Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 974

  • Le Halal se porte bien - Journal du jeudi 1 juin 2017

  • Pendant les élections, la conquête musulmane s’intensifie

    UDMFFourastier.jpg

    Le titre du dernier édito nous a valu trois jours de suspension sur facebook. Donc, forcément, une pénalisation sur les réseaux sociaux, et donc sur nos taux de visites. Nous avions osé : « Plus il y aura de migrants, plus il y aura de meurtres, de viols et d’attentats ». Cela paraît pourtant évident, non ? Espérons que cette fois, avec ce titre, nous allons passer entre les gouttes.

    Il reste quinze jours avant le premier tour des élections législatives. De nombreux commentateurs estiment que le parti créé par Emmanuel Macron devrait confirmer la victoire de son candidat aux présidentielles. Les pronostics vont bon train sur le nombre de députés que parviendront à obtenir les socialistes, les Républicains, le FN et les Insoumis.

    Par contre, nul n’évoque la pression musulmane qui s’exerce, quotidiennement, sur cette élection, dans un contexte où 92 % de disciples d’Allah ont voté pour le nouveau président, au deuxième tour, quand, au premier tour, 37 % avaient voté Mélenchon, 24 % Macron et 17 % Hamon. Nous allons donc pallier cette carence.

    Elle s’exerce d’abord par le nombre de candidats qui sont présentés ouvertement par des partis de l’étranger. Ainsi, le Parti Egalité Justice, soutenu par Erdogan, a trouvé 51 candidats à ces législatives.

    http://ripostelaique.com/le-pej-a-la-solde-de-erdogan-na-pas-sa-place-en-france-et-doit-etre-dissous.html

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/04/19/enfin-ils-se-devoilent-un-parti-turc-islamiste-presente-51-candidats-a-nos-legislatives/

    Faut-il rappeler que lors des ces meetings en France, le dictateur turc avait encouragé ses nombreux compatriotes à utiliser les droits démocratiques français, à se servir de toutes les possibilités offertes par la double nationalité, à ne surtout pas s’intégrer, et à utiliser les élections démocratiques françaises pour mieux imposer les codes de l’islam à la société française. Dans cet esprit, il avait recommandé aux femmes de faire cinq enfants.

    Il y a également le nombre de candidates voilées, comme Hanan Zahouani, Hulva Salin, Sandra Fourastier et quelques autres…

    http://ripostelaique.com/non-hanan-zahouani-vous-ne-ferez-pas-entrer-le-voile-a-lassemblee.html

    http://ripostelaique.com/mantes-hulya-salin-candidate-voilee-au-service-derdogan-ne-passera-pas.html

    Même si, parfois, la pudique voilée est surprise en tenue fort indécente, fort incompatible avec les règles fixées par Allah…

    http://ripostelaique.com/le-magnifique-decollete-de-hanan-zahouani-candidate-voilee-a-la-deputation.html

    Et puis il y a celles qui ne se présentent pas voilées, mais qui mettront le voile à la première occasion, comme Latifa Chay, candidate Macron…

    http://ripostelaique.com/latifa-chay-candidate-de-en-marche-photographiee-voilee-dans-une-mosquee-uoif.html

    Macron fait encore plus fort, puisqu’une islamiste, Fella Meslem, battue aux élections algériennes, est recyclée candidate de En Marche en France…

    http://ripostelaique.com/les-algeriens-nont-pas-voulu-de-fella-macron-la-propose-aux-francais.html

    Et puis il y a l’Union Démocrates des Musulmans de France (UDMF) qui, après avoir fait croire qu’ils postulaient à la présidentielle, nous lance ses candidats aux législatives, parmi lesquelles la convertie de service, une nommé Sandra Fourastier, âgée de 21 ans. Et, pourquoi se gêner, ces braves gens ajoutent un croissant musulman dans le drapeau français. La prochaine étape, on remplace le bleu par le vert ?

    Lire la suite

  • Quand la mairie de Paris parraine un festival interdit aux Blancs !

    Il se déroulera du 28 au 30 juillet dans un local du XIe arrondissement mis à disposition par la mairie de Paris.

