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insécurité - Page 496

  • Retour sur les violences de "supporteurs" (?) algériens : Robert Ménard pose la bonne question...

    "Ces supporters de l’Algérie sont-ils des Français de cœur ou des Français de CAF ?" 

    17'26 de bon sens, à écouter ici (désolé pour la publicité d'introduction) :

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/07/24/sur-tv-libertes-robert-menard-pose-la-bonne-question-6165993.html#more
  • Procès des assassins des jeunes Scandinaves : vive les juges marocains !

     Passionnées de nature et de randonnées, Louisa Vesterager Jespersen, 24 ans, et Maren Ueland, 28 ans, ont été tuées à l’arme blanche dans leur sommeil.

    Nul n’a pu oublier l’horreur intégrale, inimaginable, engendrée par la découverte, le 17 décembre 2018, au Maroc près du village d’Imlil, base principale pour rejoindre le mont Toubkal, point culminant de l’Atlas, des corps de deux jeunes touristes scandinaves : Louisa Vesterager Jespersen, une étudiante danoise de 24 ans, et son amie Maren Ueland, une Norvégienne de 28 ans.

    Ce matin du 17 décembre 2018, deux randonneurs français faisaient la macabre découverte. Elles avaient été violées, torturées – l’une portait les traces de 23 coups de couteau, l’autre 7 – puis finalement décapitées. Vision insoutenable filmée par un des assassins, qui a circulé sur les réseaux sociaux, ainsi qu’une autre montrant leur allégeance à l’EI (État islamique). La vidéo du meurtre montre un homme en train d’égorger l’une d’entre elles, sa compagne à ses côtés, toutes deux baignant dans une mare de sang ! On n’ose imaginer le calvaire et les souffrances endurées par ces deux jeunes femmes, avant de mourir, la mort devenant alors une délivrance…

    Comment des êtres humains peuvent-ils se comporter de la sorte envers d’autres êtres humains ? Qui plus est, deux si jolies jeunes femmes.

    L’explication réside pour une bonne part dans la lecture du Coran, guide suprême des musulmans qui incite au combat, à la vengeance, à la violence, telle la sourate 4 verset 84 :

    « Combats donc dans le sentier d’Allah, tu n’es responsable que de toi-même, et incite les croyants (au combat). Allah arrêtera certes la violence des mécréants (chrétiens et juifs). Allah est plus redoutable en force et plus sévère en punition ».

    Sans oublier le fait que les garçons sont initiés très jeunes à l’égorgement rituel :

    Peut-on dès lors s’étonner de la violence et de l’absence d’émotion d’individus habitués, j’ai envie de dire encouragés, à faire fi de la souffrance d’autrui ? Cela semble évident. Il est permis de se poser des questions sur la nocivité évidente du Coran sur des esprits faibles, incapables de raisonnement et de sens critique. À l’instar de Mein kampf, le Coran devrait être interdit !

    Il suffit de lire quelques sourates et versets, ou encore les hadiths, pour comprendre que, prétendre l’islam  une religion d’amour, de tolérance et de paix est une vaste foutaise. Cela ne prend plus !

    Les médias ont coutume, à chaque attentat ou presque, pour minimiser les faits, de qualifier les coupables de « déséquilibrés ». Mais à bien y réfléchir, n’y a-t-il pas une part de vérité qu’il faut rechercher dans le Coran ?

    Cela n’est pas dans nos habitudes, mais cette fois il convient de doublement féliciter le gouvernement chérifien pour sa réactivité dans l’arrestation et le jugement des trois bourreaux âgés respectivement de 25, 27 et 33 ans, jugement prononcé le 18 de ce mois : la peine de mort.

    Je vais sans doute recevoir une avalanche de critiques, voire pire, du « camp du Bien » mais par avance je précise que je m’en moque et que, oui, je suis pour la peine de mort dans certains cas, et bien évidemment dans celui-ci. Ils mériteraient la même mort que celle qu’ils ont donnée.

    Encore une fois bravo à la justice marocaine. Nos magistrats feraient bien de s’en inspirer. Les Français sont exaspérés d’avoir une justice qui n’en est plus une. Une justice qui marche « sur la tête ». À force, elle finira bien par se casser la figure !!

    Oriana Garibaldi

    https://ripostelaique.com/proces-des-assassins-des-jeunes-scandinaves-vive-les-juges-marocains.html

  • Suicides dans la police : ne serait-il pas temps que syndicats et administrations se mettent d’accord ?

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    À l’instar de l’année 1996, au cours de laquelle pas moins de 70 suicides de policiers avaient été dénombrés, l’année 2019 risque fort de compter parmi les plus sombres. Avec les nouveaux suicides, ces derniers jours, de deux policiers, l’un dans le Pas-de-Calais et l’autre dans le Gard, ce sont désormais pas moins de 41 fonctionnaires de police qui ont mis fin à leurs jours depuis le 1erjanvier. Et, une nouvelle fois, syndicats et ministère de l’Intérieur se renvoient la balle quant aux raisons qui présideraient à ce phénomène au sein de l’institution policière.

    D’après les statistiques disponibles, 30 à 50 policiers se suicident chaque année en France. Ces chiffres, qui ne représentent que des moyennes, attestent de ce que les autolyses qui touchent cette corporation sont de près de 40 % supérieures à la moyenne nationale. Pourtant, si cette situation est connue depuis longtemps par les différents partenaires concernés, l’administration rechigne toujours à faire la lumière sur ces faits largement préoccupants.

    Même si les conclusions, déjà anciennes, du sociologue Émile Durkheim relatives aux modalités du passage à l’acte lors du suicide ont pu être en partie remises en cause, il reste établi que le phénomène n’a rien d’univoque. En effet, dans son ouvrage consacré au suicide publié en 1897, le père de la sociologie moderne avait déjà émis un certain nombre d’hypothèses accréditant l’idée que si le suicide était bien un fait social, c’est-à-dire inhérent aux sociétés humaines, il pouvait s’expliquer de multiples manières. De ce fait, et malgré quelques nuances spécifiques à chaque cas d’espèce, se suicider devenait non pas une fatalité mais l’aboutissement d’un processus éminemment personnel. A priori, le suicide des policiers n’échappe pas à cette règle. Et les facteurs susceptibles d’y conduire sont faciles à identifier dès lors que l’on admet qu’ils sont le plus souvent à la fois personnels, c’est-à-dire qu’ils s’inscrivent dans une histoire de vie, mais également qu’ils sont corrélés par un vécu professionnel hors normes.

    Ainsi, le message porté par les syndicats de police, même s’il est en partie réel et vérifiable, ne saurait expliquer à lui seul le passage à l’acte suicidaire. De la même manière, celui défendu par l’administration policière selon lequel le suicide serait une affaire exclusivement personnelle ne résiste pas plus à l’analyse. Mais à travers ces positionnements de principe, il est facile de déterminer les enjeux de chacun. Les premiers sont tentés de se servir du phénomène comme d’un levier qui permettrait d’obtenir des avancées corporatistes. La seconde espérant, quant à elle, qu’une éventuelle enquête approfondie sur ce sujet remettra en question un mode de management interne largement dépassé.

