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Samedi 25 février à 15 h à Paris
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Le paradis (multiculturel) à l’ombre des épées?
Le quotidien gratuit 20 minutes consacre un article aux cas de radicalisations de policiers qui « ont été recensés entre 2012 et 2015 dans les rangs de la police de proximité de l’agglomération parisienne », « selon une note de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), datée du 9 décembre 2015, révélée mercredi par le livre Où sont passés nos espions ? (Albin Michel) » . « Parmi les cas cités, on trouve A., devenu gardien de la paix en 2012 (…). Ses collègues racontent son obsession d’écouter des chants religieux en patrouille et racontent qu’il a profité d’un arrêt pour aller acheter des burqas pour sa femme »… Burqa que le gouvernement marocain entend interdire, même si elle est très peu portée dans la royaume chérifien, les femmes des familles salafistes marocaines portant surtout le voile intégral (niqab). En France, « Pour l’ensemble des ministères régaliens – Défense, Intérieur et Justice – nous dénombrons une centaine de cas de radicalisation, a expliqué une source chargée du suivi de ces questions aux journalistes Christophe Dubois et Eric Pelletier.»
Une radicalisation qui inquiète nos compatriotes et qu’un sondage publié par l’Institut Montaigne en septembre dernier a confirmée en pointant chez de très nombreux musulmans vivant en France une certaine empathie, une forme de sympathie compréhensive pour l’idéologie fondamentaliste des terroristes djihadistes (27% sur l’ensemble de la population musulmane et 50% chez les jeunes). Une inquiétude renforcée par le sentiment d’un inexorable remplacement de la population française par une immigration en provenance de pays arabo ou afro-musulmans. Sentiment partagé par nos voisins belges comme le constate ce sondage relayé ces derniers jours la RTBF et le journal Le Soir. La société multiculturelle est vécue de plus en plus comme multiconflictuelle, perçue comme lourde de menaces, par les de souche comme par les immigrés.
Le centre américain de recherche Pew Research, en l’absence de statistiques ethniques dans notre pays, comptabilisait en 2016 4,7 millions de mahométans en France (environ 7,5% de la population française, chiffre très en deçà de la réalité pour la plupart des spécialistes sérieux), communauté qui atteindrait 7,5 millions de personnes en 2050 . En décembre de cette même année, l’Institut de sondage britannique Ispos Mori interrogeait les Français sur cette présence musulmane en France. Les sondés estimaient la proportion de croyants musulmans sur le territoire national de l’ordre de 31% et qu’elle devrait monter à 40% en 2020…
Docteur en histoire, chercheur associé à l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman (IREMAM) d’Aix-Marseille Université, consultant indépendant , Roland Lombardi ne s’emploie pas à dissiper les craintes. Dans un entretien accoré à Atlantico fin décembre, il juge que « la menace terroriste risque plutôt de s’intensifier. Daesh affaibli sur le terrain, les volontaires au djihad (…) seront plus tentés d’agir là où ils vivent, notamment en Europe, le ventre mou de l’Occident. On l’a bien vu avec les derniers attentats qui ont touché la France et dernièrement l’Allemagne (…) une fois l’EI disparu, un autre mouvement verra sûrement le jour et n’oublions pas qu’Al-Qaïda existe toujours… Ainsi, le problème n’est pas tant les problèmes socio-économiques (même s’ils ont leur importance), ni même le terrorisme (qui est en définitive un mode opératoire comme un autre) ou encore l’organisation (interchangeable) mais bien l’ idéologie , à savoir le wahhabisme et le salafisme djihadiste, en un mot, l’islamisme conquérant et politique, qui survivra à Daesh et qui sera plus difficile à vaincre…».
