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insécurité - Page 466

  • La Turquie veut-elle mettre la main sur la Libye ? par Antoine de Lacoste

    Depuis que la France, l’Angleterre et les États-Unis ont décidé, en 2011, de renverser le régime de Kadhafi (et d’assassiner ou de laisser assassiner ce dernier, au passage), la Libye vit un enfer. Anarchie, guerre civile, affrontements tribaux et implantation de l’islamisme rythment la vie de ce pays qui n’en est plus un. Il sert logiquement de plate-forme à une immigration massive vers l’Europe et s’enfonce dans la pauvreté

    Deux hommes ont émergé de ce chaos : Fayez al-Sarraj, un civil, et Khalifa Haftar, maréchal de son état.

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  • «La menace terroriste demeure élevée en cette fin d’année» indique le patron de la DGSI

    Nicolas Lerner, le directeur général de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a rappelé que la menace terroriste était toujours présente en France. « La menace terroriste demeure élevée en cette fin d’année 2019 », a-t-il notamment affirmé.

    Dans un interview accordé à franceinfo, le patron de la DGSI a passé en revu plusieurs sujets. « La menace terroriste demeure aujourd’hui élevée en cette fin d’année 2019. Je rappelle que plusieurs attentats ont été tentés. Souvenons-nous de Lyon au mois de mai dernier, souvenons-nous aussi du drame qui s’est passé au sein de la prison de Condé-sur-Sarthe« , a déclaré Nicolas Lerner.

    Actu17

  • L’ultra-gauche fait partout sa loi

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    L’ fait la loi dans la rue : elle casse, brise, pille et souille les rues de Paris, ses vitrines, son mobilier urbain, et même ses monuments, à intervalles réguliers, selon son bon plaisir. Black Blocs et antifas décident de qui est persona grata, dans les cortèges, et qui ne l’est pas. Une jeune journaliste de Boulevard Voltaire a ainsi été éjectée violemment de la manifestation du 17 décembre au cri de « Dehors les fachos ». Pour les violences faites aux femmes, tout ça, on repassera. Mais une jeune fille étiquetée de droite, cela ne compte pas, n’est-ce pas ?

     

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  • Chroniques du Vivre-ensemble : Le nombre d’agressions contre les pompiers en forte hausse

    En 2018, 3 411 pompiers ont été victimes d’agressions physiques ou verbales. Il s’agit là d’une augmentation de 21% par rapport à l’année 2017.

    Rémy Chabbouh, pompier et secrétaire général de SUD, Christophe Soullez, chef de l’ONDRP (observatoire national de la délinquance et des réponses pénales), et Yannick Ténési, sécrétaire général du SNSPP-PATS (syndicat national des sapeurs-pompiers professionnels et des personnels administratifs techniques et spécialisés), se sont exprimés sur les causes de ces violences quotidiennes, ainsi que sur la position des pompiers au sein du service public.

  • La délinquance atteint des sommets à Paris

    Paris sombre dans la délinquance. D’année en année, le nombre de délits ne cesse d’augmenter dans la Capitale. Un sujet de préoccupation pour de nombreux Parisiens à trois mois des élections municipales.

    Paris perd de sa splendeur

    En un an, la délinquance a passé un nouveau cap dans la Capitale. Vols à la tire, cambriolages, violences contre les personnes… tous les voyants sont au rouge. De quoi faire de ce thème un enjeu majeur lors des prochaines élections municipales.

    De ville lumière à ville infréquentable, il n’y a qu’un pas. Alors que le niveau de vie moyen ne cesse d’augmenter à Paris, les conditions, elles, ne cessent de se dégrader. En effet, les chiffres révèlent que la délinquance est en hausse constante rendant la Capitale de moins en moins sûre. Le procureur de la république, Rémy Heitz, l’avoue bien volontiers, les chiffres de la délinquance depuis le 1er janvier ne sont pas bons. Comprendre : ils sont franchement mauvais. On apprend ainsi  que les vols sans violence ont augmenté de plus de 15,7% depuis le 1er janvier 2019, ce qui représente 430 faits par jours et les vols à la tire ont bondi de 35%. Même constat pour les cambriolages, +5,5% de hausse depuis le début de l’année, alors que l’année 2018 avait déjà accusé une augmentation de 14,4%.

    Enfin, les atteintes volontaires à l’intégrité physique sont en hausse de plus de 9 % depuis le mois de janvier. Cela représente désormais, quotidiennement, et en moyenne, 120 agressions et tentatives, uniquement à Paris intra-muros. Et aucun arrondissement ne semble épargné. En effet, du centre de Paris au très prisé ouest parisien en passant par les quartiers cosmopolites du nord de la Capitale, tous les indicateurs sont au rouge. Pire, les taux d’élucidations sont en chute libre. Alors qu’en 2012, près d’un fait sur trois était élucidé, le niveau a chuté à un sur quatre en 2018.