    Un petit jeu comme dans l’enfance, ça vous tente ?

    Voilà… On dirait qu’on aurait créé un festival, le « Svastika Festival », du nom de ce symbole universel qui, en sanscrit, signifie « ce qui apporte la bonne fortune, ce qui porte chance ».

    On aurait demandé une salle à la mairie de Paris pour abriter cet événement « caucaso-féministe militant ». On proposerait là des tables rondes sur le racisme ou encore le sexisme contre les femmes blanches. Et ce serait interdit aux hommes et aux femmes noires.

    N’importe quoi ! 
Je ne vous le fais pas dire : c’est idiot.

    Impensable, totalement illégal, tombant sous le coup de la loi Gayssot qui stipule, dans son article 1, que « toute discrimination fondée sur l’appartenance ou la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion est interdite ». D’ailleurs, le mot « race » lui-même a été extirpé le 16 mai 2013 de la législation française, supprimé de 9 codes et 13 lois françaises. Hollande avait aussi promis de l’arracher de notre Constitution comme on arrache une molaire enclavée, mais il n’a pas eu le cran d’aller jusque-là…

    Le Svastika Festival n’existe pas, mais le Nyamsapo Festival, si. Il se déroulera du 28 au 30 juillet dans un local du XIe arrondissement mis à disposition par la mairie de Paris. 

    Il est organisé par Mwasi, une « association racialiste » (sic) qui a pour objet d’« encourager les femmes noires à être actrices de leur émancipation et leur autodétermination ».

    Comme la svastika, le nyamsapo est un symbole. C’est, chez les Akans (un peuple d’Afrique de l’Ouest), le nœud de la sagesse, de l’ingéniosité, de l’intelligence et de la patience.

    Pourquoi le Nyamsapo Festival n’aurait-il pas lieu, me direz-vous ? Eh bien, parce qu’il est absolument contraire à nos principes républicains et à la loi française. Il sera ainsi divisé entre un « espace non mixte femmes noires (80 % du festival) », un « espace non mixte personnes noires », un « espace non mixte femmes racisées » et, enfin, un « espace ouvert à tous », nous dit le programme. Pour résumer d’une phrase : c’est interdit aux Blancs. Même aux Blancs crétins des Inrocks qui racontent : « Nous avons souhaité nous rendre à une de leur (sic) réunion (sic) afin de les rencontrer. Elles nous ont alors poliment refusé l’accès, sous motif que leurs événements internes ne sont réservés qu’aux femmes afro-descendantes. »

    Parenthèse : c’est quoi, des « femmes racisées » ? Est-ce que moi, par exemple, qui me suis un certain nombre de fois fait traiter de « putain de ta race », je suis une femme racisée ? Et pour les « afro-descendantes », où est-ce que ça commence et où est-ce que ça finit, parce qu’entre Obama et feu le roi Tutu du peuple Akan, le nuancier est large…

    Le Front national s’est élevé contre ce scandale par la voix de son conseiller régional Wallerand de Saint-Just, et la LICRA et SOS Racisme lui ont emboîté le pas ; c’est dire…

    Anne Hidalgo d’ouvrir alors les yeux, le 28 mai : « Je demande l’interdiction de ce festival. Je vais saisir le préfet de police en ce sens. » « Je me réserve également la possibilité de poursuivre les initiateurs de ce festival pour discrimination. »

    Avant de les refermer le 29 au matin : « À la suite de mon intervention ferme hier auprès des organisateurs, une solution claire a été établie. » « Le festival organisé dans un lieu public sera ouvert à tous. Des ateliers non-mixtes (sic) se tiendront ailleurs, dans un cadre strictement privé. »

    Bref, et « concrètement », comme le dit Breizh Info, « Anne Hidalgo vient tout simplement d’autoriser l’apartheid dans les lieux privés de la capitale ».

