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insécurité - Page 497

  • Chronique de la France algérienne

    Chronique de la France algérienne

    A quelques minutes de la finale de la coupe d’Afrique, un homme “de type maghrébin” a roué de coups un enseignant guinéen après l’avoir traité de “sale noir”. A Rouen.

    Mamoudou Barry, enseignant-chercheur guinéen de 31 ans, a été passé à tabac à Canteleu et a succombé à ses blessures. Âgé de 31 ans, marié et père d’une fille de 2 ans, le jeune chercheur aurait d’abord été pointé du doigt par son agresseur, à la hauteur d’un arrêt de bus, alors qu’il rentrait chez lui en voiture avec son épouse :

    ‘Vous les sales noirs, on va vous niquer ce soir’ ».

    Mamoudou Barry est alors descendu de sa voiture pour demander des explications à l’homme qui l’interpellait. Ce dernier l’aurait alors roué de coups. C’est au quatrième coup qu’il est tombé sur la nuque.

    A Paris, les Champs-Elysées ont été envahis :

    Des supporters algériens fêtent la victoire de leur équipe, en France, avec des masques de Ben Laden… :

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  • Supporters algériens en France : Marine Le Pen demande la déchéance de nationalité

    marine.jpgLa présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, s’est à nouveau exprimée au sujet des incidents provoqués par des supporters de l’équipe nationale algérienne en France. Le Pen a demandé que ces « actes barbares » soient punis.
    S’exprimant dans une vidéo publiée sur son compte Twitter, Marine Le Pen, a tenu à souligner « que ce qui se passe en France à l’occasion de ces matchs [de l’Algérie] est profondément choquant et inquiétant ».
    Afin de mettre fin à cette situation, Le Pen suggère « un arrêt immédiat de toute nouvelle immigration et un changement strict de politique ». Pour elle, la France doit expulser « les fauteurs de troubles étrangers. Les binationaux qui se livrent à des actes anti-français doivent être déchus de leurs nationalités et renvoyés ».

  • « Sadic » Khan et les nouveaux égorgeurs de Londres

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    Bernard Plouvier

    Tout le monde le sait, nos paisibles immigrés algériens ont ravagé, ces jours derniers, quelques quartiers de Paris, Lyon, Nantes (entre autres lieux festifs) dans les suites d’une victoire sportive de la République algérienne, où les activités mafieuses sont plus connues que les exploits sportifs.

    On comprend que les « jeunes » aient voulu célébrer l’événement. Ils l’ont fait à leur façon : pillages, incendies de voitures, attaques de commissariats et caillassages des voitures de police et de pompiers, agressions physiques diverses – les femmes violées n’osent même plus porter plainte, d’autant que les « forces de l’ordre » macroniennes ne sont guère intéressées : les grands patrons carriéristes nagent dans le sens du courant de Fringant Jeune Président.

    Eh bien, il en va de même à Londres ! Les journaux qui ne pratiquent pas l’auto-censure sur l’immigration exotique – le Brexit connaîtrait même un regain de ferveur – évoquent la « perte de la maîtrise des rues dans certains quartiers du Grand Londres ». Bref, il y a des zones de non-droit chez Britannia, comme à Marseille, Roubaix, Rouen, Saint-Étienne, Toulouse etc.

    Il faut dire que la Perfide Albion nous avait précédés en matière d’émeute raciale. Lorsque François le Mondialiste (rien à voir avec François II, le Gras) était arrivé à Londres, pour sa première visite officielle, cornaqué par son petit génie Attali, en 1981, il avait assisté à une émeute de Jamaïcains…  il aurait pu tomber sur une émeute de Pakistanais ou d’Ougandais : on vit avec la racaille qu’on importe.   

    Chacun se souvient qu’en mai 2016, un avocat politicien travailliste est devenu Lord-maire de Londres, avec le soutien d’une grosse partie de l’électorat de souche européenne : le mahométan de souche pakistanaise Sadiq Khan, dont la femme s’exhibe voilée dans sa limousine… à quand la burka et le burkini ?

