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immigration - Page 791

  • Jean-Yves Le Gallou : « Si le réchauffement climatique est dû à l’homme, alors il faut lutter contre le libre-échange et l’immigration ! »

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    Le réchauffement climatique est-il une réalité ? Et si oui, l’Homme est-il en cause ? Dans cet entretien pour Polémia, Jean-Yves Le Gallou répond à ces questions… brûlantes !

    Un phénomène observable incontestable

    Polémia : Tout d’abord, est-ce que le réchauffement climatique est une réalité ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est assurément une réalité en Europe. C’est une réalité depuis la sortie du petit âge glaciaire, c’est-à-dire depuis un peu plus de deux siècles. On voit par exemple que les glaciers reculent en Europe et dans d’autres parties du monde.
    Il y a donc incontestablement un phénomène réel et qu’on peut d’ailleurs observer à vue humaine quand on se rend dans les Alpes. A Chamonix, par exemple, les phénomènes glaciaires amplifient l’impression que l’on peut avoir du réchauffement. On voit incontestablement que les glaciers fondent et que des éboulements ont lieu suite au dégel du permafrost.
    Donc, oui, à vue humaine, il y a réchauffement climatique.

    Polémia : Est-ce que ce réchauffement climatique est global et touche l’ensemble de la planète ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est aussi assez probable. Mais c’est plus difficile à établir de manière certaine.
    Il y a un certain nombre d’études qui tendent à montrer que le température moyenne du globe augmente mais un certain nombre de scientifiques posent la question de savoir quelle est la pertinence du sens de « moyenne climatique mondiale ». Comment l’établit-on ? Sur quelle durée ? Comment on agrège les données partielles dans le temps ? C’est une vraie question épistémologique.

    La température a toujours varié !

    Polémia : Si l’on part du principe que la température augmente, est-ce inévitablement un drame total ou bien existe-t-il quelques bénéfices ?

    Jean-Yves Le Gallou : Il y a deux choses à prendre en compte. D’abord, dans le temps, la température – en tout cas là on l’on peut avoir des éléments permettant de l’apprécier – a toujours varié !

    L’exemple des Alpes est particulièrement parlant. Les glaciers reculent depuis 1830, voire même 1780. Ils ont ré avancé de 1945 à 1975 et reculent à nouveau depuis.
    Mais, aujourd’hui, il y a des cols qui sont encore en glace et où pourtant les troupeaux passaient à sec au Moyen-Âge ou à l’époque romaine ! Il y a toujours eu des alternances de périodes de chaud et de froid.

    Polemia : Alors, est-ce que le réchauffement est catastrophique ?

    Jean-Yves Le Gallou : Pas nécessairement ! La révolution néolithique était une conséquence du réchauffement et l’émergence vers la civilisation que nous connaissons est postérieure à la fin de l’âge glaciaire !

    On peut même voir des effets positifs au réchauffement. On peut rester en terrasse plus longtemps car il fait chaud plus longtemps. En général, on a tendance à préférer les climats méditerranéens aux climats océaniques car ils sont plus chaleureux et souvent jugés plus agréables à vivre.

    Sur le plan des conséquences, il peut y avoir des conséquences négatives et positives.

    Par exemple, un pays comme la Russie voit plutôt d’un bon œil le réchauffement climatique qui augmenterait la production de blé et libérerait des routes maritimes.

    Ce qui est inquiétant, c’est qu’un homme de médias comme Verdier, qui était le Monsieur Météo du service public, ait tout simplement été viré car il avait évoqué certains aspects positifs du réchauffement climatique.

    C’est dramatique ! Quand on vire un présentateur météo lorsque ses convictions climatiques ne conviennent pas, on se pose la question de savoir dans quel pays on est…

    Le réchauffement climatique, un argument politique bien pratique

    Polémia : Est-ce qu’il y a des effets négatifs ?

    Jean-Yves Le Gallou : Certainement. Mais on parle sans savoir. C’est beaucoup utilisé comme argument pour faire passer des politiques publiques.
    Si on vous parle d’un problème mondial, on va légitimer une « gouvernance » mondiale plus forte. Et si on vous parle d’un problème majeur cela va permettre d’imposer de nouvelles taxes. Et puis le catastrophisme climatique c’est aussi un moyen de contrôle des populations. Certains sujets sont interdits, d’autres deviennent obsessionnels.