    Pourtant, dans l’intérêt des policiers eux-mêmes, syndicats et administration auraient toutes les raisons de s’entendre pour faire la lumière sur ce qui s’apparente maintenant à une véritable hécatombe. Seule une enquête épidémiologique sérieuse et indépendante pourra déterminer les véritables causes qui conduisent de plus en plus de policiers (mais aussi un certain nombre de gendarmes) à mettre fin à leur vie dans des conditions dramatiques. Une telle procédure permettrait de trouver les solutions qui s’imposent en termes d’organisation du temps de travail, de reconnaissance, de conditions d’exercice du métier de policier et de mesures sociales aujourd’hui indispensables. Mais cela nécessite une réelle volonté de transparence de la part du ministre de l’Intérieur, dont les actes posés jusqu’à maintenant pour lutter contre le suicide dans la police sont encore bien insuffisants.

    Olivier Damien

    https://www.bvoltaire.fr/suicides-dans-la-police-ne-serait-il-pas-temps-que-syndicats-et-administrations-se-mettent-daccord/

  • LA GUERRE D’ALGERIE N’EST PAS FINIE !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    « Jamais deux sans trois », nous apprend un dicton. Par trois fois, au prétexte que l’Algérie s’est qualifiée aux éliminatoires et à la finale de la coupe africaine des nations, une partie de la jeunesse algérienne, pardon «…française », s’est déversée dans les rues de nos principales villes pour clamer sa joie et, accessoirement pour certains, commettre vols et déprédations, ainsi qu’ attaquer les forces de l’ordre. Ces dernière, il faut bien le constater, ont réagi bien plus mollement que contre les « Gilets jaunes » : point de flash ball ni de matraquages, seulement des gaz lacrymogènes lancés contre les émeutiers. Le pouvoir, qui est tétanisé lorsqu’il s’agit de l’Algérie, avait-il donné des ordres de « modération » à ses « prétoriens 

    Des stigmates non effacés

    Depuis l’indépendance de l’Algérie en juillet 1962, les stigmates de la guerre qui nous a été imposée à partir de la Toussaint 1954, sont toujours aussi « saignants » si je puis dire.

    En effet, la Guerre d’Algérie n’est pas finie. D’un côté, on continue de stigmatiser l’oeuvre coloniale française, - et le Président Macron, lorsqu’il était candidat, rappelez-vous, était à la manœuvre en dénonçant depuis Alger, les prétendus « crimes contre l’humanité » commis par notre pays -, de l’autre le FLN, qui  n’a jamais reconnu les massacres des harkis, les assassinats et les enlèvements de Pieds noirs. (Notamment à Oran, le jour même de la proclamation de l’indépendance).

    S’il n’est pas question dans cette chronique de revenir sur la pseudo indépendance d’El Djézaïr, - mal gouvernée, elle crève sous sa manne pétrolière qui va en s’épuisant, tout le monde le sait -, mais de dénoncer les collabos qui polluent nos médias et qui peuplent les allées du pouvoir politique et médiatique français. L’occasion nous en est donnée par les scandaleuses manifestations de ces maghrébins d’origine algérienne, notamment dans les rues de Paris, symboliquement le 14 juillet au soir. Que je sache, les Sénégalais, qualifiés eux aussi pour la finale gagnée par les Fennecs, ne sont pas descendus sur la voie publique pour crier leur joie et en profiter, au passage, pour démontrer sinon leur haine, tout au moins leur hostilité au pays qui les abrite, les éduque et les nourri !

    Car, redisons-le, en raison de lois iniques, tous les maghrébins d’origine algérienne, de quelque générations qu’ils soient, sont considérés comme étant « français », - entre guillemets pour moi -, en raison du lieu de leur naissance, c’est-à-dire la France. (Utilisons une amusante métaphore champêtre : comme si un lapin, né dans un poulailler, allait pondre des œufs frais !). C’est l’infect jus solis, le droit du sol qu’il faudrait supprimer et remplacer par le jus sanguinis, le droit du sang : « être Français, cela s’hérite ou se mérite » ! Car tous ces pseudos Français descendant dans la rue, couverts de drapeaux algériens ou le brandissant, n’expriment rien d’autre que leur amour pour une équipe qui est réellement la leur, pas le onze tricolore.

    « Français » quand ça les arrange ?

    Après tout, pourquoi pas ? Mais alors, dans ces conditions, pourquoi sont-ils « Français » ? Pour les avantages que pourraient procurer, à l’étranger, la possession d’un passeport de notre belle république, pour la soupe, les aides sociales diverses et variées ? Comme le disait en toute franchise et sans animosité un supporter Marseillais des Fennecs interrogé sur une chaine d’infos en continu, je cite de mémoire, « ce drapeau est historique, on l’a dans le cœur ! ». Dans ces conditions, pourquoi ces messieurs-dames ne quittent-ils pas ce pays, la France, la Gaule, qui n’est pas le leur ? Pourquoi ne renoncent-ils pas à cette nationalité dont ils vomissent le pays, la distribuant entre parenthèses, TROP généreusement ? Et il se trouve des parlementaires, notamment la sénatrice Esther Ben Bassa par exemple, du groupe écolo, pour stigmatiser à la télévision les défenseurs d’une France française, comme sa collègue de Marseille, socialiste, d’origine maghrébine dont j’ai oublié le nom, ainsi qu’un anonyme député LREM du Val de Marne, qui s’indignait que l’on puisse stigmatiser ces supporters. Eh bien oui, n’est-ce pas, quoi de plus naturel, de plus normal, que des « Français » supportent, parfois dans la violence et même dans l’homicide,* la victoire d’une équipe étrangère ? Combien de pseudos journalistes se sont engouffrés dans cette brèche, en s’indignant que des Français « de souche », comme on dit, et pas uniquement membres d’ailleurs du Rassemblement national, puissent trouver anormal que des « compatriotes », parait-il, soutiennent des footeux étrangers ?

    Un pouvoir normal se poserait la question de la double allégeance et de la double nationalité. J’ai déjà eu l’occasion de citer cet exemple : ma cousine qui s’est mariée il y a plus de 50 ans avec un Italien, pouvait à la fois voter pour Sarkozy, et pour Berlusconi, - nul n’est parfait -, c’était son choix. Elle vient ENFIN, de renoncer à sa nationalité française et, désormais, ne voter qu’en Italie… (Pour Salvini j’espère !). Les Franco-algériens sont les seuls, les seuls supporters à descendre dans la rue et à manifester, surtout bruyamment, violemment, agressivement, la victoire de ceux qui sont, en fin de compte, comme le disait le  « jeune » marseillais interrogé sur C-News ou LCi, je ne sais plus, « du même sang ! ». C’est lui qui utilisait cette formule très « racialiste ». Il serait temps que l’on considère, une bonne fois pour toutes, que la guerre d’Algérie n’est pas terminée, qu’elle se poursuit sur notre sol sous d’autres formes.

