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insécurité - Page 807

  • Vers un "état d’urgence à volonté" + un "grand parti central à vocation majoritaire permanente" ?

    Institutionnaliser l’état d’urgence est la nouvelle « feuille de route » : il s’agit d’utiliser la peur du terrorisme pour donner à l’exécutif des pouvoirs exorbitants qu’il utilisera dans tous les domaines. La lutte contre « Daech » devient un prétexte pour autre chose. 

    Contre les écologistes et les alternatifs (par exemple), on a vu des débordements à la veille de la COP 21. De nouvelles affaires-de-Tarnac vont se multiplier sous les yeux des populations, inquiètes, par ailleurs, de l’absence de résultats dans la lutte anti-jihadistes : 2898 perquisitions administratives hors de tout cadre judiciaire, 384 assignations à résidence (dont peu concernaient le jihad) avec méprises souvent ubuesques, comme l’interpellation pour « salafisme terroriste » d’un Toulousain catholique qui revenait de Lourdes avec ses enfants *... Cette déferlante attrape-tout n’a fourni au parquet anti-terroriste que la matière de trois enquêtes seulement, et d’une seule mise en examen « en relation (mais vague) avec le terrorisme » – puisque le terrorisme n’était pas la cible unique... ni peut-être la cible principale.

    « De toute façon on fait ce qu’on veut, on est en état d’urgence », explique un policier à une femme dont on vient d’enfoncer la porte sans raison valable (Le Monde 22/12). Ce que confirme un policier du renseignement territorial : « On profite de l’état d’urgence pour faire du boulot de police basique. Pour se couvrir, on dit qu’il y a un lien entre terrorisme jihadiste et banditisme »**. Le « banditisme » a le dos large, quand on perquisitionne chez des maraîchers bio de Dordogne parce qu’ils ont défilé pour Notre-Dame-des-Landes en 2012 ! [....]

    Patrice de Plunkett

    La suite sur Patrice de Plunkett : le blog

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Vers-un-etat-d-urgence-a-volonte

  • Thierry Meyssan / Jean Loup Izambert / Gearoid O'Colmain sur les attentats de Paris / Meta TV 1/2

  • « Sales Corses de merde, cassez-vous, vous n’êtes pas chez vous ici ! »

    Afin de clarifier la situation, des proches des secouristes relatent ce qui a été dit le soir des faits dans le quartier de l’Empereur à Ajaccio.

    Lorsqu’ils ont essayé de monter dans le camion, les agresseurs auraient lancé selon la même source : « Sales Corses de merde, cassez-vous, vous n’êtes pas chez vous ici! ». Les « nous sommes chez nous », criés en chœur dans le quartier vendredi soir par les manifestants trouvent alors une autre résonance.

    Si l’agression des deux pompiers la nuit du 25 décembre a déclenché une vive réaction des Ajacciens, ce sont aussi les propos qui auraient été tenus par les agresseurs, et connus de nombreux participants, qui auraient donc mis le feu aux poudres.

    Corse Matin

     

    http://www.contre-info.com/sales-corses-de-merde-cassez-vous-vous-netes-pas-chez-vous-ici

  • La déchéance de nationalité sème le trouble au PS

    En plus de diviser la majorité, la mesure, inscrite dans le projet de révision de la Constitution présenté mercredi, provoque des départs au sein du parti. Un document a été envoyé aux parlementaires PS pour les convaincre du bien-fondé du dispositif, défendu à l’origine par le FN.

    Beaucoup se bouchent le nez, certains au point de quitter le parti. La décision de François Hollande d’étendre la déchéance de nationalité aux terroristes binationaux nés en France provoque des remous au sein de la majorité, et plus largement au sein du Parti socialiste. De nombreux ténors, à l’image de Martine Aubry ou d’Arnaud Montebourg, ont fait part de leur ferme opposition à cette mesure, défendue par le Front national et une partie de la droite. « Tout responsable de gauche et tout responsable républicain doit s’opposer à la déchéance de nationalité », a affirmé au Figaro Pascal Cherki, député PS frondeur. Bernard Roman, député proche de François Hollande, a résumé la situation dans L’Obs : « Près de 80% des députés socialistes sont contre, ainsi que tous les commissaires aux lois PS ». Pour rappel, le gouvernement a besoin du feu vert du Parlement puis un vote à la majorité des 3/5ème des députés et sénateurs pour faire adopter le projet de loi de réforme de la Constitution.