Et M Lombardi de livrer une réflexion très proche de celle formulée de longue date par Bruno Gollnisch : « On combat le terrorisme par la force et la détermination mais aussi par l’intelligence. Car, en effet, le seul moyen de lutter contre une idée est de lui opposer une autre idée. Le problème est de savoir si, pour l’heure, l’Occident – ou du moins nos dirigeants actuels – a quelque chose de grand, de solide et de sérieux à proposer comme idée »…et plus fondamentalement même si M. Lombardi ne prononce pas les termes, comme Idéal et comme valeurs…
Cet universitaire dit encore l’évidence quand il souligne que « l’Europe (…) est pour l’instant démunie (…). Quid des inefficaces Accords de Schengen ? Quid de la politique catastrophique concernant l’accueil des migrants ? Quid des divergences de vues sur la Méditerranée et le Moyen-Orient ? Et, enfin, quid du courage de nos dirigeants ? (…). Dans ce type de terrorisme, dont le but est clairement de faire éclater les sociétés européennes et déclencher des guerres civiles, il faut tout faire (notamment par des mesures d’exception que les Etats européens se refusent encore à prendre) pour que les citoyens, perdant patience, ne prennent un jour des dispositions dramatiques pour se défendre eux-mêmes.»
« La société française est une société de consommation typique du monde occidental, à savoir matérialiste et très individualiste. J’oserai même dire une société aseptisée (…). Aujourd’hui, avec 5 à 8 millions de musulmans en France dont la grande majorité souhaite vivre et travailler paisiblement, la société française reste toutefois très fracturée et le vivre-ensemble n’existe plus que dans les rêves de quelques idéologues.»
Dans les rêves aussi soulignait il y a peu Jean-Yves Le Gallou sur Polemia , de l’entourage d’un François Fillon, lequel, dans cette course présidentielle, « devra faire un choix : persister dans sa néo-ligne centriste avec l’espoir d’affronter (Marine) Le Pen au deuxième tour mais aussi avec le risque d’en être éliminé, ce que pronostique Philippe de Villiers ; ou bien s’adresser à la France périphérique – le seul réservoir de voix populaires – au risque d’avoir à affronter Macron au deuxième tour. Cornélien ! ».
Un Fillon qui « doit éviter de décevoir son socle conservateur tout en étendant son électorat vers les centristes et la France périphérique. La stratégie centriste qu’il suit depuis sa victoire à la primaire pourrait être mortifère : son porte-parole Benoist Apparu (…) a déjà contribué à faire perdre Juppé. Sa mise en avant ne peut que démoraliser les conservateurs et les catholiques alors qu’il s’agit d’un des rares députés Les Républicains à avoir voté la loi Taubira. Quant au discours immigrationniste du porte-parole Apparu c’est une provocation pour la France périphérique.»
En effet! Mais M. Fillon a -t-il choisi au hasard ce porte-parole ? C’est M. Apparu qui déclarait en juin «Oui au multiculturalisme, non au communautarisme, c’est ça l’identité heureuse!», qui expliquait qu’ «il est irresponsable d’établir une corrélation entre l’attentat de Berlin et la politique migratoire d’Angela Merkel», dénonce les partisans de l’immigration zéro, d’un arrêt du regroupement familial, d’une politique de refonte de notre Code de la nationalité. Le temps de la clarification arrive, et il ne sera pas en défaveur de l’opposition nationale.
https://gollnisch.com/2017/01/11/paradis-multiculturel-a-lombre-epees/
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L’Allemagne va-t-elle changer radicalement de politique migratoire ?
Ce ne sont pour le moment toujours que des mots, mais plusieurs poids lourds de la politique allemande semblent engagés dans une véritable réflexion sur les mesures à prendre après l’attentat de Berlin commis par un islamiste tunisien, que son pays avait à plusieurs reprises refusé de reconnaître comme étant son ressortissant. C’est ainsi que le ministre fédéral de l’Intérieur Thomas de Maizière (CDU) et le vice-chancelier et ministre fédéral de l’Economie et de l’Energie Sigmar Gabriel (SPD) proposent d’infliger des sanctions économiques aux pays qui se comporteraient comme la Tunisie s’est comportée avec Anis Amri, le tueur de Berlin.
La première des sanctions serait de couper toute aide au développement aux pays qui refusent de reprendre les immigrants déboutés du droit d’asile. Cette proposition, articulée dans une interview de Sigmar Gabriel publiée samedi dans Der Spiegel, a reçu le soutien explicite de Thomas de Maizière, qui devait lui-même discuter mardi avec le ministre de la Justice Heiko Maas (SPD) de ses propres propositions pour expulser plus efficacement les personnes dont la demande d’asile a été rejetée . Heiko Maas a, de son côté, confirmé dimanche qu’il voulait que ces personnes soient systématiquement placées en détention en attendant leur expulsion lorsqu’elles représentent un danger potentiel pour la sécurité des Allemands.
