Comme on l’avait pressenti avant le premier tour des élections municipales du 28 juin, l’encouragement par Macron de toutes listes communautaires sans distinction ni restriction s’est aussitôt traduit par l’intrusion politique, par voie légale, d’activistes islamiques. Jusqu’à installer à un poste officiel de représentation et de décision publique un individu qui serait fiché S (menace pour la sécurité nationale), selon L’Express, accusation niée par l’intéressé et qui lui a déjà donné l’occasion d’engager une plainte pour diffamation.
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Et pendant ce temps, l’islamisme fait son lit politique dans une France hystérique…
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Goussainville : un fiché S élu maire ?
Abdelaziz Hamida a été élu maire de la commune de Goussainville (Val-d’Oise), dimanche 28 juin. Problème : la tête de liste « citoyenne » serait fichée S pour islamisme, selon un article de L’Express du 25 septembre 2019.
Quelles sont les intentions d’Abdelaziz Hamida ? « Être le maire de tous les Goussainvillois », répond-il, au soir de son élection, dimanche 28 juin. Mais son profil inquiète depuis que des accusations prétendent que cet ancien adhérent Les Républicains serait… fiché S pour « islamisme radical ».
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La polygamie, une « expérience formidable » ? C’est ce qu’affirme l’égérie féministe Assa Traoré
Ce pays est décidément en marche. Son gouvernement, ses manifestants – pas un mois sans que ne s’ébranle un cortège de mécontents sur le pavé – et, surtout, sa morale. Qui avance si vite que l’on peine à suivre.
Prenez la polygamie. Eh bien, on peut désormais dire haut et fort, dans Paris Match, que c’est une « expérience formidable ». C’est, en tout cas, ce qu’affirme Assa Traoré (numéro du 11 juin dernier), forte de l’exemple de son père, « leader charismatique » arrivé du Mali à 17 ans pour y travailler au service de la propreté de la ville de Paris, qui s’est marié quatre fois, donnant le jour à 17 enfants : après avoir divorcé de deux Françaises, épousées, celles-ci, successivement, il a fait ménage à trois avec les deux dernières, d’origine malienne, Hatouma et Oumou, respectivement mères d’Assa et Amada : « Les deux compagnes cohabitent, les dix enfants qui naissent ne font aucune différence entre elles, ce sont [leurs] deux mères ». Ces dernières elles-mêmes « n’ont jamais fait de distinction entre tous ces petits »… c’est donc un tableau idyllique que dépeint la jeune femme, rapporté par deux journalistes dans les colonnes du magazine sans l’ombre d’une distance critique.
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Pendant la crise sanitaire, l’islamisme progresse…
Alors que le deuxième tour des municipales ne passionne pas vraiment les foules, il pourrait bien voir des victoires symboliques pour l’islamisme et le grand remplacement. Ainsi, à Goussainville, dans le Val d’Oise, à proximité de Roissy, un certain Abdelaziz Hamida est bien placé pour l’emporter dimanche, puisqu’il est arrivé en tête du premier tour avec 34,4% – avec, doit-on préciser, une participation très faible de 37,9%, dont 3,7% de votes blancs ou nuls!), loin devant la candidate LR, Elisabeth Hermanville (25,7%).
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Relaxe générale pour l’occupation du chantier de la mosquée de Poitiers !
Ce vendredi 19 juin, la cour d’appel de Poitiers a finalement décidé de relaxer les 5 militants poursuivis dans cette affaire. Voici la réaction du mouvement identitaire.
Après 8 ans de procédure, la cour d’appel de Poitiers a relaxé ce vendredi les 5 militants identitaires poursuivis depuis 2012 pour l’occupation du chantier de la mosquée de Poitiers.
En première instance, nous avions été condamnés à des peines délirantes : 1 an de prison avec sursis, 5 ans de privation des droits civiques et familiaux et 40 000 euros d’amende et de dommages et intérêts.
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Dossier – Comment Soros a forgé l’alliance entre antifas et musulmans
Le cas Linda Sarsour
Linda Sarsour est une activiste musulmane très médiatique aux Etats-Unis. Bien que toujours voilée et prenant la défense de la charia, elle occupe depuis plusieurs années une place influente dans la plupart des grands événements féministes et intervient tour à tour au nom de divers mouvements.
Elle a soutenu et rencontré Barack Obama lorsqu’il était président des Etats-Unis. Elle soutient aujourd’hui Bernie Sanders.
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Et si l’on cessait enfin d’ouvrir des boulevards à l’islamisme ?
