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immigration - Page 970

  • Quotient intellectuel et immigration : quelques vérités dérangeantes

    C'est un fait, le taux de réussite aux tests de QI est plus élevé dans les pays occidentaux que dans les pays africains. Cela peut s'expliquer de deux façons, mais le résultat est le même.
    Soit l'instrument de mesure est fait pour ce qu'il devait initialement mesurer, à savoir le quotient intellectuel d'un Occidental, et les enfants africains sont naturellement pénalisés par ce système.
    L'instrument est alors subjectif et l'adaptation impossible, puisque les Africains ne sauraient se soumettre avec succès à un système mental qui les handicape.
     
    Soit l'instrument est objectif, et les résultats préoccupants pour les enfants français : en effet, la cohabitation avec des élèves statistiquement moins performants constituera, cette fois pour eux, un handicap.
    On observera toutefois que les enfants asiatiques obtiennent des scores aussi bons, voire souvent meilleurs que les enfants européens aux tests de QI.
     
    Jean-Yves Le Gallou, Immigration, la catastrophe, que faire ?
     

  • Pourquoi Donald Trump construira un mur et interdira les musulmans

    L’élection à la présidence américaine de Donald Trump plonge dans la consternation tout ce que l’Amérique compte de démocrates, « progressistes », artistes « engagés, etc. Évidemment, ils espèrent que les promesses de campagne ne seront pas entièrement tenues. Michael Moore, le cinéaste connu notamment en France pour le documentaire « Bowling for Columbine », pense exactement le contraire.

    L’été dernier, alors que Hillary Clinton jouissait d’une avance apparemment insurmontable sur Donald Trump, le cinéaste Michael Moore prédisait que le milliardaire accéderait à la Maison Blanche. Moore, réalisateur de «Roger & Me », « Fahrenheit 9/11 » et «Bowling for Columbine», avait même prévu que Trump serait élu par la « Rust Belt » (Michigan, Ohio, Pennsylvanie et Wisconsin), des états ouvriers, fiefs historiques des démocrates. La vérité est que l’équipe de campagne de la candidate démocrate a négligé ces banlieues industrielles, peuplées de « petites gens ». Elle a préféré le monde des artistes, des intellectuels comme à New-York, où, lors d’un gala de collecte de fonds, elle a dit : « vous pourriez mettre la moitié des partisans de Trump dans ce que j’appelle le panier des déplorables. Racistes, sexistes, homophobes, xénophobes, islamophobes. ». « Heureusement », avait-elle repris dans un tweet, « ils ne sont pas l’Amérique ».

    Michael Moore prédit maintenant que le programme de Donald Trump sera appliqué. Le président américain, selon M. Moore, va bel et bien construire un mur pour empêcher les immigrants sud-américains de passer la frontière et trouvera un moyen d’interdire les musulmans d’entrer aux États-Unis.

    « Ce que vous allez voir, c’est que, dès le premier jour, il va annuler une douzaine ou plus des règlements mis en place par Obama », a déclaré Michael Moore. « Le deuxième jour, il va sortir des lois comme on imprime des flyers. Avant que les libéraux et les démocrates puissent réagir, 20 lois seront passées. »

    Moore a exprimé son inquiétude sur le fait que Donald Trump puisse avoir accès aux codes nucléaires, suggérant une évaluation psychologique pour le Président.
    Enfin, le cinéaste a donné le nom de celui qu’il aimerait voir se présenter comme candidat à la présidence, dans le camp démocrate : Tom Hanks.

    Source : Variety magazine

    http://www.medias-presse.info/pourquoi-donald-trump-construira-un-mur-et-interdira-les-musulmans/68062/

  • La question allemande et l’islam

    Pour la première fois, l’Allemagne a été frappée par un attentat musulman d’envergure revendiqué par Dae’ch, le 19 décembre 2016, dans le symbolique marché de Noël de Berlin, après une série de moindres attaques annonciatrices. Le terme ”musulman” est préférable  à ”islamiste”, car ce dernier vocable suggère qu’il ne s’agit pas de l’islam mais de sa déformation extrémiste. Ce qui est faux : l’islamisme et toutes ses exactions, dont le terrorisme, sont le produit du véritable islam, parfaitement conforme au Coran, livre de chevet de tous les djihadistes. Cet attentat est la conséquence de la politique d’encouragement de l’invasion migratoire de son pays – et des voisins européens– de la très perverse chancelière Angela Merkel, folle vêtue de la robe des sages. Le nouveau Président Trump a parfaitement compris la nocivité de la Chancelière. 

    Face à l’agression, la réponse bisounours

     Et comme toujours, à cet attentat de Berlin, on a réagi avec des larmes, des bougies, des bouquets de fleurs, des pleurs, des pardons. Les Allemands sont aussi affaiblis que les Français, voire plus. On exprime la ”tristesse”, pas la colère. On donne de soi une image de défaite, de déréliction et donc de soumission, catastrophique.

