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insécurité - Page 499

  • Grand reportage : il y a un an était imposé le 80 km/h… un fiasco et une facture salée !

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    Pour ses lecteurs, Boulevard Voltaire initie une série de reportages approfondis sur les grands sujets d’actualité.

    Le 1er juillet 2018, les premiers panneaux de limitation à 80 commençaient à fleurir sur le bord des routes. Un an plus tard, opération nulle, rétropédalage, retour à la case départ : nombre d’entre eux ont été déboulonnés, remisés et oubliés… Retour sur un fiasco politique, social et financier !

    https://www.bvoltaire.fr/grand-reportage-il-y-a-un-an-etait-impose-le-80-km-h-un-fiasco-et-une-facture-salee/

  • Forte hausse de la délinquance à Paris : les étrangers mis en cause

    Forte hausse de la délinquance à Paris : les étrangers mis en cause

    Les instructions de la nouvelle directrice de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) sont destinées à faire cesser la hausse de la “délinquance d’acquisition” (cambriolages, vols à la tire…). Dans une note diffusée le 17 juin aux chefs de la police parisienne, Valérie Martineau détaille :

    “Les six premiers mois de 2019 révèlent une évolution défavorable de la petite et moyenne délinquance”. “Notre action doit être guidée par un principe simple : obtenir des résultats significatifs.”

    Plusieurs infractions sont particulièrement dans le collimateur des policiers parisiens : les atteintes volontaires à l’intégrité physique, les violences conjugales, les vols violents et les cambriolages. ”

    Tous les indicateurs sont dans le rouge selon un cadre de la préfecture. Selon le Canard Enchaîné, citant les statistiques de la Préfecture de police, les atteintes aux biens ont augmenté de 16,4% sur les cinq premiers mois de l’année, comparées à la même période en 2018. Les atteintes volontaires à l’intégrité physique grimpent de +10,7% dans le même laps de temps.

    Un haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur estime que l’afflux d’étrangers n’y est pas pour rien :

    La proportion d’étrangers mis en cause augmente clairement, notamment dans la délinquance du quotidien, comme les vols à la tire. Beaucoup sont en situation irrégulière dans l’Hexagone.”

    https://www.lesalonbeige.fr/forte-hausse-de-la-delinquance-a-paris-les-etrangers-mis-en-cause/

  • Le bébé cobra est un danger mortel sitôt sorti de l’œuf !

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    Pieter KERSTENS

    Quand Madame Belloubet, Garde des Sceaux, prétend que les adolescents de moins de 13 ans seraient « irresponsables pénalement »,(car effectivement ce sont leurs parents qui sont alors responsables de tous les actes de leurs enfants), soit elle ignore la réalité, soit elle fait preuve d’angélisme ou alors elle considère ses concitoyens comme des imbéciles. S’il est exact que l’enfant jusqu’à 3 ans est incapable de discerner le Bien du Mal, ou le Bon du Mauvais, il ressent quand même la différence entre la douleur et la douceur du bien-être. Mais à partir du plus jeune âge et dès 4-5 ans, les enfants sont réceptifs et capables de distinction, ce qui a conduit certains dirigeants, nombre de responsables et chefs politiques dans le monde, à embrigader et à séparer les enfants de leurs parents, afin de les endoctriner et formater leurs esprits à diverses idéologies, hors de toute morale.

    Notre devoir de mémoire nous impose les souvenirs des « Pfimfe » et « Hitlerjugend » de la Seconde Guerre mondiale et des enfants-soldats africains lors des conflits tribaux pré ou postcoloniaux comme au Kenya avec la révolte des Mau-Mau, au Nigéria en 1968, au Congo ex-Belge ou en Somalie avec les milices Al-Chabab, par exemple. En Extrême-Orient, quand les Khmers Rouges ont envahi Phnom-Penh le 17 avril 1975, toutes les gôches européennes se sont extasiées devant la jeunesse des bataillons communistes, composés de soldats de 10-18 ans qui, par la suite ont démontré leurs capacités meurtrières à éliminer plus de 2 millions de leurs parents, à coups de pelles et de faucilles, sans aucune hésitation, au nom de l’Angkor Vat, réelle dictature sanglante de Pol Pot et de Khieu Samphan. Pas une manifestation, pétition ou condamnation de ces barbaries par les prétendus « démocrates » ou « humanistes » qui, aujourd’hui encore, se posent en donneurs de leçons et injurient les opposants à leurs utopies, chimères et idéologies nauséabondes.