    Pendant ce temps, le journal Le Monde réclame « plus de diversité » au sein du gouvernement…

    http://www.bvoltaire.fr/mairie-de-paris-parraine-festival-interdit-aux-blancs/

  • Un migrant ougandais viole une femme mais ne peut être expulsé car homosexuel

    shutterstock_572118241.jpg

    L’Ougandais Emanuel G. est demandeur d’asile en Allemagne car il prétend être persécuté pour son homosexualité dans son pays d’origine. L’individu, âgé de 37 ans, a suivi, en septembre 2016, dans la rue à Freising en Bavière, une femme se déplaçant à vélo.

    Il a saisi le guidon de l’engin, a attrapé la dame âgée de 29 ans, lui a déclaré désirer avoir une relation sexuelle, a jeté sa victime au sol, l’y a maintenue puis lui a abaissé avec l’autre main le pantalon et la culotte. Lorsque la victime a crié, l’Africain l’a menacée de tirer avec un pistolet. Après le viol, il a fui et a été arrêté un peu plus tard.

    L’agresseur vient d’être condamné à quatre ans de prison, mais devrait pouvoir sortir après avoir accompli la moitié de sa peine.

    Il ne pourra alors cependant pas être expulsé d’Allemagne vers l’Ouganda car, en tant qu’homosexuel, sa vie serait menacée dans ce pays.

    La victime a été incapable de travailler durant six semaines et a dû être prise en charge par un psychothérapeute.

    Le 22 mai 2017, toujours en Bavière, à Bad Reichenhall, un Allemand de 51 ans se déplaçant à pied a été agressé sexuellement par quatre individus à peau sombre après avoir été poussé dans un buisson, mais est arrivé à s’échapper. Il est légèrement blessé. Les agresseurs ont été arrêtés peu de temps après les faits à l’intérieur du foyer où ils résident.

    Alors que les autorités de divers pays d’Europe sont confrontées à la question de savoir comment déterminer si un réfugié prétendant être homosexuel l’est réellement, l’Allemagne a ouvert des centres pour demandeurs d’asile réservés aux homosexuels afin d’éviter à ceux-ci d’être agressés par des cohabitants peu enclins à accepter de les côtoyer. Au sein de foyers pour réfugiés, les agressions de personnes LGBT (lesbiennes, gay, bisexuelles ou transsexuelles) sont monnaie courante : violences physiques et psychiques, refus de traducteurs de parler avec elles, crachats, agressions et parfois même tentatives de meurtre.

    Si les agressions contre les femmes et enfants se produisent souvent en rue ou dans les piscines, les Allemands ne sont pas pour autant en sécurité à leur domicile. Ainsi, dans une autre partie de l’Allemagne, près de Wismar, au Mecklembourg-Poméranie-Occidentale, une fille de 13 ans a été abusée sexuellement à son domicile par deux Turcs âgés de 19 et 31 ans, un vivant à Lübeck, au Schleswig-Holstein, et l’autre en Turquie. Lorsque la mère est rentrée à la maison, les agresseurs ont fui et ont été appréhendés par la police peu de temps après.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • Il y aurait 23 000 djihadistes potentiels au Royaume-Uni !

    Chard-djihadistes-Royaume-Uni-600x476.jpg

    8871-20170531.jpg« Le Royaume-Uni abrite 23 000 djihadistes », titrait samedi le Times. Jusqu’ici, les autorités faisaient croire aux Britanniques qu’il y avait environ 3 000 djihadistes potentiels dans leur pays, dont 500 faisant l’objet d’une enquête active des services chargés de la sécurité intérieure (MI5). Mais après l’attentat de Manchester, commis par un ressortissant britannique d’origine libyenne qui avait été suivi par le MI5, l’on apprend que ces 3 000 djihadistes sont en fait ceux qui font l’objet d’une surveillance active et que ce nombre correspond en fait aux capacités de surveillance du MI5. Quand un nouvel individu doit être incorporé à ce lot, il faut en transférer un autre dans le lot des 20 000 ne présentant plus qu’un « risque résiduel ».