    Le groupe PS à l’Assemblée nationale a donc décidé d’envoyer par mail un argmentaire à l’ensemble des parlementaires socialistes, jeudi. Ce document de trois pages, que Le Lab s’est procuré, défend en six points la déchéance de nationalité, et est censé convaincre les élus réfractaires. Il est rappelé que la mesure existe déjà, qu’elle s’inscrit « dans un contexte très particulier », qu’elle comporte des « effets concrets », à savoir la possibilité de la mise en place d’un éloignement, et qu’elle est « bien comprise par l’opinion publique ». L’argumentaire, non signé, déplore que la déchéance de nationalité ne puisse s’appliquer plus largement à tous les Français. « Il faudrait pouvoir déchoir tout auteur d’un crime terroriste de la nationalité française, qu’il soit bi-national ou non », est-il écrit. Dans le même temps, de nombreux élus locaux, à l’instar de Vincent Tison et Mohamed Moulay, conseillers municipaux de Joué-lès-Tours, ont demandé aux parlementaires de rejeter le texte lors de son examen, en février. [...]

    La suite dans Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-decheance-de-nationalite-seme

  • Natacha Polony : Tirer les leçons de 2015… ou pas

    « Après les carnages, après l'horreur, l'année qui se referme nous a fait basculer dans un monde nouveau », qui doit pousser la France à « reprendre en main son destin », écrit Natacha Polony dans une chronique du Figaro, parue le jour de Noël. Sans-doute faudra-t-il aller plus loin qu'elle ne le fait dans la remise en cause des idées, des pratiques et des hommes qui nous ont conduits à la situation présente qu'elle dénonce avec le talent que l'on sait. Il n'empêche : les lignes bougent et, selon toute apparence, leur mouvement ne fait que commencer.  LFAR

    Bien sûr, il y a les familles rassemblées, les enfants ravis, les festins, même modestes. Une fin d'année comme les autres, avec ses images de père Noël et son ambiance de plus en plus écœurante de grande fête de la consommation. À peine a-t-on ressenti les tensions de plus en plus grandes autour de ces crèches que certains maires veulent absolument au cœur de leur mairie comme un nouvel argument électoral. Mais cette fin d'année 2015 a comme un goût étrange.

    L'an dernier, à la même période, les chaînes d'information continue ressassaient en boucle des commentaires vides sur trois fous armés de couteaux ou d'une voiture bélier qui avaient tenté de semer la panique au cri de « Allah Akbar ! ». Et l'on nous expliquait que, bien entendu, ces hommes étaient des cas isolés de déséquilibre psychiatrique. On brassait un discours officiel lénifiant à souhait, destiné à ne fâcher personne, et surtout pas les autoproclamés représentants de la générosité et de « l'ouverture à l'autre ». L'an dernier, la France poursuivait tranquillement son invisible transformation. Le résultat de trente ans de déni. Trente ans à décréter que la France n'avait pas à se perpétuer, que l'idée même d'une identité française était fasciste, que nous devrions expier jusqu'à la dissolution ces « heures les plus sombres…». Aux oubliettes, l'humanisme, les Lumières… La France n'était comptable que du pire, de ce racisme latent qui justifiait la frustration et la rancœur que l'on instillait au cœur de ses enfants nouveaux venus.

    Après les carnages, après l'horreur, l'année qui se referme nous a fait basculer dans un monde nouveau.Un monde dans lequel chacun de nous doit avoir au fond de lui cette infime inquiétude, ce sentiment diffus qu'il peut « arriver quelque chose » à ceux qu'il aime. Un monde dans lequel nous ne serons plus en paix.

