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international - Page 546

  • Les catholiques attachés aux principes non-négociables en faveur de Donald Trump

    Les catholiques attachés aux principes non-négociables en faveur de Donald Trump

    Nouveau sondage sur le vote des catholiques américains, réalisé pour EWTN et présenté par Catholic News Agency

    Le vote des catholiques américains reflète en général les tendances profondes de la société (un 50-50 légèrement en défaveur de Trump, ce qui peut surprendre).

    Mais on notera avec intérêt (et stupéfaction !) que la majorité des catholiques américains ne tient pour intrinsèquement mauvais ni l’avortement, ni l’euthanasie, ni le suicide assisté… Ceci explique cela.

    En revanche, le vote des catholiques américains tenant tout ce que l’Eglise enseigne est dans un rapport 2/3 1/3 en faveur de Trump.

    Il faut saluer l’engagement de l’épiscopat américain, qui a très largement fait connaître les principes non-négociables discernés par Jean-Paul II et Benoît XVI, et en a donné ex officio une analyse très fouillée.

    Dans un scrutin opposant un candidat favorable au ‘mariage’ homosexuel et à un ‘droit’ fondamental à l’avortement, et un candidat qui a clairement pris des mesures pro-vie, les consciences catholiques, bien formées par leurs pasteurs, savent qu’il faut nécessairement voter pour un bien…

    … et que les plus grands et irréparables et inacceptables maux sont ceux qui amènent la mort d’enfants innocents, ou mettent des enfants dans des conditions de vie néfaste à leur développement harmonieux.

    Bref, les catholiques américains, bien formés par leurs pasteurs, savent qu’il y a des principes non-négociables, une hiérarchie des biens à préserver, et quelle est cette hiérarchie !

    https://www.lesalonbeige.fr/les-catholiques-attaches-aux-principes-non-negociables-en-faveur-de-donald-trump/

  • Voici revenues les grandes peurs…

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    Évidemment, ce ne sont plus celles du Moyen Âge : ni le diable, ni les sorcières, ni les loups ne rôdent plus dans l’imaginaire collectif en faisant trembler d’effroi les enfants. Mais quand même, la grande peste, celle de 1346, semble de retour. Certes, le Covid-19 est de son temps, un virus plus sournois que la bactérie de la peste, qui s’attaque à une humanité beaucoup mieux armée pour lutter contre les maladies et retarder la mort. La propagation est rapide et assez surprenante, mais les cas mortels demeurent très minoritaires.

    Toutefois, on ne peut éviter deux réflexions. La première s’appuie sur le point commun entre la grande peste et le coronavirus : tous deux sont liés aux échanges, à la circulation des marchandises et des personnes. En l’absence de vaccin et de traitement sûr, la réponse à l’épidémie actuelle consiste, avant tout, à mettre en marche arrière le processus d’ouverture qui anime l’idéologie dominante de la planète. Faute de fermer les frontières nationales pour refouler l’immigration irrégulière, l’Italie a mis en place le confinement de certaines villes pour isoler les personnes éventuellement contaminées. Le tourisme et les pèlerinages sont davantage endigués. Les manifestations qui rassemblent les foules sont annulées.

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  • La parabole anti-mondialiste du coronavirus

    La parabole anti-mondialiste du coronavirus

    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :

    La crise du coronavirus semble écrite tout exprès pour mieux faire comprendre les maux de notre époque.

    Tout d’abord, le virus naît en Chine. L’ancien empire du milieu cumule tous les vices de l’idéologie communiste et du capitalisme irresponsable : l’immense majorité des habitants y est privée des libertés les plus élémentaires, quand quelques-uns sont pourvus de libertés illimitées, sans aucune responsabilité correspondante.

    Ce n’est d’ailleurs sans doute pas pour rien que nos oligarques anti-français (politiciens, médias ou financiers) nous chantent régulièrement les louanges de ce régime monstrueux : ils rêvent d’appliquer ce totalitarisme chez nous et s’étonnent de notre manque d’enthousiasme.

    Il est possible que le coronavirus provienne des expérimentations des médecins criminels qui pullulent toujours dans les pays totalitaires (le Dr Mengele ne fut ni le premier, ni le dernier de son espèce). Mais il est, en tout cas, certain que le système totalitaire porte une lourde responsabilité dans l’occultation du danger et des réactions erratiques au début de l’épidémie, quand il était encore temps de la juguler. Le Dr Li Wenliang, qui a lancé l’alerte (avant de mourir à son tour de l’épidémie), avait même été réprimandé par l’appareil répressif communiste.