    On va aussi vous dire qu’on est obligé d’accepter l’immigration car il y a des problèmes climatiques.

    Je pense qu’il y a derrière tout cela une malhonnêteté foncière. Aujourd’hui, le réchauffement climatique est dans l’épaisseur du trait. Par rapport aux extrêmes climatiques (tempêtes, canicules, grands froids, etc.) le léger réchauffement qu’on a pu constater ne change pas grand-chose.

    D’ailleurs, il y a eu, il y a quelques années, une étude officielle de plusieurs ministères (Agriculture, Environnement, Intérieur) sur l’impact du réchauffement climatique sur les feux de forêt en France.

    Un impact a été trouvé, susceptible d’entraîner une extension des feux de forêt vers la façade atlantique mais pas pour maintenant, seulement à horizon 2035 ou 2050. Pourquoi une telle distance dans le temps ? Parce qu’il y a une énorme inertie !

    Donc, quand on nous parle aujourd’hui de migrations climatiques, c’est un mensonge total !

    Peut-être qu’il pourrait y avoir des déplacements de population liés au changement climatique. Peut-être. Mais dans 20 ou dans 30 ans minimum ! Quand on dit que cela se passe aujourd’hui, on ment, on fait de la propagande !

    Le vrai problème est que, derrière une observation qu’on peut considérer comme probable, on ne sait pas si l’origine est anthropique, volcanique ou astronomique…

    Peut-être dit vrai ce qui peut-être librement contesté !

    Polémia : Pour le GIEC et ceux qui s’en réclament, le rôle de l’homme est quand même prépondérant.

    Jean-Yves Le Gallou : Ça, c’est la doxa politico-médiatique ! Je pense que c’est très difficile de parler de consensus scientifique pour une raison très simple : tous ceux qui ont une opinion différente n’ont accès ni aux médias ni aux crédits de recherche !

    Il y a un certain nombre de scientifiques qui défendent la thèse du réchauffement d’origine anthropique mais il y a aussi d’autres scientifiques qui  mettent en avant deux facteurs naturels majeurs : le volcanisme et le rôle de l’astre solaire. Deux facteurs qui ne dépendent pas de l’homme.

    La thèse officielle est celle d’une origine anthropique. Cependant, je crois que, dans la pensée européenne, peut-être dit vrai ce qui peut-être librement contesté !

    Je ne dis pas que la thèse du réchauffement anthropique est fausse. Mais il est difficile de la dire vraie puisque il existe un interdit qui pèse sur la thèse contraire.

    Il faudrait équilibrer les crédits de recherche pour arriver à une situation honnête. Sachant qu’une bonne partie de ce qu’on présente comme les résultats scientifiques du GIEC sont quand même des modèles mathématiques qu’on fait tourner.

    Un climatologue aujourd’hui, c’est quelqu’un qui est derrière son ordinateur et qui fait tourner des modèles.
    Or, un modèle repose sur les données qu’on a choisi d’y intégrer.Avoir un culte fétichiste de ce genre de recherches est parfaitement dangereux. On trouve… ce qu’on veut trouver.

    Polémia : Faut-il parler de réchauffement climatique ou de dérèglement climatique ?

    Jean-Yves Le Gallou : Parler de réchauffement climatique, c’est relativement objectif. Le dérèglement climatique c’est de la propagande : on joint dans le même mot un phénomène – le réchauffement qui s’inscrit dans un cycle climatique de plus ou moins longue durée – et des extrêmes catastrophiques qui ont toujours existé. Le tout dans un grand confusionnisme ! Ainsi sous l’oreille béate des médias François Hollande avait rangé les tsunamis parmi les conséquences du « dérèglement climatique » (sic). Rappelons qu’un tsunami a pour origine un tremblement de terre,c’est-à-dire la tectonique des plaques. Rien à voir avec le temps qu’il fait. On voit bien à travers cet exemple à quel point le conformisme étouffe l’esprit critique.