    Oh, certes, elle va résister en nous, cette paix. Il y a si longtemps qu'elle s'est installée qu'elle va tenter de nous faire oublier novembre comme elle nous a fait oublier janvier. Mieux, on se paye le luxe d'un pas de deux sur les promesses solennelles lancées par le chef de l'État au lendemain du 13 novembre. Ces annonces censées rassurer les Français, leur montrer qu'enfin on allait agir, ces annonces sont donc contredites par rien de moins que le secrétaire général du Parti socialiste, et, mieux encore, la ministre de la Justice elle-même. « Pas une idée de gauche », la déchéance de nationalité, pourtant mise en place il y a soixante-dix-sept ans par Édouard Daladier en 1938. La pantalonnade d'une ministre de la Justice décrédibilisant un peu plus encore la politique de son propre gouvernement achève de démontrer que cette gauche-là a une conception bien étrange des valeurs autrefois portées par Jaurès ou Blum. Elle nous prouve surtout que les forces qui nous ont conduits au bord de l'abîme sont toujours à l'œuvre.

    Cette déchéance de nationalité serait inutile parce qu'elle ne concerne qu'un nombre infime de cas ? C'était le même argument pour expliquer que 2000 femmes portant le voile intégral, ça ne vaut pas une loi. Et quelques jeunes filles (même poussées par des associations pilotées de l'étranger) qui refusaient d'ôter leur foulard pour entrer au collège, on n'allait pas non plus en faire toute une histoire. Et quelques imams prêchant l'enfermement des femmes ou l'enfer pour les mécréants (sur un mode quiétiste, donc totalement inoffensif, comme persistent à le prétendre certains sociologues), mais voyons, c'est anecdotique ! Tout ce qui remettait en cause la laïcité et le pacte social en découlant, tout ce qui attaquait l'intégration et la possibilité pour des jeunes gens aux origines diverses de se sentir français, tout ce qui aurait pu atténuer les effets délétères d'une crise brutale et d'un chômage ravageur, tout cela a été cultivé avec la plus parfaite bonne conscience. Défendre la France contre des assaillants extérieurs qui instrumentalisent nos faiblesses, punir, même symboliquement, ceux qui renient notre pays et clament leur haine de nous, ce n'est « pas une idée de gauche ». Et si l'on daigne maintenant parler de « patrie », c'est en insistant bien : rien à voir avec celle qu'évoquaient les Cassandre qui ont eu le tort d'avoir raison trop tôt…

    Et cette année 2015 se referme sur des atermoiements qui nous laissent craindre que tout cela n'ait pas suffi. Elle nous enseigne pourtant qu'il est plus que temps de reprendre en main notre destin et de comprendre que dans un monde devenu violent nous devrons notre survie non pas seulement à la qualité de nos services de renseignements ou au déploiement de nos armées (même si leur préservation eût pu intervenir un peu plus tôt) mais à notre capacité à nous repenser comme une nation, une collectivité appuyant son avenir sur un passé et des valeurs transmis à tous, qui donneraient sens à l'idée de nationalité française, comme à l'idée de sa perte. 

    Natacha Polony

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Irak : la bataille de Ramadi se poursuit

    Si l’appui américain pourrait permettre une victoire rapide dans cette ville, il est peu probable que Daesh lâche la capitale de la plus grande province irakienne, Al-Anbar, sans se battre férocement. Les combattants de l’EI auraient creusé un réseau de tunnels sous la ville pour mener de petites escarmouches contre les forces loyalistes irakienne. L’armée aurait perdu plusieurs parties du centre-ville après les avoir repris…

    http://www.contre-info.com/

  • Ukraine : les services secrets français dénoncent les mensonges de l’OTAN

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    Les services secrets français n’ont constaté aucun préparatif militaire de la Russie en vue d’une invasion de l’Ukraine, contrairement aux allégations de l’OTAN et notamment les américains. Ces mensonges visaient en fait à justifier la montée en puissance diu dispositif américaine en Europe de l’Est.