    Or, les chiffres de la criminalité & de la délinquance londoniennes sont tombés en ce beau mois de juillet. En trois années de fonction, l’équipe du maire mahométan a remporté le grand prix du chaos. Les agressions au couteau – certes bien connues dans la ville de Jack, The Ripper, mais sur un mode occasionnel et somme toute artisanal – ont explosé de 52%, dépassant un peu les 108 000 en trois ans. Les cambriolages ont crû de 17% ; c’est une simple peccadille, car les vols avec agression physique ont augmenté de 59%.

    Comme Washington, avant qu’une équipe énergique décide de la nettoyer grâce au sain principe de « la tolérance zéro » (très peu apprécié du crypto-islamiste Barak Hussein Obama, allez savoir pourquoi ?), Londres est devenue capitale du crime et de la violence. Le jeu de mots sur le nom du Lord-maire circule sur toutes les lèvres tuméfiées.

    Encore un effort dans la régression sociale et le Paris macronien rivalisera avec le Londres des nuits sadiques, pour la plus grande joie de la racaille inutilement importée.  

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  • Débordements algériens : le désastre annoncé – Journal du vendredi 19 juillet 2019

     

    Débordements algériens : le désastre annoncé

    Une finale de compétition continentale de football et un chaos annoncé. Après plusieurs rounds d’observations lors des précédentes rencontres, les pouvoirs publics s’avèrent incapables d’empêcher les exactions des supporters algériens sur le sol français.

    FaceApp et Big Data : Le journalisme à deux vitesses

    Alors que des milliers de personnes publient sur le net des photos d’eux vieillies grâce à FaceApp, une application pour smartphones, les medias alertent sur la sécurisation des données. Une mise en garde massive quasi inédite.

    Swimmy, le Airbnb des piscines qui a la cote

    Alors que l’été est propice à baignade, de nombreux particuliers n’hésitent pas à mettre leur piscine privée en location. Parmi ces plateformes, Swimmy, une start-up au succès grandissant.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/debordements-algeriens-le-desastre-annonce-journal-du-vendredi-19-juillet-2019

  • Tu parles d'une fête nationale

    6a00d8341c715453ef0240a46ea9a4200c-320wi.jpgDepuis longtemps, on n'avait assisté au spectacle d'un pays aussi déchiré qu'en ce 14 juillet. Souvent accusé de complaisance avec le pouvoir, Le Figaro faisait ainsi état dès 13 h 34 d'un premier bilan de ce 14 juillet, se basant sur un chiffrage communiqué par l'AFP et la Préfecture de Police : 173 personnes interpellées, notait le journal, en marge du défilé.

    Des heurts ont éclaté, dit le journal, entre les gilets jaunes et les forces de police, sur l'avenue des Champs-Élysées en début de ce dimanche après-midi, peu après la fin du défilé militaire du 14 juillet. 'Heurts entre gilets jaunes et CRS avenue des Champs-Élysées avec des jets de lacrymogènes et des interpellations', a témoigné, peut-on encore lire, notre journaliste sur place, Roman Geyer. D'après lui, un périmètre de sécurité a été établi autour du Fouquet's qui a rouvert ce dimanche, après avoir été saccagé lors d'une manifestation en mars dernier. Les "gilets jaunes" tentent de monter des barricades avec des barrières pour occuper l'avenue des Champs-Élysées, etc.

    Technologiquement très brillant, nous assure-t-on cette année, avec l'apparition des drones et d'un homme volant, tout cela est encore gâché par l'incurie du ministère de l'Intérieur et par l'impopularité du pouvoir.

    Malheureusement on doit donc, en effet, constater que ce qui devait représenter une fête "nationale", et qui est reconnu comme tel dans la Constitution, se traduit à Paris par un affrontement entre Français.