    Lors de mon premier séjour à Damas en 2014, j’ai eu le privilège de regarder une vidéo produite par Daesh dans laquelle une petite fille de 7-8 ans était embrigadée, dans un camp de formation militaire destiné aux enfants, et qui déclarait tranquillement, avec un joli sourire, que son plus beau rêve serait de pouvoir tuer un « croisé » (un infidèle chrétien).

    Alors quand j’entends les adeptes du Droit de l’Hommiste, les Bisounours de la Justice et tous les défenseurs des assassins et meurtriers mineurs nous déclarer que ces enfants sont « irresponsables » et « victimes » de la société qui les avait persécutés ou frustrés, je leur réponds fermement et avec détermination qu’il faut mettre ces crapules hors d’état de nuire, longtemps. En permanence, ils ont eu le choix de leur décision avant de passer aux actes.

    Depuis des décennies, les favelas au Brésil sont des couveuses de haine, des maternelles du crime, des écoles pour délinquants diplômés et constituent des gisements fertiles pour les études des criminologues et juristes du monde entier. Partout sur notre Planète, les conflits aussi ont engendré le recrutement d’adolescents et d’enfants qui deviennent de réels prédateurs irrécupérables, car devenus totalement étrangers aux valeurs de civilisation ou réfractaires à toute forme de discipline, de respect ou de civisme, quelque soient leurs milieux familiaux et origines ethniques.

    Le dernier bilan de la délinquance pour le premier trimestre 2019, publié mi-avril, laisse apparaître une très sérieuse augmentation des crimes et délits (plus de 700 agressions par jour) en hausse de 7% par rapport au 1er trimestre 2018. Idem pour les vols à la tire (41.709 faits soit + 16,4%), les vols à la roulotte (67.562, soit + 4,7%), les menaces et chantages (33.259 soit + 4,9%), les viols (5.739 faits, soit + 19,4%), les cambriolages (94.516 faits, soit + 2,4%) et cela uniquement sur les 3 premiers mois de 2019, et seulement pour les procédures signalées aux parquets, car beaucoup d’affaires ne donnent lieu à aucune plainte ! 

    Selon Alain Bauer, professeur de criminologie au CNAM :

    « La justice peine à s’adapter à l’exigence d’une réponse rapide et efficace sur un certain nombre de difficultés identifiées depuis longtemps, comme le trafic de stupéfiants, source de nombreux phénomènes de délinquance. (…) La France est un cas atypique avec une augmentation rapide de la violence ces dernières années et des vols du fait de bandes extraordinairement professionnelles, prédatrices et venues de l’étranger. »

    Face à l’anarchie qui gagne, que font alors les voyous, les médias dits d’information et que fait le gouvernement ?

    Les voyous jubilent. Les avocats des « grands frères » (les caïds) ont transmis leur diagnostic : le ministre Castaner -modèle Cazeneuve- aboie à la télé mais ses morsures sont légères. Tout va bien, on continue ! Parce que ce gardien de l’Ordre affirme aussi : « la prison est criminogène ! »Applaudissements dans les banlieues…où les multirécidivistes pullulent.

    Et les médias en remettent une couche : c’est mal de politiser les faits divers. Ils édulcorent et minimisent. La sécurité des Français passe au second plan et sous la loi du silence.

    Quant au gouvernement, lui, il récite la même rengaine en vogue depuis des années : « inadmissible…intolérable…insupportable…inacceptable… » et préfère en revenir au réchauffement climatique et aux Gilets Jaunes, graves sujets plus préoccupants. Mais plus grave encore serait qu’à la suite des gilets jaunes, succèdent les gilets pare-balles !

