
L’agression a eu lieu en fin de soirée, jeudi 29 août. Les victimes, un couple d’adolescents âgés de seize à dix-sept ans, se trouvaient sur un banc en bord de Vienne, à Limoges.
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L’agression a eu lieu en fin de soirée, jeudi 29 août. Les victimes, un couple d’adolescents âgés de seize à dix-sept ans, se trouvaient sur un banc en bord de Vienne, à Limoges.
par 2 Sep 2024 | |
Ha… il faut être optimiste, n’oubliez pas.
Et puis, donnez moi de “bonnes nouvelles”. Que dis-je, des “raisons d’espérer.
Tournons-nous donc vers le chef d’état-major des armées françaises, le général Thierry Burkhard, qui devant un parterre de dirigeants d’entreprises, a déclaré qu’il “faut se préparer à des temps assez durs, sinon très durs, pour l’Occident”, alors que se renforce la “récusation du modèle occidental”. (Source Europe 1 avec l’AFP ici)
Pascal Praud
Ce n’est pas la France qui a tué le gendarme Eric Comyn.
Ce sont ses dirigeant. Ce sont ses gouvernants.
Ceux d’hier et ceux d’aujourd’hui.
L’homme politique décrit le réel. C’est son devoir.
Il dit non. C’est sa mission.
Le général De Gaule a dit non.
L’homme politique oublie devoir et mission quand il abandonne le courage.
Une trentaine de jeunes se sont affrontés à l’aube ce dimanche matin près d’une discothèque de cette station balnéaire d’Antibes.
31/08/2024 MàJ : le conducteur de la moto libéré sous contrôle judiciaire
Le parquet avait requis le placement en détention provisoire du suspect de 19 ans et le juge d’instruction en charge de l’affaire avait rendu un avis en ce sens auprès du juge des libertés, qui a finalement décidé d’un placement sous contrôle judiciaire. Le parquet a annoncé qu’il fera appel de cette décision.
par Elsa Boilly
Les forces armées ukrainiennes prévoient de former de nouvelles brigades composées d’Ukrainiens ayant fui à l’étranger. Selon les experts, il faudra au moins 10 000 recrues pour constituer ces brigades. Leur formation se déroulera en Pologne, et les réfugiés ukrainiens y seront certainement recrutés le plus activement.
Des commentateurs militaires rapportent la formation de nouvelles brigades à partir d’hommes ayant quitté le pays. Cependant, leur recrutement s’avère difficile, écrit le journal Tagesspiegel.
C’était samedi dernier dans le centre-nord du Burkina Faso à Barsalogho, ville de 10.000 habitants, et le terrible bilan ne cesse de s’alourdir : plus de 300 personnes ont été abattues par un groupe terroriste, essentiellement des hommes.(…)
L’affaire du gendarme tué à Mougins met la nation à mal et révèle ce que le pouvoir tente de cacher en permanence, alors que ce n’est plus possible : les méfaits d’une immigration de masse, avec des gens qui n’ont pas l’ombre d’une quelconque compatibilité avec la vie en Occident. Ils s’en sortent souvent avec une appréciation judiciaire du style « Il ne connaît pas nos codes », laquelle vient contredire une autre appréciation judiciaire ; « Nul n’est censé ignorer la loi ». Et cette loi a lentement glissé vers une ethnicisation de son application, devenue très différente selon l’origine ethnique et la couleur du délinquant. Ethnicisation également des commentaires de la presse, qui matraque des jours sur Nahel, la mort d’un jeune défavorablement connu des services de police, mineur, non encadré par ses parents, qui sont tout juste responsables de leur progéniture, et relativise à outrance la mort d’un gendarme, un fonctionnaire et un honnête homme, allant jusqu’à considérer ce qui a toute l’apparence d’un meurtre, comme un banal fait divers. Manque de chance pour le délinquant capverdien, des images de vidéosurveillance mettent à mal sa version du « je l’ai pas fait exprès, je ne l’ai pas vu ». Et donc quoi, il ne faudrait rien lui dire, puis qu’il ne l’a pas fait exprès ?