    Lutter contre le mondialisme et l’immigration

    Polémia : Est-ce que, malgré tout, l’extraction massive des matières comme le pétrole ou le gaz – très longtemps prisonnières du sol – ne joue pas un rôle dans le réchauffement climatique ?

    Jean-Yves Le Gallou : Ce qui est vrai, c’est que des éléments carbonés prisonniers du sol depuis des millénaires voire des millions d’années, sont extraits et vont être extraits.
    Cette extraction joue-t-elle un rôle dans le réchauffement climatique ? C’est une autre question.

    Ce qui est certain quant à l’impact de l’homme sur la nature, c’est la disparition d’un certain nombre d’espèces animales. Mais cela n’a rien à voir avec le réchauffement climatique !

    Polémia : Généralement, les populations conscientisées sur le réchauffement climatique sont les populations européennes et notamment les élites. Est-ce que certaines autres populations (chinoises, indiennes, etc.) ne polluent pas aujourd’hui plus que les Européens ?

    Jean-Yves Le Gallou : Bien sûr, tout est centré sur la culpabilisation des Européens, y compris pour faire accepter l’immigration…

    Or, si l’on accepte que le carbone est mauvais, le problème, c’est le rejet de carbone, c’est l’empreinte carbone.
    A ce moment-là, il faut évidemment lutter contre deux choses. Il faut d’abord s’opposer au mondialisme qui entraîne la multiplication des échanges commerciaux mondiaux mais il faut aussi lutter contre l’immigration !

    En effet, l’empreinte carbone d’un Africain en Afrique est évidemment bien inférieure à celle d’un Africain en Europe !

    Donc, si on voulait prendre des mesures efficaces pour limiter l’empreinte carbone moyenne de l’humanité, il faudrait notamment empêcher l’immigration et même organiser la remigration. Et limiter le libre-échange.

    Entretien avec Jean-Yves Le Gallou 23/01/2019

    https://www.polemia.com/jean-yves-le-gallou-rechauffement-climatique-homme-immigration/

  • CEDH : la charia aurait-elle pris le dessus sur le droit constitutionnel ?

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    Découvrez ce débat sur RT France avec Jean Messiha, membre du bureau national du Rassemblement national, et Asif Arif, spécialiste des droits de l’homme.

    Ils débattent de la question du droit face à la charia, réagissant à l’arrêt Molla Sali contre la Grèce.

  • France : la diaspora africaine envoie annuellement 10 milliards vers l’Afrique

    Dans le troisième opus des Cahiers du CIAN, un livre intitulé Les Diasporas africaines, accélératrices des économies du continent (éd. Eyrolles), Etienne Giros, son président pose d’emblée l’angle d’attaque. Ce travail est une enquête au cœur de l’argent des diasporas qui, de l’avis des deux auteurs, Bénédicte Châtel et Anne Guillaume-Gentil, pourrait être mieux utilisé par l’Afrique. Il développe l’idée maîtresse que si les envois d’argent s’opéraient différemment, ils contribueraient plus et mieux, à développer le continent.

    2019, année des diasporas africaines ? Un à un les pays de départ, à l’instar de l’Ethiopie, prennent la mesure de l’importance économique des 36 millions de continentaux installés partout dans le monde. En France aussi ce groupe qui a le cœur entre deux terres devrait être l’objet d’une attention toute particulière du président Macron cette année. Ce dernier a même promis d’en rencontrer les représentants dès le printemps pour les mettre au centre de sa relation avec le continent. Un peu comme les industriels du Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN), qui dressent une analyse approfondie de ces 3,6 millions de Français à cheval entre deux mondes. […]

    Tout commence avec deux chiffres. «Les flux financiers envoyés en Afrique par les diasporas représentent des montants en constante augmentation : 70 milliards d’euros par an, dont près de 10 milliards en provenance de la France », expose Etienne Giros, qui, depuis l’été, préside aussi le Conseil européen des affaires pour l’Afrique et la Méditerranée (EBCAM). […] « La France fait partie des dix principaux pays exportateurs de fonds », exposent les auteurs de l’ouvrage.

