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insécurité - Page 498

  • Vers la guerre des races ?, de Guillaume de Premare.

    Source : https://lincorrect.org/

    En quelques jours, le concept de « privilège blanc », jusqu’ici principalement cantonné aux cercles indigénistes, a traversé l’Atlantique plus franchement pour s’inviter avec force dans le débat public en France, dans le contexte de la mort tragique de George Floyd.

    Le concept de « privilège blanc » a été formulé par la chercheuse et féministe américaine Peggy McIntosh en 1988. Elle le définit comme « l’ensemble d’avantages, de prérogatives, de bénéfices et de choix immérités et indiscutables conférés à des individus du seul fait de leur couleur. » Peggy McIntosh estime que ce privilège, qui n’existe pas de jure puisque la ségrégation raciale a été abolie aux USA en 1965, existe de facto.

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  • Belloubet rejette le bracelet pour suivre les islamistes endurcis libérés de prison (JT 23juin 2020)

  • Faire plier la Turquie.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    L'agression opérée le 10 juin par la marine turque contre une frégate française en mission au large de la Libye pour le compte de l'organisation atlantique, constitue bel et bien  un acte de guerre. En se contentant de dénoncer un "incident qui met en lumière la mort célébrale de l'OTAN", Emmanuel Macron tente d'égarer  les esprits par une réaction verbale sans portée, dérivative et hors sujet.
    Dérivative, parce que l'OTAN dont la Turquie demeure un membre choyé par la pseudo-communauté occidentale, loin d'être au bord de l'agonie reste, malgré les prises de position distanciées de Donald Trump, un instrument majeur de la domination américaine et continue de pousser ses pions à l'est de l'Europe.

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  • Dijon brûle et nous regardons ailleurs. À quand un référendum citoyen sur les questions régaliennes de sécurité ?, par Isabelle Marchandier

    Le quartier des Gresilles à Dijon, le 15 juin 2020 © DOLIDZE SABRINA/SIPA

    Source : https://www.causeur.fr/

    Après une semaine de violences extraordinaires entre populations immigrées à Dijon, un référendum semble promis aux Français. Mais pas du tout sur la sécurité…

    Le film « Peur sur la ville » de Henri Verneuil pourrait à lui seul résumer la semaine qui vient de s’achever. Sauf qu’en 2020, la peur n’est pas suscitée par un tueur en série sadique qui s’en prend aux jolies jeunes femmes, mais par des bandes tchétchènes, des antifas, des black blocks et des racailles de banlieues armées.

    En meute, tous viennent saccager, brûler, casser, blesser, se battre entre eux ou contre les forces de l’ordre. Mais peu importe. Peu importe que tout un quartier ait été pris en otage à Dijon quatre jours durant à cause d’un déchainement de violence inter communautaire où seule la loi du talion avait droit de cité. Peu importe que la manifestation des soignants de mardi ait été gâchée par des black bloc et autres antifas issus de l’ultra gauche, venus pour casser du flic. Peu importe, car la priorité du gouvernement ce n’est pas le rétablissement de l’ordre républicain, mais la préservation de la planète !

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  • Benoist Bihan : La guerre hors limite est-elle spécifique à notre époque ? (ouvrage)

  • Sibeth : « Je ne saurais pas expliquer à mes enfants s’il est normal ou pas de jeter des pierres sur les forces de l’ordre »

    Sibeth : « Je ne saurais pas expliquer à mes enfants s’il est normal ou pas de jeter des pierres sur les forces de l’ordre »

    Nouvelle provocation du porte-parole du gouvernement, suite à l’arrestation d’une infirmière prise en flagrant délit de jeter des pierres sur les forces de l’ordre :

    Elle n’aurait pas voulu dire exactement cela, mais pour une “porte-parole”, cela fait désordre :

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  • Pour Zemmour, «les banlieues françaises, c’est l’alliance de la Kalachnikov et du coran».

    Source : https://fr.sputniknews.com/

    Face aux violences qui ont secoué ces derniers jours Dijon, Éric Zemmour a dressé son constat de la situation dans les banlieues françaises. Il les compare à des «enclaves étrangères (...) régies par les caïds de la drogue» et avec une «alliance de la Kalachnikov et du coran.»

    Depuis vendredi dernier, Dijon voit se dérouler une succession de scènes de violences opposant des habitants d'origine maghrébine du quartier des Grésilles à des personnes issues de l'immigration tchétchène. Sur le plateau de Face à l’info, Éric Zemmour a abordé ce sujet le 17 juin.

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  • Paris, Dijon, Nice : y a-t-il un pilote dans l’avion ?

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    Les autorités sont incapables de maintenir l’ordre, de faire respecter la loi et, même, de défendre l’honneur de forces de l’ordre insultées par une racaille encouragée à déferler, vu la passivité du pouvoir. Mieux : elles encouragent à la désobéissance, comme l’a fait Castaner en donnant son blanc-seing moral aux manifestations interdites…

    Jugez plutôt :

    Depuis trois semaines, des manifestations sauvages se déroulent régulièrement, malgré les règles sanitaires et les interdictions des autorités : manif de sans-papiers, puis manifs antiracistes. Toutes se sont accompagnées de troubles, de heurts, de violences. Mieux, même : samedi dernier, ce sont des commerçants et restaurateurs de Paris qui se sont vus obligés de fermer pour permettre une manifestation non autorisée de se dérouler. Ubuesque…

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  • A Dijon, la vérité des faits

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    Par Guillaume Roquette *

    Et le réel s’est vengé. Durant deux semaines de divagation, la France s’est prise pour l’Amérique, la police a été indignement culpabilisée (y compris par son ministre) et le pays tout entier fut accusé de racisme, sommé de mettre un genou à terre en signe de contrition. Jusqu’à ce que des émeutes, bien réelles celles-là, nous ramènent tout d’un coup dans le vrai monde.

    Les batailles rangées entre Tchétchènes et Maghrébins qui ont bouleversé Dijon cette semaine n’ont rien d’iné- dit. Elles viennent nous rappeler que la violence, en France, n’est pas le fait de la police mais des voyous. Voilà des années que la capitale de la Bourgogne, comme des dizaines de métropoles françaises, est le théâtre d’affrontements entre bandes sur fond de trafic de drogue. Des années que les armes y circulent presque au grand jour, que les trafiquants ont conquis le territoire.

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