Cela se déroule encore en coulisses, mais les États-Unis et l’Ukraine ont déjà commencé à se rejeter mutuellement la responsabilité de l’échec de la contre-offensive des forces armées ukrainiennes. Le chroniqueur américain Max Boot en parle dans les pages du Washington Post.
Les tentatives des forces armées ukrainiennes de mener une offensive en direction du sud-est n’ont pas abouti aux résultats escomptés. En conséquence, l’Ukraine accuse l’Occident, et en premier lieu les États-Unis, de ne pas avoir reçu suffisamment d’armes pour franchir la ligne de défense russe. La partie ukrainienne met l’accent sur le fait qu’une partie du matériel militaire et des armes ont été transférées dans un état de non-fonctionnement.
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Les États-Unis et l’Ukraine ont commencé à se rejeter la responsabilité de l’échec de la contre-offensive des forces armées ukrainiennes
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Faiblesses de l’altermondialisme (texte de 2003
« Il n’y a de décisif que l’individu qui se bat à contre-courant » Franz KafkaDepuis le mois d’août 1999 et le démontage à Millau d’un restaurant en construction appartenant à la firme MacDonald’s, José Bové a acquis une notoriété internationale. Le porte-parole du syndicat agricole français, la Confédération paysanne, le doit à quelques actions habilement médiatisées : démolition d’un restaurant à une période de l’année où les journalistes estiment que l’actualité tourne au ralenti, arrachage des plants d’organismes génétiquement modifiés (O.G.M.), lever devant les photographes ses mains menottées... Ce formidable communicateur a réussi son pari. L’immense succès de Larzac 2003 qui se tint les 8, 9 et 10 août dernier en a administré une nouvelle preuve.
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La guerre du gaz: de la Baltique au Sinaï, la zone de crise s'étend. Analyse
Giuseppe Masala
De nos jours, nous assistons rarement à des guerres d'anéantissement, c'est-à-dire des guerres dans lesquelles les belligérants visent à la destruction complète et à la capitulation du pays adverse. Naturellement, cela s'applique surtout aux grandes puissances dotées d'armes technologiquement avancées et de capacités de destruction souvent dévastatrices.
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«On dirait des éclairs» : Les médias étrangers discutent de l’utilisation présumée d’armes à visée automatique par les forces armées russes
Des images d’ogives (probablement) autodirigées frappant des positions de l’AFU près d’Avdiivka circulent dans les médias du monde entier.
En quête de sensationnalisme, un certain nombre de médias occidentaux ont qualifié ces images de «rayons de la mort» utilisés par les troupes russes. Les images sont en effet impressionnantes, et la frappe des cibles au sol rappelle quelque peu la foudre. Cependant, il n’y a pas de sensation ici. Les forces armées russes, comme l’ont déjà fait remarquer les dirigeants militaires et politiques, réagissent elles-mêmes à la fourniture de certains types d’armes à l’armée ukrainienne par les pays de l’OTAN.
Commentaires dans les médias étrangers :
«C’est comme si la foudre frappait plusieurs fois au même endroit en peu de temps».
«Les Russes ont-ils utilisé des rayons mortels ? De quoi s’agit-il ? Un laser de champ de bataille ?»
«La réponse à la fourniture par les États-Unis de missiles à ogives en grappe ne s’est pas fait attendre».
Les experts estiment que des modifications modernes des éléments de combat autociblés SPBE ont été utilisées sur les positions de l’AFU. En même temps, il y a, pour ainsi dire, un différend au sein du réseau quant à savoir à partir de quels transporteurs ces éléments (souvent classés comme «Motiv-3») ont pu être utilisés. Certains experts pensent que dans la région d’Avdeevka, l’AFU a été «touchée» après l’utilisation d’artillerie à roquettes, y compris des variantes du MLRS Tornado. D’autres pensent que des bombes – des bombes à fragmentation RBK-500 avec les mêmes SPBE – ont été utilisées.