Par J. d’Antraigues, ancien élève de l’Ecole polytechnique ♦ S’il y a une ligne directrice dans l’action politique d’Emmanuel Macron, c’est bien, en conformité totale avec l’idéologie mondialiste et avec l’appui de la classe politico-médiatique, de déblayer au maximum le terrain juridique pour, non seulement l’immigration de masse, mais aussi le communautarisme musulman et la criminalisation de la critique de l’islam.
De l’introduction du « fait religieux » dans l’entreprise par loi Macron-El Khomry de 2016 à la loi Avia, on retrouve dans cette action exactement la ligne directrice que la France s’est engagée à adopter en signant le pacte de Marrakech.En cliquant sur le lien ci-dessous, nos lecteurs pourront lire l’excellent travail de J. d’Antraigues sur cette problématique de première importance qu’est l’islamisation de la France. Bonne lecture !
Lien du PDF : Et si l’on cessait enfin d’ouvrir des boulevards à l’islamisme ?
https://www.polemia.com/et-si-lon-cessait-enfin-douvrir-des-boulevards-a-lislamisme/
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I-Média n°303 – Arabes contre Tchétchènes : le califat de Dijon
Sommaire
03:05 L’image de la semaine – Hommage à Jean Raspail
Jean Raspail est mort samedi 13 juin. Il était aventurier et écrivain mais sera entré dans la postérité en tant que prophète grâce au Camp des saints. Nous reviendrons sur ce décès et sur le traitement médiatique qui en a suivi.
06:42 Arabes contre Tchétchènes : la bataille du califat bourguignon
L’année 2020 n’en finit pas de nous réserver des surprises incroyables… Cette semaine, c’est une bataille à distance entre membres de la communauté tchétchène et maghrébine qui a eu lieu à Dijon pendant plusieurs soirées… Et le silence médiatique a longtemps été… assourdissant !
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Tchétchènes vs Maghrébins : “On peut attaquer un chrétien, mais on peut pas attaquer un frère musulman”
Voici un message d'espoir et de paix afin que les #Maghrebins et #Tchetchenes se réconcilient. #Dijon
Comme le dit cette dame : "Entre frères, entre Musulmans, ça se passe pas comme ça normalement. On peut attaquer un chrétien, mais on peut pas attaquer un frère musulman"De fait, entre les communautés tchétchène et maghrébine, l’armistice s’est négocié… à la mosquée de la Fraternité, à Quétigny, près de Dijon.
Et selon la journaliste Anne Nivat, il n’y a pas eu d’arrestation de Tchétchène :
Il n’y a eu AUCUNE arrestation de #tchétchène à #Dijon. Les Tchétchènes avaient eux mêmes prévenu les forces de l’ordres locales de leurs intentions. Ces dernieres ont laissé faire tant qu’il n’y avait pas de casse.
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Attaque islamiste de la préfecture de Paris : l’accablant rapport de la commission parlementaire, par Franck Deletraz
Après huit mois d’enquête, la commission parlementaire dirigée par Eric Ciotti (LR) et chargée de faire la lumière sur l’attaque de la préfecture de police de Paris, le 3 octobre 2019, par l’islamiste Mickaël Harpon, a rendu mercredi son rapport. Un rapport sans grande surprise, puisqu’une bonne partie de son contenu a déjà été révélée en février, mais qui conclut une fois de plus à « de graves défaillances » dans le suivi de Harpon, dont des actes auraient dû alerter sa hiérarchie.
Une succession de « signaux » ignorés
Présenté à huis clos, ce rapport, révélé par Le JDD et Le Parisien, souligne ainsi que plusieurs signaux auraient dû alerter les autorités au sujet de Harpon. A commencer par les propos que celui-ci avait tenus devant ses collègues en janvier 2015 au sujet des attentats de Charlie Hebdo. Des propos qui, rappellent les auteurs du rapport, « revêtaient une évidente gravité », mais n’ont pourtant fait l’objet d’aucun signalement. Pour la commission d’enquête, c’est « le dysfonctionnement le plus grave de l’affaire Harpon ». L’autre élément à charge contre le comportement de l’informaticien et contre le suivi de son évolution est sa conversion à l’islam après son mariage entre 2009 et 2011, conversion qui l’avait notamment conduit à ne plus saluer les femmes. Or, malgré plusieurs remarques de ses supérieurs, souligne la commission d’enquête, là encore, aucun signalement n’avait été effectué… Bref, autant de « failles » de sécurité inconcevables, insistent les députés, qui ont permis à Harpon de passer à travers les radars de l’antiterrorisme et de tuer à l’arme blanche quatre de ses collègues.