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insécurité - Page 733

  • Invasion migratoire : les migrants de Calais dispersés partout en France !

    L’évacuation totale de la « Jungle » de Calais va donc débuter lundi 24 octobre à 8H00. Une opération qui devrait durer une semaine. Alors que la logique aurait été de tous les expulser, le gouvernement a donc décidé de disperser plus de 7 000 migrants dans des centres d’accueil et d’orientation (CAO) répartis sur tout le territoire.

    60 cars prendront la route lundi, 45 mardi et 40 mercredi. Au total, ce sont près de 145 autocars qui devraient embarquer jusqu’à 50 migrants et avec deux accompagnateurs à bord.

    Une fois arrivés dans ces centres, les migrants seront appelés à « réfléchir à leur projet personnel » (sic).

    Dès lundi, une soixantaine de bus vont disperser des de Calais vers 454 centres d'accueil à travers toute la France.

    Lisez cet article, il démontre à quel point l'immigration incontrôlée est un fardeau pour la France et les Françaishttp://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/jungle-de-calais-comment-va-se-derouler-le-demantelement-du-24-octobre-7785398779 

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    7 jours, 1.250 policiers... L'évacuation hors-norme de la "Jungle" de Calais

    ÉCLAIRAGE - Le gouvernement a annoncé que l'opération, supervisée par 1.250 policiers et gendarmes, devrait durer sept jours.

    rtl.fr 
  • Terrorisme, islamisme, immigration ? (Elie Hatem)

  • Les autorités camouflent les 250 clandestins installés à Lourdes

    Selon Olivier Monteil, conseiller Régional FN de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées et Secrétaire départemental du Front National des Hautes-Pyrénées :

    6a00d83451619c69e201bb09493ded970d-250wi.png"Qui informe la population sur le fait que ce sont désormais 250 « migrants », réfugiés douteux mais authentiques clandestins, qui sont logés dans Lourdes ? Sans parler de ceux répartis sur les communes voisines, comme Argelès-Gazost...

    Ce sont aujourd’hui plusieurs dizaines de sites qui accueillent gratuitement des « migrants » à Lourdes : 3 appartements au Turon de Gloire, 2 autres à l’Astazou (route de Bartrès), 1 autre à l’Ophite, 7 autres à Lannedarré, puis bien d’autres encore rue de Langelle, rue des Chalets, route du Stade, avenue Leclerc, rue Béni ou rue des Arrious, etc., etc...

    Qu’attendent la commune de Lourdes et la Préfecture pour communiquer sur ce sujet ? Comment sont assurés les contrôles et la sécurité ? Les Lourdais et les Bigourdans sont-ils donc indignes de savoir qui vient dans leur ville et où vont leurs impôts ? Car ce sont bien les contribuables qui payent ces logements réhabilités ou refaits à neuf pour loger les « migrants » que l’Etat nous impose !

    Plus scandaleux encore, comme l’indique une note d’information destinée aux agents de Police : il est demandé aux Policiers, en cas d’intervention sur un site d’hébergement de « migrants » à Lourdes, de se contenter de rédiger une simple « main courante d’événement » ! Pas de plainte donc ? Même en cas de « délit grave, que le demandeur d’asile soit auteur ou victime », l’administration n’enjoint aux Policiers que d’appeler...la directrice du CADA (Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile)! Jusqu’où ira cette volonté malsaine de cacher la vérité aux Lourdais?"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/10/les-autorit%C3%A9s-camouflent-les-250-clandestins-install%C3%A9s-%C3%A0-lourdes.html

  • Police : la contestation enfle

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    Ils partirent plusieurs centaines de la place du Trocadéro pour arriver plus d’un millier devant les grilles de l’Elysée.

    Les policiers se sont encore une fois rassemblés jeudi soir pour exprimer leur ras-le-bol. « Descendre dans la rue ? Ça nous travaillait depuis un certain temps », me glisse une policière affectée à Nanterre. « Cazeneuve et Falcone [ndlr : directeur de la police nationale] sont complètement déconnectés de la réalité, je les invite à aller sur le terrain. Ils ne se rendent pas compte, la guerre civile, on est en plein dedans ! »

    Les collègues rassemblés ont d’autres projets pour leurs supérieurs hiérarchiques. Ils réclament purement et simplement leurs démissions. En direction de la place de l’Etoile, le cortège enchaîne les slogans : « Falcone t’es foutu, la police est dans la rue. » Et les policiers d’entonner La Marseillaise sous les fenêtres des gens saluant le cortège. « Les citoyens avec nous », ont-ils appelé plusieurs fois. Certains sont venus leur apporter leur soutien, arborant une pancarte : « Gazé en 2013, mais pas rancunier », en référence aux répressions policières post-Manifs pour tous. A noter également le soutien de nombreux chauffeurs de taxi, organisant des navettes pour raccompagner gratuitement les policiers chez eux.