    Aussi bien Salman Abedi, 22 ans, revenu de Libye peu avant de commettre le massacre de Manchester, que Khalid Masood, 52 ans, qui a volontairement écrasé des piétons avec sa voiture et a poignardé un policier devant le palais de Westminster en mars, faisaient partie de ces 20 000 djihadistes potentiels ne présentant plus qu’un « risque résiduel ». Depuis l’attentat-suicide de Manchester du 22 mai qui a fait 22 morts et 116 blessés (dont 19 très graves), parmi lesquels des enfants et des adolescents, la police britannique a procédé à une vague d’arrestations et quatorze hommes sont toujours détenus sur des soupçons de liens avec l’entreprise macabre du musulman Salman Abedi.

    Parmi les personnes arrêtées, le cousin de Salman Abedi qui s’était déjà distingué en regrettant sur les réseaux sociaux qu’Hitler ne soit plus en vie pour brûler les juifs.

    Cela pourrait être pire, rassurent les autorités britanniques, puisque cinq projets d’attentat terroriste ont été déjoués entre l’attaque de Westminster et celle de Manchester. Certes, mais à l’instar des autorités françaises, les autorités britanniques font preuve d’une grande légèreté. C’est ainsi qu’elles laissent courir libres les djihadistes qui reviennent des zones de combat comme la Libye ou la Syrie. C’est encore une fois le Times qui a forcé la ministre de l’Intérieur Amber Rudd à reconnaître que la loi votée en 2015 pour permettre de bloquer provisoirement le retour des citoyens britanniques ayant lutté aux côtés des islamistes à l’étranger n’avait été à ce jour utilisée que pour un seul djihadiste.

    Pourtant, un sondage YouGov conduit après l’attentat de Manchester pour le Sunday Times montre que 55 % des Britanniques souhaiteraient que ces combattants musulmans jouissant de la nationalité britannique soient interdits de retour.

    Olivier Bault

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 31 mai 2017

    https://fr.novopress.info/206033/il-y-aurait-23-000-djihadistes-potentiels-au-royaume-uni/

  • Ras le bol, de leur ram(a)dam !

    La ville de Paris est prête à dépenser une petite fortune pour la rupture de leur jeûne, enfreignant la laïcité et la loi de 1905.

    De Trudeau à Hidalgo, ils en ont plein la bouche, et la ville de Paris est prête à dépenser une petite fortune pour la rupture de leur jeûne, enfreignant sans frémir, et ce, depuis plusieurs années, la laïcité et la loi de 1905 sur laquelle est censé être basé notre « vivre ensemble » – une expression inconnue avant l’arrivée massive de l’islam.

    Alors, en avant, pardon, en marche pour le ramadan, dont s’empare avec le plus grand plaisir la grande distribution, quand ce n’est pas la RATP, et toutes les chaînes de télévision et de radio, pour nous annoncer en fanfare le début de cette pratique imposée il y a quatorze siècles par Mahomet et qui, en fait, n’est que la transposition sans modération de notre carême chrétien et, avant lui, du jeûne juif institué par Moïse pour demander pardon à Yahvé des fautes qu’il aurait pu commettre.

    Je dis « sans modération » car est-il humain d’empêcher tout un peuple de croyants de se désaltérer en plein désert et sous un soleil ardent ? Et puis, que veut dire ce jeûne qui, dès la nuit tombée, permet de s’empiffrer comme jamais. N’est-il pas barbare d’imposer cette diète même parfois aux enfants, qui ne doivent pas boire une seule goutte d’eau ? J’ai vu au fin fond du Maroc de jeunes garçons effondrés, épuisés en plein midi, obligés d’attendre le crépuscule… et cela pendant un long mois.

    Le carême chrétien est plus charitable, moins coercitif et secret. C’est une décision personnelle du croyant. Inspiré par les quarante jours et quarante nuits de jeûne que Jésus s’est imposés dans le désert du Sinaï, le carême est un temps de prière sans l’ostentation islamiste qui oblige le voisinage musulman à ne pas boire ni manger du lever au coucher du soleil sous peine, dans certains pays, d’emprisonnement ou de fouet et, chez nous, dans les banlieues, de sévères représailles. Rappelons, d’ailleurs, que Jésus-Christ n’a jamais demandé à ses disciples de jeûner.

    Pour l’islam, il en va tout autrement.