    « Vérité et réconciliation » ?

    Tant qu’une commission mixte d’historiens objectifs, - dur, dur de les trouver -, ne sera pas mise sur pied officiellement et conjointement pour explorer toutes les zones, - ombres et lumières confondues -, de l’histoire franco-algérienne, dans un esprit type « vérité et réconciliation » à la sauce «  Mandela », rien de serein ne sera possible dans les relations, d’une part entre Français de souche et immigrés algéro-descendants et, d’autre part, entre les républiques française et algérienne. Pour ma modeste part, et je ne suis pas un « Pied noir », je considère que le fossé est toujours trop profond entre nos deux pays pour qu’une relation normale et apaisée puisse s’établir entre Paris et Alger, comme c’est peut-être le cas entre Paris et Rabat, Paris et Tunis. Tout le reste n’est que littérature. Il y a certes, nos intérêts économiques et géostratégiques bien compris qui comptent, - et Alger est un partenaire incontournable -, mais nous ne pouvons pas, PLUS, passer par pertes et profits toutes les humiliations, toutes les avanies que nous subissons de la part de ces gens-là.

    Qu’ils balayent d’abord devant leur porte ! A mon sens, c’est à ces conditions-là que nous pourrions avoir des relations diplomatiques très amicales, à défaut d’être jamais fraternelles.

    *A l’heure où ces lignes sont écrites, il semblerait qu’un universitaire guinéen, considéré par méprise comme étant un supporter sénégalais, ait été brutalement « effacé » du monde des vivants ! (Sources : chaines d’infos en continu).

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Des péages sur les routes nationales : une (mauvaise) idée qui fait son chemin

    Des députés LREM militent pour que des tronçons de nationale soient concédés aux groupes autoroutiers. Oubliant que le privé n’a pas fait la preuve de son efficacité. Par Éric Vernier et L’Hocine Houanti* (The Conversation)

    Les vacances approchent et vous vous apprêtez, comme de nombreux Français, à prendre la route. Et, qui sait, peut-être allez-vous vous-même emprunter les nationales pour éviter le coût trop élevé des péages ? Sauf que votre tactique risque de devenir inutile dans les mois à venir. En effet, les nationales pourraient bien être à leur tour privatisées.

    Ainsi d’après La Lettre A du 5 juin 2019, « des amendements au texte de loi d’orientation des mobilités, actuellement examiné à l’Assemblée nationale, vont autoriser l’État à faire entrer des dizaines de kilomètres de routes nationales dans le régime concessif, à la grande satisfaction des groupes autoroutiers ».

    Une idée fait donc son chemin depuis au moins 2015, portée par les sociétés d’autoroutes et reprise depuis par des députés LREM et le gouvernement : privatiser les routes nationales et installer des péages. Ce projet est notamment relayé dans les médias et au niveau politique par l’Institut européen de recherche militant pour la liberté économique et la concurrence fiscale (Iref), un think tank français. Or, plusieurs écueils apparaissent, mettant en avant des contradictions inhérentes à la construction sociale même de la France.

    L’usager-payeur, un principe absurde

    Deux théories principales sont mobilisées pour analyser la privatisation : les théories néo-institutionnelles des organisations et l’économie institutionnelle de la réglementation. Elles développent un argumentaire en faveur des privatisations construites sur deux idées complémentaires : la gouvernance classique notamment par le contrôle par le marché des capitaux ou encore la menace de liquidationqui fait défaut aux entreprises publiques. Dans le même sens, la théorie de l’agence stipule que l’actionnariat privé dispose de plus d’outils de contrôle de la gouvernance que l’actionnariat public qui n’est pas engagé financièrement.

    C’est oublier que l’efficacité des politiques de privatisation reste mitigée. Certes, certains auteurs ont démontré une amélioration de la performance des entreprises à la suite de leur privatisation comme au Mexique ou sur l’emploi. Cependant, des chercheurs, comme Joel T. Harper qui a travaillé sur des entreprises tchèques en 2001, ont pu conclure que l’amélioration des résultats est plus expliquée par le secteur d’activité et le degré de concurrence que le changement du statut de l’entreprise. L’expérience des pays africains, notamment avec les fameux plans d’ajustement structurel, est très parlante. Les conséquences socio-économiques sont importantes et se traduisent par des fermetures d’entreprises et des licenciements massifs mettant des familles entières sans revenu de survie. Dans le cas algérien, entre 1994 et 1998, 1 010 entreprises publiques ont dû fermer et plus de 500 000 emplois ont été supprimés.

    Dans nombre de ces pays africains, le secteur privé compétitif n’a pas pu émerger à cause notamment des spécificités sociopolitiques lourdes : bureaucratie, corruption généralisée, monopole de la « mafia » politico-financière sur les secteurs stratégiques, prédominance du marché parallèle. Certains pays africains ont même fait un retour vers les nationalisations dans les grands services publics comme l’eau, l’électricité, les télécommunications ou encore les chemins de fer ou la sidérurgie (Tanzanie, Namibie…) Sur un autre continent, la privatisation de l’électricité au Chili a entraîné des coupures d’approvisionnement pendant plusieurs mois, ce qui a affecté les entreprises elles-mêmes. En Grande-Bretagne, la privatisation de l’électricité a été accompagnée d’une hausse en quatre ans de 20 % des factures en défaveur des consommateurs.

    Les raisons, au-delà de la recherche de la rentabilité optimale pour financer les dividendes des actionnaires, se trouvent dans la philosophie même des entreprises privées qui gèrent les biens et services publics comme des biens privés. L’autre problème posé par la privatisation concerne les salariés. Ces derniers sont perçus comme un simple facteur de production qu’il faut payer le moins cher possible et qui demeure facilement licenciable et flexible à tous les niveaux.

    Le lien entre, d’une part, privatisation des routes et, d’autre part, efficacité et rentabilité n’est donc pas si clair.

    Les autoroutes, sources de disputes

    Les profits des sociétés d’autoroute sont très élevés, autour de 17 % du chiffre d’affaires, un rendement exceptionnel. Et ces bénéfices ne cessent d’augmenter : 20 % en dix ans. Cette augmentation sera encore plus importante sous l’effet du rattrapage accordé par l’État entre 2019 à 2023 à la suite du gel des tarifs décidé en 2015 par Ségolène Royal, ministre de l’Écologie et signé par Emmanuel Macron, ministre de l’Économie.