     Les viols et agressions sexuelles de masse commis à Cologne par des Maghrébins (faux réfugies et vrais envahisseurs) pour le nouvel an 2015 contre des Allemandes de souche n’ont pas tellement fait réagir l’opinion allemande (sauf une minorité diabolisée comme politiquement incorrecte), totalement abrutie par la propagande du système. Ces faits participent du début de la guerre civile ethnique qui menace l’Europe.  

    Après l’attentat de Berlin ; Angela Merkel s’est dite « très fière du calme avec lequel un grand nombre de personnes ont réagi à la situation ». Ce ”calme” n’est que de l’apathie et de la soumission. Et Angela Merkel est objectivement complice – organisatrice plutôt – du processus d’invasion migratoire et donc de tous les maux que cela provoque, dont la criminalité et le terrorisme.  Le cynisme froid de cette femme de tête obéit à une logique, non pas  en fait la plus nuisible des dirigeants politiques européens depuis 1945. Et, malheureusement, la plus influente, du fait du rabaissement tragi-comique du partenaire français – entièrement de sa faute, l’Allemagne n’étant pour rien ans les clowneries de François Hollande.

    En Allemagne, 168.000 clandestins déboutés du droit d’asile restent en attente d’expulsion. Ils ne risquent pas grand–chose, tout comme en France et ailleurs en Europe. Les agressions sexuelles massives du nouvel ans 2015 à Cologne par de faux réfugiés maghrébins (voir plus haut) ont été réfutées dans leur réalité par l’idéologie antiraciste du déni, dont Mme Merkel est la gardienne, elle qui a invité et fait entrer plus d’un million d’envahisseurs, appelés ”migrants”, et qui continuera à le faire si elle est réélue. Une partie de l’opinion publique allemande, abrutie et infantilisée, appelle la chancelière Mutti (”maman”), comme si elle était une protectrice du peuple allemand ; alors qu’elle en est une destructrice.

    L’Allemagne, malade et  masochiste

    En pleine forme économique (provisoire), l’Allemagne meurt néanmoins à petit feu, pour d’implacables raisons démographiques. Elle vit son chant du cygne, sa dernière illusion. De moins en moins de jeunes Allemand(e)s de souche naissent et se reproduisent. Le pays doit aller chercher sa main d’œuvre ailleurs. Un peuple qui vieillit est comme un capital qui s’épuise. Si rien ne change, dans deux générations, le peuple allemand aura disparu sous le double choc de la dénatalité et de l’invasion migratoire. C’est plié. Même la langue allemande deviendra doucement une langue morte.  La dégermanisation de l’Allemagne est entamée

    Notons que l’Allemagne (l’oligarchie et non l’opinion populaire, le peuple allemand) qui se croyait à l’abri des frappes terroristes musulmanes parce qu’elle n’a pas de passé colonial, qui a toujours manifesté une islamophilie et une turcophilie, a été frappée par les tueurs musulmans. Ironie de l’histoire : le Troisième Reich soutenait l’islam, et le Deuxième était allié du Sultan ottoman pendant la Première guerre mondiale. Les rapports de l’Allemagne et de l’islam sont troubles ; et ce dernier montre une singulière ingratitude. C’est sa marque de fabrique. La naïveté allemande, marquée par la culpabilité, n’en est que plus tragique. 

     Selon Ivan Rioufol, « la société allemande est dévastée par la culpabilisation. Ainsi meurent les civilisations émasculées et décadentes ». Comme en France, voire pis encore, « les citoyens sont anesthésiés par l’idéologie du grand mélangisme. […] L’Occident évitera la débâcle s’il renoue avec l’autorité, la force, la guerre. L’islamophilie d’Obama a accentué la vulnérabilité du monde libre, que Merkel a trahi en ouvrant les portes à plus d’un million de musulmans au nom de la ”diversité” » (Le Figaro, 0/01/2017).

    L’irresponsabilité allemande menace l’Europe et le peuple allemand

    La naïveté et l’angélisme règnent en Allemagne plus qu’ailleurs et cela frise la perversité. Ce pays a accueilli en un an un million de réfugiés et le flux continue. Mme Merkel est une destructrice de la civilisation européenne. Appels irresponsables à l’accueil de ”migrants” et de ”réfugiés” (à 90 % faux persécutés et envahisseurs) frontières ouvertes, contrôles déficients, laxisme judiciaire, police  molle, la liste est longue des dérapages de l’ État allemand, pires que ceux de ses voisins européens.   

