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insécurité - Page 732

  • Le gouvernement a-t-il passé sous silence des actes de torture au Bataclan ?

    C'est le Daily Mail qui ouvre le bal, s'appuyant sur les rapports de la commission d'enquête de l'Assemblée nationale présidée par Georges Fenech sur les actes de terrorisme en France depuis le 7 janvier 2015 (Charlie Hebdo). Les rapports se suivent et ne se ressemblent pas tout-à-fait : alors que le Procureur de la République François Mollins le nie totalement et parle de "rumeurs" (lire ici),des fonctionnaires de la BAC de nuit du Val-de-Marne parlent d'actes de torture à l'étage du Bataclan : décapitations, égorgements, énucléations, émasculations, éviscérations et tortures en tout genre ont été décrits, au point de faire vomir les policiers qui ont découvert la scène (lire ici).

    On trouvera une traduction de l'article du Daily Mail, ainsi qu'une synthèse des divers témoignages de la Commission d'enquête dans cet article de Fdesouche.

    Ces divergences dans les témoignages ne peuvent que nous alerter : pourquoi vouloir cacher ces actes de torture commis par des islamistes ? Le président Georges Fenech dit qu'il a eu connaissance de vidéos qui auraient été postées au profit de la propagande de Daech. Il n'a pas l'air de mettre en doute les déclarations des policiers de la BAC, qui témoignaient sous serment. Et pourtant, le Préfet de Police de Paris, le directeur de la Police judiciaire à Paris et le Procureur de la République disent qu'ils n'ont pas eu connaissance de tels actes de torture. Si ces actes étaient connus du grand public, ne peut-on imaginer que le scénario soigneusement élaboré par les gouvernements successifs d'un "islam de France" respectueux des "valeurs républicaines" volerait en éclat ?

    Marie Bethanie

  • Journal du Mardi 19 Juillet 2016 : Terrorisme / Bataclan : l’antre de la torture ?

  • André Bercoff : « On est en guerre, on est en guerre, on est en guerre! Et on fait comme si… »

    Le journaliste et écrivain André Bercoff réagit au micro de Boulevard Voltaire après l’attentat islamiste de Nice.

    http://www.bvoltaire.fr/andrebercoff/on-est-en-guerre-on-est-en-guerre-on-est-en-guerre-et-on-fait-comme-si,271767

  • Turquie : près de 6 000 arrestations après le coup d’Etat manqué

    Le président turc Recep Tayyip Erdogan a promis dimanche 17 juillet d’éliminer le « virus » dans l’Etat.



    Turquie : près de 6 000 arrestations après le… par lemondefr

    http://fr.novopress.info/202535/turquie-pres-de-6-000-arrestations-apres-coup-detat-manque/

  • Pour une réaction de fond !

    Publié le 15.11.2015, à la suite des tueries du 13 - Actualisé le 18.07.2016

    Hormis la vision concrète de l'horreur, la vague terroriste qui vient de submerger Paris ne nous a rien appris que nous ne sachions déjà. Rien, ni sur le nombre des victimes, ni sur le mode opératoire des terroristes, qui n'ait été prévu, analysé, annoncé. L'on savait que de nouveaux attentats se préparaient. On le sait aujourd'hui aussi pour demain, ou après-demain... Qu'ils puissent prendre une encore plus grande ampleur, mettre en œuvre des moyens plus terrifiants encore que ceux utilisés hier, on le sait aussi. Et que cette guerre, fût-elle asymétrique, ou précisément parce qu'elle l'est, soit faite pour durer, qu'elle ait la possibilité d'enrôler pendant longtemps encore de nouveaux combattants à travers le vaste monde islamique, qu'elle puisse donc s'étaler sur plusieurs décennies, n'est hélas pas une hypothèse absurde.

    La France est-elle humainement, moralement, intellectuellement, techniquement, militairement et politiquement - nous voulons dire institutionnellement - armée, pour la mener, la soutenir, y triompher ? Comment ne pas se poser ces questions de fond lorsqu'on observe la société française, la vie politique française ? C'est à dire, en bref, lorsqu'on constate notre extrême fragilité ? Quelques jours de sursaut, quelques discours martiaux, lorsque tout semble s'effondrer, ne peuvent cacher le vide sidéral du continuum politique et social français.

