
par Valentin Vasilescu.
15 à 20 minutes après l’attaque des bases aériennes russes dans les régions de Riazan et de Saratov, les médias russes n’avaient pas encore eu connaissance de l’incident. Par conséquent, la direction de la guerre psychologique de l’armée ukrainienne a réussi à prendre l’initiative sur ce sujet, saturant les réseaux sociaux de désinformation liée à de prétendus effets catastrophiques, tels que des fuites radioactives de missiles nucléaires endommagés stockés dans ces bases. On peut conclure que dans l’algorithme de préparation précoce de l’opération ukrainienne, la partie désinformation était l’un des éléments de base.