    Cette manne financière ne présage pourtant pas en contrepartie d’un bon entretien des réseaux, à l’exemple du reste du continent. L’Europe dispose de 80 000 kilomètres d’autoroutes, dont une minorité est privatisée : l’Italie, l’Espagne, la Grèce, le Portugal et partiellement la Croatie. Les résultats sont plus qu’édifiants. En Italie, le réseau est vieillissant et manque cruellement d’investissement et d’entretien. En quatre ans, une dizaine de ponts, dont celui de Gênes, se sont écroulés dans le pays.

    Les Portugais se détournent des autoroutes considérées trop chères et inaccessibles.

    D’autres pays européens disposent d’autoroutes gratuites à l’exemple de l’Allemagne. Dans ce modèle, c’est l’impôt acquitté par l’ensemble des citoyens qui assume indirectement les coûts des autoroutes.

    « UN OPÉRATEUR PRIVÉ QUI OPTERAIT POUR UNE TARIFICATION OPTIMALE EST CONDAMNÉ À LA FAILLITE »

    La théorie des parties prenantes intègre la notion d’externalités (retombées positives ou négatives d’une action). Or, la libre circulation gratuite dégage de nombreuses externalités positives qu’il ne faut pas négliger : bien-être des personnes favorable à la productivité, élargissement du bassin d’emploi permettant de trouver la bonne personne pour le bon poste, élévation du niveau de connaissances…

    L’enjeu économique primordial des privatisations, du point de vue de l’intérêt général, est l’efficience dans la gestion des actifs en assurant leur transfert du secteur public marchand vers la sphère privée. Or, la justification d’un interventionnisme de l’État dans la sphère économique et industrielle, voire la propriété publique d’entreprise, trouve son essence dans les défaillances du marché déjà démontrées notamment en 1929 et en 2007. Certaines situations, comme les monopoles naturels (activités à coûts fixes importants à l’exemple du rail, de l’électricité, des routes…), sont autant de scénarios qui favorisent le rôle économique des États.

    Les coûts fixes importants et l’accumulation des différentes charges (entretien des rails et des routes, par exemple) font qu’un opérateur privé qui opterait pour une tarification optimale est condamné à la faillite. L’équation est très simple pour l’opérateur privé : soit il fixe lui-même ses prix au détriment du bien-être collectif, soit il sera dans l’incapacité de couvrir ses frais.

    Ce constat ne justifie pourtant pas toutes les nationalisations notamment celles d’entreprises qui opèrent dans des marchés concurrentiels. C’est la somme des intérêts contradictoires de toutes ces parties prenantes qui doit être mesurée pour une véritable évaluation de l’efficacité des politiques de privatisation. Et le modèle français a toujours porté l’attention sur cet équilibre entre toutes les parties.

    Un concept incohérent

    Cependant, le « paiement à l’usage » généralisé mettrait fin au contrat social pour un unique contrat : le contrat marchand. Dans une période socialement et économiquement difficile, notamment avec le mouvement des Gilets jaunes qui est né du sentiment d’injustice fiscale et de l’excès du coût des trajets en voiture, vouloir faire payer encore plus le trajet domicile-travail relève de la provocation.

    Nous voyons ici l’incohérence d’un tel concept. Car la privatisation des routes amènerait irrémédiablement l’État à devoir subventionner ces trajets pour alléger le budget des Français les plus modestes. Une nouvelle usine à gaz, plus coûteuse que le bénéfice de la privatisation, serait créée et enrichirait un peu plus les sociétés d’autoroutes par une compensation payée par le contribuable. Nous tomberions une fois de plus dans le principe de la socialisation des pertes et de la privatisation des profits. Apparaît donc la question de la compatibilité républicaine et de l’acceptabilité citoyenne du prix. Et, au-delà, celle d’un monde où tout deviendrait marchand.

    *Éric Vernier est directeur de la chaire commerce, échanges & risques internationaux — ISCID-CO, université du Littoral-Côte-d’Opale, Chercheur au LEM (UMR 9221), université de Lille ; L’Hocine Houanti est professeur d’économie, Excelia Group — UGEI.

    Source : Le point

    https://www.patriote.info/actualite/economie/des-peages-sur-les-routes-nationales-une-mauvaise-idee-qui-fait-son-chemin/

  • Le bras de fer se poursuit entre les États-Unis et l’Iran

    Le bras de fer se poursuit entre les États-Unis et l’Iran

    D’Antoine de Lacoste sur Boulevard Voltaire :

    Chaque jour, la tension monte entre Washington et Téhéran. Après le drone américain abattu par les Gardiens de la révolution iraniens (on ne sait, d’ailleurs, toujours pas avec certitude si ce drone était ou non dans les eaux iraniennes), c’est maintenant un drone iranien qui a été détruit. C’est, en tout cas, ce qu’affirme Donald Trump. Les Iraniens démentent, mais selon Le Figaro, une source militaire française confirme la version américaine. Quelques jours auparavant, la marine iranienne avait arraisonné un pétrolier « étranger » qui se livrait à de la « contrebande de pétrole ».

    Au-delà de cette pittoresque bataille de drones et de pétroliers, on peut se demander jusqu’où ira ce bras de fer entre les deux ennemis – car il faut bien les appeler ainsi.

    Les Américains tentent de créer une coalition internationale qui enverrait des navires de guerre dans le détroit d’Ormuz afin d’escorter les pétroliers. Plusieurs « tankers » ont, en effet, été arraisonnés ou endommagés par des attaques à l’origine incertaine, et Trump voudrait saisir cette occasion pour sensibiliser les Européens à la sécurité de l’approvisionnement du pétrole.

    C’est peu de dire que ces derniers ne saluent pas cette idée avec beaucoup d’enthousiasme. Même les Anglais, fidèles valets de Washington en maintes occasions, ont manifesté une réticence immédiate. Certes, ils viennent d’arraisonner un pétrolier iranien près de Gibraltar et de faire prisonnier son capitaine, mais de là à envoyer sa flotte dans le détroit d’Ormuz face à l’Iran ! La France n’est pas, non plus, enthousiaste et l’Allemagne n’existe pas militairement.

    L’idée des Européens est toujours la même : sauver l’accord nucléaire signé après tant d’effort. C’est louable, mais on ne voit pas bien ce qui pourrait faire revenir Donald Trump sur sa décision de dénoncer cet accord en 2018. Ils ont également manifesté leur désaccord sur l’alourdissement des sanctions américaines. Elles provoquent le marasme économique dont toute la population iranienne souffre, renforcent le clan des durs et affaiblissent le président Rohani, artisan de l’accord nucléaire et dangereusement fragilisé aujourd’hui.

    Les Européens ont également eu l’idée, intéressante, de contourner ces sanctions en créant un système de troc qui permettraient aux entreprises européennes de ne pas faire de transactions en dollars et d’éviter, ainsi, des amendes astronomiques. Ils ont malheureusement été incapables de mettre en œuvre cet outil qui n’est qu’une coquille vide. Alors, à quoi sert l’Europe ? Cette question cent fois posée reste toujours d’actualité…

    Trump ne parvient pas, non plus, à convaincre ses alliés locaux (hormis Israël et l’Arabie saoudite). Les Émirats arabes unis, par exemple, en première ligne face à l’Iran, n’ont aucune envie d’expérimenter la fiabilité des missiles iraniens.