    Le racisme délirant de Hitler doit être mis en parallèle avec l’antiracisme délirant de Mme Merkel. Le résultat est le même : une catastrophe pour l’Europe. De nature criminelle, dans les deux cas, directe dans le premier, indirecte dans le second. Avec la bêtise en prime. Autant il y a, dans la civilisation européenne, une grandeur allemande par ses apports culturels et scientifiques, par ses réussites économiques, autant, sur le plan politique, l’Allemagne, dès qu’elle s’impose, est une catastrophe pour l’Europe. Tout faux, tout le temps, et ce, depuis…1870 !  Exactement comme la politique étrangère américaine depuis les années 60.

    Militariste ou pacifiste, raciste ou antiraciste, militariste orgueilleuse ou masochiste culpabilisée, atlantiste américanolâtre (l’ex RFA), ou stalinienne et néo-hitlérienne (l’ex RDA), la politique allemande a toujours été catastrophique. Mme Merkel, en ouvrant les frontières de l’Europe aux ”migrants” envahisseurs est dans la continuité de cette irresponsabilité allemande. Cette dernière n’est pas seulement nuisible à l’Europe mais aussi au peuple allemand lui–même

    Haine raciste anti-européenne et christianophobie

    Pour Gilles Kepel, « le marché de Noël qui a été visé revêt naturellement une dimension chrétienne mais présente aussi un caractère festif […], une fête de la consommation ». (Le Figaro, 21/12/2016).  Noël, symbole de tout ce qu’ils haïssent. Et la fête est le symbole de tout ce qu’ils désirent mais que, frustrés, ils sont incapables de réaliser et de vivre.

    L’attentat de Berlin contre le marché de Noël, avec camion qui fonce dans la foule, réplique de celui de Nice pendant le 14 juillet, prouve que les agressions terroristes musulmanes, accomplies ou déjouées, visent les lieux festifs – symboles de notre civilisation ”corrompue”– et le christianisme. Le marché de Noël est une synthèse des deux, un symbole ethnique et de civilisation. En Autriche, un demandeur d’asile, faux réfugié, a été arrête juste avant de commettre un attentat à Salzbourg pendant les fêtes de Noël. C’est une obsession.

    Complicité objective avec les tueurs djihadistes au nom de l’”antiracisme”

    Depuis le début de 2015, plus d’un million de ”migrants” ou ”réfugiés”, en provenance de pays musulmans à 90%, sont arrivés en Allemagne et en Europe occidentale. Parmi eux, des centaines de guerriers et tueurs djihadistes sont infiltrés, comme Amri, l’assassin du marché de Noël de Berlin ; ce Tunisien était entré en Europe comme faux réfugié, par l’Italie, où il a fait 4 ans de prison pour des délits de droit commun. Jamais expulsé, parfaitement repéré comme candidat au djihad terroriste, connu comme voyou violent et repris de justice en situation irrégulière, demandeur d’asile débouté, il n’a été ni inquiété, ni arrêté, ni expulsé par les autorités allemandes. Des centaines d’autres terroristes musulmans potentiels sont dans son cas et actuellement en liberté dans chaque pays d’Europe.

    Un sénateur Vert allemand, Till Steffen, chargé de la Justice dans le Land de Hambourg a refusé la publication de l’avis de recherche de l’assassin tunisien du marché de Noël, afin d’éviter (langue de bois) les « amalgames » avec les musulmans et la « stigmatisation » de ces derniers. Cet ”antiracisme”, qui tient de la pathologie ethnomasochiste et xénophile est la clé de voûte de la démission des élites européennes.

    Le tueur tunisien  était passé au travers des contrôles des services de police allemands, non pas, comme on l’a dit par négligence,  ou par laxisme répressif motivé idéologiquement, mais par complicité. Celle-ci s’exerce au nom de l’”antiracisme”. Anis Amri, porteur de fausses identités, délinquant multirécidiviste, reconnu comme candidat au djihad meurtrier, a été libéré d’un centre de rétention en 2016 par un juge allemand. Cette mansuétude, très répandue en Europe, délivre un message – comme en matière de délinquance – d’impunité aux jeunes musulmans attirés par le djihad. La faiblesse et la lâcheté des autorités européennes excitent leur agressivité.

    Les collabos de  l’invasion migratoire et du terrorisme  

    Figure de l’ethnomasochisme et de la stupidité, le pasteur de Berlin, Markus Dröge a déclaré après l’attentat musulman du marché de Noël : « Le repli sur soi ne sert à rien. Nous devons apprendre à vivre ensemble  avec des gens de religion et de culture différentes ». Il ajoute que « c’est le message de Noël ». Autrement  dit : continuons d’accueillir l’ennemi en répétant que c’est un ami. Mme Merkel  partage exactement la même idéologie. Le ”message de Noël” consiste donc à accueillir et à tolérer ceux qui  massacrent les chrétiens sur les marchés de Noël…En plus de la bêtise et de la naïveté, il y a de la perversité.