    Quoi qu'on puisse penser de la dérive, et de la récupération, du mouvement des gilets jaunes, que l'on croyait terminé, on ne peut que déplorer le fait que plusieurs centaines de personnes aient été arrêtées après avoir simplement sifflé Emmanuel Macron.

    Les concessions financières et administratives du pouvoir n'ont donc pas suffi à cicatriser entièrement cette plaie. A vrai dire pourtant plus personne ne peut en expliquer ni les raisons ni les objectifs, encore moins les convergences, entre black blocs, frontistes, anarchistes et cégétistes.

    En théorie, lorsque fut votée, par une majorité versaillaise élue en 1871, la fixation de la fête "nationale" au 14 juillet, il s'agissait, prétendait-on alors, de commémorer l'illusoire fête de la Fédération, elle-même premier anniversaire de la prise de la Bastille. Et c'est, au bout du compte, cette dernière émeute que la mémoire retient, y compris aux États-Unis où on parle du Bastille-Day. On pourrait appeler ça aussi le jour où la tête du malheureux gouverneur de Launay fut brandie sur une pique. Le célèbre chef des Marseillais, Jourdan dit Coupe-Tête se vantait de l'exploit. C'est à lui et à ses bandes hideuses, dépenaillées et venimeuses montées à Paris, en fait depuis Avignon, que l'on doit l'adoption du nom de "Marseillaise" donné au chant composé par à Strasbourg par Rouget de l'Isle pour l’armée du Rhin, qu'ils beuglaient à l'été 1792 lors de l'affreuse journée du 10 août.

    Cette année-ci, dans la soirée, au moment même où notre Luxembourgeois préféré Stéphane Bern, lui-même assez clairement orléaniste, faisait rechanter patriotiquement cette Marseillaise au populaire ténor Roberto Alagna, le communautarisme algérien commençait, à Paris ses interminables klaxons. On a pu les entendre dans mon quartier jusque très tard dans la nuit, malgré l'intervention des forces de police si mal dirigées par M. Castaner. À Lyon et à Marseille se sont produits des incidents encore plus graves : véhicules brûlés, feux de poubelles, barricades sur la voie publique, etc.

    On peut légitimement s'interroger, et on devrait le faire sérieusement, avant qu'il soit [vraiment] trop tard, au-delà de l'idée un peu trop indulgente d'une gentille fête qui a mal tourné, sur la signification de cette violence, de ces flambées chaque année plus fréquentes et plus insupportables.

    De bons esprits invoqueront peut-être l'article 23-7 du Code Civil. Qu'on en juge d'après sa rédaction. "Le Français qui se comporte en fait comme le national d'un pays étranger peut, s'il a la nationalité de ce pays, être déclaré, par décret après avis conforme du Conseil d'État, avoir perdu la qualité de Français." Cette rédaction mièvre, d'application quasi impossible, remonte à juillet 1993. Combien des 282 personnes interpellées en cette occasion le dimanche, contre 74 trois jours auparavant, en entendront même la rumeur ?

    Cette fête ne m'a jamais réjoui, je l'avoue. Elle se trouve assortie d'un défilé militaire. Cette invention consolante, supposée reconciliatrice, remonte au "brave" général Boulanger, ministre de la Guerre en 1886. La bravoure la plus significative de l'intéressé consista, quelques années plus tard, en 1891, à se suicider sur la tombe de sa maîtresse.

    Ma réticence fondamentale pour la révolution française[1], et pour l'héritage boulangiste, n'en sort ainsi que renforcée.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    [1] Sur le même sujet : cf. L'Insolent du 17 juillet 2008 "De la révolution, du 14 juillet, du jacobinisme et de l'horreur qu'ils doivent nous inspirer."

    https://www.insolent.fr/2019/07/tu-parles-dune-fete-nationale.html

  • Mandela et l’Afrique du Sud ? Parlons-en !