    Coincé entre sa rhétorique anti-iranienne et les volontés bellicistes de Bolton et Pompeo, ses deux principaux conseillers, Trump est aujourd’hui dans une impasse diplomatique. Mais Téhéran aussi : le peuple iranien en a assez des restrictions et de l’absence de liberté, en particulier les femmes. Le mouvement « Sans le voile » s’étend et inquiète les mollahs qui durcissent la répression.

    Les diplomates ne sont plus écoutés et, en l’état actuel des contraintes de chacun, ni Téhéran ni Washington n’ont intérêt à calmer le jeu. Dans ce contexte, tout dérapage peut provoquer la guerre.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-bras-de-fer-se-poursuit-entre-les-etats-unis-et-liran/

  • Simon Roche (Suidlanders) : « Nous nous attendons à une guerre civile en Afrique du Sud » [Interview]

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    Une guerre civile est-elle à venir en Afrique du Sud ? 
    C’est en tout cas ce que pensent de nombreux blancs, de plus en plus victimes d’une politique raciale folle menée contre eux par le gouvernement de la nation « arc-en-ciel ». 
    Première cible des autorités noires ? 
    Les fermiers blancs.

    Il y a deux ans déjà, nous avions interrogé Suidlanders, ONG de protection des blancs en Afrique du Sud, qui entend sensibiliser, notamment dans le monde blanc, sur le risque de génocide des blancs dans le pays de Nelson Mandela
    Simon Roche, représentant de l’organisation, mène actuellement en cette année 2019 une nouvelle tournée, aux USA puis bientôt en Europe, pour faire connaitre son organisation et les menaces qui pèsent sur les blancs en Afrique du Sud, dans l’indifférence générale en Europe, dont les autorités semblent avoir sombré, sur cette question comme sur d’autres, dans un aveuglement, volontaire, idéologique, au choix…

    Un entretien qui fait froid dans le dos concernant la situation en Afrique du Sud, et qui confirme les conclusions de l’excellent reportage, Farmlands, réalisé par Lauren Southern à ce sujet.
     


    Breizh-info.com : Que représente votre organisation désormais en Afrique du Sud ? 
    Simon Roche (Suidlanders) : Je représente Suidlanders — suidlanders.org — qui est une organisation de protection civile constituée en vertu des dispositions des Protocoles additionnels de 1977 aux Conventions de Genève de 1949 qui prévoient expressément que les groupes ethniques identifiables doivent se préparer à agir pour protéger le bien-être des civils en cas de conflit armé qui menace ces civils. 
    Comme vous l’imaginez probablement vous-même, nous nous attendons à une guerre civile en Afrique du Sud.
    Une guerre civile qui, inévitablement, se déroulera notamment via des critères ethniques, raciaux.
    Breizh-info.com : Nous sommes en juillet 2019. Quelle est la situation actuelle en Afrique du Sud ?
    Simon Roche (Suidlanders) : La situation en Afrique du Sud n’est pas bonne et elle s’aggrave. Notre fournisseur national d’électricité est en faillite, ce qui a entraîné de longues pannes de courant au cours des dernières années. 
    Les 44 stations de pompage d’eau qui fournissent de l’eau à la province de Gauteng  (12 % du PIB de l’Afrique) sont toutes détruites.
    Il y a exactement dix ans, notre monnaie valait 1/6 d’un dollar des États-Unis ; aujourd’hui, elle vaut 1/15e. 
    La valeur de TOUTES les terres agricoles du pays a chuté de 32 % (ce chiffre a été vérifié par notre parlement) en seulement 5,5 mois après que le président ait annoncé que le gouvernement allait commencer à exproprier les propriétés des Blancs sans compensation.
    Qu’il s’agisse d’éducation, de santé, d’administration gouvernementale, de logement, d’assainissement, etc., il en va de même.
    Breizh-info.com :  Il semblerait que les meurtres et les viols augmentent, contre les blancs dans votre pays, est-ce vrai ?
    Simon Roche (Suidlanders) : Oui, c’est vrai, surtout les attaques sur les fermes parce qu’elles sont éloignées et vulnérables. 
    Il y a eu une recrudescence soudaine des attaques et des meurtres dans les exploitations agricoles depuis le lendemain de nos élections nationales du 8 mai de cette année. 
    Mais la situation était mauvaise bien avant. 
    Et cela même si le gouvernement refuse de publier des statistiques sur les meurtres de fermiers.
    Selon l’Institut d’études de sécurité, le taux est de 145 meurtres pour 100 000 fermiers. 
    Afriforum, une organisation d’activistes et de lobbyistes, dit qu’il y en a environ 130 pour 100 000. Le Dr Gregory Stanton de World Genocide Watch affirme qu’il s’agit de 120 pour 100 000. 
    À titre de comparaison, le taux d’assassinats en France est de 1,35 pour 100 000 ; et le taux national d’assassinats en Afrique du Sud est de 35,9.
    Je ne suis pas un fermier, mais on m’a déjà tiré deux fois dessus. 
    Il y a quelques années, mon père a été contraint de s’agenouiller, prêt à être exécuté à l’occasion d’un vol de voiture, mais le pistolet s’est enrayé et les agresseurs sont montés dans sa voiture et sont partis, Dieu merci. En 2013, mon fils de douze ans a été violemment agressé alors qu’il rentrait de l’école ; la mère de mes enfants a été victime d’une double effraction et sa voiture a été dérobée deux fois. Tout cela uniquement dans ma famille proche. 
    Pouvez-vous imaginer cela ?
    Breizh-info.com :  En Europe, beaucoup de gens et de politiciens disent que les Blancs en Afrique du Sud ne sont pas légitimes dans ce pays et qu’ils doivent être punis pour l’apartheid. Que pensez-vous de ça ?
    Simon Roche (Suidlanders) : C’est peut-être vrai, mais dans ce cas, le peuple zoulou doit aussi être puni pour le génocide presque complet des Bushmen (San) dans les montagnes du Drakensberg (même à ce jour, tous les plus beaux exemples d’art rupestre Bushmen se trouvent dans les montagnes du Drakensberg, mais il n’y a plus de Bushmen). 
    N’oubliez pas non plus que la première rencontre entre les Bantous noirs (je ne parle pas du peuple autochtone San & Khoi) et les Blancs a eu lieu à la fin de 1777 — exactement 125,5 ans après l’arrivée des Blancs en Afrique du Sud, car les Noirs n’avaient jamais réussi à traverser la rivière Great Fish.
    Par conséquent, au moins 40 % de l’Afrique du Sud n’appartient pas légitimement au peuple noir (encore une fois, je ne parle pas du peuple autochtone)
    Les gens devraient également garder à l’esprit que l’Afrique du Sud était un pays très peu peu peuplé avec une population totale d’environ 2 000 000 d’habitants au milieu des années 1800 (toutes ces statistiques sont faciles à vérifier) et les rois noirs étaient donc très heureux de vendre leurs terres aux blancs. 
    C’est un fait, et peu importe si cela gène les politiciens de l’hémisphère nord occidental.
     