    Pour comprendre ces flux, il suffit de se pencher sur la structure du groupe des Africains de France qui représentent 44 % du total de la population immigrée. La première génération serait composée de 2,6 millions de personnes auxquelles il faut ajouter plus de 3 millions de descendants directs. Les immigrés maghrébins arrivent en tête de ce groupe, avec 1,8 million et les Subsahariens suivent avec 800 000 représentants. […]

    Le Monde

    http://www.fdesouche.com/1147113-france-la-diaspora-africaine-envoie-annuellement-10-milliards-vers-lafrique

  • « Grand remplacement » : la dynamique démographie

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    Pour la quatrième année consécutive, la France a accusé en 2018 une baisse de sa natalité. Selon le bilan démographique récemment publié par l’Insee, c’est douze mille naissances en moins par rapport à 2017.

    Si ce rapport se veut positif en rappelant que la France compte dorénavant près de 67 millions de personnes, que notre croissance démographique de 0.3% par rapport à l’année précédente reste majoritairement due à un solde naturel positif, s’il s’enorgueillit enfin de voir la France conserver son titre de pays le plus fécond d’Europe, il ne saurait cependant cacher la pente sur laquelle s’est engagée notre démographie, et au-delà, celle de notre continent. Et cette pente est descendante.

    Car l’Europe se dépeuple. Ou du moins, elle se dépeuple d’Européens.

    Depuis près de soixante ans, le taux de natalité de l’Europe n’a cessé de diminuer, passant de 18 naissances par an pour mille habitants en 1960 à un peu plus de 11‰ en 1995, date à laquelle le taux de natalité a commencé à dangereusement flirter avec le taux de mortalité. Vingt ans plus tard, les courbes se croisèrent, les naissances se firent moins nombreuses que les décès. Quant aux projections pour les années à venir, elles ne sont guère réjouissantes. Selon l’Ined, en 2019, le taux de mortalité devrait être d’un point supérieur au taux de natalité. Et à mesure que la génération du baby-boom vieillit, ce taux continuera à croître.

    Quelle que soit la couleur dont on habille ce phénomène, verte pour l’heure ; quelle que soit la vertu dont on pare le choix de non-procréation, de la sensibilité écologique à la volonté d’accueil inconditionnel de l’Autre, toujours le même ressort : la recherche d’absolution pour les crimes du passé.

    L’Europe est ainsi le seul continent au monde à connaître un solde naturel négatif. Et alors que la population européenne représente aujourd’hui 9.8% de celle mondiale, elle pourrait n’atteindre que 7.5% d’ici trente ans, loin derrière l’Asie et l’Afrique.

    Mais rassurons-nous, la population continuera de croître. Et ce, grâce à l’immigration qui permet, parfois elle-seule, à certains pays de voir leur démographie augmenter, comme c’est le cas en Belgique, en Allemagne, au Royaume-Uni ou en Espagne.

    L’Europe ne s’évanouit que parce que sa disparition a été programmée et acceptée.

    Comme l’écrivait Hannah Arendt, « avec la conception et la naissance, les parents n’ont pas seulement donné la vie à leurs enfants : ils les ont en même temps introduits dans un monde. En les éduquant, ils assument la responsabilité de la vie et du développement de l’enfant mais aussi celle de la continuité du monde ».

    Le rapport à l’enfant n’est donc rien d’autre qu’un rapport à sa communauté politique. « Chaque génération n’est que la gérante temporaire et le dépositaire responsable d’un patrimoine précieux et glorieux qu’elle a reçu de la précédente à charge de le transmettre à la suivante » écrivait Hippolyte Taine. Or, la logique de déconstruction et d’ouverture radicales au cœur de l’idéologie libérale-libertaire puise sa source dans un sentiment de culpabilité profondément ancré dans nos sociétés.

    La promesse de l’Europe postcoloniale et post-hitlérienne, enfants illégitimes et monstrueux de l’universalisme des Lumières élaboré en France, et du romantisme politique théorisé en Allemagne, est un renoncement à tout prédicat identitaire pour que puissent se déployer librement sur son sol toutes les identités que son histoire a mises à mal.