    Si l'on n'a pas conscience de cette question de fond, rien n'est possible. On pourra toujours attendre et réclamer de nos dirigeants des actes forts, un regain d'autorité, une inflexion majeure de notre politique étrangère, ou de notre politique d'immigration, comme Nicolas Sarkozy l'a fait hier matin, le passage à l'acte se fera attendre, sera d'apparence, sera fait de demi-mesures.

    Réclamons donc sans illusion cette réaction de l'immédiat. Acceptons-en l'augure improbable. Tout ce qui pourra être décidé de positif pour la sécurité de la France et des Français sera malgré tout bon à prendre.

    Mais tentons surtout d'envisager ce que pourrait, devrait être une réaction de fond. Sur le double plan moral et politique.

    Au lendemain des attentats de janvier, la préoccupation du pays légal tout entier - politique et médiatique - fut d'abord de préserver la communauté musulmane de toute réaction hostile. On s'est dits Charlie et l'on ne s'est pas battu pour la France, pour le peuple français, mais pour une très contestable et, au sens plein, dérisoire liberté d'expression. La réaction nationale qui était possible fut ainsi fourvoyée. Ce fut l'esprit Terra Nova qui nous a valu presque un an de matraquage permanent, multiculturaliste, universaliste, antiraciste (c'est à dire anti-blancs), immigrationniste, sansfrontiériste, etc. Ce corpus idéologique, utopique et destructeur, où l'identité nationale est moquée, la fierté nationale tournée en ridicule, l'Histoire de France oubliée, la repentance, la culpabilisation érigées en méthode pédagogique, ce corpus idéologique omniprésent doit être pourchassé, combattu, abandonné, si l'on veut avoir quelque chance de gagner la guerre qui nous est faite. On ne mène pas à la bataille, encore moins à la victoire, un pays dont on sape le moral, les racines, la fierté, l'identité. Nous savons que toute identité évolue, s'approprie, s'enrichit d'apports extérieurs pour les incorporer à ce qu'elle a de substantiel et de pérenne. Il sera temps, secondairement, de chanter les louanges des dits apports extérieurs. L'urgence est aujourd'hui, prioritairement, de rendre aux Français le sens et la fierté de leur identité pérenne. Ce pourrait être la mission, d'ailleurs déjà heureusement entreprise, de ce courant d'intellectuels qui s'opposent aujourd'hui avec  pertinence - mais encore trop faiblement - à la déconstruction du pays, de sa culture, de son essence. Nous pensons en particulier à ce courant de journalistes, écrivains, historiens, universitaires et politiques, que l'on nomme néo-réacs ounéo-conservateurs.  De nombreux Français, aujourd'hui, attendent beaucoup de leur action.   

    Au delà de la lutte idéologique pour le moral français, pour l'identité française, la seconde question essentielle qui se pose est celle de la validité ou non de notre Système politique et institutionnel, de son adaptation ou inadaptation aux temps dangereux dans lesquels nous sommes entrés. Quelques jours d'union nationale cèderont vite la place dans le monde politicien aux obsessions électorales, à l'esprit de parti. Aux grands enjeux nationaux, oubliés aussitôt le danger passé, vite oublié lui aussi, succèdera l'obsession des échéances électorales, les régionales, qu'elles aient lieu ou non à la date prévue, la présidentielle de 2017 et, pourquoi pas ?, de 2022. L'existence de la nation se retrouvera sacrifiée aux intérêts de parti et à l'ambition des personnes. L'activité politique se ramènera à leurs jeux et à leurs luttes. La question du régime a été posée à de multiples reprises ces derniers mois dans la presse, dans le débat public. Par de nombreuses personnalités. Y compris par un ministre de la République en exercice. L'un des principaux. Le plus jeune et le plus brillant. Oui, notre devoir de Français responsables est de poser, de rouvrir la question du régime qu'il faudrait à la France.

    C'est cela qu'en d'autres temps eût proposé la grande voix de l'Action Française. C'est cela qu'à notre plus modeste échelle, nous proposons aujourd'hui. 

    Lafautearousseau

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/07/18/pour-une-reaction-de-fond-5827285.html

  • Tareq Oubrou sera-t-il ministre d’Alain Juppé ?

    Lu sur Infos Bordeaux :

    "Omar Djellil est actuellement responsable associatif à Marseille et par ailleurs très impliqué au sein de la communauté musulmane de la ville. Avant son installation sur la canebière, ce dernier a longtemps milité dans la région bordelaise. Responsable local de SOS Racisme, militant pendant dix ans au Parti Socialiste, il fréquenta assidument la mosquée de Bordeaux et son imam Tareq Oubrou.