Même chez les Verts, des voix commencent à s’élever pour changer de politique en matière d’expulsions. Le ministre-président vert du Bade-Wurtemberg Winfried Kretschmann a déclaré vouloir que la Tunisie, l’Algérie et le Maroc soient déclaré pays sûrs afin de pouvoir expulser rapidement les personnes originaires du Maghreb. « L’énergie criminelle qu’on trouve parmi les groupes de jeunes originaires de ces pays est alarmante et doit être combattue avec résolution », a expliqué la semaine dernière le leader écologiste.
Le vice-chancelier Sigmar Gabriel, toujours dans la même interview pour Der Spiegel, dit également vouloir la fermeture des mosquées salafistes en Allemagne et l’expulsion des prédicateurs de haine musulmans. Ceci alors que Hans-Georg Maassen, le chef de l’Office fédéral de protection de la Constitution (BfV), le service de contre-espionnage allemand, affirmait dimanche que le nombre de musulmans salafistes en Allemagne était passé de 3 800 en 2011 à 9 700 aujourd’hui. Au printemps 2015, M. Maassen parlait encore de 7 300 salafistes. Le même Maassen affirme qu’il y a en Allemagne plus de 1 200 musulmans qui sont des terroristes potentiels.
Sigmar Gabriel promet aujourd’hui à ses concitoyens la tolérance zéro vis-à-vis de tous ces musulmans radicaux, mais il reste à voir si toutes ces belles paroles vont être transformées en actes, contrairement à ce qui s’est passé en France où les promesses de fermeture des mosquées radicales n’ont pas été tenues, malgré plusieurs attentats meurtriers. Or, en Allemagne comme en France, les intérêts du Qatar et de l’Arabie saoudite, deux pays qui financent et diffusent l’islam sunnite radical dans le monde, sont bien défendus à coups de pétrodollars. Le Qatar, par exemple, est un actionnaire important de Deutsche Bank, de Siemens et de VW-Audi.
Olivier Bault
Article et dessins parus dans Présent daté du 11 janvier 2017 sous le titre : « Allemagne : expulser les clandestins et fermer les mosquées salafistes »
http://fr.novopress.info/202680/allemagne-changer-radicalement-politique-migratoire/
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Le racisme anti-Blancs s’en prend à Kant ou à Platon
LONDRES (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Le racisme anti-Blancs s’en prend maintenant aux philosophes européens. Le journal britannique Daily Mail rapporte qu’un groupe d’étudiants de la très réputée School of Oriental and African Studies (SOAS) de l’université de Londres mène actuellement une campagne pour en éradiquer l’héritage colonialiste, qui serait symbolisé par l’enseignement des philosophes Kant, Descartes ou Platon ! Selon eux, les philosophes enseignés sont tout simplement trop blancs : « La majorité des philosophes étudiés devraient être originaires d’Afrique ou d’Asie. »
Sir Anthony Seldon, vice‑chancelier à l’université de Buckingham, leur a répondu :
« Que le politiquement correct devienne hors de contrôle est un réel danger. Nous devons comprendre le monde tel qu’il a été et non pas ré‑écrire une histoire comme certains auraient voulu qu’elle soit. »
Le syndicat étudiant à l’origine de cette campagne anti-Blancs, qui se réclame d’Aimé Césaire, inscrit son action dans le cadre d’une entreprise de« décolonisation » de « l’institution blanche », affirmant que « les philosophes blancs » ne doivent être enseignés « si nécessaire » et d’un « point de vue critique ». Par exemple en indiquant le « contexte colonial » dans lequel les philosophes des Lumières ont écrit.
On ne sait pas s’ils pensent à Voltaire écrivant :
« Nous n’achetons des esclaves domestiques que chez les Nègres ; on nous reproche ce commerce. Un peuple qui trafique de ses enfants est encore plus condamnable que l’acheteur. Ce négoce démontre notre supériorité ; celui qui se donne un maître était né pour en avoir. »
Vous avez quatre heures.
