Une patrouille de la police municipale a été la cible d’une pluie de pierres et de pavés mercredi soir dans le quartier de La Devèze à Béziers (Hérault). Elle avait été appelée par un habitant pour un rodéo sauvage. Des tirs de flashball ont été réalisés. Deux policiers ont été blessés.
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Béziers (34) : appelée pour un rodéo sauvage, une patrouille de police attaquée par une quarantaine de jeunes ; deux policiers blessés
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Collège Edouard-Herriot à Chenôve (21) : un adolescent exclu d’un cours, menace avec un couteau la directrice. “Il y a des signaux, mais la compétence du parquet anti-terroriste n’est pas retenue pour l’instant.”
Une enquête est ouverte pour menaces de mort, introduction d’une arme et violences dans un établissement scolaire. Elle est confiée à la police Dijonnaise et elle est désormais suivie par le procureur de Dijon. Dans ce genre d’agression, le parquet anti-terroriste a été alerté, c’est le protocole. “On a découvert un courrier faisant référence aux attentats de 2015” souligne le procureur de la République Olivier Caracotch. “Il y a des signaux, mais la compétence du parquet anti-terroriste n’est pas retenue pour l’instant.”
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Islamophobie : au tour de Libération d’être victime d’appels au meurtre !
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La Légion étrangère s’entraîne-t-elle en vue d’une intervention en Ukraine?
Des manœuvres d’envergure ont eu lieu en Creuse, au camp de La Courtine, ces derniers jours.
Nos confrères de Southfront.press croient savoir que les troupes se tiennent prêtes à se rapprocher du front ukrainien dans la seconde quinzaine d’avril. Exactement le type d’informations que nous avons reçues hier et dont nous vous avons expliqué qu’il fallait les examiner sérieusement mais avec toute la prudence qui s’impose. En tout cas, malgré le silence du président de la République hier soir 14 mars, il y a des”insiders” désireux que l’opinion soit alertée : l’envoi de troupes au sol en Ukraine est bien envisagé par le président et l’Etat-major français.
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L'UE débloque plus de 7 milliards de dollars pour financer l'achat d'armes pour l'Ukraine
Les 27 pays membres de l'Union européenne ont convenu mercredi d'ajouter 5 milliards d'euros (environ 7,37 milliards de dollars) à un fonds destiné à financer l'achat d'armes pour l'Ukraine, qui demande depuis longtemps un renforcement de ses munitions face aux forces russes. Cette décision intervient après des semaines de négociations, notamment en raison des préoccupations de la France et de l'Allemagne concernant la provenance des armes financées par les fonds européens. L'Allemagne a réussi à faire compter une partie de son aide directe à l'Ukraine dans sa contribution au fonds européen, tandis que la France a obtenu la priorité pour l'industrie de défense européenne dans les commandes d'armes des États membres.
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Nanterre : Deux patientes de 78 et 70 ans ainsi qu’une fillette de 12 ans violées par Ali Gandega, un Congolais. Comme il n’a pas de petite amie, il déclare être « obligé » de violer.
15/03/2024
Placé en garde à vue, Ali Gandega va tout reconnaître d’emblée, devançant même les questions sur la fillette. Une franchise qui va vite tourner au malaise, tant l’homme apparaît sans filtre : s’il a agi ainsi, justifie-t-il, c’est parce qu’il voulait « faire l’amour ». Il en a souvent envie, d’ailleurs. Y compris là, en garde à vue, explique-t-il. Et comme il n’a pas de petite amie, il est bien « obligé » de violer.
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Le courage de Sandrine Rousseau sur « l’aide » sociale à l’enfance en plein naufrage.
Les témoignages que je peux recevoir sont tous accablants et confirment point par point le dramatique constat posé par Sandrine Rousseau qui va s’attirer « l’eau propre » de la ministre Sarah El Haïry, à la tête d’une protection de l’enfance qui n’a jamais été brillante en France, et qui est désormais, comme le reste des administrations du pays, en plein naufrage. En parlant d’enfance et de la ministre Sarah El Haïry, il ne faudrait pas qu’elle veuille jeter l’eau sale du bain avec le bébé dedans… parce que des enfants jetés avec l’eau du bain, c’est le quotidien de l’ASE.
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Dijon (21) : une voiture entre dans la cité, ses occupant ouvrent le feu à proximité immédiate d’une école, un jeune de 17 ans blessé, les CRS arrivent en renfort
Ce mercredi 13 mars, plusieurs individus armés ont procédé à des tirs dans le quartier de la Fontaine d’Ouche à Dijon (Côte-d’Or). Un jeune homme de 17 ans a été blessé au bras. Au lendemain des faits, voici ce que l’on sait de cette fusillade.
Les faits se sont déroulés ce mercredi 13 mars, en fin de journée. Des tirs se sont produits dans le quartier de la Fontaine d’Ouche à Dijon (Côte-d’Or). Au lendemain du drame, voici ce que l’on sait.
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C’est inquiétant…
Hilaire de Crémiers
« Des actes, pas des paroles », disent les pauvres gens exténués. L’opinion générale du pays incontestablement n’en peut plus ; cela s’est vu, évidemment, au Salon de l’agriculture. De plus en plus, chaque déplacement, chaque intervention exigeront une préparation soignée, un tri des participants, une mise en scène adaptée aux circonstances, un aménagement et un contrôle du terrain pour éviter l’incident majeur ; et d’autant plus que l’homme devient de plus en plus imprévisible dans ses comportements et ses propos, eux-mêmes de plus en plus risqués, voire dangereux dans des situations difficiles, tragiques, qui peuvent tourner en catastrophe immaîtrisable. Macron n’en a cure ; il croit dominer les événements et il prétend imposer sa conception. Quoi qu’il en coûte !
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Pourquoi l’extrême droite monte en Bretagne ? Je vais vous le dire…. [L’Agora]
Depuis des mois, des journalistes, bretons, comme français, s’interrogent (on notera la une exceptionnelle de 20 minutes Rennes le 13 mars, qui préfère évoquer la menace d’extrême droite plutôt que les tirs d’armes automatiques pendant 60 minutes) : l’extrême droite progresse en Bretagne. Les nazis seraient presque de retour dans les villages bretons. « Comment ? La Bretagne si préservée de cette gangrène, ne serait plus épargnée aujourd’hui ? Mais comment l’expliquer ? » s’offusquent nos tartuffes locaux et non locaux.
Mais les journalistes, formatés au gauchisme pour la plupart, sont comme les élus locaux. Ils constatent ce qui se passe, tous les jours, en Bretagne, mais sont incapables (ou ne veulent pas, ce qui est grave) mettre les mots sur les maux. Ils ne veulent pas chercher les vraies raisons à cette « montée de l’extrême droite » qui n’a finalement que 20 ou 30 ans de retard sur la France et le reste de l’hexagone.