    Mû par un individualisme radical, l’homme n’a plus rien à transmettre. Et le peu qu’il a, il ne le cède qu’à lui-même.

    Le rapport à l’enfant n’est rien d’autre qu’un rapport à soi. Au-delà de la transmission d’un patrimoine commun, l’enfant est le suprême don des parents, celui de la vie. Il est le suprême sacrifice, celui de s’occuper d’autrui avant de penser à soi.

    Dans un monde où la nation, forme suprême des communautés politiques, est délégitimée puis déconstruite, le citoyen cède sa place à un individu incapable de se mettre en situation de s’extraire de sa condition primaire pour se mettre en état de voir plus loin que lui-même. Mû par un individualisme radical, l’homme n’a plus rien à transmettre. Et le peu qu’il a, il ne le cède qu’à lui-même.

    Quelle que soit la couleur dont on habille ce phénomène, verte pour l’heure ; quelle que soit la vertu dont on pare le choix de non-procréation, de la sensibilité écologique à la volonté d’accueil inconditionnel de l’Autre, toujours le même ressort : la recherche d’absolution pour les crimes du passé.

    Aujourd’hui, le pardon que notre civilisation recherche semble ne pouvoir se trouver que dans sa disparition, comme si le masochisme occidental avait atteint son stade ultime avec le dépeuplement dont est victime notre continent.

    Paul Godefrood

    Texte repris du site L’Incorrect

    https://fr.novopress.info/213369/grand-remplacement-la-dynamique-demographie/

  • Selon le renseignement italien, des passeurs chercheraient à couler volontairement des bateaux de migrants pour émouvoir l’Occident

    Italie – Les services secrets italiens auraient averti que les passeurs de migrants en Méditerranée chercheraient à organiser des noyades afin de gagner la sympathie de l’Occident et d’accélérer les flux migratoires.

    Le renseignement italien met en garde contre la possibilité que les trafiquants d’êtres humains provoquent délibérément des catastrophes en mer afin d’obtenir une vague de sympathie et de reprendre leur commerce illicite, qui a diminué au cours de l’année dernière.

    Une telle manoeuvre pourrait être une répétition d’autres catastrophes humanitaires majeures telles que le naufrage qui a causé la mort d’environ 700 migrants le 18 avril 2015 et qui a conduit au lancement de l’Opération Sophia.

    Selon certains des migrants qui ont survécu au naufrage, les passeurs les avaient forcés à partir en sachant très bien que le bateau allait couler, ce qui a conduit certains à penser que la catastrophe avait été attendue ou même causée intentionnellement par les passeurs.

    (…) Il Giornale

    http://www.fdesouche.com/1147087-selon-le-renseignement-italien-des-passeurs-chercheraient-a-couler-volontairement-des-bateaux-de-migrants-afin-demouvoir-loccident

  • Macron : “Je n’ai pas pris l’engagement qu’il y ait zéro SDF, j’ai dit que je souhaitais que les demandeurs d’asile soient accueillis”

    Macron : “Je n’ai pas pris l’engagement qu’il y ait zéro SDF, j’ai dit que je souhaitais que les demandeurs d’asile soient accueillis”

    La préférence étrangère, c’est son projet :

     

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    Pierre Sautarel@FrDesouche

    Emmanuel Macron : "Je n'ai pas pris l'engagement qu'il y ait zero SDF, j'ai dit que je souhaitais que les demandeurs d'asile soient accueils" 

    871 personnes parlent à ce sujet

    C’est vrai que sa promesse de 2017 avait été prononcée lors de la visite d’un camp d’immigrés : 

    Vidéo intégrée
    Brut FR
     
    @brutofficiel

    "Je ne veux plus, d’ici la fin de l’année, avoir des hommes et des femmes dans la rue".

    J-2. 

