Samedi 10 octobre, le collectif Marchons enfants ! défilait dans la ville rose. Durant deux longues heures, des militants LGBT et ultra-gauche ont tenté d’infiltrer le défilé pour agresser les participants.
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Samedi 10 octobre, le collectif Marchons enfants ! défilait dans la ville rose. Durant deux longues heures, des militants LGBT et ultra-gauche ont tenté d’infiltrer le défilé pour agresser les participants.
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Après avoir été bombardé à coups de cocktails Molotov et autres mortiers d’artifice par les bandes ethniques en mai 2018, puis à nouveau en avril 2020, nous pourrions presque dire, hélas, comme le font les grands médias au sujet des centaines de véhicules incendiés chaque année lors de la Saint-Sylvestre, que l’attaque du commissariat de Champigny-sur-Marne est en quelque sorte devenue une « tradition ». Sauf que, cette fois-ci, faute de réponse ferme du gouvernement, l’assaut préparé et conduit de façon quasi militaire samedi soir par une quarantaine de voyous ethniques contre ce commissariat a atteint un seuil de violence jusque-là inégalé et particulièrement grave, qui laisse présager le pire pour l’avenir.
Ce vendredi 2 octobre, Emmanuel Macron a présenté son plan d’action contre … non pas le séparatisme mais les séparatismes ! Aïe, Aïe, comme toujours en démocratie cela commençait bien et puis badaboum, ni vu, ni connu, elle t’embrouille… la démocratie.
D’ailleurs est-ce que cela commençait si bien que cela avec la mise en avant du nouveau terme de séparatisme ? Pour se séparer encore faudrait-il faire partie de la France, or les musulmans d’Algérie ont considéré il y a plus de 60 ans, que vivre ensemble n’était ni souhaitable, ni possible. Soutenu en cela par les musulmans du Maroc et de Tunisie. Séparée des musulmans, la France l’est donc depuis longtemps et parler de séparatisme revient à faire comme si ce n’était pas le cas, une sorte de déni de réalité. Nous, nationalistes intégraux qui avions défendu dans l’Algérie française une possible société multiculturelle n’oublions pas la leçon de l’histoire. C’est aussi simple que cela l’empirisme organisateur.
De Bernard Antony :
Mais pourquoi donc l’avoir ramenée chez nous ? Et à quel prix !
Car, à l’évidence, la franco-suisse Sophie Pétronin, rebaptisée « Mariam » dans l’entendement musulman du prénom, n’en éprouvait pas un grand besoin. Il eut été moins onéreux pour l’État d’offrir à ses enfants le voyage Paris-Bamako pour qu’ils puissent vérifier que leur mamie allait fort bien.
Tellement frétillante et diserte que, manifestement, Emmanuel Macron que l’on avait déplacé pour l’accueillir ce vendredi à Villacoublay, en était gêné. On avait, certes, déjà vu des otages libérés se garder par prudence de toute parole hostile à l’égard de leurs ravisseurs. Mais dans le cas de Mariam, rien que des propos de complaisance, et même plus encore de reconnaissance, pour lui avoir donné l’occasion d’une « retraite spirituelle » débouchant sur sa conversion à l’islam.
Après les « sauvageons » de Jean-Pierre Chevènement, voilà maintenant qu’on évoque, en haut lieu, l’« ensauvagement de la société ». Le fait que ce terme, employé par Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, ait été emprunté au vocabulaire du Rassemblement national vous paraît-il significatif ?
Comme Chevènement, Darmanin a visiblement voulu frapper les esprits. Mais il n’est pas exact de dire qu’il s’est inspiré du Rassemblement national. Marine Le Pen, à partir de 2013, a effectivement employé ce terme à plusieurs reprises, sans doute à la suite de Laurent Obertone qui avait publié, la même année, un livre intitulé Enquête sur un sujet tabou : l’ensauvagement d’une nation. Mais Obertone ne l’avait lui-même pas inventé. En 2005, la politologue Thérèse Delpech avait publié, chez Grasset, L’Ensauvagement : le retour de la barbarie au XXIe siècle. Beaucoup plus tôt encore, on retrouve le mot sous la plume de l’écrivain et poète martiniquais Aimé Césaire, selon qui la colonisation a « instillé dans les veines de l’Europe » le « progrès lent, mais sûr, de l’ensauvagement du continent » (Discours sur le colonialisme, 1950). De son côté, l’historien George Mosse, évoquant la « culture de la guerre » née dans les tranchées de la Première Guerre mondiale, a employé le mot de « brutalization », que l’on a traduit en français par « ensauvagement ». Nous sommes donc devant un terme auquel on peut donner des significations bien différentes.
Un site américain, The Daily Beast, vient de révéler que le multimillionnaire et multi-violeur Epstein, aux nombreuses complicités politico-culturelles (et dont l’héritage représente plus d’un demi-milliard de dollars) a notamment financé une association à la dévotion de notre Jack Lang. Les spéculations vont bon train.
Pour la petite histoire, le site américain d’information The Daily Beast fait référence par son titre au journal The Daily Beast imaginé par l’écrivain britannique, catholique et anticommuniste Evelyn Waugh, dans son roman, Sensation ! Waugh dénonçait les aveuglements d’une certaine presse de son temps (1938). Rien n’a vraiment changé quand on constate les obstacles qui ont été mis à la découverte de la vérité concernant Epstein (et Weinstein, Maxwell et les autres).
L’un des deux policiers très grièvement blessé après son agression ultra-violente à Herblay (Val-d’Oise) n’a plus son pronostic vital engagé.
Philippe David avec Philippe Bilger, Pablo Pillaud-Vivien et Caroline Pilastre.
Sophie Pétronin est arrivée vendredi en France où elle a été accueillie par le président Emmanuel Macron, au lendemain de l’officialisation de sa libération, après près de quatre ans de captivité aux mains des islamistes au Sahel. Les otages étaient détenus par le Jamaat Nosrat al-Islam wal-Mouslimin, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), la principale alliance djihadiste au Sahel liée à Al-Qaida. Une rançon de 10 millions aurait été versée par le Vatican, et 200 jihadistes ont été libérés. Ces derniers vont reprendre les armes immédiatement.
Sophie Pétronin n’a pas souhaité s’exprimer à son arrivée à l’aéroport militaire de Villacoublay, et le chef de l’Etat n’a pas non plus pris la parole devant les caméras.
Mais c’est sur les antennes de RFI qu’elle a lâché le morceau :
Le journaliste Serge Daniel demandait à Sophie Pétronin “un mot sur (ses) geôliers…”
– Sur mes geôliers ?
– Oui, sur vos ravisseurs…
Dans la nuit du samedi 10 au dimanche 11 octobre, le commissariat de Champigny-sur-Marne, implanté au cœur de la cité sensible du Bois-l’Abbé, a été attaqué par plusieurs dizaines d’individus, selon les informations d’Europe 1. Les assaillants ont tenté de briser la vitre blindée de la porte d’entrée, puis ont effectué plusieurs tirs de mortier.
Une quarantaine de délinquants armés de barres et fer et de mortiers
Vers minuit, alors que deux policiers faisaient une pause cigarette à l’extérieur, « ils ont soudainement vu surgir une quarantaine de personnes venues en découdre ».