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international - Page 547

  • Moyen-Orient : le rôle majeur des Russes

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    L’échec de la France au  repose sur deux erreurs essentielles. La première consiste à se dessiner avec une gomme, à se vouloir une république abstraite avant d’être une nation charnelle, à n’être elle-même qu’en se vouant à l’universel. Comme toutes les vieilles nations, la France possède une identité historique et culturelle, simplement plus marquée par la volonté politique d’un État que d’autres. La seconde erreur correspond à l’ignorance de cette priorité politique que Carl Schmitt avait soulignée : la reconnaissance de l’ennemi.

    La conscience de son identité, avec ses limites, et la reconnaissance de son ennemi objectif, c’est-à-dire de la menace principale et réelle, sont donc les deux priorités. La politique menée par nos gouvernements au Moyen-Orient a méconnu ces deux principes.

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  • Zoom – Pierre-Antoine Plaquevent : tout sur Soros et la société ouverte ! (Rediffusion)

    George Soros est une des personnalités les plus influentes de notre époque. Pierre-Antoine Plaquevent procède à une véritable radiographie de celui qui se dit « un chef d’Etat sans Etat ». Un entretien exclusif sur TV Libertés, la chaîne alternative, indépendante et définitivement non alignée !

    https://www.tvlibertes.com/pierre-antoine-plaquevent-tout-sur-soros-et-la-societe-ouverte

  • Trump : « l’Europe perd sa culture » à cause de l’immigration

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    Le président Donald Trump ose dire que l’Europe « perd sa culture » à cause de l’immigration, et que l’arrivée de plus d’un million de migrants issus de cultures étrangères a « changé le tissu de l’Europe » de manière permanente – et « pas de manière positive ».

    Dans un récent entretien avec le quotidien britannique The Sun (1), Trump a déploré le fait que les dirigeants européens aient laissé entrer autant de migrants dans leur pays.

    Trump est, comme beaucoup d’Américains, le descendant d’une famille originaire de pays européens, et il explique que la situation en Europe lui fait personnellement mal.

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  • Sur Figaro Vox, Éric Zemmour : « Trump est leur pire cauchemar ».

    Alerte: encore un livre à charge contre Trump, écrit cette fois par un anonyme. Avec toujours les mêmes reproches et les mêmes sarcasmes. Qui dissimulent un combat idéologique de fond.

    C’est devenu un genre en soi. Avec ses règles, sa logique, jusqu’à ses tics d’écriture, qu’on reconnaît du premier coup d’œil. On pourrait en rédiger à la chaîne. D’ailleurs, c’est ce que les Américains font. Le livre sur Trump est devenu en peu de temps ce qu’en jargon journalistique on appelle un marronnier. D’habitude, c’est un grand journaliste qui s’y colle ; ou un haut fonctionnaire viré par Trump. Cette fois, nous varions les plaisirs avec ce haut fonctionnaire qui ne révèle pas son identité

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  • Comment George Soros a infiltré la Cour européenne des droits de l’homme

    Un rapport accablant démontre la mainmise du réseau d’ONG du milliardaire sur la CEDH, qui impose à l’Europe son idéologie de la “société ouverte”. Révélations exclusives.

    L’Autriche, la Grèce et l’Italie sont forcées de légaliser les unions homosexuelles ; la Pologne est sommée de favoriser le droit à l’avortement ; la France est obligée d’autoriser le changement de sexe “sur le papier” ; la Hongrie est contrainte d’abolir la prison à vie ; la Russie est santionnée pour avoir condamné les activistes féministes punks des Pussy Riot ; l’Autriche doit légaliser l’adoption par les couples homosexuels ; l’application de la charia en Grèce est validée. Des affaires sans lien entre elles ? Au contraire. Chaque fois, c’est la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qui dicte sa loi à un pays européen. Chaque fois, une ONG liée au réseau de l’Open Society Foundations (OSF) est impliquée dans l’affaire. Chaque fois, l’un des magistrats qui prononcent le jugement est un ancien collaborateur de l’OSF ou de ses affiliées. Chaque fois, la sentence porte la marque de George Soros.

    Chapitre 1 : Aux sources d’une enquête, dans les arcanes du Palais des droits de l’homme

     

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  • Questions sans réponses

    6a00d8341c715453ef0240a50d9535200b-320wiIl paraît donc que ce 18 février à Mulhouse, chef de l'État, chef constitutionnel des armées, le président Macron a exprimé sa préoccupation devant ce qu'il appelle le séparatisme.