    Breizh-info.com : À nouveau, vous venez en Europe pour quelques mois présenter votre organisation et votre combat. Pourquoi ?
    Simon Roche (Suidlanders) : Nous voulons sensibiliser l’opinion à ce qui se passe réellement en Afrique du Sud afin de contourner la censure médiatique autour du mensonge qui entoure la « Nouvelle nation arc-en-ciel d’Afrique du Sud »
    D’une manière générale, nous pensons que la rhétorique des dirigeants noirs concernant une possible guerre civile et un génocide des Blancs doit être prise très au sérieux. 
    Les Afro-Africains noirs ne font pas de menaces en l’air, cela ne fait pas partie de leur schéma mental.
    Par conséquent, il est important que les blancs originaires d’Europe, c’est-à-dire les principales cibles des assassinats, et principales victimes de l’expropriation des terres et de la politique de discrimination positives, et ainsi de suite, s’unissent pour se protéger et envisager un avenir serein. C’est aussi simple que cela. 
    Si vous êtes une cible définie, ne devriez-vous pas au moins vous défendre ? 
    Et peut-être même vous préparer à vous défendre activement ?
    Breizh-info.com : Est-il possible que les Blancs et les Noirs vivent ensemble, en Afrique du Sud ?
    Simon Roche (Suidlanders) : Il n’y a aucune possibilité de cohabitation harmonieuse et égale entre Blancs et Noirs tant les cultures sont si différentes. 
    Cela sera toujours le cas (à l’exception de quelques personnes qui s’assimilent) et seuls un enfant ou un idéaliste qui ne vivent pas dans le monde réel pourraient croire l’inverse. 
    Nos ancêtres, les vôtres et les miens, n’étaient pas les idiots que les libéraux croient qu’ils sont.
    Propos recueillis par YV
    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

    breizh-info
  • « Les emplois sont partis en Chine. Le climat est bousillé. Tout ce qu’ils nous vendent est empoisonné. L’Europe est envahie. Tout va bien … »( 1ère partie )

    Paysan Savoyard sur Facebook

    (mars à juin 2019)

    INFO L’alias Hubert Defrasses tient toujours…

    Juin 2019. 7 jours de bannissement sur Facebook pour le commentaire suivant (à propos de cet enfant Turc écrasé par un chauffard maghrébin à Lorient) : « Dans la France envahie, auteurs et victimes de la délinquance seront de plus en plus fréquemment des immigrés… » Avertissement de Facebook : « You can’t post or comment for 7 days. Vous avez publié du contenu qui va à l’encontre des Standards de la communauté. Ce commentaire va à l’encontre de nos standards en matière de discours haineux. Nous sommes convaincus que les discours incitant à la haine créent un environnement propice à l’intimidation et à l’exclusion »

    Sur l’invasion

    Deux catégories de musulmans : les musulmans pressés (islamistes, djihadistes…) ; et les musulmans « modérés », qui savent que le temps et la démographie jouent pour eux. Au rythme actuel de l’invasion, il leur suffit d’attendre pour que l’Europe tombe comme un fruit mûr…

     Dans le foot français, il n’y a plus que des remplaçants…

     Pour la nounou, vous êtes plutôt voile ou boubou ?

    Derrière la crise des urgences, comme en toile de fond de la plupart des graves difficultés auxquelles la société française est confrontée, l’immigration…

    (un tableau de maître sur un yacht) Le turban de travers, à poil à la fenêtre
    L’émir jette un œil torve sur le tableau de maître Tandis qu’il rote, qu’il sue et qu’il songe à la REM Ses mains moites tripotent les mouquères du harem

    La France devient l’Afrique, les Celsius y compris…

    Tout le monde il est Français. Même ceux qui ne le savent pas. Même ceux qui haïssent la France. Même ceux qui ne sont pas encore nés…

    (le journaliste tahas boulafh placé en garde à vue pour rébellion) Ce Français de papier doit être un journaliste de presse écrite….

    Ce journaliste est sans papier semble-t-il. Heureusement de nos jours la presse est avant tout numérique

    Sur le Système mondialiste et immigrationniste, son projet, sa propagande, ses collabos, ses dissidents

    (Merkel prise de tremblements) Sans doute à l’idée du procès pour Haute trahison qui l’attend un jour ou l’autre, elle qui a importé à la demande du patronat plus d’un million d’immigrés inassimilables..

    (Pour la justice allemande, une demandeuse d’asile risque des « traitements inhumains » en France) Si seulement ça pouvait être vrai…

    Dans le monde de fou qui s’installe, les hommes sont comme des femmes, les assistés des travailleurs comme les autres, les squatteurs des occupants légitimes et les immigrés des Français comme vous et moi

    Prendre aux Français de souche pour donner à ceux qui les envahissent… Plus de quarante ans que ça dure…

    Tout ce que le Système prétend est mensonge. Tout ce qu’il nous vend est empoisonné.

    Chaque jour les médias du Système nous livrent un article anti Trump, un autre anti Poutine et une centaine en faveur de Macron…

    (Sea Watch) Collabo c’est un métier

    « Je trouve qu’il y a trop d’immigrés » : interdit. « Je ne trouve pas qu’il y a trop d’immigrés » : autorisé. « Je trouve qu’il n’y en a pas assez » : recommandé…

    A partir d’aujourd’hui il est interdit de haïr… Amour de l’Autre obligatoire… Sinon gare…

    Il est interdit de haïr : la haine de l’Autre est haïssable…

    Beaucoup de cathos aspirent à mourir en martyrs : dans l’Europe envahie ils vont être servis

    Pour les aveugles volontaires, il n’y a jamais de rapport et tout est plus compliqué que cela…

    Trois catégories d’immigrationnistes : les dirigeants, , qui nous trahissent, représentés par Macron ; les collabos, comme ces gens des ONG ; et l’immense majorité des résignés, qui, par lâcheté et calcul, continuent à voter pour la classe dirigeante organisatrice de l’invasion…

    La France vend des armes aux pays qui veulent les utiliser, pour attaquer ou se défendre… Quant à elle, elle se laisse envahir sans lever le petit doigt…

    On se battait autrefois pour défendre son pays. En nous laissant envahir sans la moindre réaction, nous nous déshonorons face à tous ceux qui sont morts

    Revenir jusqu’à plus soif sur l’invasion d’il y a 80 ans pour détourner le regard de l’invasion en cours…

    (la BD qui dénonce l’absurdité de la guerre) La guerre c’est pas beau. La maladie non plus. Quant à la mort ça ne devrait pas exister…

    Sur les politiciens, la sphère politico-administrative, la gauche, la droite, la classe dominante

    Macron représente à la fois la gauche et la droite : la fausse droite type Sarko ou Wauquiez n’a plus de raison d’être…

    Trois grandes catégories dans l’électorat Macron-Rothschild : 1) les bourgeois, gagnants de la mondialisation  2) les naïfs qui croient aux sornettes du « monde nouveau », beau, moderne et gentil  3) les retraités et les fonctionnaires, qui votent pour le Système et le statu quo afin de préserver leur salaire et leur pension.