    Pour la mise hors d’état de nuire des délinquants juvéniles, il fut une époque où existaient des structures spécialisées : les maisons de redressement, baptisées les « hauts murs », établissements chargés de la rééducation des jeunes délinquants. Pourquoi les avoir supprimés ? Parce que nos « humanistes » aveuglés par les dogmes des Lumières et pétris par des utopies progressistes nous ont imposé leurs lois liberticides et d règlements interdisant la moindre contestation de leurs erreurs que nos concitoyens payent fort cher et même souvent de leur vie.

    Qu’ils soient Djihadistes, terroristes, criminels ou délinquants, majeurs ou mineurs, hommes ou femmes, européens ou eurasiens, salafistes ou hindouistes, végétariens ou claustrophobes, les coupables doivent subir un juste châtiment, être condamnés et emprisonnés. Pas de pitié pour les sauvageons, la racaille et la crapule qui polluent notre quotidien.

    « La vie pour les innocents. La mort pour les assassins »

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  • Affaire de pédophilie dans le clan Clinton ? – Journal du mercredi 10 juillet 2019

    Nouvelle affaire de pédophilie aux Etats-Unis.
    Le milliardaire, Jeffrey Epstein, a été arrêté pour des accusations de “trafic sexuel” de mineurs.
    Une affaire qui fait ressurgir l’affaire du Pizzagate lors de la dernière campagne présidentielle étasunienne.
    Quand la Coupe d’Afrique des Nations se déroule en France
    Alors que la Coupe d’Afrique des Nations se déroule actuellement en Egypte, la compétition suscite de nombreuses réactions en France dans les communautés d’origine africaines.
    Des réactions de joie qui se transforment comme bien souvent en scènes d’émeutes.
    Ville d’Orange : un monument hommage à la Terreur
    Mardi, le maire d’Orange a inauguré une statue en hommage aux victimes de la Terreur de la révolution française.
    TV Libertés est allé à la rencontre de l’édile vauclusien et de l’artiste à l’origine de l’oeuvre.

    L’actualité en bref

  • Un symbole : la France condamnée… par le terroriste Abdeslam

    Salah Abdeslam est le seul rescapé du commando islamiste qui, le 13 novembre 2015, a tué 131 personnes, et en a blessé 413 autres. Il a obtenu la condamnation de la France par le tribunal administratif de Versailles. Une condamnation certes symbolique. Mais un crachat de plus sur notre pays.

    L’Etat de droit est une bien belle chose, et loin de nous l’idée d’en fustiger le principe, mais certaines circonstances exceptionnelles plaident parfois pour une mise entre parenthèses. La déclaration de guerre de l’Etat islamique, les centaines de victimes, en France, les dizaines de milliers de morts dans le monde, ne correspondaient-ils pas à une telle situation ? Nos politiques nous ont dit que nous étions en guerre. Mais le prestigieux tribunal administratif de Versailles ne l’a pas entendu de cette oreille et, par une décision du 24 mars 2017, a donc donné raison au tueur.

    L’assassin, qui est incarcéré à Fleury-Mérogis, avait attaqué l’Etat sur ses conditions de détention, et il avait gagné la somme symbolique de 500 euros, les juges ayant estimé que la vidéosurveillance installée dans sa cellule reposait sur une loi qui n’était pas encore votée.

    Le plus extraordinaire, dans cette affaire, c’est qu’on ne connaît ce jugement qu’aujourd’hui, à l’occasion de la parution du Journal de Frank Berton (sans lien apparent avec Germaine Berton, la tueuse anarchiste de 1923), l’avocat d’Abdeslam.

    La sentence était tellement incroyable, tellement scandaleuse, tellement susceptible de choquer les Français, voire d’orienter leurs votes, qu’elle est apparemment restée secrète jusqu’à ce que, au détour d’une page de ce livre paru en avril 2019, un journaliste du Figaro découvre cette décision, rendue en mars 2017 mais restée inconnue ! Mars 2017, rappelez-vous : nous sommes alors à un mois exactement du premier tour de la présidentielle. Une telle information, divulguée à cette date, aurait pu orienter, au moins marginalement, le vote des Français. Ce type de décision a en effet le don d’irriter fortement. Alors, quelle est l’hypothèse ? Un manque de curiosité des chroniqueurs judiciaires de la totalité des grands médias ?

