
De cette femme on ne saura rien, sinon qu’elle arrive de la région parisienne et qu'elle est mère d’un enfant de trois ans. Dans le registre des violences faites aux femmes dont les féministes se fichent comme de leur première pancarte #MeToo, celles infligées aux policières. Comme si ce tabassage en règle était vraiment bien peu de chose à côté de la gifle « conjugale » d’un Quatennens ou la drague lourde d’un Abad.