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immigration - Page 797

  • Royaume-Uni : une minicrise des migrants

    Le nombre de personnes cherchant à rallier le Royaume-Uni par la mer est en hausse depuis plusieurs semaines, au point d’inciter le ministre de l’Intérieur britannique à écourter ses vacances. Un phénomène décrit comme une crise par une partie de la presse, mais qui demeure bien dérisoire par rapport à la situation dans nombre d’autres pays européens.

    “Sur la Marine Parade à Douvres, un bateau aux hublots brisés est abandonné en cale sèche. Un drapeau de la police y est encore accroché. Ce catamaran est tout ce qu’il reste d’une traversée entreprise par 12 migrants, qui ont échoué sur la côte anglaise il y a quelques semaines.” Depuis près de deux mois, le principal port d’entrée en Angleterre assiste à la recrudescence des arrivées maritimes en provenance de la France. Plus de 220 au total, dont une quarantaine le 24 décembre et autant depuis lors. “Lundi 31 décembre, sur la promenade, on pouvait ressentir les répercussions de ces arrivées de plus en plus nombreuses, poursuit The Guardian.

    […]

    Courrier International 

    http://www.fdesouche.com/1135453-royaume-uni-une-minicrise-des-migrants

  • Une année de tempêtes

    6a00d8341c715453ef022ad384fc8d200c-320wi.jpgOn voudrait toujours, et on doit en effet, souhaiter grâce, bonheur et santé à nos proches en cette fête d'éternel retour.

    Votre chroniqueur l'exprime ici, bien sincèrement. Joyeusement.

    Surtout, il faudra que chacun d'entre nous tienne bon. Car l'année 2019 s'annonce sous des auspices très difficiles. Le 31 décembre, sur les petits écrans, un médiocre comédien hors-sol, ânonnant sur son prompteur, est venu formuler les vœux poussifs de l'administration. Ainsi lus à l'antenne ils ne semblent avoir séduit que M. Juppé. Triste sire. Mauvais augure.

    Si l'on s'en tient aux dernières nouvelles de la France, son gouvernement subit une relance non plus de l'affaire, mais de la question Benalla. Aux caprices de cet énigmatique personnage, qui se rend en Afrique représenter des intérêts turcs, sous couvert d'un passeport diplomatique parisien, elle rejaillit sur tout le personnel de l'Élysée. Elle éclabousse en effet, au-delà de la réputation du maître de l'Hexagone, son cercle de pouvoir, autant que son parti, ridiculement appelé République en Marche. L'ensemble se trouve entraîné dans un même discrédit.

    L'amateurisme de tels réseaux inclinerait presque à faire regretter le temps des Enfants de la Veuve, sous la troisième république triomphante, ou celui des Barbouzes engagés dans la lutte anti-OAS par la cinquième naissante. Au moins ces clans et ces bandes, envahissant en leur temps la marche de l'État, indiscutablement oppresseurs, et auxquels on se gardera de tresser des couronnes, servaient une idée : l'anticléricalisme pour les uns, la fidélité au général De Gaulle pour les autres. Aujourd'hui, pas la moindre trace d'un tel esprit, même négatif.

    Nous cheminons ainsi, brinquebalants, bercés par les refrains d'une technocratie molle et invertébrée.

    Nous nous sentons tributaires de mesures dont personne, pas même les bureaux rédacteurs de Bercy, ne comprend le sens général. Et cela fait que le bon peuple ressent, quant à lui, en dépit d'indices trafiqués, combien l'on rogne son niveau de vie. D'année en année, d'augmentations des prix monopolistes en alourdissements de taxes et prélèvements divers, sans que les rémunérations soumises à concurrence ne correspondent, les classes moyennes et toute la nation se paupérisent.

    Passant des quarantièmes rugissants aux cinquantièmes hurlants, voguant vers de dangereux récifs, cette morose embarcation tangue.

    Or, de prévisibles tempêtes, s'annoncent en Europe et dans le Monde.

    Près de deux ans après le référendum britannique de juin 2016 supposé nous conduire au Brexit, moins de 100 jours nous séparent d'une échéance de sortie. Mais personne ne sait encore comment l'Europe en retrouvera son équilibre. Certes on peut lire dans certains journaux des relations de satisfactions, y compris pour les vautours de la spéculation immobilière : Paris récupérerait les miettes de Londres, les places financières se déplaceraient, etc.

    En 1971, lors du référendum d'adhésion voulu par Georges Pompidou, l'auteur de ces lignes se souvient d'avoir été impressionné par un avertissement péremptoire lancé Philippe de Saint-Robert sur le thème "quiconque porte en lui la Grande Europe de Shakespeare et de Dostoïevski ne peut que rejeter la Petite Europe des marchands de bretelles". Moyennant quoi, il s'agissait de voter Non.