    Le directeur du renseignement militaire français, le général Christophe Gomart, a critiqué la prépondérance américaine sur l’OTAN dans les questions relatives aux informations militaires. Il contredit aussi la doctrine officielle de l’OTAN, selon laquelle la Russie aurait fait des préparatifs massifs pour envahir l’Ukraine. Gomart explique textuellement : « En réalité nous avons constaté que les Russes n’ont ni installé des centres de commandement, ni pris des mesures logistiques, comme par exemple l’installation d’hôpitaux de campagne. Il n’y a eu aucune activité qu’on aurait dû trouver dans le cas de préparatifs pour une invasion militaire. Dans le deuxième rang du commandement il n’y a pas eu non plus d’ordres donnés dans ce sens. »

    On ne saurait être plus clair.

    http://fr.novopress.info/

  • 450.000 fausses identités « recensées » en Europe. Et combien en circulation ?

    On a recensé en 2014, sur le seul territoire français, 120.000 personnes détenant une double identité. On les a recensées parce qu’elles étaient suspectes ou impliquées dans des affaires délictueuses, très exactement « mises en cause dans une affaire pénale ». « Contrefaçon ou falsification de documents, vols de passeports et de cartes d’identité vierges… », le nombre des fausses identités a augmenté de 21 % ces cinq dernières années.

    Ce chiffre émane d’un rapport de l’ONDRP (Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales) et ne prend en compte, soulignons-le, que les personnes ayant maille à partir avec la justice. C’est dire que le nombre d’individus circulant avec de faux papiers est considérablement plus élevé. Selon les confidences faites au Figaro par Christophe Naudin, expert en criminalité identitaire, on compterait « sans doute 200.000 fraudes à l’état civil, si l’on croise [les chiffres du ministère de l’Intérieur] avec les données des acteurs privés, comme les organismes sociaux ou les banques ».

    Lire la suite

  • Regard sur l’actu #22/3 : Les deux France face aux attentats

    Les attaques de novembre auront eu cet aspect bénéfique : pouvoir observer toutes les sortes de comportements et de considérations possibles face à une situation gravissime. Ce sera la matière du présent article, troisième partie de notre dossier qui s’était tout d’abord intéressé aux faits et aux acteurs des attentats puis avait fait le point sur la culpabilité indéniable du système dans cette affaire.
    Les attentats et les élections régionales l’ont clairement montré, nous assistons à la partition de notre pays en deux. Le récent mot de Marine Le Pen était très juste : les patriotes contre les mondialistes. On pourrait nuancer les termes et les sous-entendus mais l’essentiel est là. D’un côté, le système, ses protégés et les Français toujours dupes, fossoyeurs de tout ce que nous sommes et pourrions être ; de l’autre, la France, la vraie, le pays réel qui connaît un réveil indéniable.

    Le système vous explique les attentats

    On ne saurait évidemment pointer du doigt tel ou tel type de personnes pour la responsabilité et la culpabilité des attentats du vendredi 13… Impensable ! Les Français, ces salauds, se devaient donc d’être rappelés à l’ordre dès les jours suivants par le gouvernement et ses sbires. L’inénarrable Claude Bartolone, élu de Seine-Saint-Denis et président de l'Assemblée nationale s’en est tout de suite chargé. Ce pourfendeur de ce qui reste de « la race blanche » en Ile-de-France (on le voit bien à son aise sur la photo plus haut) n’avait pas attendu les élections régionales de décembre pour nous expliquer la vie.

    «Je ne voudrais pas qu'il y ait un lien entre banlieue populaire - banlieue dangereuse. Il ne faut pas qu'on établisse ce lien entre les classes populaires, les banlieues populaires, et ces terroristes qui n'ont rien à voir avec ces populations qui aspirent à vivre normalement» déclara-t-il sur Europe 1.

    Son analyse des récentes attaques nous permet de mieux comprendre le pourquoi du comment. Dans leur «folie», les djihadistes «essaient d'avoir un minimum d'organisation. Et comme «c'est beaucoup plus facile de se cacher dans un milieu où il y a beaucoup de monde », ils se planquent quasiment toujours dans ces «banlieues populaires » (où « la race blanche » est de plus en plus absente). Comme à Saint-Denis par exemple. Aucun lien avec les habitants de ces doux endroits, pensez… Le malade imaginaire ne nous dit malheureusement pas pourquoi les terroristes n'ont pas choisi, au hasard, Versailles ou Neuilly pour se cacher car « il y a beaucoup de monde » là-bas aussi…