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    La guerre froide entre deux blocs, OTAN et pacte de Varsovie, avait longtemps gelé toute évolution planétaire : bousculer un crucial sujet stratégique ou géopolitique, c’était risquer le feu nucléaire. Après la chute du mur de Berlin, le dégel finit par faire tomber l’Afrique du Sud de l’apartheid, avec d’autres dominos politiques hérités d’un autre âge.
    Cette inévitable mise à jour déclencha alors une incroyable Mandela-manie. Libre, l’Afrique du Sud (RSA) verrait exploser d’immenses capacités jusqu’alors brimées. Sous la démocratique houlette du sage Mandela, le pays arc-en-ciel deviendrait une grande puissance. Pourquoi pas ?

    Or, vingt-cinq ans après, la RSA va mal : ravageuse insécurité, insolentes inégalités – ses propres experts officiels le clament haut et fort, on le verra plus bas. Mais désormais payés pour vanter la mondialisation heureuse et le mélangisme sans frontières, les médias d’« information » français camouflent ces graves échecs et persistent à vanter un mirage arc-en-ciel – dont les Sud-Africains noirs eux-mêmes se détournent avec dégoût ou colère.

    Cet échec, le voici.

    Les inégalités. CNN (média libéral, citant la bienséante Banque mondiale) accuse : après 25 ans de démocratie, et autant d’années au pouvoir pour le parti de Mandela, l’ANC (African National Congress), l’Afrique du Sud est devenue le pays le plus inégalitaire du monde. Plus inégalitaire, même, qu’en 1994 !

    Arc-en-ciel ou pas, le revenu des ménages riches (Blancs) est dix fois plus élevé que celui des ménages pauvres (Noirs). La fragile classe moyenne – cruciale pour le développement du pays – stagne depuis 2008. Les élites (5 % du haut de la pyramide sociale) restent quasiment blanches.

    La sécurité. Violence, gangs, stupéfiants, le chaos criminel ravage la RSA. Depuis 2015, le taux d’homicide du pays est le cinquième pire du monde (dit l’ONU). 20.300 homicides en 2018, record sur quinze ans, +3.000 victimes sur 2017. Seule baisse réelle : le taux d’élucidation par la police de ces homicides.

    Les provinces et métropoles les plus criminalisées, Gauteng, KwaZulu-Natal, Cape Town, ont les taux d’homicide d’une zone de guerre. Déjà en 2017, le nombre d’homicides augmentait de 7 % sur 2016. Taux d’homicide en RSA : ±36/100.000 habitants. 57 morts violentes par jour en moyenne !

    Comparons : ce taux est-il usuel en Afrique ? La RSA subirait-elle une sorte de fatalité criminelle continentale ? Non, car voici les taux d’homicide d’autres grands pays africains : Nigeria : ±10/100.000, Kenya : ± 6/100.000.

    De fait, juge la BBC, le taux d’homicide de la RSA approche celui de la Somalie (38,4/100.000), pays d’Afrique subissant une longue et sanglante guerre civile.

    Le ravage criminel de la RSA est d’autant plus inacceptable que le problème – très localisé – paraît plutôt aisé à résoudre, selon d’officielles statistiques :
    – 50 % des homicides adviennent sur le ressort de 13 % des 1.144 commissariats du pays, d’usage situés dans les bidonvilles (townships) hors contrôle ;
    – Ces townships sont connus pour leurs extravagants taux d’homicide :
    . le pire de la province du KwaZulu-Natal : 177/100.000 ;
    . le pire de la Eastern Cape province : 215/100.000 ;
    . le pire de la banlieue de Cape Town : 322/100.000 ! (record du monde pour une simple localité).

    Or, durant la lutte anti-apartheid, les townships furent les durables bastions de l’ANC. Paralysés politiquement et aussi fort corrompus, les dirigeants de la RSA ne font donc rien pour juguler cette ravageuse criminalité des bidonvilles.

    De ce fait, l’insécurité qui irradie de ces dangereux foyers criminels touche désormais les parties plus calmes du pays, centres-villes, campagnes.