    Arrivé en bas des Champs-Elysées et après négociation avec le commissaire faisant l’intermédiaire entre les manifestants et le gouvernement, le cortège s’est dispersé dans le calme après avoir obtenu la promesse d’une rencontre d’une délégation au ministère de l’Intérieur. « Mais ce ne sera pas les syndicats, prévient un des organisateurs, ils sont tous corrompus. » A suivre…

    Louis Lorphelin

    Article paru dans Présent daté du 22 octobre 2016

    http://fr.novopress.info/201184/police-la-contestation-enfle/#more-201184

  • La guerre civile ethnique se prépare – par Guillaume Faye

    Le samedi 8 octobre 2016, à Viry–Châtillon, en banlieue parisienne, dans une de ces zones de non-droit qui se multiplient, deux voitures de patrouille ont été attaquées, vitres brisées, et incendiées au cocktail Molotov et les policiers volontairement bloqués à l’intérieur. La tentative d’homicide est évidente. Les policiers ont été gravement brulés et l’un d’entre eux demeurait entre la vie et la mort.

    Le 17 octobre, par une évidente contagion, des pompiers, attirés après des incendies volontaires, puis des policiers ont été pris dans un guet-apens à Mantes-la–Jolie, avec jets de pierres et de cocktails Molotov. Représailles après la saisie de 35kg de résine de cannabis la semaine précédente ? En tout cas, l’ambiance était insurrectionnelle, impliquant une centaine d’émeutiers. Du mobilier urbain a été détruit, des voitures de police endommagées et une annexe de la mairie vandalisée. Ce genre d’épisode se multiplie quotidiennement, se banalise, devient endémique, jusqu’à ne plus être maîtrisable.

    La fronde policière contre l’État

    Patrice Ribeiro, président du syndicat Synergie–Officiers parle, à propos du guet–apens de la Grande Borne, d’une « tentative de meurtre d’une sauvagerie inouïe ». Selon Céline Berthon, du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN), majoritaire, « il s’agit d’une tentative d’assassinat en bande organisée ». Gravissime, le syndicat Alliance a organisé une « grève du zèle » le 11 octobre dans tous les commissariats de France. Les fonctionnaires de police, dégoutés, affrontent l’État, dont la haute hiérarchie semble les mépriser. Et, hors syndicats, des centaines de policiers surchauffés ont spontanément manifesté sur les Champs–Élysées dans la nuit du 17 au 18 octobre, souvent pendant leurs heures de service, à deux pas du ministère de l’Intérieur où soufflait un vent de panique. Le mouvement de fronde s’est amplifié dans les autres villes de France, et le patron de la police, J–M. Falcone, a été hué par ses fonctionnaires qu’il rappelait à l’ordre. Ce début de lâchage de l’État par sa police, qui désobéit aux ordres, y compris syndicaux, est un symptôme annonciateur du chaos de la guerre civile. Les déclarations du ministre de l’Intérieur, le pitoyable et incompétent Cazeneuve, minimisant les agressions, auront été la goutte qui fait déborder le vase.

    La réalité de cette guerre civile ethnique qui se prépare est confirmée par la forte hausse des policiers blessés en mission, dont aucune statistique officielle ne fournit l’origine des auteurs, pourtant parfaitement connue : 544 policiers blessées en moyenne par mois. Au premier trimestre 2016, 3267 policiers et gendarmes ont été blessés en opération (+14% par rapport à 2015). En 2015, 6.854 gendarmes ont été victimes d’agressions physiques ou verbales. Et 5736 policiers ont été blessés en service. Sans parler des pompiers… Depuis dix ans, la progression est constante.

    On assiste à deux mouvements parallèles : augmentation des populations immigrées qui fournissent presque 100% des délinquants violents et baisse de la réponse pénale. Mme Taubira, ancienne ministre de la Justice, ver dans le fruit, en bonne militante subversive, aura servi à quelque chose. La situation explosive des prisons, où la majorité des détenus sont des délinquants musulmans, est un facteur aggravant. Les réponses pénales à toute cette criminalité sont ridiculement basses, parce que le corps judicaire est atteint par cet islamo–gauchisme de collaborateurs dont Mme Taubira ou Edwy Plenel sont d’éminents représentants. Et parce qu’il y a un manque criant (volontaire) de places de prison.

    Invasion territoriale intérieure

    En Europe, il n’y a qu’en France (« douce France »…disait la chanson bien anachronique de Charles Trenet) où ce genre de faits atteint une telle intensité. Mais les autres pays voisins connaîtront la même situation dans peu de temps, si rien ne change, si le déversement migratoire à majorité musulmane continue –ce qui est la vraie clé du problème.

