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insécurité - Page 467

  • Guerre civile, tribune des militaires. Laurent Obertone : « Deux mondes se mènent une véritable guerre de l’information, pour l’instant déséquilibrée » [Entretien]

    BI – Il y a quelques auteurs qui, depuis des années, évoquent les risques de guerre civile en France. Et cela avant même que des soldats ou des généraux n’alertent les autorités. Guillaume Faye en faisait partie, il y a 2-3 décennies, et ses livres étaient censurés, poursuivis judiciairement, ostracisés.

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  • Michel Onfray : « Quand des jeunes tirent à bout portant sur un policier, quand des quartiers font sécession, cela s’apparente à une guerre civile » (Vidéo)

    Michel Onfray : « Quand des jeunes tirent à bout portant sur un policier, quand des quartiers font sécession, cela s’apparente à une guerre civile ».

    Le philosophe était l’invité de Cnew, le 11 mai. Il a également évoqué la campagne électorale du Garde des Sceaux, Monsieur Dupont-Moretti.


    https://www.tvlibertes.com/actus/michel-onfray-quand-des-jeunes-tirent-a-bout-portant-sur-un-policier-quand-des-quartiers-font-secession-cela-sapparente-a-une-guerre-civile-video

  • Même s’ils savaient et qu’ils le pouvaient, ils n’ont pas voulu rétablir la sécurité

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    Pieter Kerstens

    De Giscard à Macron, ou de Mitterrand à Hollande, plus de quarante ans de lâchetés et d’aveuglement ont conduit au chaos de violences, d’agressions, de lynchages et de meurtres de policiers, dont nous sommes témoins aujourd’hui.

    Le boomerang leur revient en pleine figure.

    Charles Pasqua et Nicolas Sarközy, quand ils étaient ministres de l’Intérieur et gardiens de l’Ordre Public, promettaient des interventions radicales dans les banlieues.

    Jean-Pierre Chevènement, lui, qualifiait les délinquants comme des « sauvageons ».

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  • Essonne : Encore un commissariat de police attaqué

    PV – La nuit de samedi à dimanche a été marquée par de nouvelles et désormais habituelles violences dans le département de l’Essonne. Dans le quartier La Daunière, aux Ulis, une trentaine d’individus armés de barres de fer et de mortiers d’artifice ont attaqué des policiers municipaux.

    (…) Malgré de nombreux impacts relevés sur la façade du poste de police aucun blessé n’est à déplorer parmi les policiers.

    Ce genre d’attaque est devenu monnaie courante dans certains départements franciliens où les policiers en sont réduits à se terrer dans leurs commissariats assiégés. Une situation face à laquelle le gouvernement ne semble capable de répondre que par de belles déclarations et la promesse de davantage de « moyens » pour transformer les commissariats en « bunkers » égarés au milieu de zones de non-droit.

    (…) Paris Vox

    https://www.tvlibertes.com/actus/essonne-encore-un-commissariat-de-police-attaque

  • Au royaume de l’arbitraire, les bornes sont reines !, par Jean Bouër.

    Il faut le voir pour le croire : avec le Covid, l’État peut prendre beaucoup de mesures pour lutter contre une épidémie à l’égard desquelles les actions finissent pas devenir incantatoires.

    Parce qu’il faut rassurer, il ne va cependant pas restaurer la limitation drastique de la liberté d’aller et venir telle qu’elle fut pratiquée lors des premier et deuxième confinements. Mais à tous les étages, il va pratiquer ou tolérer l’arbitraire.

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  • “Il faut procéder au bouclage des 600 territoires perdus de la République, y compris avec le renfort de l’Armée”

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    Selon le syndicat France Police, qui adresse, à son tour, une lettre ouverte au président de la République :

    Monsieur Le Président de la République,

    A douze jours d’intervalle, une collègue a été égorgée par un terroriste islamiste à Rambouillet tandis qu’hier, un second fonctionnaire a été abattu par balle à Avignon par un membre d’un gang de narcotrafiquants.

    Le temps des belles cérémonies d’hommage est révolu. Vous devez passer des bougies à l’action politique. Ce n’est pas avec des larmes qu’on mène une guerre.

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  • Violence: le règne des euphémismes

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    Mathieu Bock-Côté

    Le meurtre d’un policier à Avignon par un « dealer » a suscité la plus grande colère. Il fait écho au lynchage d’un policier à Bagnolet par des « jeunes » hurlant « tuez-le, c’est un sale chien de flic ». Les termes  utilisés avaient le mérite de la clarté : la pulsion meurtrière est confessée. La France, loin d’être le pays des « violences policières », est le pays des violences contre les policiers, auxquels on tend des guets-apens, que l’on agresse et, de temps en temps, que l’on assassine au cri d’Allah akbar, comme on l’a vu avec le sort réservé à Stéphanie Monfermé à la fin avril.  De façon générale, c’est un climat d’extrême agressivité qui s’installe. Des bandes conquérantes attaquent autant qu’elles le peuvent tous les symboles de l’État, au point même de tirer au mortier d’artifice sur des pompiers. Il faut transformer l’aveuglement en méthode sociologique pour ne pas le voir, comme on l’a constaté récemment à Tourcoing et Roubaix.

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  • Barbares !, par Charles-Emma­nuel de Bourbon-Parme.

    La colère d’un prince. Il n’est pas notre pré­ten­dant et d’ailleurs il ne pré­tend pas, mais sa parole est tran­chante et le sang des capé­tiens coule dans ses veines. (NDLR)

    Le bon mot pour qua­li­fier ce qui s’est pas­sé à Lille, c’est la bar­ba­rie. Ces Sau­vages, ces moins que rien, ces arrié­rés men­taux s’en sont pris à deux sym­boles de l’amour de la France envers nos com­pa­triotes. En incen­diant une école mater­nelle ce sont les éco­liers qu’ils bru­ta­lisent.

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  • Un policier vauclusien : « Assez d’hommages, de bougies, de marches blanches ou de tweets. Maintenant, il faut des actes ».

    A. est policier depuis 20 ans et exerce dans une ville du Vaucluse depuis plusieurs années. Au lendemain de l’assassinat de son collègue Éric Masson, il exprime la peur qu’il ressent au quotidien et sa lassitude.

    Le 5 mai, à Avignon, un nouveau drame est venu frapper notre  . Un drame qui nous fait imaginer la France de demain.

    Aujourd’hui, beaucoup de policiers se sont réveillés avec la boule au ventre en imaginant un nouveau drame du quotidien qui viendrait frapper à nouveau la famille .

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  • Angoulême : l’agresseur guinéen scolarisé en 3e avait en réalité 25 ans

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    Un clandestin guinéen arrêté par les policiers de la BAC, une nuit de juin 2020, à la suite d’une agression sexuelle dans les rues d’Angoulême sur une jeune fille qui rentrait chez elle, avait affirmé être un mineur isolé, né en 2003. Pour preuve, un an auparavant, il était bien scolarisé en classe de troisième, au collège Marguerite-de-Valois, à Angoulême, relate La Charente libre.

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