    Xavier Raufer

    https://www.bvoltaire.fr/mandela-et-lafrique-du-sud-parlons-en/

  • Italie : le scandale “Anges et démons” – Journal du jeudi 18 juillet 2019

     

    Italie : le scandale “Anges et démons”

    C’est un véritable scandale dont les médias ne semblent pas vouloir parler. En Italie, 18 personnes dont des médecins, des travailleurs sociaux et des politiques du Parti Démocrate ont été interpellées. Elles sont soupçonnées d’avoir manipulé des enfants pour les soustraire à leurs parents et les vendre à des familles d’accueil dont certaines les auraient abusés sexuellement.

    Réforme des retraites: travailler plus pour gagner autant

    Après de longs mois de concertation, le haut-commissaire, Jean-Paul Delevoye, a présenté ses propositions pour réformer le système de retraite français. Un sujet épineux qui devrait faire bondir les partenaires sociaux.

    Boissons sucrées : attention danger

    Une étude britannique fait un lien entre cancer et consommation de boissons sucrées. Un petit événement dans le monde de la santé qui jette un voile sombre sur la consommation estivale de sucreries liquides.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/italie-le-scandale-anges-et-demons-journal-du-jeudi-18-juillet-2019

  • I-Média n°259 – Des émeutes algériennes bon enfant ?

     

    01:45 Des émeutes algériennes bon enfant ?

    Selon les médias qui ont couvert les exactions des supporteurs algériens, il s’agissait de simples incidents. Une occultation médiatique évidente.

    15:15 Zapping

    François de Rugy a fini par démissionner après les différentes affaires révélées par Médiapart. Les journalistes n’ont pas manqué de défendre un peu plus l’ancien ministre de l’Ecologie qu’ils ne l’avaient fait à l’époque pour François Fillon.

    22:50 14 juillet. Les Gilets Jaunes embastillés

    Dans l’indifférence médiatique presque totale, plusieurs figures médiatiques des Gilets Jaunes ont été arrêtées préventivement. Un silence inquiétant de la part des journalistes.

    27:44 Tweets

    Au menu de cette semaine, les nombreuses occultations de la part des médias et la persécution de plusieurs figures identitaires à travers l’Europe.

    32:20 Balance ta porte-parole !

    C’était l’information la plus improbable de la semaine : Laurence Sailliet, porte-parole chez Les Républicains a annoncé rejoindre l’équipe de Cyril Hanouna.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n259-des-emeutes-algeriennes-bon-enfant

  • Insécurité : une urgence régalienne

    6a00d8341c715453ef0240a46e3a17200c-320wi.jpgUne exception confirme ces temps-ci la règle. Un récent rapport parlementaire a pu être évoqué dans certains médias, un peu moins mensongers que les autres. Ainsi celui "qui dénonce les conditions de travail des forces de l’ordre"[1]Pour qu'un tel document soit porté à la connaissance du public, c'est qu'il est véritablement très tard. Peut-être même trop tard.

    Il démontre en effet, le peu de cas que l'État, si envahissant par ailleurs, fait de ses véritables missions régaliennes. Le maintien de la sécurité intérieure, mais aussi l'administration de la justice et la défense des frontières sont livrées à une paupérisation accélérée de leurs faibles moyens.

    L'urgence pour la France n'est pas d'agir sur le climat de la Planète, mais de rétablir dans leur fonctionnement les vraies tâches régaliennes délaissées par nos technocrates et autres donneurs de leçons politiquement correctes. Nos gouvernants postulent à la direction de l'Europe, mais ils ne veulent pas que les Français prennent conscience de la saleté des rues de Paris, de l'insécurité grandissante, de la misère de la police et de la magistrature.

    Pendant une longue période de son existence votre chroniqueur a fait partie des [trop rares] citoyens et contribuables lecteurs des rapports et travaux parlementaires.

    Une telle fidélité ne devait rien à l'insomnie, elle tenait à deux activités essentiellement diurnes.