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Elisabeth Lévy dénonce le développement d’une contre-société islamiste en France
Deux ans après le massacre de Charlie Hebdo, le magazine Causeur a enquêté sur les «Molenbeek» français. Pour Elisabeth Lévy, « Les Français, y compris musulmans, veulent que l’islam s’adapte à la République, pas le contraire ».
Elisabeth Lévy dénonce l’existence d’une contre-société islamiste en France :
S’il nous fallait seulement neutraliser quelques milliers de djihadistes violents, on y arriverait. Mais il n’y a pas un mur étanche entre l’islamisme pacifique et l’islamisme violent. Et aussi douloureuses soient les pertes que nous inflige le terrorisme islamiste, ce n’est pas lui qui menace à long terme la cohésion et l’existence même de notre pays, c’est la sécession culturelle dans laquelle est engagée une partie de l’islam de France et d’Europe. Le problème n’est pas seulement l’arbre mais la forêt dans laquelle il a grandi, cette contre-société islamiste qui s’est constituée au fil des ans, vit dans un entre-soi que brisent seulement les impératifs du travail et voue une hostilité croissante au mode de vie majoritaire. Pendant ce temps, le président nous complimente comme si nous étions des enfants, pour être restés bien gentils les uns avec les autres. Admettez que c’est un peu court.
.@ELevyCauseur : «Derrière le terrorisme, la sécession culturelle d'une partie de l'islam de France» http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2017/01/06/31001-20170106ARTFIG00381-elisabeth-levy-la-principale-menace-n-est-pas-le-terrorisme-mais-la-secession-culturelle-de-l-islam-de-france.php …
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Comprendre l’islam, son expansion en France et la taqîya avec Salih Attia, imam de Stains
Les musulmans, pour faire leur prosélytisme et convertir le monde entier à leur fausse religion peuvent utiliser, selon le coran, tous les moyens, y compris la taqîya, c’est à dire une pratique consistant à mentir et à se dissimuler, si la fin (favoriser l’islam) est bonne. On est loin, très loin des Saints Martyrs chrétiens qui préféraient mourir -parfois jetés vivants aux lions-, plutôt que de se renier ! Un exemple, est donné par Salih Attia, président de la mosquée de Stains, dont Le Monde vient de dresser le portrait. Un mot d’abord sur le personnage : Âgé de 57 ans, Salih Attia est né en Egypte et est arrivé en France, « sans papier » en 1980 à la faveur d’un visa de tourisme. Son premier statut en tant que résident français fut donc celui de délinquant. Un an plus tard, il touche le jackpot : Mitterrand est élu président de la république, et régularise des milliers de clandestins, dont Attia. Pour gagner sa vie, ce dernier sera vendeur sur les marchés. Mais comme le dira le Monde : « Pour un volontaire ambitieux comme Salih Attia, sorti à la force du poignet de son rural delta du Nil, l’ascension sociale ne s’arrête toutefois pas là. » Et Attia a vite compris, s’il veut monter dans la société, vers qui il doit prêter allégeance. Ainsi, le Monde continue : « Salih Attia comprend très tôt que c’est avec la communauté juive qu’il lui faudra composer pour progresser. Elle surtout détient les capitaux, les boutiques et les entrepôts. ‘Moi, j’ai grandi avec les juifs !’, répète ainsi Salih Attia tel un mantra éloignant les fantômes djihadistes. Il met en œuvre cette intuition de Rastignac au moment d’établir son état civil. Obtient « Attia » – le nom de son grand-père paternel, dit-il – plutôt que « Salih » comme nom de famille. Interversion discrète – ‘parce qu’Attia, ça fait juif’. Même si, à Stains et ailleurs, tout le monde l’appelle en réalité par son vrai prénom, « Farhoud » . Ainsi, notre homme, entré sur le territoire frauduleusement, régularisé par les bonnes grâces de la gauche sait mentir et sait se tourner vers les bonnes personnes pour son ascension. Et en effet, ses affaires vont aller crescendo, ce qui lui créera une aura, il va devenir le président de plusieurs associations franco-égyptiennes, sera reçu à l’ambassade