    1 326 personnes parlent à ce sujet

    Mais il faut donc comprendre que la priorité est donnée aux autres avant les nôtres. Il ne faut donc pas s’étonner de voir les Français sur les ronds-points.

    https://www.lesalonbeige.fr/macron-je-nai-pas-pris-lengagement-quil-y-ait-zero-sdf-jai-dit-que-je-souhaitais-que-les-demandeurs-dasile-soient-accueils/

  • Autriche : indexation des allocations familiales selon le pays d’origine des travailleurs (MàJ : l’UE engage une procédure d’infraction)

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    25/01/2019

    La Commission européenne a engagé jeudi une procédure d’infraction contre l’Autriche pour sa réforme controversée des allocations familiales, qui minore les montants versés aux travailleurs étrangers dont les enfants vivent hors du pays. « Il n’y pas de travailleurs », ni « d’enfants de seconde classe dans l’Union européenne », a souligné la commissaire européenne chargée des Affaires sociales, Marianne Thyssen, lors d’une conférence de presse. […]

    Une loi de la coalition gouvernementale des conservateurs et de l’extrême droite au pouvoir à Vienne, entrée en vigueur le 1er janvier, module le montant des allocations familiales versées aux travailleurs étrangers en fonction du coût de la vie dans le pays où résident leurs enfants. La réforme peut par exemple réduire de 172 à 85 euros le montant des prestations mensuelles versées par l’Autriche pour un enfant roumain de trois ans, et à 97 euros pour un petit Hongrois.

    Susceptible de s’appliquer à près de 150.000 enfants vivant hors d’Autriche, dont nombre de Roumains, cette promesse de campagne doit permettre à l’exécutif autrichien d’économiser plus de 100 millions d’euros par an. […]

    Source

    28/10/2018

    Commission européenne[…] Pendant la campagne, il avait promis de mettre fin au « tourisme social » : le chancelier conservateur autrichien Sebastian Kurz (ÖVP, Parti populaire), qui a formé en décembre 2017 une coalition avec l’extrême droite (FPÖ, Parti de la liberté), a tenu parole. Mercredi 24 octobre, alors que Vienne préside le Conseil de l’Union européenne jusqu’en décembre, le Parlement autrichien a voté une loi qui indexe, à partir du 1er janvier 2019, les allocations familiales sur le niveau de vie du pays d’origine des personnes employées en Autriche, lorsque ces dernières ont laissé leurs enfants derrière elles à l’étranger.

    Immédiatement, la Commission européenne a annoncé qu’elle pourrait enclencher une procédure d’infraction, « l’indexation étant interdite en droit européen » selon Christian Wigand, un porte-parole : « Lorsqu’un employé verse des cotisations, il est en droit de bénéficier des mêmes allocations que les autres. »

    Pour justifier cette nouvelle juridiction, inédite au sein de l’UE, l’Autriche se targue d’être un cas particulier. Opulente et adepte de l’Etat providence, elle redistribue des allocations familiales parmi les plus généreuses d’Europe. Mais voisine, à l’est, d’Etats au niveau de vie nettement moins élevé que le sien, elle comptait, en mai 2017, plus de résidents détenteurs d’un passeport étranger (15,3 %) que la France (6,6 %).

    Elle verse 250 millions d’euros par an pour des enfants vivant à l’étranger, et jure que même avec ce nouveau système, une famille hongroise dont le père travaillerait en Autriche et dont la mère garderait les enfants en Hongrie toucherait encore 100 euros par mois, contre 39 euros si l’un des parents ne cotisait pas en Autriche. L’association SOS Mitmensch rappelle que 90 % des versements pour des enfants n’habitant pas en Autriche concernent la Hongrie, la Slovaquie, la Roumanie, la Slovénie et la République tchèque. […]

    Le Monde

    http://www.fdesouche.com/1095783-autriche-indexation-des-allocations-familiales-selon-le-pays-dorigine-des-travailleurs

  • Le grand débat est tronqué sur l’immigration

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Finalement, Emmanuel Macron a abordé le thème de l’immigration dans sa lettre aux Français qui introduit le grand débat. Cependant, il ne s’agit pas d’une question ouverte, mais d’une formule interrogative soigneusement rédigée par le gouvernement. La voici : « En matière d’immigration, une fois nos obligations d’asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ? ».

    Le site Polémia a décortiqué cette question pour dénoncer sa malhonnêteté.