    Plus question désormais ni de Shakespeare encore moins de Dostoïevski. Les peuples de Molière, Goethe, Érasme ou Dante Alighieri n'y ont rien gagné.

    Autre argument, qui s'est confirmé : si la langue anglaise entre dans les institutions européennes, la langue française en sortira, bien que le traité signé à Rome en 1956 l'eût établie lingua franca commune au vieux continent. Et c'est bien ce qui s'est produit de manière aussi irréversible qu'un phénomène historique peut s'inscrire dans la durée. On voit mal aujourd'hui notre Petit Macron redresser ce courant.

    Doit-on dès lors se féliciter d'entendre un Donald Trump ne plus vouloir jouer le rôle de gendarme du monde, tout en imposant lourdement, plus que jamais, les oukases de sa jurisprudence ? Si cela pouvait réveiller nos peuples, si le sentiment d'un retour à l'époque de Yalta pouvait les inciter à se rapprocher et tendre leurs efforts, on ne manquerait pas d'y souscrire.

    N'investissons pas trop d'illusions dans l'échéance de l'élection européenne du millésime 2019 : les États se préparent à en nier l'expression des volontés populaires, qui leur déplaisent d'avance. Sur ce terrain-là on peut faire confiance à leurs méthodes de censure et à leurs convergences.

    Face à une Chine de plus en plus ouvertement arrogante et impérialiste, face à un islamisme dont le danger ne se limite pas à ses crimes terroristes, face à des vagues migratoires incontrôlées, unis nous pouvons faire face. Divisés, nous nous condamnons nous-mêmes.

    Si l'on doit formuler des vœux, exprimons donc ici celui d'un redressement fédérateur de nos peuples.

    JG Malliarakis 

    https://www.insolent.fr/2019/01/une-annee-de-tempetes.html

  • Retour sur le pacte de Marrakech

    Alors que la France était en ébullition du fait du mouvement des gilets jaune, suscité lui-même par les excès du fiscalisme et de la réglementation écologico-punitive décidés par l’oligarchie dirigeante, le pouvoir macronien n’a pas hésité à s’associer à un accord international préparé par l’ONU, le pacte de Marrakech, qui a été adopté les 10 et 11 décembre. Il s’agit d’un « pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières. » Déjà, les objectifs avoués de ce document ne sont guère rassurants : consacrer les Droits de l’Homme en faveur des « migrants », c’est-à-dire des personnes qui quittent leur pays pour un autre (notion caressante qui va beaucoup plus loin que celle de simples réfugiés politiques). L’intitulé lui-même ne montre pas – c’est une litote – une ferme volonté de décourager les mouvements de population.

    L’on se contentera de quelques dispositions du pacte. Celui-ci vise notamment à améliorer l’information à tous les niveaux, ce qu’il précise en demandant de sensibiliser les professionnels des médias et à refuser tout soutien matériel aux médias hostiles à ces transferts massifs de population : en termes simples il s’agit de favoriser le bourrage de crâne en faveur du grand melting-pot international en renforçant le politiquement correct. L’information est aussi destinée aux migrants eux-mêmes pour les aider à se renseigner sur les voies migratoires légales et les impératifs administratifs dans les pays d’accueil, bref à les inciter à émigrer. Il est aussi précisé que l’on doit promouvoir le respect mutuel des cultures, tradition et coutumes entre communautés d’accueil (l’on ne parle pas, bien sûr, de nations) et les migrants, ce qui revient à mettre à égalité la culture des pays d’accueil – seule légitime dans ces pays – et celle des hôtes qui leur sont imposés : c’est « bienvenu aux mosquées » dans les pays ex- chrétiens (pour les églises dans les pays musulmans l’on attendra sans doute…)

    Le pacte affirme, sans l’ombre d’une preuve, que l’intégration des étrangers contribue à accroître la prospérité… C’est peut-être vrai pour certaines grandes sociétés commerciales avides de main-d’œuvre à bon marché ; cela demande encore une démonstration pour les contribuables : les gilets jaunes qui réclament de justes augmentations de leur pouvoir d’achat et le maintien de services publics seraient sans doute intéressés par la récupération des « milliards de l’immigration » (AME, coût supplémentaire pour les écoles les hôpitaux les prisons, hébergement…) Le pacte parle de garantir l’accès aux « droits sociaux » des populations immigrées (qui, par définition, n’ont pas cotisé) et de leur permettre d’accéder au marché du travail : trois millions de chômeurs, cela ne suffit sans doute pas ; il faut en importer !