    Selon le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, il faut chercher ailleurs. C’est la société française qui porte «une part de responsabilité» dans la radicalisation des terroristes à l'origine des massacres du 13 novembre. Son analyse est là encore d’une rigueur imparable :

    «Le terreau sur lequel les terroristes ont réussi à nourrir la violence, à détourner quelques individus, c'est celui de la défiance. » Eh oui ! «Nous sommes une société où nous avons construit la capacité à fermer la porte» et l’on peut déplorer que «quelqu'un sous prétexte qu'il a une barbe ou un nom à consonance qu'on pourrait croire musulmane, a quatre fois moins de chances d'avoir un entretien d'embauche qu'un autre».

    Merci Manu ! On comprend mieux ! Le plus important reste tout de même de «Ne pas céder aux tentations du repli, à la peur, à la stigmatisation, à la surenchère» ajoute notre Hollande de président. «Aucun acte antisémite, anti-musulman ne doit être toléré», lança-t-il juste après les attentats, histoire de bien nous faire comprendre que les priorités restent les priorités. D’ailleurs, le premier ministre, pour répondre à l’urgence de la situation, n’a pas tardé à adouber une énième campagne de lutte contre le racisme et l’antisémitisme, cause de tous les maux de la France. Labellisée «Grande cause nationale» par Manuel Ier, la campagne#DeboutContreLeRacisme consiste en de courts spots diffusés partout et au slogan évocateur : «Je suis de la couleur de ceux qu’on persécute»... Cette «grande cause nationale » a été lancée par quatre associations dont on connaît l’influence : la LICRA, le MRAP, la Ligue des droits de l’homme et SOS racisme. Alain Jakubowicz, divinité républicaine et accessoirement président de la LICRA, chevalier de l'Ordre National du Mérite, chevalier de la Légion d'Honneur et avocat de Karim Benzema, est clair : «La seule réponse possible contre la haine est de parler du vivre-ensemble, de réaffirmer les valeurs de la République». Alain le divin a parlé et il a pu compter sur tous les médias du Système pour servir religieusement et sans délai ses désidératas! La liste est longue des journaux et sites qui ont, dès le 14 novembre, pourfendu le FN, Philippe de Villiers, Eric Zemmour et tous ceux ayant osé avoir un discours « dur » après les attentats. La palme de l’hystérie pourrait sans doute revenir à Libération avec cet article risible qui résume bien la folie des zélotes du système mondialiste et le terrorisme intellectuel qu’ils cherchent à établir.

    La victimisation des musulmans de France

    Les jours qui ont suivi les attentats ont été des plus pénibles pour les musulmans vivant sur le sol français et les médias s’en sont largement fait les relais. Combien d’articles sont venus corroborer les peurs du gouvernement ? Ce que vous allez lire plus bas fait effectivement froid dans le dos… Grâce à un article de slate.fr, tout un chacun peut mesurer le climat de peur dans lequel les musulmans évoluent dans un pays comme le nôtre. Insultes, tags racistes, attaques au jambon sur les mosquées… L’évocation frise l’insupportable ! On pressent d’ailleurs l’évanouissement quand on se souvient qu’une femme voilée n’a même pas pu aller s’acheter une mini-jupe à Zara, empêchée d’entrer par un vigile (sans doute néo-nazi).

    Tout ceci est d’autant plus pénible que tous les musulmans de France ou presque ont tenu à rejeter les attentats ! Même l'imam de Brest, Rachid Abou Houdeyfa, soutenu comme le gouvernement par la Ligue des droits de l’homme et pour qui la musique transforme en porc ou en singe, est formel : les attaques du vendredi 13 sont des actes "barbares", qui n’ont "rien à voir avec l'islam". Il ne diverge pas en cela du Conseil français du culte musulman (CFCM) qui a fait parvenir à «toutes les mosquées de France » (NDLR : enfin, celles qu’il contrôle…) un prêche destiné à être lu aux fidèles lors de la prière du vendredi 20 novembre. Lié au pouvoir, le CFCM ne pouvait qu’accoucher d’une ode républicaine dont suivent les parties les plus émouvantes :

    "Nous, Musulmans de France, réaffirmons notre rejet catégorique et sans ambiguïté de toute forme de violence ou de terrorisme qui sont la négation même des valeurs de paix et de fraternité que porte l’Islam.