    En janvier 2016, celui-ci publiait une lettre ouverte à son ancien mentor dont nous avions publié de larges extraits (« Ce sont tes enseignements qui nous avaient poussés à haïr le Juif » (…) « C’est de tes propres mains que nous recevions des magazines faisant l’apologie d’un certain Ben Laden que tu nous présentais comme un milliardaire islamiste charismatique »).

    Suite aux attentats de Nice, et à la réaction du maire de Bordeaux, Omar Djellil vient d’écrire une lettre ouverte à Alain Juppé où il évoque notamment des tractations entre son entourage et l’UOIF (branche issue des frères musulmans) afin de donner un poste ministériel à Tareq Oubrou !

    « Alors que je venais à peine de me remettre du témoignage bouleversant et poignant d’un père dont la fille avait été tuée lors de l’attentat de Nice, qu’elle ne fut pas ma surprise de vous entendre, vous, l’actuel maire de Bordeaux et candidat déclaré à la primaire « Les Républicains » briser le silence de mort qui entoure le deuil des Niçois pour donner des leçons de morale à la nation et au gouvernement socialiste de François HOLLANDE.

    Accusant le gouvernement d’avoir perdu du temps face à la menace terroriste et le sommant de passer à la vitesse supérieure, vous avez indécemment, comme d’autres, tenté d’instrumentaliser le drame tragique qui s’est joué à Nice. La palme de l’indécence revenant à cette désunion nationale qui s’est transformée en cacophonie politique où chacun expliquant à l’autre qu’il aurait mieux fait en matière de lutte contre le terrorisme.

    Alors que l’identification des corps n’est même pas terminée et que nombre de familles continuent à chercher leurs proches disparus, votre prise de position s’inscrit plus dans l’optique de votre course à la présidence du parti « Les Républicains » plutôt que dans une véritable démarche compassionnelle à l’égard de nos compatriotes. 

    Vous avez certes raison de pointer les carences de nos services de renseignements, faudrait-il encore que vous assumiez le fait que c’est le gouvernement SARKOZY qui a fait fendre les effectifs comme neige au soleil. Vous avez certes raison de rappeler que la menace reste persistante et qu’il faut réévaluer le niveau de vigilance. Mais faudrait-il encore que vous soyez prêt à reconnaître que le langage ultra-sécuritaire du gouvernement SARKOZY ne reposait que sur des effets d’annonce sans lendemain ?  

    Même si la douleur qui a frappé les habitants de Nice est mienne, ce n’est pas le propos de mon interpellation. En fait, Monsieur Alain JUPPÉ, avant de fustiger les uns les autres, vous devriez expliquer aux familles des victimes comment vous êtes devenu le premier soutien de l’Union des Organisations Islamiques de France, organisation qui exhorte les musulmans à rejeter vos valeurs républicaines, qui exalte l’esprit du Jihad en direction des masses musulmanes et qui banalise les attentats-suicides dans le monde arabo-musulman. Vous pourriez dire aux familles endeuillées que votre protégé Oubrou continue de mener conjointement des conférences avec Tareq Ramadan que vous ne cessez de dénoncer comme un ennemi de la République et un extrémiste religieux. Vous devriez rappeler que c’est avec beaucoup d’insistance auprès du Premier ministre Manuel VALLS, que vous avez fait obtenir à Tareq Oubrou, maître à penser de l’UOIF, sa légion d’honneur. Pourquoi ne dites-vous pas que l’un de vos élus, Marik Fethou, fait dans un mélange des genres douteux (conflit d’intérêts) en étant élu municipal, secrétaire général du CAPRI, centre de « déradicalisation » initié par Tareq Oubrou, et attaché de presse improvisé de l’autoproclamé Grand Mufti de Bordeaux.  

    Pourquoi ne reconnaissez-vous pas que des tractations sont menées actuellement entre certains de votre entourage et l’UOIF afin, qu’en cas d’élection à la présidence française, des membres de cette organisation radicale puissent obtenir des postes décisionnaires voir un poste ministériel pour Tareq Oubrou ? Pourquoi ne dites-vous pas aux Bordelais que, malgré vos déclarations publiques, vous continuez secrètement à défendre la construction d’une grande mosquée cathédrale UOIF à Bordeaux ? "[...]