    L’on remarquera le cynisme du pouvoir politique français qui réaffirme ainsi son mépris pour l’opinion publique au moment même où il prétend avoir entendu le message de la rue. Le président Macron a eu une petite faiblesse en annonçant, alors qu’il essayait de reprendre le contrôle de la situation face aux gilets jaunes, un débat sur l’immigration. Son gouvernement a aussitôt refermé la brèche en disant qu’il n’en était pas question. Reste à savoir qui gagnera la belle de cette partie : est-ce au gouvernement de décider de ce qui sera discuté ? Aux gilets jaunes, dont on sait que beaucoup ne portent pas la migration dans leur cœur, d’en décider et d’imposer ce débat au gouvernement et au Parlement. Il reste pas mal de samedis jusqu’aux élections européennes pour aider les politiques à revenir à de meilleurs sentiments…

    Les défenseurs de l’invasion migratoire soutiennent le texte en disant que leurs adversaires noircissent le tableau. L’on se demande pourquoi un grand nombre d’Etats, et non des moindres comme les États-Unis, l’Australie, l’Autriche, la Pologne, Israël la Bulgarie, la Hongrie (liste non exhaustive)… refusent ce pacte. Ces pays, dont les gouvernements ne sont pas plus sots que le nôtre, ont bien une raison…

    L’argument principal des partisans du texte est de dire qu’il mentionne expressément le maintien des souverainetés nationales (encore heureux, mais cette affirmation platonique ne mange pas de pain !) et surtout que le texte ne serait pas contraignant. Comme quelque commentateurs l’ont fait observer, l’on ne voit pas très bien, dès lors, à quoi il sert. A priori il se range dans une catégorie assez floue du droit, celle des déclarations : en principe elles ne s’imposent pas, mais en fait elles inspirent et guident l’action des autorités.

    D’ailleurs le pacte est-il vraiment non contraignant ? Que veut dire, par exemple, l’invitation adressée à l’ONU d’observer sa bonne application par les Etats membres de ses recommandations et de ses mesures ? Même s’il n’y a pas (encore) de sanction directe, est-il convenable pour un État souverain d’être soumis à la surveillance et aux recommandations du « machin » ?

    Et puis, il existe pas mal de textes non contraignants… qui contraignent tout de même. L’on sait par exemple que la Déclaration des Droits de l’Homme du 89 n’avait pas initialement vocation à servir de droit positif ; néanmoins, à notre époque, elle fait partie du bloc de constitutionnalité et l’on peut faire annuler des lois par le Conseil constitutionnel en se fondant sur ses dispositions. L’on sait aussi les ravages provoqués par la déclaration sur la liberté religieuse du concile Vatican II. Ce texte de circonstance, qui est bien loin d’avoir l’autorité d’une constitution dogmatique, n’en a pas moins été l’un des points de départ de la révolution conciliaire qui a bouleversé l’édifice institutionnel de l’Eglise catholique.

    Méfions-nous des déclarations ! Que pourrait-on opposer, par exemple, à un jugement dans lequel un tribunal se fonderait sur ses dispositions pour rendre une décision ou pour interpréter une loi dans un sens favorable au « migrants » ? Le journaliste Éric Zemmour a récemment fait remarquer que le pacte de Marrakech pourrait entrer dans le droit positif par le biais de décisions jurisprudentielles. Dans un pays dont le pouvoir judiciaire est gangrené par le Syndicat de la Magistrature, l’on peut, en effet, le craindre. Alors que nombre de Français s’interrogent sur le bien-fondé des largesses du pouvoir à l’égard de migrants économiques ou de migrants revendiquant hautement leur islamisme radical, ce pacte contribue au désarmement moral de la nation.

    L’un des enseignements de la crise actuelle des gilets jaunes est que les Français n’ont plus confiance dans la parole des politiques. Ce n’est pas en signant derrière leur dos des accords internationaux qui vont en sens inverse de leurs desiderata que cette confiance sera rétablie.

    Il convient que les patriotes dénoncent cette nouvelle atteinte à notre nation. Suivant la méthode Trump, il conviendra, en cas de changement de pouvoir – ou même en faisant pression sur le pouvoir actuel affaibli – d’en obtenir la dénonciation.

    Et, rappel pour les gouvernants de rencontre : la souveraineté nationale est inaliénable et imprescriptible. Tout ce qui est fait à son détriment pourra un jour être déclaré nul et non avenu. Et les responsables de cette braderie pourront être amenés à en répondre.

    François Marceron, Docteur d’État en Droit.

    https://www.medias-presse.info/retour-sur-le-pacte-de-marrakech/103086/

  • L’enthousiasme identitaire gagne la Flandre

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    La coalition gouvernementale à la tête de la Belgique depuis 4 ans n’aura pas résisté au désaccord interne sur le pacte de l’ONU sur les migrations – aussi appelé « pacte de Marrakech ». Le premier ministre Charles Michel (francophone – Centre droit) a dû présenter sa démission à la suite de celle de ses ministres de la NVA (néerlandophones – Nationalistes conservateurs). Nous pourrions croire que c’est une nouvelle fois le débat communautaire qui a provoqué cette crise au pays du surréalisme politique. Or, c’est l’immigration qui a bouleversé le jeu politique belge pour la première fois de son Histoire. Et il y a deux leçons à en tirer.