    Nous, Musulmans de France, sommes des citoyens français à part entière, faisant partie intégrante de la Nation, et solidaires de l’ensemble de la communauté nationale.

    Nous, Musulmans de France, proclamons notre attachement indéfectible au pacte républicain qui nous unit tous.

    Nous, Musulmans de France, proclamons notre adhésion totale aux valeurs de la République.

    Les Musulmans de France élèvent leurs Prières vers Dieu, le Très Clément et le Très Miséricordieux, pour qu’Il préserve et qu’Il bénisse la France !

    Les Musulmans de France formulent tous leurs Vœux de Paix, de Sécurité et de Prospérité pour leur Patrie, la France."

    Malgré ces témoignages touchants, les autorités ont tout de même tenu à perquisitionner plusieurs mosquées. Aucun problème pour notre imam favori, Rachid Abou Houdeyfa ! "Il y a eu des perquisitions administratives, je suis content qu'elles aient été faites parce qu'on n'a rien à se reprocher". Il pouvait d’autant plus se réjouir que ces perquisitions se doivent d’être faites « avec tact et mesure » nous explique Philippe Galli, le préfet de Seine-Saint-Denis. Après avoirrenversé des meubles lors de la perquisition de la mosquée d’Aubervilliers, la police était effectivement en ligne de mire ! Le sujet est sensible et les autorités marchent sur des œufs ! Il fallait donc éviter les débordements qui sont vite considérés comme des amalgames : « On respecte le sacré des lieux. Les policiers investissent un lieu de culte, il faut faire attention. Mais on respecte aussi la République et il n’est pas question que les policiers se déchaussent avant d’entrer dans une mosquée. » Comme la République sait être rassurante ! Elle n’a d’ailleurs pas fait énormément de perquisitions (une trentaine) dans ces mosquées jugées radicales dont seules trois ont été fermées « pour motif de radicalisation ». Le gouvernement continuera-t-il dans cette voie et fermera-t-il la grosse centaine de mosquées radicales non reconnues par le CFCM et ne bénéficiant donc pas d’une autorisation officielle ? On en doute fort. Mais que les musulmans s'apaisent. Valls l'a encore affirmé récemment: «L’islam est en France pour y rester»!

    Le ridicule et l’abject ne tuent pas de Français...

    Les plus minables réactions furent bien sûr le fait de ceux qui se sont réjouis du sort des victimes. Premièrement, ce fut le cas des cris de joie ont été signalés dans ces banlieues parisiennes de Saine-Saint-Denis ou du Val-de-Marne, remplies comme le dit Bartolone de «populations qui aspirent à vivre normalement» ... Marianne hurle sans surprise à l’intox ! Encore un coup des fascistes, probablement… Même joie chez les islamistes suisses et dans les prisons où l’on a presque sabré le champagne. Qui est étonné ? Pire il y a toujours et on a pu constater combien certains catholiques justifiaient presque la mort des spectateurs du Bataclan. Pensez, ils étaient allés adorer le diable en regardant un concert de Rock…

    Suit ci-dessous un panel d’autres constatations malheureuses et/ou grotesques :

    - Le marxisme culturel continue encore à frapper. Même après la vague d’attentats, il s’est trouvé un certain nombre de lobotomisés pour nous servir le même message droit-de-l'hommiste que celui dont nous rabâchent politiciens et médias aux ordres (voir plus haut). Pas d'amalgames était leur cri de ralliement et les plus atteints sont même allés jusqu'à baiser les mains de musulmans pour leur exprimer soutien et inconditionnel amour. La photo plus haut vous montre une de ces bobos de la Génération Bataclan comme ils disent en pleine adoration masochiste de l'autre... On l’a vu également lors de la manifestation parisienne du 22 novembre où les habituels gauchistes ont versé leurs larmes de crocodiles pour soutenir les « réfugiés » et dénoncer l’état d’urgence. Un manifestant nous résume le B.A.-BA de leur pensée : « Il se dit inquiet parce que la France "ferme ses frontières" et de "l'amalgame fait entre terroristes et réfugiés" »… Amalgame qui a même été fait depuis par Manuel Ier, contraint devant l’évidence de dire la vérité. En parallèle, cosmopolites et islamistes continuent à travailler de concert comme il est démontré ici.