    Le ramadan, l’un des cinq piliers de l’islam, est obligatoire. Il impose une période de rupture avec la vie quotidienne, un temps de partage aussi, dont l’aumône est le principal devoir. Très peu pratiqué jusque dans les années 90, le ramadan s’est peu à peu imposé dans nos pays européens jusqu’à bouleverser certaines habitudes et traditions séculaires. Devenu l’un des phénomènes les plus communautaristes qui soient – le plus visible avec le port du voile -, le ramadan est encouragé par nos hommes politiques qui se rendent ainsi complices du changement de nos sociétés. À l’heure où ces lignes sont écrites, Emmanuel Macron ne s’est pas encore manifesté auprès de ses ouailles musulmanes, comme l’avait fait Hollande. Est-ce un bon signe ? Il ne s’est d’ailleurs pas plus manifesté pour nous souhaiter de bonnes fêtes de l’Ascension, l’une des fêtes essentielles pour les catholiques.

    Si vos voisins pratiquent ce jeûne, vous avez dû vous habituer au tapage nocturne, au ramdam que la rupture de jeûne amène, avec des soirées qui se prolongent tard dans la nuit, entre pratiquants. Le ramadam, francisé, est synonyme de vacarme, barouf ou boucan…

    Mais nous devons tout de même, nous, les chrétiens, faire notre mea culpa, car combien d’entre nous respectent notre carême millénaire, face à ce milliard et demi de musulmans qui, sur toute la planète, s’obligent à cette pratique religieuse d’un autre temps ?

    http://www.bvoltaire.fr/ras-bol-de-ramadam/

  • La Chapelle-Pajol : l’aveuglement des élus sur le choc des cultures

    Pour Céline Pina, l’ambiguïté du positionnement des élus sur le cas de la Chapelle-Pajol révèle leur incapacité à défendre les libertés fondamentales des femmes lorsqu’elles sont remises en cause.

    Dans une tribune publiée sur Figarovox, Céline Pina évoque notamment un conflit de valeurs qui se déroule sous nos yeux, mettant en scène des représentations du monde différentes, dont l’une n’a pas sa place en France. Extraits :

    L’envahissement et l’occupation des espaces publics par des hommes jeunes, désoeuvrés, migrants ou clandestins font peser sur les femmes une chape de plomb: regards concupiscent, sifflets, harcèlements, insultes, à tel point que sortir de chez elles ou traverser cet espace pour se rendre au travail est devenu un calvaire. Elles sont nombreuses à témoigner, comme elles l’ont fait pour l’article du Parisien. Au-delà des trafics et deals qui sont monnaie courante depuis des années, elles dénoncent une pression qui s’exerce sur les femmes et ne cessent de monter depuis un peu plus d’un an.

    L’indifférence du gouvernement face à ces atteintes lourdes portées à la liberté des femmes, sujet manifestement on ne peut plus annexe, vaut incitation à continuer à contester notre modèle social par le biais de la restriction de la liberté des femmes, puisque pour éviter de regarder en face les soubassement culturels et cultuels qui expliquent ce qui se joue sur les trottoirs de La Chapelle, la machine à minimiser les faits et à nier le réel fonctionne à plein.

    A Pajol, c’est un conflit de valeurs qui se déroule sous nos yeux, mettant en scène des représentations du monde différentes, dont l’une n’a pas sa place en France: celle qui refuse l’égalité et la liberté à la femme à raison de son sexe. A refuser de s’attaquer aussi à cette dimension du problème, certains élus favorisent ainsi tous les amalgames en donnant l’impression qu’ils refusent de trier le bon grain de l’ivraie. Le tri n’étant pas fait, la méfiance s’étend alors sur l’ensemble d’une population. Le pire c’est sans doute la condescendance que cache cette attitude qui signifie en creux que nos libertés publiques et notre égalité ne sauraient être désirables ou accessibles à ces populations, trop frustres pour pouvoir les comprendre.