    Un constat donc accablant et les pouvoirs publics ne sont plus en mesure d’endiguer le phénomène. Selon Serge Federbusch, candidat « Aimer Paris » aux élections municipales, la responsabilité peut même être imputée à la municipalité en place. Ainsi, la délinquance et l’immigration pourraient être des enjeux majeurs en vue du prochain scrutin locale qui aura lieu dans trois mois maintenant.

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-delinquance-atteint-des-sommets-a-paris

  • Historien et politique menacés de mort : ce qu’on ne vous a pas dit sur les événements du Mans…

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    Les titres étaient sans appel et les analyses unanimes : une extrême droite violente et sanguinaire s’est déversée, samedi 14 décembre, dans les rues du Mans, a saccagé le centre-ville et même mis le feu en plusieurs endroits. Pour eux, un seul responsable : l’Action française.

    Ils étaient environ 150 manifestants au pied de la muraille du vieux Mans. Rassemblés pour commémorer la bataille du Mans, épisode sanglant de la guerre opposant la Vendée militaire aux troupes révolutionnaires. Cette bataille des 12 et 13 décembre 1793 avait entraîné la mort de 10 à 15.000 Vendéens, combattants, femmes et enfants compris. Déposée en préfecture, cette manifestation aurait dû être itinérante mais une décision préfectorale, intervenue le vendredi soir, a imposé aux organisateurs un rassemblement statique. En cause : les appels de contre-manifestation et promesses de violences émanant de « groupes antifascistes », mais pas seulement. Dans une tribune distribuée en tracts dans la ville et sur les réseaux sociaux, le Collectif antifasciste de la Sarthe, le CNT, le FSU, la Ligue des droits de l’homme, le NPA, l’UNEF et d’autres appelaient à une contre-manifestation afin de lutter contre « des organisations d’extrême droite aux méthodes fascistes en recrudescence au Mans ».

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  • Bernard-Henri Lévy n’est-il pas en partie responsable du massacre des chrétiens du Nigéria ?

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    Bernard-Henri Levy, que certains s’évertuent à qualifier de “philosophe”, a pondu il y a quelques jours un article sur le massacre des chrétiens au Nigéria.

    Quelle ne fut pas notre surprise de voir diverses officines catholiques, y compris de la Tradition, se faire les relais de cette tribune de Bernard-Henri Levy.

    Bien sûr, c’est une vérité indiscutable : les chrétiens du Nigéria sont persécutés et beaucoup ont déjà été mis à mort.

    Mais Bernard-Henri Levy ne porte-t-il pas lui-même une lourde responsabilité dans cette situation ?

    Souvenons-nous de son rôle dans le renversement de Kadhafi dont les premiers bénéficiaires furent les diverses organisations djihadistes de type Etat Islamique. BHL fut l’un des instigateurs du chaos libyen. Grâce à ce chaos, de nombreuses organisations djihadistes ont pu s’emparer d’armes de guerre en grandes quantités.

    La prolifération de milices djihadistes en Afrique noire a largement été facilitée par le chaos libyen orchestré par les amis de Bernard-Henri Levy.

    Ensuite, Bernard-Henri Levy a encore tenté d’exporter le chaos en Syrie. Là-encore, les chrétiens d’Orient en furent les premières victimes.

    Et il faut rappeler aussi les liens étroits entre Israël – dont Bernard-Henri Levy est un laudateur inconditionnel – et différents groupes djihadistes, certains ayant même pu se faire hospitaliser en Israël après avoir été blessés en Syrie.

    Enfin, il faut visiblement rappeler à ces catholiques européens qui ont la mémoire courte que Bernard-Henri Levy s’est toujours montré un adversaire du catholicisme en France, témoignant d’ailleurs d’une grande colère lorsque sa sœur Véronique s’est convertie au catholicisme.

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    source: MPI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/12/19/bernard-henri-levy-n-est-il-pas-en-partie-responsable-du-mas-6199522.html

  • Communiqué de Boulevard Voltaire : notre journaliste prise à partie et violentée par des antifas !

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    Ce mardi 17 décembre, place de la Nation à Paris, notre journaliste envoyée sur place pour réaliser un reportage sur la mobilisation contre la réforme des retraites, a été prise à partie, violentée et expulsée. Aux cris de « dehors les fachos », elle a essuyé invectives, insultes et coups avant de parvenir à s’extraire. Ce n’est pas la première fois. Le 10 novembre dernier, notre reporter avait subi le même traitement à l’occasion de la « marche contre l’islamophobie ».