    La bourgeoisie de gauche a rejoint celle de droite autour de Macron… Quant à la gauche anticapitaliste, elle s’abstient au moment décisif et laisse hypocritement Macron arriver tranquillement au pouvoir…

    Quel génie ce Macron… Il n’avait derrière lui que Rothschild, le CAC 40 et les médias… Et il a réussi à s’imposer… Trop fort…

    Pour manifester le mépris qu’il éprouve pour les Français moyens de souche et pour les provoquer, Macron-Rothschild aime à s’entourer de personnages comme Sibête, Ben Allah, Guerradj…

    Sibête la bien nommée

    Les convictions écologiques de Macron-Rothschild-Ouibus ne peuvent que sauter aux yeux…

    Macron-Rothschild peut bien essayer de rivaliser avec Trump : il ne sera jamais que le président des bourgeois et des retraités français

    (Macron rend hommage aux sauveteurs du SNSM) Macron-Rothschild rend hommage aux sauveteurs, lui qui coule la France…

    (tensions en vue des municipales à Bordeaux) Ali Juppé contre Macron-Rothschild…

    Le programme de Macron-Rothschild : alléger l’impôt des riches ; matraquer la classe moyenne de taxes et cotisations ; harceler les Français moyens sur les routes ; laisser filer les racailles ; et surtout accentuer le Grand remplacement…

    La crise des gilets jaunes à peu près surmontée, le pouvoir macronien va probablement en rajouter dans l’arrogance et la brutalité…

    (Succès du parti animaliste). Le sort des Français de souche européenne étant désespéré, autant effectivement se consacrer désormais aux animaux…

    Comparés aux écolos, les macroniens pourraient presque, par contraste, passer pour honnêtes et désintéressés…

    Parties intégrantes du Système, les pseudo écolos, sont en réalité des libertaires, mondialistes et immigrationnistes

    Une seule petite chance pour la France : le FN et la droite doivent s’unir pour arrêter l’invasion…

    Tiens à propos, Wauquiez, le chef de la fausse droite, vient d’accorder aux demandeurs d’asile une réduction de 75 % sur les billets de train régional…

    Faut pas exagérer : la collaboration des communistes avec les nazis n’a duré que deux ans pas plus. Dès 1941 elle était terminée…

    Le Pen ne réunit que 10 millions de voix…. Les autres Français sont contents d’être envahis…

    (au parlement européen Loiseau s’est moquée des vieux de la vieille) On lui fait un mauvais procès : en parlant de vieille c’est à elle qu’elle pensait… Cette Loiseau en effet est loin d’être un perdreau de l’année…

    (La justice oblige France 2 à inviter Hamon, Asselineau et Philippot à un débat) Ce n’est pas parce que ce sont des tocards qu’il faut les retoquer

    Michel Serres : un optimisme de commande pour mieux se soumettre aux évolutions catastrophiques en cours…

    Trop de fonctionnaires inutiles dans les collectivités locales. Pas assez dans les fonctions de contrôle que l’Etat est censé exercer (notamment le contrôle des élus locaux…)

    La CNIL, un de ces machins pour placer des copains par où s’engouffre notre argent…

    La grève devrait être interdite dans le service public. Parce qu’il est service public…

    À suivre

  • Scènes de liesse et racisme ordinaire en France : on en parle ?

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    Samedi, toute la Macronie était de sortie, malgré les grosses chaleurs, pour se payer Nadine Morano qui a osé s’attaquer à Sibeth Ndiaye. C’est facile, simple comme un tweet et, quelque part, ça permet de se défouler à bon compte. On a frôlé la marche blanche en soutien à la pauvrette. « Racisme ordinaire », a-t-on lu ici et là. C’est le pire, celui-là.

    Quelle honte, tout de même, que ces propos d’une ancienne ministre alors qu’on avait encore dans la tête les échos de cette belle « liesse populaire » qui a envahi les grandes avenues de Paris, Marseille et autres lieux, en ce soir de victoire algérienne. Une liesse qui venait gentiment, de façon « bon enfant », nous rappeler que la France, c’est le pays du vivre ensemble. Se dire Français de souche frise, aujourd’hui, la correctionnelle et ne se doit faire qu’en rasant les murs, s’il vous plaît. En revanche, revendiquer son ascendance algérienne ne semblerait se concevoir qu’en envahissant nuitamment et bruyamment la rue. C’est tellement beau, la liesse. « Liesse » : « joie débordante », nous dit le dictionnaire. D’où, sans doute, les débordements.

    En ce soir de liesse, on a même vandalisé la statue du général de Gaulle à Évreux. « Une centaine de supporters de football ont envahi le centre-ville d’Évreux, à grands coups de klaxon et de cris de joie », lit-on sur le site actu.fr« Moto-cross et scooters se sont livrés à un gymkhana sur la place du général-de-Gaulle fraîchement rénovée… Pire, dans la soirée et malgré une forte présence policière, la statue du général de Gaulle, scellée et inaugurée le 18 juin dernier, a été dessoudée. »Sauf à voir dans cet acte la main de l’extrême droite, une sorte de dernier carré de l’OAS (on ne sait jamais, avec Castaner), avouons que c’est une drôle de façon de dire merci à celui qui fut, certes l’homme du 18 juin, mais aussi celui qui accorda l’indépendance à l’Algérie. Tiens, justement, Castaner, l’homme qui s’indigne plus vite que son ombre, il dit quoi ? À cette heure, rien. Évidemment, il s’est indigné comme il se doit en dessoudant Nadine Morano : « “Ne composez jamais avec l’extrémisme, le racisme, l’antisémitisme, ou le rejet de l’autre”. Jacques Chirac. Un jour Nadine Morano a peut-être été républicaine. Tel n’est définitivement plus le cas. » Définitif et sans appel…

    Mais puisque nous sommes sur le compte Twitter de Castaner, évoquons tout de même son dernier message, qui date de dimanche après-midi et concerne la mort de Mamadou Barry, cet universitaire guinéen, marié et père d’une petite fille, agressé verbalement et physiquement, vendredi soir, dans la banlieue de Rouen, et qui a succombé à ses blessures. Le ministre évoque un « acte odieux » mais se garde bien d’aller plus loin. On peut cependant lire sur le site de France 3 Normandie : « Plusieurs témoins de la scène, dont un voisin qui a porté secours à la victime, confirment avoir entendu des propos racistes. La police ne confirme ni infirme ces insultes racistes. » Le député de Vaucluse Julien Aubert, lui, n’hésite pas à écrire sur sa page Facebook, dimanche matin : « Et si on parlait d’un véritable acte raciste commis en France vendredi dernier ? Le Dr Mamadou Barry a été tabassé à mort devant sa femme à Rouen par des supporters algériens qui ont cru qu’il était sénégalais. C’était en France, en 2019. @Castaner, voilà la haine. Qui en parle ? »

    Si ce n’était profondément triste et tragique, on serait tenté de se demander s’il n’y a pas, en France, le bon et le mauvais racisme. Celui qu’il faut dénoncer en monôme et celui qu’il faut taire. Le supposé et le réel.