    Le silence sent la manipulation d’information

    Le silence fait à l’époque sur cette décision de justice par la classe politico-médiatique sent la manipulation d’information à plein nez. Alors qu’elle était tout entière mobilisée contre une présence de Marine Le Pen au second tour, cette condamnation de la France au profit du pire des tueurs aurait pu faire l’effet d’une bombe. Mais on le voit bien : rendue publique trente mois plus tard, l’information n’est guère commentée que sur un plan technique, juridique, et ne soulève donc pas d’émotion.

    Mais il n’y a pas que la dimension immorale de la condamnation de la France qu’il faut retenir, dans ce dossier. Il y a aussi le fait que la vidéosurveillance a pour but de prévenir toute tentative d’évasion, quand ce risque existe. Ce qui signifie que, dans le cas d’Abdeslam, le risque existait, et qu’à bien comprendre la décision de justice, nous aurions dû prendre ce risque d’une évasion, plutôt que de commettre la « terrible » infraction à l’Etat de droit.

    Notons enfin que de malheureux militants identitaires sont parfois condamnés à payer plusieurs milliers voire plusieurs dizaines de milliers d’euros pour de pacifiques occupations de chantiers de mosquées ou de locaux du PS, tandis qu’on fait droit aux demandes financières d’un assassin de la pire espèce.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 9 juillet 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Paris : une marche des “mutilés gilets jaunes” qui “ne lâcheront rien”

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    400 personnes ont défilé dans le calme dimanche à Paris pour dénoncer les “mutilations policières” et réclamer l’interdiction des lanceurs de balle de défense (LBD) et de certaines grenades lacrymogènes “inutilement dangereux”.…

    https://fr.novopress.info/214704/paris-une-marche-des-mutiles-gilets-jaunes-qui-ne-lacheront-rien/
  • Des policiers en correctionnelle pour violences illégitimes

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    Le procureur de la République de Paris, Rémy Heitz, l’a assuré : certains des policiers mis en cause pour des violences illégitimes à l’occasion des manifestations des gilets jaunes seront jugés. Et le chef du parquet parisien d’ajouter qu’à ce jour, une soixantaine de procédures étaient bouclées.

    Bien entendu, côté policier, ces déclarations ne sont pas passées inaperçues. Et certains syndicats de police sont déjà montés au créneau, dénonçant « la tournure politique » de ces déclarations (Unité SGP Police-FO). Ou encore la volonté de jeter « en patûre sur la place publique » les forces de l’ordre (Alliance police nationale). Rappelons, pour mémoire, que, depuis le 17 novembre 2018, date de la première manifestation des gilets jaunes, près de 2.500 manifestants ont été blessés, dont certains gravement, ainsi que 1.700 membres des forces de l’ordre.

    Rappelons, également, que de nombreux participants à ces manifestations ont fait l’objet de jugements « expéditifs » dans le cadre de procédures en comparution immédiate. Et qu’ils ont été nombreux à se voir condamner à des peines de prison ferme avec, pour certains, des mandats de dépôt délivrés en fin d’audience.

    Jamais le nombre des gardes à vue n’avait été aussi important, ni celui des interpellations en amont des manifestations. La répression mise en œuvre à l’occasion de ce vaste mouvement populaire fut sans doute une première depuis des décennies.

    Dans ce contexte, l’action des forces de l’ordre a parfois été d’une rare violence. Souvent dépassées à cause de stratégies et de décisions tactiques inadaptées – en particulier lors des mouvements de décembre 2018 et janvier 2019 -, elles furent parfois livrées à elles-mêmes et contraintes d’utiliser des moyens disproportionnés aux agressions subies. Ainsi, l’utilisation abusive des LBD (lanceurs de balle de défense) ou de grenades de désencerclement contribua à de nombreuses blessures qui, dans un autre contexte, auraient pu être évitées. Aujourd’hui sonne donc, pour un certain nombre de policiers, l’heure de rendre des comptes. Ils devront expliquer pourquoi, comment et dans quelles circonstances ils ont pu être amenés à faire usage d’une force dont les juges diront, in fine, si oui ou non elle était proportionnée aux circonstances.