Le public ukrainien écrit franchement qu’en tout état de cause, l’utilisation de ces armes est une réponse de l’armée russe à la fourniture d’armes à sous-munitions à l’Ukraine par les États-Unis et à l’utilisation de ces munitions par l’Armée de libération de l’Ukraine. Aujourd’hui, l’armée ukrainienne est confrontée à la version russe de ces armes sur ses positions, qui, en outre, ne volent pas n’importe où, mais atteignent des cibles repérées. Les cibles visées sont notamment les positions des troupes ukrainiennes dans les tranchées et les tranchées doubles, divers types de «fortifications» et des groupes de véhicules blindés. En outre, les canopées de fabrication artisanale de l’armée ukrainienne n’épargnent pas les chars et les BMP de l’utilisation de ces munitions. Le puissant impact de feu est exercé sur la partie supérieure des véhicules blindés avec une énorme impulsion capable de pénétrer facilement tous ces «auvents» que les militaires ukrainiens «kolkhozent» eux-mêmes près de la ligne de front ou qui sont créés «centralement» dans les entreprises militaro-industrielles ukrainiennes qui sont toujours en service.
source : Top War
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Le Kosovo ou la réussite d’une manipulation
D’Antoine de Lacoste dans Fideliter :
Le bombardement de la Serbie, décidé par les Américains en 1999 pour obliger ce pays à abandonner sa province du Kosovo, a donné lieu à une manipulation des faits d’une ampleur rare.
Les principaux médias occidentaux, au garde à vous comme il se doit, ont relayé en cœur cette fable selon laquelle la Serbie n’avait plus de légitimité à conserver le Kosovo dans ses frontières. En effet, au fil du temps, d’une immigration incontrôlée et d’une démographie plus dynamique, les immigrés albanophones et musulmans sont devenus majoritaires au détriment des Serbes.
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Ukraine : en coulisse, les Occidentaux parlent de négociations
Est-ce la fin de partie pour Volodymyr Zelensky ? Selon des sources américaines, des responsables américains et européens ont commencé à discuter discrètement avec le gouvernement ukrainien de ce que pourraient impliquer d’éventuelles négociations de paix avec la Russie pour mettre fin à la guerre.
La contre-offensive ukrainienne lancée au printemps dernier s’avère être un échec total
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Faut-il recoloniser l’Algérie ? [L’Agora]
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Maria Zakharova remet à sa place le straussien Blinken avec ses ultimatums
par Bertrand Hédouin
Oui, les temps ont changé, pas toujours en mal d’ailleurs.
La Russie et la Chine occupent lentement mais avec justesse le Goban face à une écurie occidentale, celles des mondialistes, qui persévère toujours et encore à vouloir avancer sur les cases de son jeu de dadas.
De toute évidence, c’est le jeu de Go qui se développe en faveur du camp multipolaire, soit le camp complexe parce qu’humain aux variables infinies et ajustables. Alors que pour les Américains et les Anglais et les Macron et les Scholz, le scénario devient complexe avec trois points de surchauffe, surchauffés précisément grâce à ces joueurs, la Syrie, l’Ukraine et maintenant Israël et le territoire palestinien, sur le Goban, de nouveaux pions s’associent et se solidifient, réduisant en cela dramatiquement les avancées géopolitiques euro-américaines des cinq derniers siècles qui se sont faites principalement au détriment des populations locales (colonialisme).
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Le Hezbollah prend de la hauteur
La question palestinienne, que Benjamin Netanyahou pensait avoir pratiquement résolue en assimilant progressivement «tout Israël» à une entité sioniste, est revenue en force sur le devant de la scène politique du Moyen-Orient et de la société internationale, grâce au Hamas, le char de la résistance palestinienne.
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Déprime ukrainienne
La chronique de Philippe Randa
La guerre où ça ?
Ah ! oui en Ukraine, là-bas, tout là-bas en Europe et dont on parlait tant – on ne parlait même « que » de ça – et qui avait fait passer en « perte, profits et surtout oubli » le délire sanitaire autour du covid.
La guerre russo-ukrainienne, donc ! il y a… mais si, c’était avant… avant que les Fous d’Allah du Hamas – « terroristes » pour les uns, « résistants », pour les autres – ne commettent leurs massacres pour le moins crasseux en Israël… et qu’Israël ne ravage en représailles, et comme on pouvait s’y attendre, la bande de Gaza !