    Tout d’abord que les ministres de la NVA perçoivent le caractère contraignant à terme de ce pacte supranational bien que les politiciens et les médias pro-immigration affirment le contraire. Le secrétaire d’État à l’Asile et aux Migrations démissionnaire de la NVA, Théo Francken, sait qu’un tel pacte n’est pas sans conséquence sur l’avenir du pays, et sur celui du continent en général. Dans son livre « Continent sans frontière », paru récemment, il décrit le système de l’intérieur et les rouages de l’immigration massive et provoquée. Au fur et à mesure des chapitres, il explique les causes des pressions migratoires qui s’exercent sur l’Europe, la raison de la docilité européenne face à ce phénomène et les raisons de l’impuissance des politiques européens. L’une d’entre elle est la Convention européenne des droits de l’homme consacrée pendant la guerre froide par les pays occidentaux pour répondre à la menace soviétique et aux méthodes qu’utilisaient les partis communistes pour arriver au pouvoir dans les pays de l’Est. En 1950, personne n’aurait cru cependant que son article 3, à savoir que « nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants » – aurait été utilisé par les immigrationnistes une trentaine d’années plus tard, dans le but de faire plier les gouvernements face à l’immigration clandestine.

    En 1989, c’est l’affaire Soering qui ouvre le bal de l’application indirecte d’un pacte supranational de principes sur le droit national. Dès lors, les juges européens n’ont eu de cesse de donner raisons aux immigrés visés par des mesures d’expulsion, à partir du moment où leur retour dans leur pays d’origine pouvait représenter un risque de « torture, de peines ou de traitements inhumains ou dégradants ». Signer un tel pacte signifie ouvrir une boite de Pandore et les nationalistes flamands le savent. Enfin, l’intransigeance du Premier ministre belge pour signer ce pacte coûte que coûte, au détriment de l’unité bien fragile du pays et avec le risque de provoquer une crise politique majeure comme elle a fini par survenir, prouve bien que ce pacte est tout sauf symbolique.

    La deuxième leçon à tirer de cette crise politique chez nos voisins c’est l’identitarisation du nationalisme flamand. En effet, les nationalistes flamands sont connus pour leur consensus concernant l’évolution institutionnelle du pays entreprise il y a maintenant un demi-siècle. Or c’est sur le thème de l’immigration que les nationalistes ont montré une intransigeance surprenante. C’est la preuve que le thème de l’identité a gagné le mouvement flamand qui était, jusqu’alors, animé par des revendications culturelles, politiques et sociales, des tranchées de 14-18 à nos jours. « Comment un mouvement national d’un peuple peut-il être autre chose qu’identitaire ? ». C’est par cette question dans un article publié dans «  ‘t pallieterke » que Jurgen Ceder, ancien sénateur du Vlaams Blok, appelle les militants flamands à embrasser la cause de l’identité. Selon lui, l’identité est le nouveau carburant du mouvement flamand qui lui permettra de parler aux jeunes générations touchées de plein fouet par la mondialisation et l’immigration de masse. « Il ne sert à rien de surveiller les postes de garde aux frontières francophones, alors que la Flandre perd rapidement ses rues, ses quartiers et ses villes. » On ne saurait être plus pragmatique ! Et son souhait est en train de se réaliser. Pour la première fois depuis des dizaines d’années en Belgique, 10 000 citoyens flamands (cf : la communauté flamande représente environ 6 millions d’habitants) se sont rassemblés devant les institutions européennes à l’appel des principaux mouvements et partis nationalistes flamands, pour dénoncer le pacte maudit de Marrakech.

    Ce que les débats institutionnels n’ont jamais réussi à faire, le thème de l’immigration l’a fait : la grande union des droites flamandes. Car, toujours selon Jurgen Ceder : « Il a toujours été question des Flamands, de leur langue, de leur culture, de leur individualité, de leur passé et de leurs traditions, de leur territoire et de leurs frontières, de leur mot à dire dans leur propre pays. ». Bref, il a toujours été question de leur identité. Et lorsque le rédacteur en chef d’un grand journal belge écrit : « L’enthousiasme identitaire, qui gagne toute l’Europe, submerge la rue de la Loi (siège du gouvernement) », nous ne saurions que lui donner raison : nous sommes enthousiastes pour l’avenir.

    François Vandenberghe

    https://www.les-identitaires.com/2018/12/lenthousiasme-identitaire-gagne-la-flandre/

  • Pierre Cassen : cette gauche qui lutte contre l'islam - Vive l'Europe, Conversano, décembre 2018

  • Immigration, islamisation : 6 raisons d’espérer un basculement politique

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    Il est une mode dans les milieux patriotes de céder au désespoir. Parfois même chez certains le défaitisme sert d’excuse pour l’inaction et le renoncement. En effet, si tout est perdu, à quoi bon s’engager ? Ce prétexte tient de moins en moins, il faudrait aujourd’hui être de bien mauvaise foi pour ne pas voir que la lumière est au bout du tunnel.