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  • Un virus et l’économie est au bord du gouffre ?, par Paul Vermeulen

    9563-20200228.jpgUn dégât collatéral de l’épidémie du coronavirus, évaluée ce jour à environ 80 000 personnes infectées dans le monde, est son impact sur les marchés financiers. C’est un révélateur d’une économie fragile fonctionnant sur l’émotion. Si l’économie actuelle, c’est-à-dire la mondialisation, est menacée par le premier virus venu, dont on ne sait finalement que peu de choses, il convient en effet de s’inquiéter. Faut-il voir une corrélation entre l’épicentre chinois du virus, la Chine étant devenue de même un épicentre, sinon le principal épicentre de l’économie mondialisée ? L’avenir le dira. Si un des facteurs d’émotion est la vitesse de propagation, le Covid-19 touchant des pays comme la Corée du Sud, l’Italie, l’Espagne, le Japon, l’Iran ou les Etats-Unis, mais aussi le continent africain, l’autre est d’apprendre qu’il peut être transmis par des personnes ne présentant aucun symptôme.

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  • Le “droit anglo-saxon” et l’absolutisme financier

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    Je vous propose  :
    . d’analyser comment le droit anglais a historiquement été mis, de façon institutionnelle, au service des puissants ;
    . avant d’examiner comment la puissance politique est devenue une puissance économique ;
    . pour enfin considérer la conclusion qui est que la domination internationale du droit anglo-saxon est la promesse de disparition de la civilisation et le plus sûr chemin vers l’esclavagisme de tous.

    Le Parlement anglais : une organisation politique au service des puissants
    Le Parlement anglais est l’héritier direct des institutions issues de la Magna Carta ; de quoi parle-t-on vraiment ? La Magna Carta apparue en 1215 quasi immédiatement abrogée a ressurgi en 1216 avant d’être amendée et complétée d’une loi domaniale (Charte de Forêt) en novembre 1217. Une quatrième version voit le jour en février 1225, qui valide la disparition de la moitié de celle promulguée en 1215 ; cette Charte nouvelle version, confirmée solennellement le 10 novembre 1297, sera désormais connue sous le nom de Magna Carta.
    La Magna Carta brandie comme l’arme démocratique absolue est en réalité la manifestation d’une lutte de la féodalité contre le pouvoir royal centralisateur. Elle n’est pas un instrument du peuple contre les puissants mais un instrument des puissants seigneurs contre le pouvoir royal unificateur. Il s’agit en réalité de retirer au Roi, en tant qu’organe politique central, l’essentiel ou une grande partie de ses prérogatives pour les donner à un conseil de grands féaux, ou grands aristocrates appelé « Conseil des Barons », afin de limiter et finalement contrôler le pouvoir Royal. Le peuple, qui n’a rien à voir dans cette guerre entre grands aristocrates, n’a strictement rien gagné à la proclamation de ladite Charte.
    C’est précisément ce conseil de grands féodaux, initialement appelé « Conseil des Barons », qui se transformera peu à peu en Parlement. Ledit Parlement est, dès le départ, fonctionnellement, aussi peu fondateur de la « démocratie » au sens de gouvernement par le peuple et pour le peuple, que l’esclavagisme serait la cause ultime de la liberté.

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  • Le coronavirus, ou la mondialisation infernale, par Ivan Rioufol

    Le coronavirus affole les mondialistes béats. Ceux-ci rêvaient de construire le paradis sur terre dans l’abolition des frontières, des nations et des peuples. C’était oublier que le paradis, dans sa racine littérale, désigne un jardin clos de murs. C’est bien l‘enfer qui, tout au contraire, se dévoile à travers cette épidémie qui dépasse le symbole. Partie de Chine, elle s’étend avec une rapidité inquiétante. Même l’Italie est désormais touchée. Le pays a dû ce week-end imposer des mesures de quarantaine dans une dizaine de communes du nord de la péninsule. Le Carnaval de Venise a été annulé dimanche. Bien d’autres nations sont atteintes, comme la Corée du Sud, l’Irak ou l’Iran. L’Arménie, la Turquie, la Jordanie, le Pakistan, l’Afghanistan ont fermé les frontières ou restreint les échanges avec ce dernier pays. Une panique est en train de s’installer, qui fait trembler les marchés boursiers.