    [Lire la suite sur Infos Bordeaux]

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un migrant afghan de 17 ans attaque les passagers d’un train à la hache

    19/07/2016 – ALLEMAGNE (NOVOpress) : Un migrant afghan âgé de 17 ans a attaqué hier soir les passagers d’un train régional à hauteur de Wurtzbourg (Würzburg en allemand), en Bavière. Cinq personnes ont été blessées, dont quatre grièvement, par des coups de hache et de couteau. Le ministre de l’Intérieur bavarois a confirmé qu’il avait lancé « Allah Akbar » au moment d’attaquer les passagers.

    Agé de 17 ans, le terroriste était arrivé en Allemagne dans le flot de réfugiés et y avait été enregistré comme « mineur non accompagné ». Il y avait demandé l’asile politique et avait été hébergé dans une famille d’accueil.

    « Après l’intervention des forces de l’ordre, il a tenté de s’enfuir et a été abattu par une unité spéciale d’intervention de la police allemande (SEK) qui était postée non loin. »

    Refugees Welcome Allemagne

  • Juppé, Sarko, Valls, Cazeneuve : les incompétents se suivent et se ressemblent

    Il convient de renvoyer dos à dos tous ces foireux.

    C’est à l’AGRIF (Association générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne) que l’on doit, sans doute, la meilleure appréhension de l’impuissance émolliente qui instille, au sein de l’esprit public, son poison mortel : « La classe politico-médiatique fournit en abondance à chaque attentat son lot de communiqués préprogrammés d’une insigne indigence et répétitivité, ne trouvant souvent pas autre chose à dire que “les attentats sont lâches et abjects”. Un quidam de France Info a même atteint un sommet d’une stupéfiante imbécillité en osant proférer l’interrogation : “Comment un Niçois a-t-il pu tuer d’autres Niçois ?” On reste accablé devant pareille ineptie » (15 juillet). Affligeant, en effet.

    Pas moins, cependant, que les surenchères verbeuses de nos politicards professionnels qui s’avéreraient, probablement, incapables d’organiser un plan ORSEC. Ainsi, Alain Juppé juge-t-il que « si tous les moyens avaient été pris, le drame n’aurait pas eu lieu ». Et si ma tante en avait… Le même d’ajouter : « Je connais la difficulté de la tâche, mais le fatalisme n’est pas une politique. » Martial aphorisme qui l’entraîne audacieusement jusqu’à préconiser un durcissement de « la réponse pénale, notamment pour un certain nombre de crimes terroristes », et de suggérer « d’ailleurs la création d’une police pénitentiaire » (L’Express, 17 juillet). Cela ne mange pas de pain et n’engage que les naïfs, et Dieu sait, hélas, qu’il en reste…

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  • Les électrons libres du Djihâd

    Dr Bernard Plouvier

    L’on comprend fort bien le désarroi de nos sublimes dirigeants devant l’attentat niçois de la soirée du 14 juillet 2016.

    Pacha Ier (et dernier, espérons-le) et ses ministres avaient assez donné de gages aux roitelets islamo-pétroliers d’Arabie et du Qatar, aux ulémas du milieu musulman grassement établi en France, au sultan turc (dont le trône est plus mal assuré qu’on ne le croyait), pour espérer le calme intérieur avant les présidentielles de 2017. Des tractations avec l’État Islamique établi sur le sol du Kurdistan et avec l’entourage du calife de Mossoul avaient même été débutées.

    Nul en effet, chez les stratèges de l’islam conquérant, n’a intérêt à ce que la Nation française, molle et aveulie, ne se réveille subitement et ne mette en selle un Pouvoir populiste qui entreprendrait le grand rembarquement, c’est-à-dire organiserait le retour massif des musulmans en Dâr al-Islam (en moins beau langage : dans leurs gourbis).

    Seulement, la réalité est là et bien là ! Les attentats se poursuivent, et sont même particulièrement meurtriers : 84 morts et 200 blessés dont une cinquantaine grièvement, c’est un score bien supérieur à n’importe quelle explosion de kamikaze musulman ou de voiture piégée pour la plus grande gloire d’allah. L’inventivité des crapules islamiques de France est d’un rendement bien supérieur à celle des amateurs du Tiers-Monde.