    Bien sûr l’immigration n’a cessé de prendre de l’ampleur, l’islamisation suit son cours et progresse dans toute l’Europe. L’idéologie dominante n’a jamais été si intransigeante. Les médias à grande audience rabâchent un discours monochrome sur les questions identitaires. Il ne faudrait cependant pas considérer que l’assurance de nos adversaires politiques est gonflée par leur confiance dans l’avenir mais bien par l’idéologie qui les anime. Ils sont les promoteurs et vainqueurs de la mondialisation, ils auraient tort d’en reconnaitre les effets néfastes.

    Ils ne veulent pas vivre dans un monde autre que le leur où la diversité tient lieu de quasi-religion et la repentance de culte. L’enracinement, la fermeture des frontières au déferlement migratoire, le protectionnisme économique leur font horreur. Même confrontés à l’échec de leur modèle et aux souffrances du peuple forcé de le subir, ils continueront de le défendre jusqu’à son écroulement total. Ils redoublent même d’efforts à mesure que l’issue fatale se précise.

    Les premières fissures commencent à apparaitre au grand jour avec la révolte des gilets jaunes, mais les premiers signes sont perceptibles depuis de nombreuses années. Cela ne veut pas dire que l’arrivée au pouvoir de nos idées est forcément imminente, mais elle est en tout cas loin d’être improbable. Sur beaucoup de sujets, les Français partagent très largement nos options et convictions :

    – 94 % des Français soutiennent la déchéance de nationalité des terroristes binationaux (Elabe, 18 novembre 2015)
    – Huit Français sur dix considèrent que leur pays ne doit pas accueillir d’étrangers supplémentaires. (IFOP,1er décembre 2018)
    – Près de trois quarts des Français trouvent que l’immigration coûte plus à la France qu’elle ne lui rapporte. (IFOP, 1er décembre 2018)
    – 83 % des Français sont favorables à « l’expulsion des étrangers fichés S ». (Odoxa, 29 mars 2018)
    – 88 % des Français sont favorables à l’interdiction du salafisme. (Odoxa, 29 mars 2018)
    – 74 % des Français jugent que l’islam « cherche à imposer son mode de fonctionnement aux autres ». (Ipsos, 3 juillet 2017)

    L’établissement d’un Référendum d’Initiative Populaire permettrait aux Français de s’exprimer sur ces sujets. Quand on sait qu’une écrasante majorité de Français (84 %) estiment qu’il n’est pas possible d’en discuter sereinement (IFOP,1er décembre 2018), cette revendication n’est pas innocente. Il faut sans doute considérer l’insistance des gilets jaunes au sujet du RIC comme un moyen de contrer l’unanimité gouvernementale et médiatique dans ces débats ainsi que de nombreux autres.

    Jean-David Cattin

    https://www.les-identitaires.com/2018/12/immigration-islamisation-6-raisons-desperer-un-basculement-politique/

  • Gilets jaunes : les gauchistes savent qu’il seront balayés sur la question migratoire

    Il est parfois très instructif de lire les textes de nos adversaires d’extrême gauche, surtout lorsqu’on peut y voir écrit noir sur blanc le constat par eux-mêmes de leur échec et de la fin de cycle de leur idéologie.

    Tel est le cas de cet article paru sur le site Antifa « La Horde Samizdat ».

    http://lahorde.samizdat.net/2018/12/19/un-point-de-vue-antifasciste-sur-les-gilets-jaunes/

    Les plus courageux d’entre vous pourront lire le texte en entier, il leur faudra passer à cheval sur les habituels lieux communs que déversent ces gens sur notre camp. Je recommande également de parcourir les commentaires des lecteurs qui ne sont pas dénués d’intérêt.

    Voici en résumé le questionnement que propose cet article :

    « Faut-il pour les activistes d’extrême gauche continuer à accompagner le mouvement des Gilets jaunes dont ils pressentent, à juste titre, qu’il est très massivement opposé à l’invasion migratoire et donc à leur universalisme mondialiste ? »

    Nous savons tous la capacité militante des organisations d’extrême gauche (largement supérieure à celle de notre camp) et leur réel savoir faire révolutionnaire pour capter les mouvements populaires et les diriger.

    Ainsi, à ce stade, elles ont réussi à côtoyer le mouvement des Gilets jaunes dans certaines grandes métropoles et, dans une moindre mesure, sur les réseaux sociaux.