    Pour cela, les magistrats devront tenir compte de plusieurs éléments. Tout d’abord, du contexte juridique dans lequel se sont situées les actions. Était-on dans le cadre d’une manifestation devenue un attroupement illégal ? La menace physique qui pesait sur les policiers et les gendarmes était bien réelle et immédiate : les actions mises en place par les forces de l’ordre étaient-elles proportionnées à ces menaces ? Ensuite, les actions individuelles dont il sera question lors de ces procès étaient-elles commandées ou pas par une autorité légitime ? Car une question de fond restera en arrière-plan : l’autorité chargée du maintien de l’ordre, en l’occurrence le ministre de l’Intérieur, a-t-elle bien pris toutes les mesures nécessaires pour éviter les débordements qui ont été observés au fil des mois et des manifestations ? Les ordres qui ont été donnés en ces circonstances étaient-ils adaptés à la réalité du terrain et à la menace qui pesait sur l’ordre public ? Enfin, la hiérarchie policière en charge de la mise en œuvre de ces ordres a-t-elle été à la hauteur des événements ? Toutes ces questions n’exonéreront pas forcément les policiers incriminés, qui restent en toutes circonstances pénalement responsables de leurs actes. Mais elles devront être posées afin d’éclairer le comportement de ceux auxquels il serait trop facile, aujourd’hui, de faire porter un chapeau trop grand pour eux.

    Olivier Damien

    https://www.bvoltaire.fr/des-policiers-en-correctionnelle-pour-violences-illegitimes/

  • «Gilets jaunes» : Nunez n’a «pas de regret» sur la gestion des manifestations et «ne présente pas d’excuse»

    Le secrétaire d’Etat à l’intérieur, Laurent Nunez, a déclaré dimanche 2 juin ne pas «avoir de regret» sur la gestion des manifestations de «gilets jaunes».Il estime que «ce n’est pas parce qu’une main a été arrachée, parce qu’un œil a été éborgné [sic] » qu’il y a eu faute des forces de l’ordre. Il s’exprimait lors de l’émission « Le Grand Jury » sur RTL-LCI-Le Figaro.
    «Nous n’avons pas de regret sur la façon dont nous avons mené l’ordre public et la sécurité publique. C’est une crise inédite depuis cinquante ou soixante ans, personne n’a eu à affronter ce que nous avons eu à affronter avec Christophe Castaner et les choses se sont quand même globalement bien passées en matière d’ordre public. » […]
    «Quand il y a une agression contre des policiers et qu’il y a une riposte proportionnée, oui il peut y avoir des blessés », a estimé Laurent Nunez, «ce n’est pas parce [qu’il y a eu des blessures] que la violence est illégale (…). Je ne présente pas d’excuse, je m’en remets à la justice de mon pays». […]
    Le Monde

  • Afrique du Sud : viols et crimes dans l’indifférence internationale

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    Sous prétexte que les fermiers blancs ont été partie prenante de l’apartheid jusqu’en 1994, les crimes commis contre eux semblent être, pour l’opinion internationale, des crimes mineurs et non dignes d’intérêt. La terre étant aujourd’hui le principal enjeu du panorama politique sud-africain, on saccage les fermes et on tue et viole leurs occupants blancs dans l’indifférence générale du reste du monde, qui pense probablement que la couleur de peau des victimes n’est pas digne d’intérêt.

    La dernière victime en date de ces attaques qui restent, la plupart du temps, impunies à cause de l’état de décomposition de la police sud-africaine est Annette Kennealy, 51 ans, tuée la semaine dernière à coups de marteau dans sa ferme du Limpopo, fief de Julius Malema, l’extrémiste qui avait déclaré, il y a un temps, « Un fermier, une balle… »

    Dans le sud du pays, la Western Province, la région du Cap, qui avait été jusqu’ici plus ou moins préservée de cette violence, quatre fermes ont été attaquées, il y a quelques jours. Dans l’une d’elles, Dolla Engelbrecht, 72 ans, a été violée, tandis qu’un peu plus loin, un fermier a été abattu alors qu’il emmenait sa fille de 17 ans à l’école.