    Georges Michel

    https://www.bvoltaire.fr/scenes-de-liesse-et-racisme-ordinaire-en-france-on-en-parle/

  • Invasion migratoire : cet été, le bal des collabos

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    L’été et le 14 juillet sont propices aux bals populaires. Hélas, le bal des pompiers lors duquel vos grands-parents ont dansé ensemble pour la première fois a été remplacé par une forme moins sympathique en 2019 : un bal de la collaboration à l’invasion migratoire.

    Désormais, le but n’est plus de trouver l’amour, mais, pardonnez-moi l’expression, de laisser les immigrés du monde entier nous la mettre profond.

    Sous couvert de beaux sentiments, mais plus vraisemblablement par lâcheté ou par bêtise, et toujours par endoctrinement, lycéens, journalistes, politiciens et militants d’extrême gauche… tous veulent vous imposer la misère du monde… et vous jettent des anathèmes à tout va si vous osez exprimer un léger désaccord !

    Les plus optimistes rétorqueront que les pompiers sont encore parfois de la partie. D’accord, plus pour organiser la fête mais pour venir éteindre des incendies…

    Viol, assassinat, occupation, plainte et repêchage

    Les cas les plus symptomatiques sont certainement trois affaires liées aux clandestins et autres « réfugiés ».

    A Mont-de-Marsan, dans les Landes, Johanna Blanes, une jeune femme de 24 ans, a été violée et assassinée par un homme. Arrêté par la police, celui-ci est en fait un « réfugié » syrien de 32 ans déjà connu par la justice pour des faits de violence.

    Johanna Blanes, violée et assassinée par un réfugié syrien

    L’histoire a logiquement fait réagir, y compris Marine Le Pen. On pourrait s’imaginer que même ses détracteurs n’auraient rien trouvé à redire, ou, pour les plus dingues, simplement quelques accusations de récupération.  Mais l’un des syndicats lycéens de la ville va plus loin : il souhaite purement et simplement porter plainte contre la présidente du Rassemblement National pour « incitation à la haine » à cause de son tweet.

    Demander des comptes et condamner un criminel sera bientôt interdit s’il s’agit d’un extra-européen.

    Dans le genre « ennemis de l’intérieur », les militants de La France Insoumise ayant permis l’invasion du Panthéon sont bien placés. Plusieurs centaines d’Africains sans papiers ont en effet pénétré dans ce monument qui est devenu l’un des symboles de la République. L’opération est effectivement symbolique du mépris que ce régime inspire. Au-dessus des tombes, les envahisseurs du Panthéon dansaient, chantaient, criaient…

    Les CRS ont tant bien que mal essayé de jouer un peu de la matraque (et je ne leur reprocherai pas, au contraire !) mais chaque coup porté est repris et amplifié cent fois par les cocos et autres antifas.

    Une fois de plus, se défendre est devenu un crime de lèse-clandestin.

    Le troisième cas est celui de l’italienne Carole Rackete. Avec son allure de punk à chien en manque de kétamine, elle se prétend « capitaine » d’un bateau, le Sea Watch, qui va chercher les Africains au large de la Libye pour les larguer dans son propre pays. De quoi s’attirer l’antipathie de pas mal de concitoyens et de Matteo Salvini. Cette jeune collabo a même été décorée par la Ville de Paris et on se demande bien pourquoi .

    Les Algériens vous agacent, bande de fachos ?

    Breizh-Info vous a tenu au courant des graves incidents provoqués par les supporters algériens pour la Coupe d’Afrique des Nations. D’autres médias et journalistes préfèrent, eux, s’en prendre « aux fachos » et même jouer clairement aux collabos.

    C’est le cas du site d’informations 20 minutes, qui demande à ses lecteurs « à Paris, Alger, Dakar ou ailleurs » d’envoyer les plus belles photos de supporters prises pendant la compétition, confirmant implicitement que le grand remplacement est une réalité, en tous cas dans la capitale. Pour illustrer cela, ils nous montrent d’ailleurs un drapeau algérien flottant devant l’Arc de Triomphe.
    Houellebecq pourrait bien se mettre à écrire un nouvel opus à son livre Soumission !

    Si l’écrivain se motivait à lancer ce projet, il pourrait aussi parler de Pierre Ménès. De moins en moins pertinent lorsqu’il parle de football, le sport qu’il ne peut pas pratiquer (à moins de rester bien figé dans les cages) et qui lui permet d’être grassement payé depuis des années, il se la joue de plus en plus souvent analyste socio-politique.

    Après le quart de finale joué par l’Algérie, il félicitait la sélection maghrébine pour sa victoire et demandait via son compte Twitter aux supporters de ne pas provoquer d’incidents pour ne pas « donner d’arguments aux fachos ».
    Dans son esprit, l’objectif n’est donc pas tant de faire régner l’ordre public et la sécurité des Français que de faire en sorte que son discours gauchiste ne soit pas vu pour ce qu’il est : un leurre. La vérité est trop violente pour le privilégié qu’est Pierre Ménès.

    Les derniers des Mohicans ?

    Ces exemples vont ont énervé ? Mis en colère ? Choqué ?

    Félicitations ! Vous n’avez pas encore subi de lavage de cerveau ! Malheureusement, une grande partie de la société française a de son côté choisi de suivre le sinistre modèle testé à Evergreen (aux Etats-Unis) et dont BI vous parlait récemment.
    Ils n’ont pas compris que l’auto-flagellation ne leur apportera ni respect ni sécurité…et que nous pourrions bien le payer cher très rapidement.

    Je me permets pour conclure de rendre hommage à Johanna Blanes, victime de l’immigration et dont le nom ne sera répété avec émotion ni à la télévision, ni à l’Assemblée nationale, ni au Vatican. Priez pour elle si vous êtes Chrétien, le Pape François ne le fera pas.

    Tribune libre parue dans le média Breizh-Info 19/07/2019

    Source : Breizh-Info

    https://www.polemia.com/invasion-migratoire-bal-collabos/