     La secrétaire d’État à l’Intégration (vocable de langue de bois synonyme d’Invasion) Mme Aydan Özoguz, a expliqué: « la diversité nous rend plus riche et pas plus pauvres, cela doit être notre devise ». Ironie tragi-comique, cette déclaration, qui rabâche en langue de bois une des contre–vérités de la vulgate idéologique officielle,  a été faite quelques minutes avant l’attentat musulman de Berlin…Ce genre de propos et de comportements mensongers et pervers est constant chez les élites et les gouvernements d’Europe de l’Ouest (surtout en Allemagne, en France et en Belgique) mais aussi dans les hiérarchies des Églises chrétiennes, jusqu’au Pape. (1)

    Ces Allemands lucides qui s’insurgent

    Frauke Petry, la dirigeante de l’AfD (Alternative pour l’Allemagne) a proposé d’identifier les suspects de terrorisme, dans toutes les procédures de contrôle, par leur ”ethnie”, à partir de la pigmentation, de la couleur des cheveux et des yeux, etc.. Procédure de bon sens, pratiquée sans complexe aux USA et en Israël, étant donné que 100% des terroristes depuis quelques années en Europe, en Amérique et en Israël, sont d’origine arabe, d’Asie centrale ou africaine. Il ne sert à rien de perdre son temps à contrôler tout le monde. Mieux vaut se concentrer sur une population à risques précise et bien connue. Horreur ! La proposition a fait scandale en Allemagne car Frauke Petry a été accusée d’être « raciste ». Ce genre de préjugé idéologique revient à une complicité objective avec les tueurs.  

    Le parti ”populiste” allemand AfD, scandaleusement présenté comme néo–nazi, a fait une remontée dans les sondages et, surtout, a osé dire que Mme Merkel avait « du sang sur les mains »  après l’attentat de Berlin. « Ce sont les morts de Merkel » a accusé un responsable d’AfD, Marcus Pretzell. Cette image est malheureusement vraie. Angela Merkel, plus encore que les autres dirigeants européens, en favorisant l’invasion migratoire, facilite les attentats terroristes et prépare l’éclatement d’une guerre civile ethnique. Homicide par imprudence, 

    « Nous sommes en état de guerre, même si certaines personnes qui ne veulent toujours voir que le bien refusent de le reconnaître » a déclaré Klaus Bouillon , ministre de l’Intérieur (CDU) de la Sarre. Sa voix est bien isolée. Cependant, Sigmar Gabriel, le vice–chancelier (SPD), candidat à la succession d’Angela Merkel, s’est tout de même prononcé pour l’interdiction des mosquées salafistes, la dissolution de leurs associations et l’expulsion de leurs prédicateurs. Ces mesures – qui ont peu de chance d’être efficaces, voire même réalisées – sont totalement secondaires face au fait menaçant majeur : le déversement migratoire invasif à 90% musulman. 

    Le mouvement Pegida, très courageux, de résistance contre « l’islamisation de l’Occident » a été, bien entendu, assimilé par les médias et la classe politique à un mouvement de type fascisant ! Pour l’idéologie dominante islamophile, qui se légitime systématiquement par l’ ”antiracisme”, résister à l’invasion musulmane organisée est ”fasciste”. Incroyable inversion de la réalité : résister à l’islamo–fascisme serait… fasciste ! Les ennemis de Pegida – dont par ailleurs beaucoup sont d’origine turque, donc musulmans – qui sont Allemands de souche se comportent comme des collabos face à l’envahisseur et ne sont pas exempts d’une certaine fascination pour l’islam, ce qui était aussi curieusement le cas d’un régime passé qu’a connu l’Allemagne. Il est très important de soutenir toutes les forces de la résistance allemande contre l’islamisation et l’invasion migratoire, dont la Chancellerie, laBundeskanzleramt du 1, Willy–Brandt Strasse à Berlin est la planificatrice – osons le mot– criminelle.

    (1) Il faut lire à ce propos, le récent essai de Laurent Dandrieu, Église et immigration, le grand malaise, avec ce sous–titre  pertinent : «  Le Pape et le suicide de la civilisation européenne ».

    http://www.gfaye.com/la-question-allemande-et-lislam/

  • De quoi la « Décadence » d’Onfray est-elle le nom?