d’Egypte, etc, etc. Mais ce qui le motive le plus, c’est l’aspect religieux : Attia veut prendre la tête d’une mosquée ! Ce sont ses réseaux qui vont jouer : Attia est ami de Hassen Chalghoumi, l’inénarrable imam de la mosquée de Drancy, et surtout va s’appuyer sur ses amitiés au sein de la diaspora juive pour parvenir à ses fins, et notamment sur un certain Robert Harroch, Franco-Israélien de 65 ans, ancien patron de plusieurs magasins But et fervent partisan du dialogue interreligieux, qui a notamment participé au financement d’une mosquée à Montreuil. C’est, toujours selon le Monde, grâce à cette amitié que verra le jour la mosquée Al-Rawda à Stains, dans les anciens locaux d’une église évangélique. Le succès de la nouvelle mosquée sera fulgurant, les musulmans vont affluer de toute la région pour écouter les prêches. Quant à Attia, en bon manipulateur et sachant parfaitement utiliser la taqîya, il va se positionner comme champion du dialogue interreligieux et va être un convive assidu de toutes les rencontres interculturelles des cercles politiques de la capitale. Il sera avec F Hollande lors d’une commémoration des attentats de Merah à Toulouse, avec Valls lors d’une visite du mémorial de la shoah à Drancy, avec Cazeneuve lors d’un dîner du CRIF, en mai dernier avec Anne Hidalgo à la mairie de Paris. Il tient également l’affiche avec Lagarde (maire UDI de Drancy), avec Pupponi (député, ancien maire de Sarcelles), il a même serré la main à Chirac quand icelui occupait le palais de l’Elysée, et bien sûr, il a rencontré François Fillon en octobre 2014 avec une photo devenue célèbre (cf. ci-dessus) qui vaut à ce dernier d’être parfois appelé Farid Fillon ! On peut encore le voir ici (au centre) à la synagogue de Sarcelles en juillet 2014 après que des incidents qualifiés d’antisémites se furent produits dans cette ville, à côté de l’évêque de Pontoise et du grand rabbin de France, Haïm Korsia. Attia est vraiment un homme très hautement fréquentable, un immigré exemplaire, on vous le dit ! Ou plutôt, on vous le disait. Car sa mosquée est aujourd’hui fermée suite à une décision administrative. En effet, la mosquée Al-Rawda fut un véritable repère de djihadistes et de terroristes en puissance. Qu’on en juge : Le vendredi 13 février 2015 une fournée de fidèles fait sa dernière prière à Stains, puis part pour la Syrie. Six mois plus tard, trois autres fidèles les rejoignent. Parmi ceux-ci, on trouve : Thomas M. et Macreme Abrougui, très vite soupçonnés d’être les commanditaires de l’attentat raté contre l’église de Villejuif (Val-de-Marne), en avril 2015. Ensuite, c’est la voix d’Adrien Guihal qui a été identifiée à deux reprises dans des revendications audio de l’EI : en juin 2016 lors de l’assassinat d’un policier et sa compagne à Magnanville, et en juillet lors du meurtre du prêtre de Saint-Etienne-du-Rouvray. Les enquêteurs ont surtout compris, en novembre 2015, l’importance du mentor de toute cette bande : Fabien Clain, lui aussi ancien fidèle de la mosquée Al-Rawda, parti discrètement en Syrie en même temps. Un colosse aux allures d’ours brun devenu la voix de l’EI avec son frère après les tueries du Bataclan et des terrasses. Il faut également savoir que deux des six enfants de Salih Attia lui-même sont partis faire le djihad en Syrie dès 2012 (Mohamed, 30 ans et Assim, 29 ans, ce dernier serait même mort). Salih Attia, une chance pour la France, un immigré grâce auquel le problème des retraites serait résolu, c’est ce qu’a toujours vendu la gauche quand elle a régularisé les clandestins. Grâce à ces bas mensonges, grâce également à l’aide d’une petite communauté qui se sent toujours persécutée, Attia a pu parvenir à ses fins. Taqîya oblige, il a toujours su apparaître comme un homme modéré, trompant tout le monde. Maintenant, la France est confrontée à des problèmes extrêmement graves et quasi-insolubles.
http://www.contre-info.com/comprendre-lislam-son-expansion-en-france-et-la-taqiya-avec-salih-attia-imam-de-stains#more-43275 | -
Crèche de la cathédrale de Saint-Étienne incendiée. Où sont les flots d’indignation ?