    En matière d’asile, accepter nos soi-disant obligations, c’est déjà accepter une voie d’immigration. En outre, les étrangers déboutés continuent le plus souvent de séjourner clandestinement en France.

    Par ailleurs, les conventions internationales et la jurisprudence du Conseil constitutionnel empêchent d’appliquer des quotas aux mineurs étrangers ou aux titres de séjour consécutifs au regroupement familial. Quant aux étudiants étrangers, il n’est pas sûr que le gouvernement soit prêt à en réduire significativement le nombre.

    Dès lors, seule l’immigration économique serait impactée par les objectifs évoqués par le président de la République. Un nouveau pied de nez aux Français exaspérés par l’immigration !

    https://fr.novopress.info/

  • Pour Emmanuel Macron, l’accueil des migrants est inconditionnel !

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    La semaine dernière, plus de six heures d’entre-soi, entre messieurs et mesdames les maires invités par des préfets aux ordres qui, comme par hasard, ont oublié Robert Ménard et Julien Sanchez, et une phrase passée presque inaperçue concernant l’immigration.

    Emmanuel Macron a, en effet, prononcé une phrase qui devrait rester historique, et qui montre, s’il était besoin de preuves, combien il se moque de ce que le peuple a à dire et ce, quoi que ce peuple ait à dire. Il fera comme bon lui semble puisque ce même peuple – réduit, il faut le rappeler, à moins du quart des électeurs – lui a donné les pleins pouvoirs. Cette phrase répondait à une question sur l’immigration du maire de Montauban. Je cite cette phrase : « L’accueil et l’hébergement des migrants sont inconditionnels, c’est un vrai investissement de l’État et il a encore augmenté, c’est environ deux milliards d’euros, mais il faut s’en féliciter ! » Fermez le ban. Il aurait pu rajouter : « Non seulement je vais maintenir le cap, mais je vais ouvrir les vannes, comme me le conseille le pacte de Marrakech que j’ai signé avec énergie. »

    Il faudrait analyser chacun des mots de cette déclaration pour bien comprendre l’idéologie qui anime le personnage. Par exemple, l’adjectif « inconditionnel ». La définition en est « qui n’est soumis à aucune condition », c’est-à-dire total et sans réserve. La traduction de cet adjectif est que toute personne arrivant en France en totale illégalité est non seulement la bienvenue mais elle y sera choyée, hébergée, payée, soignée sans aucune contrepartie. Et Macron de se réjouir et de se féliciter inconditionnellement que l’investissement migratoire a encore augmenté jusqu’à environ deux petits milliards d’euros.

    L’opposition avait, jusqu’alors, avancé que le coût de cette immigration clandestine était d’un gros milliard ; et bien le chef de l’État vient de révéler qu’il n’en était rien, qu’elle nous coûtait le double et que, en vérité, cela ne ferait qu’augmenter puisqu’il s’agissait d’un bon investissement. En quoi ? On peut se poser la question ?

    Notre Président reste persuadé que l’intégration est un défi. C’est pourtant, depuis des années, un échec dû à des injustices et à du ressentiment. Vous noterez que, dans sa lettre, il ne parle pas d’assimilation mais d’intégration. Cette nouvelle déclaration du Président devant une assemblée de maires, parmi laquelle certains ont osé huer le courageux maire de Montauban, est une vraie provocation au regard de ce que l’immigration représente.

    Il suffit de parcourir l’épais livre que Laurent Obertone a consacré à l’immigration pour avoir le cafard de réaliser ce qui attend nos enfants et petits-enfants. Nous aimerions que la lecture de La France interdite, la vérité sur l’immigration (https://www.amazon.fr/France-Interdite-Laurent-Obertone/dp/B07C5K541N) serve à nos gouvernants pour qu’ils comprennent le danger de leur politique immigrationniste. Voici ce que M. Macron y aurait appris : aujourd’hui, cent mille natifs sont remplacés par 150.000 « divers ». En 2040, quatre Français sur dix seront issus de la diversité, qui sera majoritaire en 2060. Autrement dit demain.