    La rédaction de Boulevard Voltaire apporte tout son soutien et sa solidarité à sa consœur et ne peut que s’alarmer devant la violence systématique de ces autoproclamés « antifas » qui semblent jouir d’un total sentiment d’impunité.

    Boulevard Voltaire est aujourd’hui ciblé sur les réseaux sociaux par des activistes qui harcèlent ses annonceurs. Et maintenant dans la rue par d’autres qui n’hésitent plus à s’en prendre physiquement à nos équipes ! Ces attaques, loin de nous affaiblir ou de nous intimider ne font, au contraire, que renforcer notre détermination et notre volonté de vous proposer une information fiable, engagée et lucide. Encore une fois, à travers les attaques répétées contre Boulevard Voltaire, c’est bel et bien la liberté d’informer et la liberté d’expression qui sont visées.

    « Notre liberté dépend de la liberté de la presse et elle ne saurait être limitée sans être perdue ».

    https://www.bvoltaire.fr/communique-de-boulevard-voltaire-notre-journaliste-prise-a-partie-et-violentee-par-des-antifas/

  • Dans la revue l'Incorrect : François Bel-Ker : « La violence à l’égard de l’Action Française est désormais hebdomadaire »

    Après les incidents ayant eu lieu au Mans le week-end dernier et face au traitement médiatique des évènements par les médias dominants cherchant à accabler l’Action française, L’Incorrect a souhaité donner la possibilité à François Bel-Ker, Secrétaire général du mouvement, de s’exprimer sur l’affaire.

    Pouvez-vous nous donner votre version des évènements qui se sont déroulés au Mans ce week-end ?

    Samedi une commémoration en hommage aux victimes des massacres du Mans du 12 et 13 décembre 1793 était organisée au Mans. 15 000 Vendéens et Chouans furent exécutés par les révolutionnaires. Cette manifestation est organisée régulièrement par le collectif « La marche du souvenir vendéen » au sein de laquelle les militants de l’Action Française sont venus particulièrement en nombre cette année. Il y avait 150 personnes lors de cette manifestation rassemblant principalement des jeunes et des familles et les militants de l’AF étaient près de 80. Nous avons rejoint cette manifestation en notre nom propre, avec notre chef de section locale qui s’y est exprimé, de façon totalement reconnue par « la marche du souvenir vendéen » et en appelant tous les Manceaux qui le souhaitaient à rejoindre l’évènement.

    Il s’agissait donc d’une commémoration pacifique ?

    Evidemment, puisqu’il s’agit de faire mémoire ! Mais il se trouve que depuis quelques mois devant la présence importante des militants et sympathisants de l’Action Française dans les facultés ou dans les manifestations de Gilets Jaunes, un front se dresse contre nous de la part d’un collectif auto-proclamé et mal nommé « antifasciste ». Ce front était composé pour l’occasion de la CNT (Anarcho-syndicaliste), de la FSU, de la Ligue des Droits de l’Homme, du NPA, de l’UNEF. Ce collectif a appelé samedi à une contre-manifestation contre l’Action Française. Ouest-France qui a relayé cette information parle d’une centaine de manifestants d’extrême-gauche refusant que les militants d’AF « s’approprient l’héritage des chouans » (sic). C’était une contre-manifestation, à laquelle de nombreux appels à participer avaient été lancés de longue date. Je tiens à préciser que notre manifestation avait été déclarée en préfecture et autorisée par la police.

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  • Attaques antifas : Les hyènes dans la crèche, par Etienne Defay

    La bêtise et la violence de l’extrême gauche n’ont décidément plus de limites. Ce dimanche, une meute de décérébrés a attaqué la crèche vivante des enfants à Toulouse. Ce sont nos confrères de La Dépêche et d’Info Toulouse qui rapportent l’événement. En marge des manifestations contre la réforme des retraites ou des Gilets jaunes, ou des deux ensemble après tout, la place Saint-Georges accueillait comme tous les ans un spectacle de Noël joué par des enfants et des associations locales. Mais c’était compter sans la violence et la bêtise d’une soixantaine d’individus qui ont déboulé sur la place aux cris de « Nous on est anticapitalistes » ou encore « Stop aux fachos ».

    Certains ont même fait irruption sur scène devant les yeux des petits dont certains se sont mis à pleurer, abasourdis par cette violence inexplicable. Heureusement la scène, si elle avait de quoi scandaliser toute personne douée de raison, n’a pas fait de blessés.

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