    Comme Hegel avant lui , « Nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles » affirmait Paul Claudel, au lendemain de l’atroce guerre civile européenne, de l’épouvantable boucherie de 14-18 dont nous ne nous sommes jamais vraiment remis. Cette idée de la disparition programmée de la civilisation européenne, et plus largement « occidentale », est au cœur du nouveau livre de Michel Onfray, Décadence – de Jésus au 11-Septembre, vie et mort de l’Occident. Nous ne l’avons pas lu  mais  les médias et son auteur l’ont largement commenté et dévoilé au fil des articles et des entretiens qui y ont été consacrés. M. Onfray s’y livre (comme souvent)  à des attaques,  peu nuancées et caricaturales,  contre un catholicisme qui  visiblement l’obsède  et se serait imposé avant  tout par la violence,  les persécutions  et  dans  le sang et « (« deux mille ans d’antisémitisme chrétien, et son terrible couronnement par la Shoah »). Il  avance que  «La civilisation judéo-chrétienne européenne se trouve en phase terminale» , constat qu’il veut clinique, « comme un médecin le ferait d’une desquamation ou d’une fracture, d’un infarctus ou d’un cancer»

    Une analyse dont le caractère factuel est parfois difficilement contestable, peut être  recevable ou à tout le moins  légitimement argumentée comme lorsqu’il note que « l ‘effondrement du judéo-christianisme en Europe, la baisse du taux de fécondité de sa population couplée à la Résurgence de l’Islam et à l’augmentation de son taux de fécondité, témoigne en faveur de l’islam» ( « nous avons le passé pour nous, ils ont l’avenir pour eux» prophétise-t-il),  «porteur d’une nouvelle spiritualité européenne capable de disposer de la puissance avec laquelle se constituent les civilisations nouvelles ». Michel Onfray fustige aussi  Vatican II qui « a fait de Dieu un copain à tutoyer » et souligne  aussi que  « les législations postchrétiennes qui libèrent la sexualité et la découplent de la procréation, de l’amour et de la famille contribuent à l’effondrement démographique ». 

    « Le judéo-christianisme a régné pendant presque deux millénaires. Une durée honorable pour une civilisation. La civilisation qui la remplacera sera elle aussi remplacée. Question de temps. Le bateau coule: il nous reste à sombrer avec élégance.». A cette civilisation islamique prédit-il encore  succédera  le grand tout, le magma mondialiste « une civilisation planétaire,  en réseau (…)  car les nations ont disparu, les territoires  ont disparu (?),  on  est dans le temps réel de l’appel téléphonique, de l’écran vidéo ( ?)». Pour autant, il  prend bien soin de dire « (qu’il n’est)  pas de ceux qui dirait:  attention  il faudra  bien voter la fois  prochaine fois sinon on aura l’islam au pouvoir».    

    L’immigration non européenne est appréhendée par Onfray comme inéluctable, fatalisme duphilosophe nietzschéen bien étranger, soit dit en passant, au génie et au caractère de notre civilisation.  « Le blanc», dit-il,  «va être une vieille chose dépassée et il y  aura  métissage et disparition et je ne suis pas de ceux qui disent oh la la  le grand remplacement, catastrophe, oh la la , le métissage  nos étions  une  race supérieure et il y a des  races inférieures qui sont en train de nous dominer, de nous posséder etc.  Je  dis juste  est-ce qu’on peut,  à la Spinoza , un ni rire ni  pleurer , mais comprendre…». Peut-être peut-on rappeler à M. Onfray que la volonté de défendre son identité qu’elle soit physique, culturelle ou spirituelle n’implique aucun racisme. Et certainement pas la dévalorisation, le mépris, la haine de l’autre mais,  le plus souvent au contraire,  une saine estime de soi, la pleine perception que la beauté de notre monde réside dans sa diversité, sa pluralité, ses différences.  Dévalorisation, mépris et haine qui s’exercent a contrario exclusivement chez les grands prêtres de l’idéologie dominante dans les médias,  contre les Européens qui veulent rester eux mêmes, mais jamais vis-à-vis des autres  peuples,  communautés  ou  ethnies qui à travers le monde manifestent le même souci respectable. 

    De la question  identitaire aux préoccupations souverainistes,  M.  Onfray, toujours sur Europe 1 , énonçait sur le même mode le caractère irréversible  de la  dépossession de la maîtrise de notre destin:  «le prochain président de la République va défendre l’Euro, l’Europe, le marché, le libéralisme. Nous allons continuer dans le même sens. Si ce n’était pas le cas, et que par exemple Marine Le Pen était élue»,  «ce serait le bazar dans la rue», « on aurait le syndrome de Tsipras (le Premier ministre grec eurosceptique d’extrême gauche qui s’est finalement couché devant Bruxelles, NDLR). C’est-à-dire que l’Europe ferait son travail. L’Europe libérale n’est pas méchante, mais elle obéit à une forme de fatalité. C’est comme ça que ça se passe, et ça contribue à une dilution des souverainetés, des souverainismes et des frontières. Ce n’est ni bien ni mal, c’est ainsi »… Ni bien ni mal? Une Europe écrit-il pourtant,  dominée par un   libéralisme qui, selon lui, est  « un facteur d’enrichissement des riches et, la plupart du temps, d’appauvrissement des pauvres ». «L’Europe est à prendre, sinon à vendre».

