Il y a un an, un professeur était décapité en pleine rue pour avoir fait son travail de professeur d'histoire-géographie. Un an après, Marianne publie un sondage : où en sont les jeunes sur la laïcité ?
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Il y a un an, un professeur était décapité en pleine rue pour avoir fait son travail de professeur d'histoire-géographie. Un an après, Marianne publie un sondage : où en sont les jeunes sur la laïcité ?
Un an après l’assassinat de Samuel Paty, la France est-elle enfin sortie de la spirale du terrorisme islamiste ? Pour l’écrivain Laurent Obertone, la délinquance et l’insécurité en France participent d’une forme de « terrorisme communautaire ».
Entretien.

18/10/2021
Loire-Atlantique : après son père, condamné pour viol, c’est son frère, accusé de tentative de meurtre, qui part en prison
Une semaine après la condamnation de son père pour plusieurs viols, c’est son frère qui a écopé d’une peine de prison ferme. Il lui avait porté un coup de couteau en février 2017.
[…]Les débats – qui se sont tenus à huis clos – n’ont pas permis d’en savoir plus sur cette « tentative de meurtre » pour laquelle l’accusé comparaissait libre.
[…]« Plus je grandissais, plus je voulais devenir une jeune fille occidentale et moins ça leur plaisait », avait-elle commencé par expliquer à l’ouverture du premier procès aux cinq juges de la cour criminelle de la Loire-Atlantique.
Vendredi 15 octobre, le député conservateur britannique David Amess, a été poignardé de douze coups de couteaux lors d’une rencontre avec ses électeurs, dans l’église méthodiste de Leigh-on-Sea, une petite ville côtière située à l’est de Londres. L’assassin est un islamiste somalien de 25 ans arrivé en Grande-Bretagne avec ses parents il y a quelques années et qui a fini… par obtenir la nationalité britannique !
Vous observerez, comble d’ironie, le macaron vert pomme placé à droite de l’entrée de ladite église et qui affirme de façon péremptoire que
« TOUT LE MONDE EST BIENVENU ICI » !
Et, de fait, le terroriste islamiste meurtrier avait pris banalement rendez-vous avec le député, comme n’importe lequel de ses électeurs ou des paroissiens du coin et attendit calmement son tour avant de le rencontrer. L’entrevue ne dura que quelques instants, juste le temps nécessaire pour asséner à sa victime une douzaine de ces coups de couteau qui sont une des méthodes préférées de l’islam pour proclamer sa haine de l’espèce humaine non musulmane…

Près d’une centaine d’incidents ont émaillé les moments d’hommage à Samuel Paty, professeur d’histoire décapité par un islamiste, hier en France.
Ces incidents ont eu lieu dans certains collèges et lycées, des insultes notamment, mais aussi des menaces à l’encontre de personnes individuelles.

L’enquête sur l’incendie criminel qui a fait deux morts et une vingtaine de blessés en janvier 2019 à Courchevel prend de plus en plus les allures d’une triste farce. Hicham Abderraouf, un Algérien de 24 ans, est soupçonné d’avoir volontairement mis le feu à un immeuble qui abritait des saisonniers. Il a une nouvelle fois échappé à la justice, il y a trois semaines, alors qu’il était déjà en cavale depuis plusieurs mois.

Un homme, se présentant comme « marocain », a publié une vidéo sur TikTok dans laquelle il affirme sa volonté de « couper la tête » d’Éric Zemmour et de Marine Le Pen.
Alors que la France a rendu hommage à Samuel Paty, professeur d’histoire décapité voilà un an pour avoir montré des caricatures de Mahomet à ses élèves, un homme se présentant comme « un Marocain » a publié sur TikTok une vidéo, rapidement devenue virale, dans laquelle il menace de « couper la tête » d’Éric Zemmour et de Marine Le Pen.
Les faits remontent au jeudi 30 septembre et se sont déroulés dans le « secteur sensible » (traduction : cité de l’immigration) du quartier la Forêt. Le parquet d’Evry a ouvert une enquête pour « violences aggravées par trois circonstances, en réunion, à raison de l’orientation sexuelle supposée et par personne dissimulant son visage ». Lors de son audition, la victime de l’agression, un jeune homme âgé de 17 ans, a en effet déclaré avoir été, « en raison de son apparence », « gratuitement frappé par une meute d’individus lui criant ‟PD” ». L’enquête a été confiée au commissariat de Montgeron. Des vidéos de l’agression ont rapidement circulé sur les réseaux sociaux, suscitant de nombreuses réactions légitimement indignées.