    La Chapelle-Pajol : l'aveuglement des élus sur le choc des cultures http://bit.ly/2rzlcTr 

    Photo published for La Chapelle-Pajol : l'aveuglement des élus sur le choc des cultures

    La Chapelle-Pajol : l'aveuglement des élus sur le choc des cultures

    FIGAROVOX/ANALYSE - Pour Céline Pina, l'ambiguïté du positionnement des élus sur le cas de la Chapelle-Pajol révèle leur incapacité à défendre les libertés fondamentales des femmes lorsqu'elles sont...

    lefigaro.fr
  • Trump met un coup d’arrêt à la folie immigrationniste du G7

    donald_trump2.jpg

    En 2015, un être humain sur 112 était « réfugié » ou « demandeur d’asile ».

    Donald Trump divise. Le nouveau président états-unien est la cible préférée des médias qui ne manquent pas de relever son attitude grossière. Il sera? d’ailleurs? difficile de leur donner tort à chaque fois, tant l’homme peut se montrer aussi irrespectueux que peu intéressé par les détails. Toutefois, il faut porter au crédit de Donald Trump sa volonté de tenir face à la pression sur un certain nombre de sujets essentiels pour notre avenir, à commencer par la crise migratoire à laquelle l’ensemble du monde occidental est désormais confronté.

    Ainsi, lors du dernier sommet du G7 de Taormine (Italie), le « POTUS » a tenu à rajouter deux éléments au texte de six pages intitulé « Vision du G7 sur la mobilité humaine », élaboré par le Conseil italien, en collaboration avec différents services gouvernementaux d’autres pays membres, pour tenter de donner un cadre collectif à la gestion des crises migratoires :

    « En même temps, tout en garantissant le respect des droits de l’homme des migrants et des réfugiés, nous réaffirmons les droits souverains des États à contrôler leurs propres frontières et à fixer des limites claires sur les niveaux de migration nette, en tant qu’éléments clés de leur sécurité nationale et de leur bien-être économique. Cela peut consister en un renforcement des contrôles douaniers, en le développement de processus de retour au pays et une amélioration des dispositifs de coopération avec les pays d’origine. »

    Des ajouts qui ont passablement agacé Paolo Gentiloni, chef du Conseil italien, artisan principal d’un texte qu’il espérait à même de valoriser « l’aspect positif de la mobilité humaine et de l’intégration des migrants ».

    Malheureusement pour lui, et heureusement pour nous, Donald Trump avait fait de ce sujet l’une de ses priorités, se déclarant prêt à ce que le G7 ne communique pas du tout si la vision américaine n’était pas prise en considération. Il était temps de mettre un coup d’arrêt au chantage délirant des ONG, qui entendent dicter aux États, toujours garants de l’ordre international (jusqu’à preuve du contraire), leurs politiques migratoires.

    La position américaine au G7 trouvera certainement un appui auprès des pays d’Europe centrale, en première ligne contre le choc démographique en cours. Beata Szydło, Premier ministre polonais conservateur, s’est par exemple récemment opposée à Dimítris Avramópoulos, commissaire européen aux Migrations qui voudrait forcer la Pologne, l’Autriche et la Hongrie à accueillir des demandeurs d’asile « selon les quotas imposés ». Dans une intervention vibrante à la Diète, madame Szydło a interrogé les consciences de ses partenaires européens : « La Pologne ne cédera à aucun chantage de la part de l’Union européenne. Nous n’allons pas participer à la folie des élites bruxelloises. Moi, j’ai le courage de demander aux élites politiques : Où allez-vous ? Où vas-tu, Europe ? Relève-toi. Sors de ta léthargie ! Sinon, tu pleureras tous les jours tes enfants. »

    Le monde ne peut plus laisser faire. En 2015, un être humain sur 112 était « réfugié » ou « demandeur d’asile ». Dans un contexte économique marqué par l’augmentation de la dette souveraine de pays industrialisés, dans l’incapacité de retrouver un niveau de croissance convenable, nous sommes présentement beaucoup trop fragiles pour recevoir des « migrants » qu’il sera impossible d’intégrer, et encore moins d’assimiler. Il faut donc remercier Donald Trump, lequel a réagi de la meilleure des manières dans ce dossier brûlant.

    http://www.bvoltaire.fr/trump-met-coup-darret-a-folie-immigrationniste-g7/