    Comme Eric Zemmour notamment, Michel Onfray réitère dans son dernier  livre  « son admiration pour le travail de Samuel Huntington et son Choc des civilisations (1996), un livre, écrit Onfray, validé par le réel bien qu’il fut déconsidéré lors de sa parution en France par l’intelligentsia parisienne ». Cet avis,  comme plus largement ses considérations sur notre civilisation et l’assomption de l’islam,  avaient  déjà été  tenus par le philosophe-essayiste lors d’une conférence en août 2013: « Prétendre qu’il n’y a pas un choc des civilisations entre l’occident localisé et moribond et l’Islam déterritorialisé en pleine santé est une sottise qui empêche de penser ce qui est advenu, ce qui est, et ce qui va advenir».  Bruno Gollnisch notait pour sa part,  dans un entretien accordé au magazine  Zur  Zeit en 2015 , que si certaines analyses historiques, objectives  de M. Huntington  peuvent être validées, il  restait  très « circonspect »  sur cette théorie du « choc des civilisations brandi par les neocons ».   « Elle  a contribué à la justification de la catastrophique guerre contre l’Irak de 2003, nous en voyons les effets désastreux aujourd’hui, et à une volonté plus générale de remodelage  du Proche-Orient, toute aussi chaotique dans ses effets ».

    Reste que l’athée Onfray décrit parfaitement la déshérence spirituelle d’un « Occident (qui) ne vit désormais que dans le consumérisme.» Or,« On ne donne pas sa vie pour un iPhone. L’islam est fort, lui, d’une armée planétaire faite d’innombrables croyants prêts à mourir pour leur religion, pour Dieu et son Prophète. Nous avons le nihilisme, ils ont la ferveur ; nous sommes épuisés, ils expérimentent la grande santé,  nous vivons englués dans l’instant pur  ils tutoient l’éternité. ».

    Cette réflexion d’Onfray ne nous est pas bien sûr  pas totalement étrangère. Nous l’avons écrit  sur ce blogue ces dernières années, c’est par la réaffirmation des valeurs qui ont fait la force, le génie, et la grandeur de notre civilisation helléno-chrétienne,  que nous gagnerons le respect  des populations immigrées ; valeurs qui si elles étaient portées fièrement,  seraient   même  un facteur d’assimilation. Mais valeurs  piétinées allègrement le plus souvent par les autoproclamés défenseurs cosmopolites de  la laïcité,  d’une république bien peu romaine, mais  progressiste,  décadente,  affaissée, sans âme…

    Bruno Gollnisch relevait que « la nature a horreur du vide ». « Nos églises se vident, les mosquées sont pleines. C’est aussi sur le vide spirituel de l’occident, de nos nations dites avancées, mais surtout désenchantées, que prospère l’islamisme. Quelles valeurs autres que matérialistes, hédonistes, marchandes, relativistes avons-nous à opposer à l’islam conquérant ? La quête du Beau, du Bien, du Vrai qui, dés la Grèce antique, a façonné l’esprit, le génie de notre civilisation, est battue en brèche, moquée, vilipendée. En refusant de reconnaître les racines chrétiennes de l’Europe, les instances Bruxelloises ont fait aussi, à leur niveau, le jeu de l’islam radical. En désarmant les âmes, on affaiblit aussi les cœurs et les esprits ».  L’Islam -dans sa composante fondamentaliste mais pas que–  prospère  en réponse au matérialisme et à ce vide spirituel occidental qui ne peut être comblé uniquement  à l’évidence par la déclaration des droits de l’homme,  les centres commerciaux et le mariage pour tous.

    Enfin, et nous le rappelions  pareillement, cette immigration massive  qui découle aussi de l’explosion démographique des pays du sud, « n’est pas l’œuvre d’un complot fomenté par les mollahs, les docteurs de la foi de l’université al azhar du Caire ou le Grand Mufti de Jérusalem. Elle est plus simplement de la responsabilité directe des politiques criminelles menées par la gauche et la droite depuis quarante ans, par soumission au grand capital apatride, lâcheté, aveuglement, bêtise ou cosmopolitisme. Il ne faut pas l’oublier.»

    https://gollnisch.com/2017/01/20/de-quoi-decadence-donfray-nom/

  • Journal du Vendredi 20 Janvier 2017 : Immigration/ Les migrants au chaud, les Français à la rue

  • Arzon. Peines de prison requises à l’issue d’un procès très politique

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    Nicolas Faure et son avocat, Maître Pichon

    Vannes (Breizh-Info.com cliquez ici) – La salle d’audience était comble hier, jeudi 19 janvier, au Tribunal Correctionnel de Vannes. En effet, quatre manifestants, dont Ronan Le Gall et Nicolas Faure, respectivement président d’Adsav et du Lien, étaient jugés suite au rassemblement du 14 novembre 216 dénonçant une agression sexuelle commise par un migrant à Arzon.