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  • L’ennemi, c’est la Turquie d’Erdoğan

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    La  était un partenaire essentiel de l’Occident pendant la guerre froide. Elle gardait les détroits de la mer Noire et abritait des bases américaines au bord du Caucase soviétique. En permettant à l’AKP d’Erdoğan de parvenir au pouvoir et de s’y maintenir, elle a changé de visage et de rôle. En 1918, l’Empire ottoman est vaincu et dépecé. Les Jeunes Turcs qui voulaient le moderniser ont commencé surtout une unification ethnique en procédant aux génocides des Arméniens et des Assyro-Chaldéens. Le nationalisme turc est le fondement du nouvel État, qui comprend une population musulmane à 98 %.

    L’arrivée au pouvoir d’Erdoğan transforme radicalement le paysage politique. La Turquie est toujours nationaliste, mais elle se réapproprie l’islamisme, celui des Frères musulmans, avec sa façade démocratique d’un parti politique, l’AKP, et sa finalité totalitaire d’une reconstitution du califat unissant l’Oumma des croyants.

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  • Coronavirus : l’inquiétude grimpe en Europe – Journal du mardi 25 février 2020

     

    Coronavirus : l’inquiétude grimpe en Europe

    Alors que l’épidémie de coronavirus semble se stabiliser en Chine pour des raisons inconnues, l’Italie vient de perdre son 7ème patient contaminé et compte désormais plus de 230 malades, devenant ainsi le plus gros foyer d’épidémie en dehors du continent asiatique. Une flambée que le président du Conseil italien attribue aux erreurs d’un hôpital au sud de Milan. De quoi menacer la France.

    Municipales à Paris : Dati en ordre de bataille

    Donnée au coude-à-coude avec Anne Hidalgo dans les sondages, Rachida Dati a dévoilé son programme lundi. Un programme autour du triptyque sécurité-propreté-famille pour rassurer son électorat et envisager un retour de la droite à la mairie de Paris.

    Retraites : la réforme déplaît aussi aux cadres

    La réforme des retraites ne plaît décidément à personne… les cadres supérieurs ont aussi à perdre avec ce texte… le tout dans une confusion qui perdurent quant au financement du changement de système.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/coronavirus-linquietude-grimpe-en-europe-journal-du-mardi-25-fevrier-2020

  • Jean-Yves Le Gallou : « Libre-échange, tourisme, immigration mondiale font qu’il y a tous les risques pour qu’une épidémie apparue en Chine se répande dans le monde entier »

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    Après l’Italie, des cas suspects de coronavirus ont été signalés dans les Alpes-Maritimes. Analyse de la situation de Jean-Yves Le Gallou au micro de Boulevard Voltaire.

    Après des cas de coronavirus identifiés en Italie, voilà que les Alpes-Maritimes sont touchées. Les autorités européennes réagissent. On se rappelle l’intérêt de la frontière…

    La frontière est une membrane protectrice qui doit laisser passer ce qu’il faut laisser passer et ce qui peut être bon. Elle doit aussi bloquer ce qui est mauvais ou ce qui peut être mauvais. Il faut éviter de laisser rentrer à l’intérieur d’un territoire donné tout ce qui est porteur de maladies ou est susceptible de l’être. Cela éviterait une contamination générale. Le libre-échange mondial, le tourisme mondial et l’immigration mondiale sont malheureusement des facteurs pour que l’épidémie apparue en Chine se répande ensuite dans le monde entier.

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  • Moyen-Orient : le rôle majeur des Russes

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    L’échec de la France au  repose sur deux erreurs essentielles. La première consiste à se dessiner avec une gomme, à se vouloir une république abstraite avant d’être une nation charnelle, à n’être elle-même qu’en se vouant à l’universel. Comme toutes les vieilles nations, la France possède une identité historique et culturelle, simplement plus marquée par la volonté politique d’un État que d’autres. La seconde erreur correspond à l’ignorance de cette priorité politique que Carl Schmitt avait soulignée : la reconnaissance de l’ennemi.

    La conscience de son identité, avec ses limites, et la reconnaissance de son ennemi objectif, c’est-à-dire de la menace principale et réelle, sont donc les deux priorités. La politique menée par nos gouvernements au Moyen-Orient a méconnu ces deux principes.

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