    Les auteurs des agressions, des bandes organisées de voyous cagoulés, visent à protéger et à marquer leur territoire, dans ces zones de plus en plus en plus nombreuses où le droit français, la fameuse ”République” comme les Français de souche ont disparu. Ils voulaient aussi interdire à la police de pénétrer dans des quartiers où le trafic de drogue (notamment le cannabis marocain) atteint une dimension considérable.

    On parle de « zones de non droit » ; certes, mais ce sont aussi des zones envahies, portions du territoire national occupées par l’immigration extra-européenne à majorité musulmane. Y prospèrent en parfait parallélisme la délinquance et la radicalisation islamique, sous direction salafiste. Ces zones gagnent chaque année du terrain, dans les banlieues, les villes et, demain peut-être dans les terres rurales. La France est rongée de l’intérieur, avec la complicité de l’État, qui s’ingénie à imposer des ”migrants” –clandestins illégaux mais entretenus– dans les petites communes, derniers refuges des Français de souche. Cette évidence est à a fois connue de tous et dissimulée par les discours de l’idéologie d’État.

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  • [COMMUNIQUÉ] NOUVELLE AGRESSION DES "ANTIFÂ" CONTRE L’ACTION FRANÇAISE PROVENCE : UNE FEMME ENCEINTE MATRAQUÉE !

    Ci-dessous le communiqué de L’Action française Provence sur la lâche agression des nervis "antifâ", qui n’ont pas hésité, avec le courage qui les caractérise, à "intervenir" après le départ de la majorité des participants à la réunion et à matraquer les femmes, dont une est enceinte.

  • EXCLU - Sarkozy à Assad : « On va mettre la Syrie à feu et à sang ! » (Rochedy)

  • SURREALISTE...

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    A Evry mardi soir, le directeur de la Police nationale

    reçu par les policiers en colère... 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Philippe Bilger : « Il y a en France comme un parfum de révolution »

    Depuis quelques semaines, le sentiment d'inquiétude des citoyens s'accroît face aux violences qui frappent la puissance publique, notamment les policiers et les enseignants. Dans cette chronique du Figaro [19.10]  Philippe Bilger commence par constater : la République est aujourd'hui impuissante, la démocratie faible. Puis il énonce son dilemme : « Si j'osais, j'irais jusqu'à soutenir qu'une démocratie, face à un pire multiplié et multiforme de plus en plus violent, sans le moindre frein éthique et humain, est impuissante par principe ». Impuissante par principe ... Incomplétude de la démocratie dirait Macron ... Mais comment et au profit de quel « pouvoir totalitaire » faudrait-il renoncer au « bonheur de vivre en démocratie » ? Et « que proposer d'autre sinon une République qui offrirait moins de garanties aux transgresseurs mais plus de droits aux honnêtes gens ? » Mais Philippe Bilger n'a pas, non plus, grande confiance dans cette possibilité. Une chimère ? Tel est le dilemme de Philippe Bilger. A notre tour, si nous osions, nous lui proposerions de sortir du dilemme suivant l'hypothèse formulée jadis par Eugène Ionesco : « On finira bien par restaurer la monarchie, un jour, contre la dictature et contre l'anarchie. » Autre chimère ? Mais qui sait quelle situation, quels drames, quelles nécessités impérieuses pourraient bien en convaincre,un jour, le peuple français ? Un récent sondage montre déjà qu'une frange non négligeable de Français y seraient hic et nunc favorables. Qui sait demain ? Qui sait ... s'il le fallait ? C'est à promouvoir l'idée de cerecours à quoi nous travaillons, ici.  Lafautearousseau    

    J'ai encore dans l'oreille la pétition de principe du président de la République salle Wagram. La démocratie sera la plus forte, la démocratie vaincra.

    Pour lutter contre le terrorisme, on avait le droit de douter de ce volontarisme du verbe destiné à tenir pour établi ce qui était justement problématique.

    Depuis quelques semaines, l'inquiétude du citoyen s'est déplacée parce que des événements, des manifestations, des agressions, des attaques, un changement radical de la nature du désordre et de la violence ont fait apparaître des bouleversements inédits. Il est clair que, sous ce quinquennat, nous sommes sortis de la normalité évidemment contrastée d'un pays même bien gouverné pour entrer dans la crainte de plus en plus stressante d'une impuissance de la République, d'une faiblesse de notre démocratie.

    Les violences massives, organisées et parfois criminelles, qui s'en prennent notamment aux fonctionnaires de police comme dans l'Essonne, les attaques d'établissements scolaires, les agressions quotidiennes contre le corps enseignant, même un proviseur molesté, la fin de l'impunité des médecins et des pompiers ne relèvent plus des transgressions ordinaires mais mettent directement en cause la capacité de résistance de l'Etat, testent ses aptitudes à la fermeté ou sa propension à laisser s'accomplir ce qu'il ne sait plus, ne peut plus empêcher (Le Figaro).