    Maître Pichon, l’avocat de Nicolas Faure, avait annoncé bien avant le procès les intentions du procureur de la République, M. Touron : ce serait un procès politique. De ce point de vue, l’audience d’hier a largement tenu ses promesses.

    Les 4 prévenus comparaissaient pour des motifs différents :

    Ronan Le Gall et Nicolas Faure étaient poursuivis pour avoir organisé une manifestation non déclarée. Depuis novembre, comme les autres prévenus, ils avaient interdiction de se rendre dans le Morbihan et étaient placés sous contrôle judiciaire. Ils étaient défendus respectivement par Maître Labbey-Guimard et Maître Pichon.

    Les deux autres inculpés l’étaient pour des faits de violence sur les gendarmes et de forçage du portail de la CCAS durant la manifestation. S’ajoutait pour l’un d’eux des coups donnés à un employé du CCAS. Ils n’avaient pas d’avocat.

    Lors des interrogatoires, le président s’en tiendra strictement à sa mission : établir les faits afin d’apprécier la responsabilité individuelle de chacun.

    L’avocat du CCAS : maître Weyl, vieux militant PCF
    Tout allait changer avec la plaidoirie de Maître Weyl et le réquisitoire du représentant du parquet, le procureur Touron.

    Deux mondes se sont alors fait face hier après midi dans l’enceinte du tribunal. D’un côté, la majorité du nombreux public, opposée à l’invasion migratoire, venue soutenir les personnes poursuivies, de l’autre Me Weyl et le procureur Touron. Dans le public, on notait aussi la présence de Jean-Claude Blanchard et de Brigitte Nédélec, conseillers régionaux (FN) des Pays de la Loire et d’Eléonore Revel, secrétaire départementale adjointe du FN en Loire-Atlantique.

    S’étant constitué partie civile, la CCAS d’Arzon – établissement qui dépend du Comité d’entrepris d’EDF -, avait fait appel au doyen du barreau de Paris, le militant et avocat historique du Parti communiste français, Roland Weyl. Un militantisme que se sont bien gardés de rappeler certains médias ayant couvert l’affaire. Qui n’ont par contre pas manqué de souligner celui – assumé – de Maître Pichon.

    La mission normale d’un avocat de la partie civile est de démontrer le préjudice de ses mandants, en l’occurrence la détérioration du portail du CCAS et les conséquences des coups portés à l’employé. En fait, Me Weyl parlera « d’expédition punitive ». Ce qui entraînera une réaction de la salle. Il n’hésitera pas en habitué des méthodes communistes à remonter à la Libération et au nazisme évoquant « un danger qui participe de la peste brune » (sic) pour diaboliser les accusés et justifier sa demande de publication du jugement.

    Suite de l’incident évoqué ci-dessus, le procureur avait menacé de ne pas prendre de réquisitions si la salle n’était pas évacuée. Le président ne l’avait pas suivi. Il va donc requérir. Mais, contrairement aux usages, au lieu de s’adresser aux membres du tribunal , il se tournera, comme pour un meeting, vers la salle. Va suivre une longue leçon de morale, au risque de susciter des réactions parmi un public manifestement acquis à la cause des prévenus.

    « Avez vous pris du plaisir à frapper cet homme ? », ira jusqu’à demander le représentant du parquet au prévenu accusé de violence sur un employé du CCAS qu’il avait pris pour l’agresseur sexuel . Puis, au lieu d’argumenter sur les actes effectifs de chacun des accusés, il affirmera qu’il s’agit de faits d’une extrême gravité. Il développera très longuement un réquisitoire « républicain » et « antiraciste militant », se présentant comme le défenseur des lois de la République.

    Dans sa plaidoirie, Maître Pichon lui demandera alors pourquoi la loi n’était pas appliquée à ces migrants illégaux qui devraient être expulsés avec une OQTF – Obligation de Quitter le Territoire Français – Il se demandera à l’écouter si « les colonnes infernales de Turreau n’étaient pas de retour ».

    Finalement 18 mois de prison, dont un an ferme, 3 ans d’interdiction de séjour, 2 ans d’interdiction de manifester, ont été requis contre le jeune homme qui a frappé un employé du centre d’accueil (occasionnant une ITT de 2 jours de travail) . Contre les trois autres prévenus des peines de prison avec sursis sont requises : deux mois pour Ronan Le Gall et Nicolas Faure et 1000 euros d’amende, huit mois pour le troisième, ainsi qu’une interdiction de paraître à Arzon sur trois ans, et un stage de citoyenneté …

    Un dossier « vide, très vide, trop vide », dira Maître Pichon qui, comme Maître Labbey Guimard, a plaidé la relaxe pour son client, en s’appuyant sur des jurisprudences concernant des manifestations non déclarées et en rappelant que la participation à une manifestation non autorisée n’était pas un délit, mais également qu’à aucun moment, celle d’Arzon ne fût interdite.