La crèche de la cathédrale de Saint-Etienne a été incendiée volontairement vendredi soir. Plusieurs figurines dont celles de la Sainte Vierge ont été brisées et carbonisées. Un autre feu a été allumé sous une chapelle de la Vierge.
Une crèche dont même les plus enragés des laïcards peuvent difficilement dire qu’elle n’était pas au bon endroit ni à sa place. Saccagée, en cendres, profanée.
L’incendiaire a été aperçu en train de prendre la fuite vers 18 heures juste avant la messe. Les flammes ont été partiellement éteintes grâce à la rapidité des paroissiens qui se sont servi tout d’abord de l’eau du bénitier.
A ce jour ni Bernard Cazeneuve ni Bruno Le Roux n’ont exprimé la moindre indignation ni promis le zèle des enquêteurs. Comme le fait justement remarquer Christine Tasin sur Résistance Républicaine, on verra « si incendier une crèche dans une cathédrale, essayer de mettre le feu à la même cathédrale est considéré comme moins grave ou plus grave que mettre des lardons dans la boîte à lettres d’une mosquée ».
Alors que le maire LR de la ville Gaël Perdriau parle de « profanation », Mgr Bataille, l’évêque de Saint-Etienne, (ils sont rarement décevants) a fait bien heureusement des déclarations « très loin des décharges de haine et de racisme visibles sur les réseaux sociaux » comme le souligne Radio France Bleu.
« Le geste est douloureux » tempère l’évêque du lieu « mais l’acte en lui même est assez limité dans le sens où c’est juste la crèche et les personnages » (…) « Cela peut très bien être un acte de gaminerie, comme ça arrive souvent. Et puis la crèche c’est un peu tentant : il y a de la paille donc on va mettre le feu. Ça n’est pas la première fois ! (…) En tout cas, ça retentit parce qu’il y a cette sensibilité qui est celle de notre pays en ce moment mais sur le fond je ne suis pas sûr que l’acte ait un tel poids. »
De quelle sensibilité pour le moins excessive, parle-t-il ? De la peur des actes de haine et de mort contre les symboles de notre foi et de notre civilisation ? De l’égorgement d’un prêtre en pleine messe comme en juillet dernier ?
Curieuse similitude, il y a quelques jours à Foggia en Italie, un migrant gambien de 25 ans a été pris en flagrant délit alors qu’il mettait le feu à la crèche et venait de fracasser une statue de la Vierge Marie. Ce grand gamin aimant jouer avec des allumettes (la paille c’est drôlement tentant) a néanmoins déclaré à la police qu’il était musulman et qu’il voulait détruire des symboles chrétiens.
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 10 janvier 2017
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Pour la LDH, ramadan : bien ! Crèches : pas bien !
Une manifestation festive, le ramadan ? Rien à voir avec la religion, le ramadan ?
Pourquoi la Ligue des droits de l’homme ne trouve rien à redire à ce que la mairie de Paris, depuis 2001, se mette en quatre pour fêter des nuits du ramadan à 100.000 euros mais porte plainte pour cause de présence de crèches dans les mairies ? Parce qu’« une crèche de la Nativité, c’est extrêmement marqué religieusement » alors que le ramadan, lui, c’est… « une manifestation festive » ! Ainsi l’explique la présidente de la LDH à Midi libre en réponse aux reproches « d’une partie de la droite » de favoriser l’un au détriment de l’autre.
Une manifestation festive, le ramadan ? Rien à voir avec la religion, le ramadan ? Cette retraitée de l’enseignement qu’est la présidente de la LDH montre pour le moins une ignorance crasse ou une hypocrisie sans nom, quand on sait que le ramadan est l’un des cinq piliers de l’islam ! Autrefois, les mauvaises langues auraient accusé madame la présidente d’avoir fait ses études chez les Jésuites…
Mais le cheval de bataille de la LDH, on l’a compris, c’est la religion catholique. Et cette bonne dame Dumont de se féliciter d’attaquer « pratiquement systématiquement » les mairies qui ont exposé des crèches ou rendu des arrêtés contre le burkini. Ainsi, selon sa grille de lecture, crèches et interdiction du burkini – vêtement religieux par excellence ! – représentent toutes deux des atteintes à la laïcité !