    On nous assure que ses services et lui-même auraient prudemment réfléchi depuis plusieurs mois devant l'élément de langage le moins explosif face à un politiquement correct, parfaitement rodé quant à lui.

    Il aurait désiré le mot qui coûterait le moins cher en termes électoraux et médiatiques.

    Et pour cela, il a choisi le terme, sémantiquement, le plus inapproprié : car séparatisme implique un projet de séparation.

    Mais, pour se séparer il faut être uni par quelque chose.

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  • Ces primaires américaines dont France Culture ne vous parlera pas…

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    Je l’avoue, mon tempérament masochiste me pousse, à l’occasion, à écouter France Culture, le dimanche matin, en me rasant. L’émission appelée « Esprit du service public » voulait répondre, ce matin, à la térébrante question qui tient les Français en haleine : comment, aux USA, le parti démocrate peut-il empêcher les « quatre ans de malheur » supplémentaires pour « la planète » que constituerait la réélection de Trump, cet automne ?

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  • Le Samedi Politique – Donald Trump : Vers un deuxième mandat ?

    Donald Trump est-il assuré de garder la Maison Blanche ? Avec une primaire démocrate très clivée qui peine à prendre, le président américain semble pour l’heure relativement apaisé.

    Après les deux premiers scrutins démocrates, Bernie Sanders semble favori de la primaire. Pour autant, le milliardaire et ancien maire de New York, Michael Bloomberg n’est pas encore entré dans la course. Avec un premier radicalement ancré et un second plus modéré, Donald Trump aurait tout à gagner avec une victoire de Bernie Sanders pour représenter les démocrates à l’élection générale.

    Le chemin est-il toutefois si tracé pour Donald Trump ?

    Gérald Olivier est journaliste et spécialiste des Etats-Unis. Il publie en mars « Sur la route de la Maison Blanche – Un dictionnaire des élections présidentielles américaines » (Ed. Picollec). Avec une grande clarté, il nous explique le déroulement de la primaire, les orientations des différents candidats et les chances de chacun. L’émission est aussi l’occasion de faire un bilan du premier mandat de Donald Trump sur sa politique intérieure comme au niveau international.

    En savoir plus sur la présidentielle américaine et Donald Trump en visionnant Politique & Eco n°194 – Evelyne Joslain : Donald Trump acte II

    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-donald-trump-vers-un-deuxieme-mandat

  • Les illusions de Trump sur l’état réel de l’économie américaine

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    Marc Rousset

    Lors de son discours du 4 février sur l’état de l’Union au Congrès, Donald Trump aurait mieux fait d’être un peu moins sûr de lui et triomphant, d’en rabattre un peu sur « tout ce qu’[il a] créé », sur « les réussites les plus palpitantes à venir devant nous », sur l’état réel de l’économie américaine, qui est en fait portée par une croissance malsaine et artificielle.

    Trump n’est pas à l’abri d’un retour de boomerang en pleine figure, d’un krach soudain à Wall Street, même s’il va tout faire dans les mois qui viennent, bien évidemment, pour ouvrir encore plus les vannes de la Fed, poursuivre sa politique de fuite en avant des dépenses publiques afin de passer au moins le cap des élections présidentielles en novembre 2020.

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  • L’euro au plus bas, signe de la relégation de l’économie européenne face à Trump

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    Cette semaine, l’euro a atteint le cours le plus bas depuis avril 2017, à 1,08 dollar pour un euro. Avril 2017, ça ne vous dit rien ? Ce sont les débuts de Trump à la Maison-Blanche, et rappelez-vous, tous les experts nous avaient prédit l’écroulement de l’économie américaine si son programme était appliqué. En fait, la hausse du dollar, depuis trois ans, traduit la confiance des marchés dans la politique suivie aux États-Unis et, a contrario, une défiance envers l’économie européenne engluée dans la stagnation. Depuis 2017, Trump applique fidèlement ses engagements et l’économie américaine se porte comme un charme : croissance à 3 %, chômage à 3 % correspondant en réalité au plein-emploi, hausse spectaculaire des salaires et du pouvoir d’achat, et la balance commerciale commence à se redresser.

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