    Le tribunal rendra sa décision le 16 mars.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Sortie de classe dans une mosquée tenue par l'UOIF

    Alain Avello, secrétaire départemental du Front national de Loire-Atlantique et vice-président du groupe FN au conseil régional des Pays de la Loire, dénonce :

    "En décembre dernier, des élèves de terminale ES du lycée Jules Verne de Nantes ont accompli, à l’initiative de leurs professeurs, une visite de la mosquée nantaise Assalam, apprenait-on récemment. Ces jeunes gens, après s’être préalablement déchaussés, se sont vus exposer par l’imam, en salle de prière, les préceptes de l’Islam.

    Ah ! Les sorties scolaires !… Elles ont connu une véritable inflation, à mesure qu’en classe, on transmettait toujours moins de savoir, au point de conduire de pauvres élèves là où décidément ils auraient mieux fait de ne jamais se retrouver. Car en l’espèce, l’imam faisant momentanément fonction d’enseignant, c’est à la reconnaissance d’une religion qu’on les a contraints, quand l’École de la République, si elle ne doit méconnaître le fait religieux, ne saurait en proposer qu’une approche objective et distanciée.

    Parvenus à ce point de confusion quant à des principes pourtant élémentaires, il n’est presque plus étonnant que les enseignants et les autorités de l’établissement nantais aient pu pousser l’inconséquence jusqu’à faire le choix d’une mosquée affiliée à l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), bien connue pourtant pour entretenir des liens avec des organisations islamistes radicales. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Immigration : ce sont les chiffres qui en parlent le mieux

    Nicolas Dupont-Aignan l'a compris : dans sa tribune publiée par Valeurs Actuelles, il n'aborde par l'immigration sous l'angle moraliste, philosophique (voire théologique !), mais sur les faits :

    6a00d83451619c69e201bb096ea887970d-250wi.jpg"[...] En 2016 nous dit le ministère de l'Intérieur, l'immigration légale se traduit par l'entrée de 227 550 personnes sur notre sol, une hausse de 4,6% par rapport à l'année précédente. C'est presque autant que la population de Bordeaux en une seule année ! On apprend aussi que l'immigration déclarée au titre du travail représente 10% de l'effectif, environ 38% étant dus à l'immigration familiale (regroupement familial et mariage avec un conjoint étranger) soit plus de 88 000 personnes, tandis que les étudiants (dont une minorité quitte le pays à la fin de leurs études) pèsent 77 000 entrées. Enfin, les entrées pour motif humanitaire (qui se concrétisent par l'octroi du droit d'asile dans peu de cas) s'élèvent à plus de 32 000, soit 15% du total.

    Mais au-delà de ce constat, Il faut rappeler que les demandes d’asile sont en forte progression : 85 244 demandes, en hausse de 6,4 %. Or, ils ne sont que 26 351 à avoir obtenu le droit de séjourner en France (taux en hausse de 35 % !). Ce qui implique donc qu’environ 59 000 auraient dû être reconduits à la frontière. Mais seules un peu plus de 10 000 reconduites sont effectuées chaque année : ce sont donc probablement 47 000 personnes qui sont restées clandestinement sur le territoire.

    A ces entrées légales s'ajoutent évidemment l'immigration illégale, impossible à quantifier par nature, ainsi que celles des ressortissants clandestins ou irréguliers de l'Union européenne, en provenance pour une large part de l'est du continent. Enfin, s'ajoute donc le solde de tous les ressortissants étrangers (déboutés du droit d'asile et autres), grossissant année après année, censés quitter le territoire national mais ne s'exécutant pas et n'ayant pas grand chose à craindre d'autorités publiques qui ne pratiquent, au plus, que quelques milliers de reconduites à la frontière par an (moins de 13 000 en 2016 !).

    Or, rapportés à la démographie nationale, ces chiffres correspondent clairement à une dynamique de remplacement : pour mémoire, la plupart des entrants ont entre 20 et 30 ans, et si l’on comptabilise seulement les 227 550 entrées officielles et les 47 000 « réfugiés » restés clandestinement, on arrive à 274 550 personnes en 2016. A comparer aux 750 000 personnes par génération annuelle que nous avons sur les 20-30 ans ! Nos entrées annuelles légales et semi-clandestines représentent ainsi l’équivalent de 36 % d’une génération annuelle."

    Ce qui permet à Nicolas Dupont-Aignan de valider l'idée (qui n'est plus une thèse) du grand remplacement.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Journal du Jeudi 19 Janvier 2017 - Immigration / Clandestins : les expulsions en baisse