    Pourtant, M. Macron, comme ses prédécesseurs, hélas, nous entraîne dans cette perspective peu réjouissante pour notre culture, notre civilisation que, du reste, Emmanuel Macron n’évoque pas dans sa lettre, guide-âne du débat. Alors, oser parler d’investissement pour la France en encourageant l’immigration est un propos indigne d’un Président qui s’est vu confier les clefs de la maison France.

    Floris de Bonneville

    http://www.bvoltaire.fr/pour-emmanuel-macron-laccueil-des-migrants-est-inconditionnel/

  • Emmanuelle Gave : « Fraude à la Sécurité sociale, il est temps qu’une certaine transparence soit instaurée ! »

    Déficit de la Sécurité sociale dû, selon une rumeur, à la crise des gilets jaunes, lutte contre les fraudes et présélection des maires susceptibles de participer au grand débat organisé avec Emmanuel Macron, autant de questions auxquelles répond Emmanuelle Gave au micro de Boulevard Voltaire.

    Le trou de la Sécu serait une des conséquences collatérales du mouvement des gilets jaunes. Cette information vous paraît-elle crédible ?

    Oui, bien sûr, je crois que c’est tout à fait crédible… Je pense que le mouvement des gilets jaunes est aussi à la source des invasions de sauterelles en Égypte et de la déforestation au Brésil ! Et je pense que l’on n’en parle pas assez. Je crois que si on était à l’époque des pharaons, les gilets jaunes auraient, aussi, été la cause des sept plaies d’Égypte ! Je ne suis pas tellement surprise, parce que monsieur Le Maire avait expliqué, avant les vacances de décembre, que la baisse ressentie dans l’économie était due à l’activité des gilets jaunes. Il est certain que si l’on bloque des centrales d’achats pendant le week-end, les gens consomment moins. N’importe quel individu de génie ayant raté ou non Normale Sup’ arrive à ce constat. Néanmoins, la baisse de l’économie n’est pas simplement due à cela. Je suis bien désolée pour monsieur Le Maire.

    Charles Prats s’était fait connaître en dénonçant, notamment, les fraudes au numéro de Sécurité sociale attribué aux étrangers. Le trou de la Sécurité sociale ne pourrait-il pas être comblé en résolvant ce problème de fraude ?

    Je ne maîtrise pas toutes les données sur lesquelles Charles Prats a travaillé, mais je sais très bien que cela a été un travail de fond. Nous savons tous plus ou moins instinctivement qu’il y avait des fraudes à la Sécu. Cela avait, d’ailleurs, été montré dans des rapports que Contribuables associés avait publiés.
    Il serait peut-être intelligent d’essayer de trouver où va ce pognon, de confier à la Cour des comptes la possibilité de pouvoir suivre plus avant les dossiers et de porter ces questions devant la juridiction. Pour l’instant, la Cour des comptes remet des rapports qui, la plupart du temps, pointent du doigt des problèmes, mais sans être suivis d’effets. C’est un peu dommage. Pour qu’on reprenne confiance dans ces institutions étatiques, il serait peut-être bien qu’une certaine transparence soit instaurée et que nous ayons accès à ces informations. J’aime bien qu’on me montre les choses et j’aime voir les chiffres.

    Vous avez suivi les premiers déplacements du Président dans le cadre du grand débat. Qu’en retenez-vous ?

    J’étais reçue tout à l’heure par une radio où Robert Ménard intervenait. J’ai appris qu’il fallait passer par une espèce de centrale des maires pour être sélectionné ou non, pour aller à ce fameux grand débat. Ce fameux grand débat n’est donc rien d’autre qu’un village Potemkine.
    On assiste à une sorte de débat avec des présélections d’intervenants qui seraient bien habilités au nom du parti qui intervient. On sait qu’ils ne diront pas un mot plus haut que l’autre. Cela dit, le maire de Montauban a été courageux. Elle a posé des questions sur l’immigration et a été pointée du doigt. Sinon, ce ne sont que des apparatchiks ou, au moins, des gens sélectionnés sur dossier pour leur docilité. Je ne vois pas comment de ce débat naîtrait la moindre étincelle.

    Emmanuelle Gave

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuelle-gave-fraude-a-la-securite-sociale-il-est-temps-quune-certaine-transparence-soit-instauree/