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Lors d’un entretien avec un think tank américain, le président de la République a osé une analogie entre les deux événements, déplorant un “nouveau mode de vie” basé sur la violence.
Réputé, depuis le début de son quinquennat, pour ses petites phrases qui ont le don d’enflammer le débat, Emmanuel Macron a récidivé. Lors d’un entretien avec le think tank américain Atlantic Council, auquel il s’est longuement confié en anglais, le président de la République a en effet dressé une analogie qui risque de faire parler, rapporte notamment BFMTV, le 4 février.
Cet été, l’ensauvagement a été dans toutes les bouches, pour le dénoncer ou dénoncer le terme.L’actualité estivale méritait une mise en regard avec l’ouvrage du Dr Maurice Berger est réelle, ses causes profondes.
Dans la nuit du 29 au 30 août, deux agressions au couteau à Toulouse. Le 26, c’est au Havre qu’un serveur est blessé à l’arme blanche pour avoir demandé à un client de porter son masque. Le 22, à Pont-de-Roide, dans le Doubs, un père de famille se fait fracasser le crâne à coups de marteau par des « jeunes » (dans la Novlange médiatique, « un jeune » désigne une appellation d'origine plus qu’une tranche d’âge) pour leur avoir demandé d’attendre leur tour à un plongeoir.
Au micro de Boulevard Voltaire, la chroniqueuse rappelle que ce n’est pas en France ou aux États-Unis mais « en Afrique ou dans des pays arabes que les Africains vivent comme des esclaves enfermés comme des chiens dans des cages ». Elle accuse Black Lives Matter de faire son fonds de commerce en jouant la carte de la victimisation, tout en agressant les personnes qui pensent différemment.
Le mouvement Black Lives Matter a été nommé au prix Nobel de la paix. Le discours ambiant dit que c’est une chance pour toutes les personnes noires du monde. Qu’elle est votre position ?
Je ne dirais pas que c’est une grande chance. Selon moi, le mouvement Black Lives Matter est un mouvement terroriste. Il a fait beaucoup de mal à la communauté noire voire la communauté africaine. Selon les médias, les noirs américains ne se considèrent pas africains, mais afros-descendants et ne s’identifient pas à l’Afrique. Bon nombre de personnes se plaignent d’être noirs et Africains aux États-Unis ou en Occident. S’il y avait vraiment un problème d’appartenance ou d’acceptation de la race noire, ils seraient tous rentrés en Afrique. C’est vraiment mon point de vue. En Afrique, ils sont sûrs d’être au milieu de ceux qui ont la même couleur de peau.
Huit personnes ont été déférées hier après le démantèlement du principal réseau qui alimente la Seine-Saint-Denis en produits stupéfiants.
Dans le milieu, pour se faire « respecter », il faut être craint. En démantelant, cette semaine, un réseau de trafic de stupéfiants qui alimente la Seine-saint-Denis et notamment la commune de Saint-Ouen, limitrophe de Paris, l’Ofast, l’office anti-stupéfiants, est tombé sur un véritable arsenal de guerre : kalachnikovs, fusils d’assaut HK et G3 FMP, des M16, avec trépied et équipement de visée laser, un fusil de précision avec lunette sur trépied, des pistolets-mitrailleurs ainsi que leurs chargeurs, dont 16 pour les M16 et plus de 500 munitions et 1 300 cartouches de différents calibres.
Le 13 juin 2020, il était le héros du jour. Sous les acclamations des manifestants contre le racisme et les violences policières, un inconnu parvenait à arracher la banderole que le groupe Génération identitaire était parvenu à déployer sur le toit d’un immeuble de la place de la République. Un petit pas pour l’homme mais… Oh la la ! La journée ferait date.
Le ministre de l’Intérieur va devoir dissoudre les loges maçonniques.
Après le complot (manqué) maçonnique contre une coach de Créteil, on apprend que Laurent Pasquali, pilote automobile inexplicablement disparu en 2018 à Levallois, a été assassiné et enterré dans un bois en Haute-Loire. Ce crime a été orchestré par une officine de francs-maçons.
Encore une fois, plusieurs militaires de la DGSE seraient impliqués. Ce même réseau aurait visé un syndicaliste de l’Ain. Une vague d’interpellation a eu lieu la semaine dernière. Un ancien commandant de la Direction centrale du renseignement intérieur avait expliqué faire partie d’un groupe de franc-maçon. Il a précisé que son groupe était passé à l’acte en assassinant un pilote automobile avant de l’enterrer dans une forêt.
C’était un mercredi soir du mois de janvier. Le métro de la ligne 7 était presque vide. Habitant dans un quartier bien fréquenté, je dis à mon copain qu’il était inutile de me ramener jusqu’à chez moi, il ne pourrait rien m’arriver. Je descendis à ma station, il n’y avait personne à l’horizon. Une fois dans l’escalator, je me retournai et vis un Maghrébin de vingt-cinq ans – à peu près – en bas des marches. Instantanément, je me souvins qu’il était sorti du wagon voyant que je rentrai seule chez moi.
Anne Brassié reçoit Didier Rochard pour dénoncer la pédocriminalité et l’inceste, pratiqués au sein d’un certain milieu, qui depuis des décennies profitent de l’impunité la plus totale.
Ils évoquent l’âge du consentement sexuel et les principales affaires dont la dernière en date est racontée dans l’ouvrage de Camille Kouchner « La familia grande ».
Erwan était réunionnais. Une gueule de gamin franche et claire. Militaire dans une caserne à Bordeaux, il a été poignardé à mort en s’interposant dans une bagarre. Originaire de la ville de Saint-André, sa mère a réagi auprès de nos confrères locaux : « Il a donné sa vie pour son ami, il est passé devant. Il a dit calmez-vous, il ne pensait pas qu’il aurait reçu tout de suite un coup de couteau comme ça. »