    Comme à l’accoutumée, l’entourage nous présente l’honorable assassin comme un parangon de vertu civique, et l’on nous ressort le couplet – devenu ritournelle obligée depuis l’An 2015 - : il était indifférent à la religion !!! Bref un Djihadiste qui, comme d’autres, n’aurait même pas lu le coran. On nous a déjà joué le scénario et on s’en moque totalement.

    Tout Français teinté de culture islamique – l’on est bien obligé de se pencher sur cette sous-littérature puisque l’on est envahi par les sectateurs d’un allah qui se rapproche dangereusement de la notion de satan – connaît la Taqiya. On savait déjà que le serment d’un Juif n’a de valeur talmudique que s’il est prononcé kippa en tête en se référant à la Torah, étant préférentiellement émis devant un rabbin. La Taqiya, c’est la dissimulation institutionnelle du brave muslim en terre d’infidèles, soit dans le Dâr al-Harb – le Domaine de la Guerre des musulmans contre tous ceux qui ne sont pas musulmans.

    On peut donc tenir pour nulles et non avenues toutes les déclarations de musulmans – des proches de l’assassin jusqu’au recteur honoraire de grande mosquée. Un tueur est un tueur, soit, dans l’exemple des attentats commis depuis 2014 en France, un sociopathe voulant assouvir sa joie de nuire en tuant des « infidèles », un raciste se faisant une joie de tuer du Blanc pour punir la France de ne pas l’avoir fait PDG d’une grande société ou haut-fonctionnaire.

    Comment devient-on un tueur d’allah ? De deux façons. Soit en se convainquant de la justesse de la notion du Djihâd, ce qui définit le fanatique religieux sincère. Abou Bakr II a simplifié le problème en autorisant tout muslim, quels que soient ses âge et sexe, à participer à la féérie du meurtre pour allah, en n’hésitant pas à tuer sans discernement, dans le style : « dieu reconnaîtra les siens ».

    Soit en recyclant sa propre joie de nuire aux autres et à la société, sa haine de minus et de rebut de la société. C’est pourquoi l’on voit quantité de délinquants et de criminels de droit commun se lancer dans le Djihâd, histoire de se donner le beau rôle aux yeux des sauvageons de banlieues, des abrutis des cités de non-droit et des pasionarias du voile coranique. Quand on est une nullité sociale, quand on est incapable de faire quoi que ce soit de positif pour la communauté dans laquelle on vit, on devient un criminel pour allah.

    Ça pose un homme (ou une femme) ; ça ne demande guère d’intelligence, seulement quelques contacts dans le milieu de la drogue pour trouver l’argent nécessaire à l’achat d’armes et d’explosifs… les trafiquants d’armes sont aussi nombreux parmi nos merveilleux immigrés musulmans que les trafiquants de haschich.

    Et l’on introduit l’électron-libre du terrorisme. De même qu’en 1966-68, les gauchistes ont organisé la chienlit occidentale, puis le terrorisme, sans demander l’avis des chefs du Kremlin, les islamistes débiles et ultra-violents de France, de Belgique (en attendant l’action des paumés de Scandinavie ou de Grande-Bretagne) tuent sans être manipulés par les imams djihadistes.

    On en est revenu aux joyeux temps de l’anarchie. On ne tue plus pour mettre fin à l’exploitation capitaliste des peuples, mais pour passer du statut de petite frappe de banlieue à celui de héros et martyr de la cause d’allah le tout-puissant… il y a belle lurette qu’il n’est plus miséricordieux !

    On conçoit que Hollande- Valls-Cazeneuve soient désarçonnés. Les contacts diplomatiques même sulfureux, les concessions aux islamistes, le pire laxisme judiciaire ne servent de rien, face aux électrons-libres et à leur désir de gloriole.

    Il faut revoir la copie ! De même que les « gentils noirs des USA qui sont les victimes des vilains racistes de policiers blancs » représentent 40% de la population carcérale des States (alors que leur poids démographique n’est que de 13%), les « gentils islamistes de France » ne sont peut-être pas nos amis. Peut-être bien que l’immigration-invasion n’est pas réellement une bonne chose et qu’importer des fous furieux venus tout droit du haut-Moyen Âge n’est pas vraiment ce qu’il faut à la Nation française.

    Ohé, les bisounours, il faudrait peut-être ouvrir les yeux ! Et fissa !

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/