il y a de la violence, de la haine, de l'irrationnel et même du racisme dans les deux camps. Les renvoyer dos à dos fût-il discutable. Car, même s'il est tu, si l'évoquer est inconvenant, le racisme antiblanc est bel et bien une réalité. Aux Amériques, comme ailleurs. Plus qu'ailleurs, bien-sûr. Par surcroît, une forme de racisme antiblancs s'est développée du côté des Blancs eux-mêmes. Là-bas comme ici.

    Nous ne sommes pas assez bons connaisseurs de la politique intérieure américaine pour avoir une appréciation du détail.  

    1973544756.jpgMais il nous paraît évident que la violence et la haine demeurent inscrites au cœur de la société américaine et que l'une et l'autre tiennent, en bonne part, à la toujours problématique coexistence entre Blancs et Noirs. La question raciale que l'on voulait croire résolue aux Etats-Unis ne l'est nullement. Elle traverse l'histoire et la société américaines depuis plus ou moins deux siècles et n'a, comme on l'a proclamé à tort, nullement disparu. On disait le racisme éradiqué, il n'en est rien. On pourrait presque le dire consubstantiel et intrinsèque à la société américaine, ce qui ne semble pas pouvoir être dit, du moins à ce degré, d'aucune nation européenne. 

    2720994725.2.jpgLa décision de retirer la statue du général Lee à Charlottesville n'était pas - la suite l'a montré - un acte d'apaisement mémoriel ni de paix civile... Les anachroniques et allogènes svastikas brandis par des suprémacistes blancs hallucinés n'étaient, non plus, ni pacifiques ni malignes.  

    Ce que nous montrent ces événements est que si l'on veut des peuples paisibles mieux vaut l'homogénéité - culturelle, ethnique et même raciale - que la diversité. Point d'angélisme : cette dernière nourrit les haines détestables et crée des conflits endémiques. 

    La seconde leçon de Charlottesville ce pourrait être que, pour compenser un tant soit peu l'évolution des rapports de force dans le monde, laquelle nous est si défavorable, une certaine dose de « suprémacisme » blanc - dans un sens évidemment tout différent du sens américain : fierté à recouvrer, puissance à reconstruire - ne serait pas inutile. En tout cas pas à l'Europe, peuplée de Blancs, qui, après avoir dirigé les affaires de l'univers, se voit, aujourd'hui, à la fois supplantée dans l’ordre de la puissance et envahie dans l’ordre du peuplement par les autres continents. Ce qui ne semble pas améliorer l'état du monde. Et nous prépare un avenir dangereux. 

    Il y eut sans doute un temps où l'orgueil et l'égoïsme européens furent excessifs. L'Europe en paie le prix. L'excès inverse, celui de la repentance, de la haine de soi, de la soumission à tout ce qui nous est étranger, est bien pire et pourrait nous coûter beaucoup plus cher.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Grenoble (38) : manifestation identitaire réclamant « Justice pour Adrien »

    Une centaine de jeunes gens venus de plusieurs départements voisins, se sont rejoints aujourd’hui à Grenoble pour se rassembler devant le palais de justice, peu avant midi, sous la bannière « Génération identitaire ».

    Vêtus de t-shirt blancs à l’effigie d’Adrien Perez -ce garçon de 26 ans mortellement poignardé le 29 juillet dernier devant une discothèque de l’agglomération-, les manifestants ont déployé une banderole réclamant « Justice pour Adrien » et ont scandé des slogans « anti racaille ».

    Le Dauphiné Libéré

    http://www.fdesouche.com/1057015-grenoble-38-manifestation-identitaire-pour-reclamer-justice-pour-adrien

  • Construction des mosquées de Trélazé et Angers

    Avec la généreuse complicité de la mairie :

    "La mosquée de Trélazé s’agrandit, et ce de manière spectaculaire avec la construction d’un dôme impérial. Six arcs en bois de 2,5 tonnes chacun portent la structure. L’un de ces arcs mesure 26 mètres de long. [...] La Ville de Trélazé a versé une subvention de 300 000 € pour l’agrandissement de ce centre culturel. Le chantier devrait être livré en mai 2019 pour un coût estimé de 1,8 million d’euros.

    Où en est la construction de la future mosquée d’Angers dans les Hauts-de-Saint-Aubin ? « Le gros œuvre sera bientôt terminé et nous passerons ensuite à l’aménagement intérieur », confie un membre de l’association des musulmans d’Angers."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une élue des Pays-Bas se suicide après avoir posté une vidéo racontant son viol par des musulmans

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    Willie Dille était une élue du PVV (Parti pour la liberté), le parti anti-islam de Geert Wilders.

    Dans sa vidéo en forme de testament, Willie Dille raconte que son viol se serait déroulé l’année dernière. Elle affirme avoir été kidnappée puis violée par un groupe de musulmans, qui auraient agi pour lui faire cesser ses activités politiques.

    «Je veux juste que le monde sache la vérité. Le 15 mars 2017, j’ai été kidnappée, violée et agressée par un groupe de musulmans qui voulaient que je reste silencieuse au conseil municipal de La Haye», raconte-t-elle.

    «Après que cela est arrivé, je ne l’ai dit à personne, j’ai simplement été au débat le lendemain

    Willie Dille ajoute avoir reçu récemment une menace de mort très explicite, si elle ne se résignait pas à se taire lors des débats municipaux : «Nous allons bientôt vous égorger et vous saigner à mort

    http://www.medias-presse.info/une-elue-des-pays-bas-se-suicide-apres-avoir-poste-une-video-racontant-son-viol-par-des-musulmans/96453/