    Les barricades, les incendies, les affrontements directs avec les forces de l’ordre, la technique révolutionnaire classique de rue ne sont pas dans la culture de la paisible classe moyenne de souche dont sont issus la plupart des Gilets jaunes. Elles sont la marque de fabrique des organisation révolutionnaires d’extrême gauche et toutes les images de chaos que l’on a pu voir en ville sont le résultat de leur travail. En ville ce sont elles qui sont à la manœuvre pour la commission des actes violents, comme d’ailleurs lors des AG où une ultra-minorité tente de contrôler le mouvement. C’est également assez largement le cas sur les réseaux sociaux où tout questionnement sur l’immigration est immédiatement censuré par des activistes très actifs.

    En revanche, au-delà des barrières, dans la France périphérique où se trouve le gros du mouvement, celui-ci leur échappe totalement, malgré des tentatives très visibles mais infructueuses de prise en main. Comme on dit entre nous, le « crétin crasseux » est immédiatement repéré, identifié et chassé. D’ailleurs, pour le moment, le mouvement est resté à l’état gazeux et aucun leadership de l’extrême gauche n’a pu prendre corps ; que ce soit en ville ou au-delà des barrières. Au mieux pour elle, l’extrême gauche côtoie le mouvement des Gilets jaunes sans jamais pouvoir ni le pénétrer ni réellement en prendre le contrôle ; comme si une incompatibilité anthropologique l’en empêchait.

    Par conséquent, l’article de la Horde est en quelque sorte un point intermédiaire et un retour d’expérience de leur échec à ce jour.

    De ce point intermédiaire et de ce qu’ils ont perçu sur le terrain, il ressort qu’ils en sont à se demander s’il doivent continuer à accompagner le mouvement des « Gilets jaunes » dans le but de parvenir à leur objectif central qui est le renversement du régime.
    Dans leur optique de convergence des luttes, ils en sont à se demander si toutes les luttes des Gilets jaunes sont réellement compatibles avec les leurs.

    Ne seraient-ils pas en train de venir au renfort d’un mouvement qui pourrait s’avérer porter des thèmes contraires à leur corpus idéologique ? Convergence des luttes, mais de quelles luttes et avec qui ?
    Et donc, ils se posent la question du « stop ou encore » à un moment où ils sentent que la suite du mouvement pourrait bien leur échapper et qu’ils pourraient avoir contribué à un renversement de régime qui porterait au pouvoir un mouvement populaire hostile à l’immigration et, pire selon eux, favorable à la remigration.

    Les activistes d’extrême gauche peuvent-ils être les compagnons de route de Gilets jaunes dont ils pressentent qu’ils sont massivement opposés à la migration et très bientôt largement favorables à la remigration ? Telle est la question qu’ils se posent.
    La question n’est pas sans rappeler celle que s’était posée le Parti communiste français en 1968. Fallait-il faire la jonction entre les ouvriers et les étudiants ? Fallait-il accompagner cette révolution libertaire qui menaçait l’ordre dans lequel évoluait le PC ? On sait la suite, les ordres de Moscou tombèrent et la jonction ne se fit point.

    Que les activistes d’extrême gauche se posent aujourd’hui la question du maintien de leur contribution au mouvement des Gilets jaunes consacre la très grande décantation qui s’est opérée dans l’opinion publique majoritaire sur la question migratoire et, de manière incontestable, son basculement massif.

    Ce seul questionnement revêt une signification politique bien particulière : celle du constat par l’extrême gauche révolutionnaire et mondialiste de l’émergence au plus profond de la nation française d’un rejet massif et radical de l’immigration et bientôt de l’adhésion à la remigration.

    J’y vois là un très grand message d’espoir pour nous tous.

    En synthèse, le mouvement des Gilets jaunes est bien un mouvement révolutionnaire qui vise au renversement du régime. En cela, il aurait pu être compatible avec les objectifs des organisations d’extrême gauche. En revanche, il est porteur d’un rejet massif de l’immigration, totalement incompatible avec son corpus idéologique. En cela, il incarne nos espoirs.

    Pour le moment, ce rejet n’est pas formulé de manière parfaitement explicite par les Gilets jaunes. Il reste encore sous-jacent sous l’énorme couche de la censure d’État et du politiquement correct. Toutefois, la pression est devenue énorme derrière l’embâcle. Toutes les digues sont sur le point de sauter et quand la dévalaison va se produire, plus rien ne pourra l’arrêter.

    Le doute de l’extrême gauche consacre ce phénomène qu’elle a pressenti. La décantation de l’opinion s’est faite. Le partage des forces va se faire sur la seule question migratoire, tout le reste sera de second ordre.

    Le peuple de France s’apprête à renverser ce régime pour régler la question migratoire qui le ruine et enclencher le processus de remigration. C’est exactement ce qu’ont pressenti les organisations d’extrême gauche.

    La fin du cycle mondialiste et du triomphe du libéralisme libertaire est enclenchée.

    Vous verrez que quand la dévalaison va se produire, nous aurons l’air d’avoir été des modérés.