    Devant cet état de choses, la communauté Afrikaner se structure pour faire connaître ce que beaucoup appellent aujourd’hui « un apartheid à l’envers », promouvoir sa culture et lutter pour les droits souvent bafoués de ses membres. C’est ainsi que fut fondée, il y a quelques années, AfriForum, une organisation qui milite non seulement pour ces droits, mais qui intervient aussi légalement à chaque fois que des scandales liés à la corruption éclatent dans ce pays. Parmi ses membres, le célèbre procureur Gerrie Nel, qui avait représenté le ministère public dans la non moins célèbre affaire Oscar Pistorius, accusé d’avoir tué sa petite amie il y a quelques années. Nel a ensuite quitté ses fonctions de procureur pour se mettre au service d’AfriForum.

    Il resterait, aujourd’hui, sur l’ensemble du pays, 42.000 familles fermières, contre 60.000 il y a quinze ans. Beaucoup de ces familles ont émigré en Australie devant la détérioration constante de la sécurité dans les fermes. Ils recréent, là-bas, dans les grands espaces australiens, la même passion fermière qui a fait le succès de l’agriculture sud-africaine (et zimbabwéenne avant Mugabe). Pour ceux qui restent, il s’agira de lutter pied à pied contre le projet d’expropriation que mettra en œuvre le nouveau gouvernement sud-africain.

    Leur but, et celui d’Afriforum : lutter contre cette idée préconçue selon laquelle 80 % des terres leur appartient. La communauté fermière soutient que seulement 50 % de ces terres sont exploités par elle. Les 50 % des terres restants appartiennent, selon eux, en petite partie à des fermiers noirs, mais surtout au gouvernement sud-africain qui devrait les libérer pour que les fermiers noirs les mettent en valeur, comme l’ont fait les fermiers blancs depuis leur arrivée sur cette terre, il y a plusieurs centaines d’années…

    Il y a trois ans eut lieu une première tentative de distribution de fermes volontairement abandonnées par leurs propriétaires, qui furent redécoupées et données à des propriétaires noirs. La grande majorité de ces bénéficiaires s’empressa de les revendre pour empocher le fruit de la vente…

    Jean-Pierre Lenoir

    https://www.bvoltaire.fr/afrique-du-sud-viols-et-crimes-dans-lindifference-internationale/

  • Wikileaks : Julien Assange hospitalisé en prison, “sa santé se détériore”

    Alors que devait se tenir une audience hier jeudi 30 mai, concernant une possible extradition aux États-Unis, Julian Assange n’a pas pu comparaître pour des raisons de santé, ont indiqué ses avocats. L’audience est donc reportée à la semaine du 12 juin.  Le lanceur d’alerte, Julien Assange, vient d’être transféré dans le service hospitalisé de la prison de Belmarsh, au Royaume-Uni, où il est détenu depuis le mois dernier.

    L’information a été donné par l’organisation Wikileaks qui a exprimé sa préoccupation quand à la santé de son fondateur. Dans un communiqué, WikiLeaks a annoncé que l’état de santé de l’accusé « s’était gravement détérioré après ces sept années passées à l’ambassade équatorienne » où il avait été accueilli en tant que réfugié pour échapper à la justice britannique.

    « Au cours des sept semaines passées à Belmarsh, sa santé a continué à se détériorer, il a fortement maigri. La décision des autorités de la prison de le transférer à l’hôpital en dit long », a ajouté WikiLeaks.

    Vendredi dernier, son avocat Per Samuelson avait déclaré que l’Australien dont l’état de santé s’est fortement dégradé, à tel point qu’il était « impossible de mener avec lui une conversation normale ».

    La justice américaine réclame son extradition en vertu des lois anti-espionnage. Il lui est reproché d’avoir mis en danger la sécurité nationale américaine et certaines sources qui ont été révélées par WikiLeaks lors de la publication d’environ 500.000 documents confidentiels et de 250.000 câbles diplomatiques, tous sur les activités de l’armée américaine en Irak et en Afghanistan.

    Julian Assange est emprisonné en Grande-Bretagne après son arrestation le 11 avril. Il a été condamné à 50 semaines de prison le 1er mai pour avoir violé ses conditions de liberté provisoire.

    Pour l’instant aucun gouvernement occidental ne lui propose ce fameux droit d’asile dont les immigrationnistes rêvent pour tous les clandestins !

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/wikileaks-julien-assange-hospitalise-en-prison-sa-sante-se-deteriore/109037/