Nous en sommes là. À subir en même temps – au nom de la laïcité – les interdictions de signes chrétiens et les autorisations de signes musulmans.
Ce qui revient à dire qu’au nom de cette laïcité complètement détournée, l’État français s’entend à implanter la religion musulmane en extirpant petit à petit notre passé chrétien millénaire. En outre, quelle aubaine pour les défenseurs de l’islam : la loi, lit-on dans Le Monde, de toutes façons, ne prévoit rien « concernant le fait, pour une administration publique, d’organiser une fête à destination d’une communauté »…Non, ce qui l’embête, cette brave dame, c’est que les tribunaux administratifs, à propos de la légalité ou pas des crèches dans les mairies ou sur le port du burkini, « ont à chaque fois une interprétation extrêmement différente ». C’est vrai, ça, sauf qu’à part part semer la zizanie et la confusion partout, voire à rendre tout le monde marteau, on ne comprend pas pourquoi, justement, chacun est autorisé à rendre des verdicts opposés…
Encore une année à la tête de la LDH et mâme Dumont pourra aller planter ses salades. Une année encore « compliquée » et « malsaine » – c’est ainsi qu’elle voyait son mandat. À cause de quoi, vous demandez-vous ? Mais « en raison de la forte montée de l’extrême droite », pardi ! disait-elle après les attentats de janvier…
Mais ce qui fait le plus enrager cette ligueuse de fond (depuis 35 ans à la LDH) ? C’est « quand on en rajoute sur les racines chrétiennes de la France ». Qu’on en rajoute ? Mais alors, madame la retraitée de l’enseignement l’avoue : nos racines sont chrétiennes ! Oh ?
http://www.bvoltaire.fr/carolineartus/pour-la-ldh-ramadan-bien-creches-pas-bien,304935
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L'augmentation des actes christianophobes en France est de 36,9 %
Selon le décompte effectué par Daniel Hamiche sur son Observatoire.
"le mois de décembre fut particulièrement “lourd” car 26 lieux ont été touchés : le nombre le plus important de toute cette année 2016, juste après janvier et ses 24 lieux touchés. En nombre d’actes christianophobes différents, décembre vient en troisième position avec 34 actes, plus d’un par jour… – il y en eut 35 en mai et 131 en avril (mais ce chiffre énorme tient essentiellement à l’attaque par des pirates de quelque 106 sites internet chrétiens). En nombre de départements touchés, décembre en a compté 20, un peu moins que mai qui fut un mois “record” avec 22 départements touchés.
Cette dernière synthèse pour l’année 2016, nous permet de tirer un bilan provisoire des actes de christianophobie en France sur les douze moins écoulés. J’ai enregistré 374 actes différents (contre 273 en 2015, soit une augmentation de 36,9 % !)."
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Nuit de terreur à Innsbruck. Migrants : chances pour l’Europe ?
Après la terreur de la nuit du nouvel an 2016 à Cologne, c’est au tour de la ville autrichienne d’Innsbruck. Dix huit plaintes ont déjà été déposées à la suite des agressions sexuelles commises lors du rassemblement de la Saint Sylvestre par un groupe de jeunes hommes étrangers, actuellement non identifiés, contre 19 femmes âgées de 19 à 25 ans.
A Cologne, les policiers ont imputé les agressions à des réfugiés tout juste arrivés en Allemagne. Des faits étrangement similaires ont été constatés sur la place Tahrir en Egypte, au moment du fameux printemps arabe de 2012. Les autorités locales clament avoir pourtant pris des mesures pour prévenir tout incident.
6 000 alarmes de poche ont été distribuées en Autriche lors des festivités de fin d’année. A Vienne, comme à Innsbruck, les dispositifs de sécurité ont été renforcés après l’attentat contre un marché de Noël à Berlin fin décembre. Peut être aurait il mieux valu prendre des mesures plus en amont ?
http://fr.novopress.info/202621/nuit-de-terreur-a-innsbruck-migrants-chances-pour-leurope/
Voir ici aussi : https://fr.sputniknews.com/international/201701051029468681-agressions-reveillon-legislation-parlement-migrants/