    Qu'on cesse également de se tromper d'ennemi, par exemple en se demandant « où sont passés les profs » alors que l'une des tragédies actuelles est de les voir si peu respectés et même frappés ! (Le Parisien)

    Qu'une manifestation de 500 policiers sur les Champs-Elysées au cours de la nuit du 17 au 18 octobre se soit déroulée dans l'urgence et l'exaspération est l'un des signes les plus éclatants de cette modification d'atmosphère comme les rassemblements de solidarité et de soutien, à Evry, Paris et Marseille, qui l'ont suivie. Ce n'est plus une simple fronde mais il y a là comme un parfum de révolution (Le Point).

    Il y a des enseignements à tirer de ce qui se dégage des échanges les plus chaleureux comme des controverses les plus vives. Pour les premiers je me rappelle un couple d'amis très chers qui, face au constat accablant d'une réalité nationale angoissante et déprimante, semblait considérer qu'il suffirait d'une exemplaire autorité de l'Etat et d'une implacable et constante sévérité ne laissant rien sans sanction nulle part pour que le redressement s'opère et que la France retrouve la paix.

    Leur intelligence ne s'arrêtait pas à la facilité des « il n'y a qu'à » et ne sous-estimait pas les difficultés de la tâche mais je ne parvenais pas à les approuver tant leur fermeté abstraite semblait oublier tous les obstacles qu'une démocratie représentative accumule sur le chemin d'une rigueur efficace à tout coup et partout.

    Sans même rêver d'un monde d'où toute transgression serait éradiquée, en demeurant forcément dans le cadre imparfait du nôtre, je suis persuadé que pour les agressions récentes les plus graves, les enquêtes et instructions aboutiront à des interpellations puis, ultérieurement, à certaines condamnations ; mais cet optimisme suppose, outre l'existence de preuves suffisamment précises, une collaboration police-magistrature rien moins qu'assurée, la seconde étant si peu en empathie avec le dur et éprouvant métier de la première prenant le réel de plein fouet.

    Il implique aussi que les oppositions politiques et les doléances médiatiques ne viennent pas sans cesse troubler la vigueur de la chaîne pénale.

    J'admets que ponctuellement un Etat, si beaucoup de conditions sont réunies, a la possibilité de manifester sa force et de réprimer les délits, les crimes ou même les incivilités, terme délicieux donnant l'impression que le vocabulaire est capable de civiliser la réalité brute. Ainsi le Premier ministre est-il dans son rôle quand il affirme que « l'Etat poursuivra sans relâche les auteurs ». Bien le moins !.

    Il y aura des avancées qui rassureront temporairement mais quand, avec des malfaisances collectives, ici ou là on s'ébat dans la France comme si elle était un terrain de jeu livré à la folie destructrice et coupable de minorités qui n'ont plus peur de rien, que peut faire l'Etat ? Le plus souvent, constater, déplorer, bomber le torse, compter sur la police et sur les juges puis attendre la suite. Inéluctable, imprévisible, de la part de voyous et de bandes qui ont pour objectif de saper les moyens même de leur possible identification et de sauver leurs trafics.

    Que pèse, face à ces impunités quasiment et fatalement obligatoires - ces groupes protégés par leur nombre même - l'autorité affichée de l'Etat ? Rien ou presque rien. Comment l'évoquer même au regard de ces cités de non-droit qui la narguent ?

    La démocratie même la plus efficiente, active, réactive, ni naïve ni féroce, ne sera jamais à la hauteur de ce qu'exigerait notre pays. Les fauteurs de troubles, délinquants et criminels sont lestés, à chaque fois davantage, de l'impuissance des services régaliens de l'Etat à les mettre hors d'état de nuire.

    La démocratie, dans la meilleure de ses définitions, est caractérisée par tout ce qu'elle peut se permettre pour se défendre, limitée par tout ce qu'elle doit s'interdire à cause de sa nature. On devine les piètres résultats d'une politique ainsi contrariée.

    Pourtant, que proposer d'autre sinon une République qui offrirait moins de garanties aux transgresseurs mais plus de droits aux honnêtes gens ? Toujours dans l'espace démocratique avec ses valeurs, ses principes et son inévitable passif... Des gouvernants plus compétents, une police mieux armée, pourvue et défendue, une magistrature plus solidaire, des médias moins mécaniquement critiques.

    Si j'osais, j'irais jusqu'à soutenir qu'une démocratie, face à un pire multiplié et multiforme de plus en plus violent, sans le moindre frein éthique et humain, est impuissante par principe parce qu'elle ne peut pas tout se permettre.

    Mais que son contraire, un pouvoir totalitaire impitoyable serait un remède plus dommageable, plus insupportable que la rançon que nous payons pour avoir le bonheur de vivre en démocratie. 

    Philippe Bilger    

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/