    La première au service de mon ami Christian Poucet et de son CDCA, de 1986 à 1999, m'amenait à suivre de près tout ce qui concernait la sécurité sociale, mais aussi la révolte des classes moyennes[2] et à l'époque la lutte pour un statut des travailleurs indépendants dont l'autoentreprise constituait une première étape.

    La seconde motivation, au moins aussi militante fut embarquée, pendant quelque 20 ans, de 1989 à 2006 dans le projet radiophonique de Jean Ferré. Incompris des sots qui s'en emparèrent après sa mort, survenue en 2006, et, en quelque sorte trahi par cette imposture, il s'agissait de décloisonner les droites, entreprise que s'empressèrent de détricoter ses tristes successeurs[3].

    Dans un cas comme dans l'autre, les rapports officiels, ceux de la cour des Comptes, dont le rôle constitutionnel n'a cessé de se développer depuis 1993, mais aussi les travaux de l'Assemblée nationale, et plus encore ceux du Sénat, permettaient déjà de se faire une idée de la réalité sociale et de l'effondrement économique du pays : représentation tout à fait différente de celles dont la communication gouvernementale n'a cessé d'enfumer l'opinion.

    Cela n'incitait sans doute pas à l'optimisme et la relation avec les rapporteurs était précisément facilitée par le fait que très peu de gens s'intéressaient aux alertes qu'ils lançaient.

    De cette double expérience j'avoue avoir retiré plusieurs leçons.

    Tout d'abord l'absence d'intérêt pour les conclusions des études sérieuses m'a toujours frappé et m'interpelle encore.

    Elle ne tient pas seulement à l'ignorance, à l'inculture et à l'incuriosité des journalistes.

    Elle résulte d'abord de la volonté des dirigeants de l'État de continuer à jeter de la poudre aux yeux de l'opinion afin de ne surtout pas procéder à des décisions jugées douloureuses pour l'idée que se font nos maîtres de droit divin de leur réélection.

    JG Malliaraki

    https://www.insolent.fr/2019/07/insecurite-une-urgence-regalienne.html

  • LES HYENES DE L’ANTI-FRANCE !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Des scènes d’émeutes, il n’y a pas d’autres mots, ont entaché hier soir, notre pays.

    Au prétexte que l’Algérie, - c’est donc leur VRAIE patrie ? -, s’est qualifiée contre la République de Côte d’Ivoire dans la demi-finale de la coupe africaine des nations de football, des masses de « jeunes », entre guillemets, brandissant des drapeaux verts et blancs, frappés du croisant et de l’étoile rouges, se sont rués à Paris sur des magasins, avenue de la Grande Armée et sur les Champs Elysées. Ils les ont pillés allègrement,  telles des hyènes se disputant une carcasse dans la brousse africaine !

    Avenue des Champs Elysées, là où l’armée de la quatrième puissance nucléaire va défiler dimanche 14 juillet, ces hordes au départ festives, se sont muées en vols de sauterelles n’épargnant rien sur leur passage. Tout cela, la veille du lancement d’un sous-marin nucléaire d’attaque de nouvelle génération, à Cherbourg, en présence du président de la république. J’y vois là un signe fort, un symbole du déclassement de notre pays, une terrible régression, l’affichage d’une fausse grandeur, un marqueur de l’incapacité de la France, 1°) à mater des troublions, tout au moins lorsque ceux-ci ne sont pas des "gilets jaunes", car alors, là… 2°) à assimiler des peuples allogènes venus grand nombre apporter leurs bras pour les uns, bénéficier d’avantages sociaux pour les autres.

    Il ne peut y avoir place, sur un même territoire, dans la même sphère juridique, pour deux légitimités, deux allégeances, et c’est valable à mon sens, pour TOUTES les communautés. Une fois de plus, disons-le, on ne peut être de Sparte et d’Athènes, de Florence ou de Rome. Il faut choisir ! En cas contraire, la porte est grande ouverte !

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