    Martin Moisan

    https://ripostelaique.com/gilets-jaunes-les-gauchistes-savent-quil-seront-balayes-sur-la-question-migratoire.html

  • Suède : alors que la violence continue de grimper, l’UE va contribuer à un programme de lutte contre la haine

    La Suède devrait recevoir 7,5 millions de couronnes suédoises (738 248 euros) de l’Union européenne pour les victimes de « crimes haineux », après que le pays a connu un nombre record de fusillades mortelles en 2018.

    Le programme vise à apporter un meilleur soutien à ceux qui sont victimes de crimes motivés par la haine dans tout le pays pendant que leurs cas font l’objet d’une enquête ou de poursuites, rapporte le radiodiffuseur suédois Sveriges Radio.

    Eva Sund, qui travaille sur les affaires de crimes motivés par la haine pour le Département des opérations nationales (NOA) de la police suédoise, a déclaré que le projet aiderait à soutenir les victimes de diverses manières, notamment en leur indiquant comment déposer correctement une déclaration de crime motivé par la haine auprès de la police.

    « Le besoin d’accompagnement et d’explications des décisions prises dans le cadre d’un processus judiciaire est très élevé et cela prend du temps aux policiers enquêteurs s’ils doivent s’asseoir et s’occuper de ces questions », a dit Sund.

    La police et l’organisation suédoise d’aide aux victimes, une association à but non lucratif qui défend les droits des victimes, envisagent également de financer le projet, qui devrait démarrer en 2020.

    Le financement de l’UE intervient après que la Suède a connu un nombre record de fusillades mortelles dans tout le pays en 2018, principalement liées à la violence des gangs à travers le pays.

    Un nombre record de fusillades mortelles avait conduit l’expert de la police de Stockholm Gunnar Appelgren à affirmer que le pays ressemble à un « État en guerre », alors que le nombre de saisies d’armes à feu et de grenades à main avait augmenté en 2018 par rapport à l’année précédente, ce malgré une baisse du nombre global de fusillades.

    En Suède, les fusillades sont effectuées avec des armes importées de régions comme les Balkans, où le procureur bosniaque Goran Glamocanin a déclaré que la Suède était devenue l’un des plus importants marchés pour les armes de la région.

    Les grenades à main sont également devenues faciles à obtenir en Suède selon Appelgren qui a admis en janvier 2018 que les bandes criminelles avaient un large accès aux armes explosives. Un ancien criminel organisé suédois a déclaré qu’il était possible d’obtenir des grenades pour seulement 1 000 couronnes suédoises (96,5 €).

    Breitbart

    http://www.citoyens-et-francais.fr/2019/01/suede-alors-que-la-violence-continue-de-grimper-l-ue-va-contribuer-a-un-programme-de-lutte-contre-la-haine.html

  • Pacte de Marrakech. La colère des généraux inquiète-t-elle Macron ?

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    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Le 10 décembre dernier, plusieurs généraux retraités adressaient un vigoureux rappel à l’ordre à Emmanuel Macron pour l’empêcher d’engager la France quant au Pacte de Marrakech. Étrangement, les médias sont restés plutôt silencieux… Une preuve que le feu couve ?
    Polémia

    C’est le quotidien libéral L’Opinion, jugé sérieux, qui l’avait annoncé : « Publié le 10 décembre sur le site de Volontaires pour la France, un groupe de droite radicale, un appel de onze généraux officiers généraux et d’un colonel (qui ont quitté le service actif) et de l’ancien ministre de la Défense Charles Millon, dénonce la signature par la France du pacte mondial des migrations, dit “de Marrakech”. Les termes choisis dans cette lettre ouverte au président de la République sont particulièrement vifs et rejoignent ceux développés à l’extrême-droite et dans la fachosphère. On lit notamment ceci : « En décidant seul de signer ce pacte, vous ajouteriez un motif de révolte supplémentaire à la colère d’un peuple déjà malmené. Vous vous rendriez coupable d’un déni de démocratie, voire de trahison à l’égard de la nation ». « Vous ne pouvez pas décider seul d’effacer nos repères civilisationnels et nous priver de notre patrie charnelle. (…) Votre élection ne constitue pas un blanc-seing ».

    Un « complot  » trop beau pour être vrai

    Les signataires de ce texte sont le général (air) Antoine Martinez, très actif dans les cercles de la droite radicale et animateur de Volontaires pour la France, le général Marc Bertucchi, un ancien de la brigade alpine, le général Philippe Chatenoud, qui s’était déjà fait connaitre par ses critiques contre Nicolas Sarkozy, le général André Coustou, le général Roland Dubois, le général Daniel Grosmaire, le général Christian Houdet, élu RN en Nouvelle-Aquitaine, Général Michel Issaverdens, auteur d’un livre favorable au maréchal Pétain, l’amiral Patrick Martin, le général Christian Piquemal, qui s’était connaitre et sanctionner en allant manifester à Calais contre les migrants, le général Daniel Schaeffer, spécialiste de l’Asie, le général Didier Tauzin, qui avait tenté de se présenter à la présidentielle de 2017 et place désormais son combat politique sous le signe du « Christ-Roi », le colonel Eric Chanas, ex-DGSE reconverti dans la sécurité privée. S’y ajoute, Charles Millon, ancien ministre de la Défense, époux de la philosophe catholique Chantal Delsol et qui, circonstance très aggravante, avait été élu président du conseil régional de Rhône-Alpes en 1988 grâce aux voix du Front national dont il avait fait élire en remerciement treize FN vice-présidents de commissions frontistes, dont  le « sulfureux »Pierre Vial à la commission Culture.