    « L’organisation d’extrême-gauche “Ligue des Droits de l’Homme” s’est formellement associée à la mouvance des Frères Musulmans. Cette dernière, représentée par le “Collectif Contre l’Islamophobie en France” (CCIF) est liée à l’UOIF, vitrine de la confrérie islamiste dans l’Hexagone. »

    - L’appât du gain. Tout le monde a entendu parler de ce restaurateur parisien qui a vendu la vidéo de surveillance d’une attaque 50.000 euros à des journalistes. Il n’a pas été le seul à se frotter les mains d’avoir été présent sur le lieu des attentats ! Ce fut la même chose à Saint-Denis où l’on s’est arraché les vidéos amateurs liées à l’assaut du RAID du 18 novembre. Mais ce n’est pas tout, des petits malins ont essayé d’enregistrer auprès de l’Institut national de la propriété industrielle (INPI) les marques « Je suis Paris » et « Pray for Paris ». Il y aurait eu une dizaine de demandes... L’INPI a refusé de les enregistrer comme marques (même verdict que pour « Je suis Charlie » en janvier) car il a considéré celles-ci comme « contraires à l’ordre public ». Ne doutons pas sinon que maillots et bibelots à la con se seraient arrachés comme des petits pains !

    - Le légalisme. Victoire pour Hollande and co. ! Ils avaient pu remonter dans les sondages grâce aux attentats ! Les Français apeurés s’étaient évidemment, par réflexe moutonnier, ré-attachés au Système, considéré bien bêtement comme un facteur de sécurité alors qu’il est le coupable n°1 de la situation (nous l’avons amplement démontré dans notre précédente partie). « Fin novembre, les deux hommes (Valls et Hollande) font jeu égal, à 50% d'approbation » lisait-on dans 20 Minutes… On peut certes se méfier des sondages mais on ne doit pas être loin de la réalité.

    - La lutte pacifique contre l’Etat Islamique. « Vous n’aurez pas ma haine ! » disait un proche de l’une des victimes du Bataclan à l’encontre du groupe terroriste… Voilà où on en est ! Une partie de la population est tellement conditionnée par le « vivrensemble », la culpabilisation à outrance, le déni de son identité et le manque de couilles qu’on a entendu des tas d’inepties du genre. Que l’Etat Islamique prenne garde ! Les bobos-gauchos vont sortir l’artillerie ! En Belgique par exemple, la campagne fut rude avec envois de photos de chats en masse sur les réseaux sociaux afin de combattre le terrorisme ! Notre cher gouvernement a, quant à lui, invité les Français à «Faire un selfie (ou une photo) en bleu blanc rouge et à le publier sur les réseaux sociaux avec le hashtag #FiersdelaFrance» ! Selfies et chats contre Daesh ! Ce « patriotisme bisounours » a été notamment dénoncé sur Boulevard Voltaire où l’on se gausse fort justement des offensives du type : « Faisons du bruit et de la lumière pour qu’ils comprennent qu’ils ont perdu. »

    Petit extrait :

    "Au rayon du ridicule élevé en cause nationale, nous avons également cet élan de compassion pour Diesel, le chien malinois tué au cours de l’assaut de Saint-Denis. Une pétition réclame qu’il soit décoré ! Le hashtag #jesuischien a même fleuri sur Twitter. Au milieu de tous ces morts, de cet assaut sanglant, militer pour un chien aussi méritant soit-il… Mais où sommes-nous ? Dans quel précipice de la pensée sommes-nous tombés ? Il ne manque plus que le #jesuisleroidescons pour que la farce soit vraiment réussie.
    Sur la route du dérisoire, le combat doit continuer. À force d’angélisme et de niaiserie, la bobosphère finira par avoir la peau des djihadistes. Encore un effort et ils seront morts. De rire."