    Trop beau pour être vrai. Le pouvoir, qui cherchait des factieux partout les a trouvés, et il n’a d’ailleurs pas tardé à réagir : « Ces propos sont inadmissibles et indignes. Les généraux 2S qui ont signé ce texte sortent du devoir de réserve auquel ils sont soumis. (…) En dérogeant à leurs devoirs, ils sapent ce qui les a conduits aux responsabilités du haut desquelles ils donnent aujourd’hui des leçons. Ce faisant ils ne répondent pas à leurs obligations statutaires et s’exposent de ce fait à des sanctions disciplinaires, dont nous apprécierons l’opportunité dans les jours à venir », a fait savoir le 16 décembre le ministère des Armées, authentifiant donc la réalité de ce « putsch ».

    Le stupéfiant silence des médias

    Mais, curieusement cette information sensationnelle n’est pas reprise. Pourtant, elle alimenterait les accusations de mains cachées derrière les Gilets jaunes et de la présence en leur sein d’éléments « sexistes, racistes, homophobes, xénophobes, antisémites » (cf. l’ancien garde des Sceaux Christiane Taubira), thématique conspirationniste qui fait des ravages dans les milieux dominants et les médias où le très suffisant Apathie, journaliste grand donneur de leçons, voit une organisation  souterraine derrière les protestataires.

    Cette fois, derrière les Gilets, la Cagoule ! Du nanan pour les charognards de presse. On est donc sidéré par le silence de l’audiovisuel. Normalement, les chaînes en continu auraient dû en faire des tonnes sur les thèmes « Qui sont ils ? —  Comment sauver la démocratie menacée par des militaires fascisants — Le retour du quarteron, etc. » Or, rien.

    Ce mutisme incite à redoubler d’attention et de prudence. Car soit, en dépit des menaces du ministre Florence Parly, l’affaire est sans importance. Soit elle révèle une réalité qui va au-delà de signataires très typés. Le fait de ne pas en parler dans les médias aux ordres du système prouverait plutôt que ce dernier s’inquiète sérieusement. Et qu’il redoute que « la colère des légions », les militaires après les policiers et les pompiers, ne soit contagieuse.

    Pierre Boisghilbert 25/12/2018

    https://www.polemia.com/pacte-de-marrakech-colere-generaux-macron/

  • Suède : la télévision publique accusée d’avoir minimisé les horribles meurtres des randonneuses scandinaves au Maroc

    Suède – La télévision publique suédoise SVT a essuyé des critiques de la part de certains téléspectateurs, la chaîne est accusée d’avoir minimisé les détails horribles des meurtres des deux randonneuses scandinaves au Maroc.

    Louisa Vesterager Jespersen, 24 ans, du Danemark, et Maren Ueland, 28 ans, de Norvège, ont été tuées alors qu’elles étaient en randonnée dans les montagnes du Haut Atlas au Maroc. Les deux filles ont été poignardées plusieurs fois, l’une d’entre elles a été décapitée devant une caméra, la vidéo s’est rapidement répandue sur les réseaux sociaux.

    (…) La veille de Noël, le radiodiffuseur public national suédois a diffusé un reportage sur les meurtres barbares, mais a choisi de ne pas se concentrer sur les détails du crime ou sur les liens désormais établis avec le terrorisme islamique. Le reportage de SVT ne mentionne pas qu’une des jeunes femmes avait été décapitée, ne dit rien sur le lien avec l’islamisme et fait simplement référence à des « blessures au couteau » sur le cou d’une des victimes.

    Bizarrement, le reportage se concentrait presque entièrement sur le fait que le partage de cette vidéo de décapitation constituait un délit punissable par la loi.

    L’angle étrange adopté par SVT a incité les téléspectateurs à penser que le radiodiffuseur public semblait plus préoccupé par le partage de la vidéo macabre que par le meurtre en lui-même.

    Un utilisateur de Twitter a écrit qu’au début, il pensait que l’utilisation de l’expression « blessures au couteau » au lieu de « décapité » n’était qu’une sorte de formulation malheureuse jusqu’à ce qu’il réalise que dans le reportage, cette expression avait été répétée plusieurs fois.

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