    Inutile de préciser que tout le show-biz combat le terrorisme de cette manière. La philosophie n’est toutefois pas toujours absente de leur réflexion comme en témoigne l’immense Soprano dont les paroles sont remplies de sagesse ancestrale : « il faut combattre la peur car la vie c’est beau. » Heureusement que notre Johnny national est là pour montrer à ces tapettes un peu de virilité ! "Si je n'étais pas chanteur, je prendrais une arme et j'irais les combattre" a déclaré notre héros, malheureusement trop occupé sur d’autres fronts…

    Le bon sens finira par triompher !

    Ce bon sens, on le constate amplement autour de nous. Il suffit d’écouter les gens, de leur parler.

    - Un sursaut de patriotisme. Je cite ici un article du Figaro du 23 novembre :

    « Si l'on en croit l'étonnant regain de popularité du drapeau tricolore ces derniers jours, qui orne les profils des internautes sur Facebook et dont une enquête d'opinion vient de révéler que 93% des sondés y sont très attachés, si l'on en croit la Marseillaise chantée partout et le triplement journalier du nombre de jeunes Français désireux de s'engager dans les armées on ne peut que conclure au retour soudain d'une certaine forme de patriotisme. »

    Les Français se remettent à aimer leur pays qu’ils dissocient de plus en plus de la République. Nous ne pouvons que nous en réjouir et les chiffres du vote FN aux Régionales le prouvent amplement, surtout chez les jeunes ! Par ailleurs, ils reviennent vers des symboliques fortes comme celle de l’armée. Dès janvier, 80% des Français se déclaraient en effet favorables au rétablissement du service national.

    - Un intérêt accru pour l’autodéfense. Dès les jours suivant la tragédie, un certain nombre de nos compatriotes sont sortis de leur léthargie. « Pour se sentir plus en sécurité, les Français ont décidé de se prendre en main. Nombreux sont les citoyens qui s'inscrivent en cours d'autodéfense, s'engagent dans l'armée, ou (ré)apprennent les bases du secourisme. » lit-on dans le Point. Les armureries ont été prises d’assaut! Les gens veulent s’armer afin de pouvoir se défendre. Saine préoccupation ! Malheureusement pour eux, la législation est très stricte et « il est totalement impossible d'acheter une arme, à moins de posséder un permis de chasse (1,4 million de titulaires) ou d'être licencié de la Fédération française de tir (160.000 personnes), permettant d'entamer la procédure pour obtenir un port d'armes. » Vont-ils persévérer dans leur élan premier ? Se rendent-ils compte qu’en France, la justice est d’une sévérité hystérique envers ceux qui osent se défendre seuls ?

    - La peine de mort. Jean-Marie Le Pen a été le premier à la réclamer pour les terroristes, en préconisant « la décapitation » comme le font les sbires de l’Etat Islamique. Pour le coup, il n’est pas le seul à le faire savoir au grand jour : en témoigne cet annonceur publicitaire qui a utilisé l’un de ses panneaux géants à la Seyne sur Mer pour cela ! Une opinion marginale ? Certainement pas ! Il y a quelques mois, 52% des Français se déclaraient pour le rétablissement de la peine de mort. Inutile de dire que le pourcentage a dû sérieusement augmenter après le Vendredi 13 !

    - Le retour aux réalités. Si certains resteront indécrottables, on l’a vu plus haut, une conscientisation sérieuse des Français est indéniable. Elle avait certes été entamée bien avant mais les récents attentats islamistes n’ont fait que la renforcer. Une partie du peuple se libère de ses chaînes et n’est pas prête de revenir en esclavage ! Certains bobards ne passent plus et toutes les forces de l’Etat et des médias n’y peuvent rien. Le meilleur exemple est celui-ci : « depuis les attaques de Paris, le lien entre immigration est terrorisme est présent dans les esprits. »

    Indéniablement, deux France se font face. Ce clivage bien établi sera essentiel pour comprendre les évolutions futures de la situation et de l'opinion publique de notre pays.

    La quatrième et dernière partie de notre dossier paraîtra dans quelques jours et sera consacrée à l'état d'urgence.

    Rüdiger / C.N.C. http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/