Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

islamisme - Page 126

  • Antiracisme et antifascisme comme prétextes

    6a00d8341c715453ef0263e94f807d200b-320wiDérivatifs presque aussi mondialement répandus que la pandémie du coronavirus, les  manifestations mais aussi les violences et pillages de ces derniers jours, laissent évidemment perplexes. Partout dans le monde on nous somme de rendre hommage à George Floyd, cet honnête délinquant victime aux États-Unis d'une brutalité policière, certes assez choquante.

    Et en France, par un effet de mimétisme inexplicable, on déterre une affaire présentée comme analogue remontant à plusieurs années, et des militants se rassemblent par milliers pour dénoncer un "racisme dans la police" amenant le ministre de l'Intérieur à s'aligner et à ordonner qu'on fasse de ce problème une priorité.

    Sans doute les excès du confinement ont-ils contribué préparer une partie de la population à cette divagation unilatérale conduisant surtout au racisme anti-flic.

    Lire la suite

  • Il décapite sa fille : au nom du Code pénal islamique, il ne risque que trois à dix ans de prison

    romina.png

    Chacun a ses priorités, ses centres d’intérêt, ses causes à défendre. Les journaux n’échappent pas à cette règle. Lundi dernier, un Afro-Américain meurt asphyxié sous le genou d’un policier au cours d’une interpellation des plus musclées, pour ne pas dire des plus violentes. Cela se passait à Minneapolis, dans le Minnesota. Les images font le tour du monde et la une de tous les médias. Cet homme de 46 ans, qui avait été interpellé pour un délit mineur, s’appelait George Floyd. Aujourd’hui, tout le monde connaît son nom.

    Sur fond de tensions raciales toujours présentes, des émeutes s’en sont ensuivies. La violence appelle la violence. Évidemment, on est à l’affût des écarts de discours que pourrait commettre Donald Trump. Ce ne serait que bonheur. Désormais, on sait tout ou à peu près tout de ce malheureux dont on fera vite un martyr, assurément. Cette affaire est évidemment triste, déplorable et, d’ailleurs, devrait peut-être inviter la célébrissime  à relativiser ses propos sur ces policiers qui massacrent à tour de bras, ici, en France. À l’heure où ces lignes sont écrites, Le MondeLibé20 Minutes et Le Huff titrent, rendent compte, analysent sur et autour de cette affaire. À juste titre, car un homme ne devrait pas mourir comme ça.

    Lire la suite

  • La France islamisée à marche forcée 2/2

    unnamed.jpg

    Nos cimetières menacés

    Et comme si cela ne suffisait pas, voilà que l'on s'en prend aussi à nos cimetières. Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur a ainsi signé en février 2008 un décret encourageant les maires (encore eux !) à développer les carrés confessionnels dans les cimetières. Lesquels sont des espaces laïcs soumis à la loi de 1887 mais le maire, par son pouvoir de police, est autorisé à désigner l'endroit où les défunts seront inhumés et donc à créer de fait des carrés. Une circulaire de 1991 précise que ces carrés ne doivent pas être séparés par des barrières et que seules les tombes peuvent porter des symboles religieux. Le nouveau texte incitatif se veut un signe politique envoyé aux élus. Car la demande est en pleine explosion, marquant un phénomène de fond. Par le passé, la majorité des immigrés du Maghreb étaient enterrés dans leur pays d'origine. Par fidélité à leurs racines comme par tradition religieuse, l'islam recommandant de reposer en terre musulmane. Jusqu'à récemment, les Algériens se cotisaient au sein d'amicales pour financer ce retour. Mais ces structures se délitent et rendent le rapatriement du corps plus complexe et onéreux. Le gouvernement tunisien finance lui le retour des dépouilles, tandis que les Marocains souscrivent des assurances spécifiques auprès des banques. 85 % des défunts originaires du Maghreb sont encore enterrés au pays, selon une étude menée par le Fonds d'action et de soutien pour l'intégration et la lutte contre les discriminations (Fasild).

    Lire la suite

  • La France islamisée à marche forcée 1/2

    unnamed.jpg

    Il ne se passe plus une semaine sans que l'on apprenne le projet de construction d'une nouvelle mosquée. Aux deux mille lieux de culte mahométans déjà édifiés dans notre pays s'ajoutent désormais de nombreux projets de sanctuaires de taille importante lancés à travers la France à Marseille, à Strasbourg, à Nantes, à Paris, à Tours, à Saint-Denis, à Cergy-Pontoise. La grande mosquée de Créteil qui comprend deux mille places, a ainsi accueilli le 3 décembre ses premiers fidèles avant une inauguration en grandes pompes en présence des autorités locales, le 18 décembre. Parallèlement, des dizaines de projets de moindre importance ont été lancées dans des villes moyennes.

    Mosquées-cathédrales : elles sont partout

    Au total, pas moins de 200 projets sont en cours selon le ministère de l'Intérieur. L'apparition de ces dômes et de ces minarets, prévus dans la plupart des grands projets, modifie considérablement le paysage urbain, ce que reconnaît même Le Monde dans son édition du 3 décembre mais sans bien sûr s'en scandaliser. Et l'ouverture de ces nouveaux lieux de culte démultiplie les surfaces de prière accessibles aux fidèles mahométans. Selon les estimations les plus courantes, entre 20 % et 30 % des quelque 5 millions de personnes de confession musulmane vivant en France se rendraient régulièrement à la mosquée. De sorte que l'on peut se demander s'il n'y a pas d'ores et déjà en France plus de musulmans pratiquants que de catholiques se rendant à l'église le dimanche. En terme de pratique religieuse et de dynamisme, l'islam est en passe de devenir la première religion de France, même si elle l'est déjà depuis longtemps sur le plan du traitement médiatique.

    Lire la suite

  • Economie, finance, le jour d’après avec Pierre Jovanovic

    2478566195.png

    Pierre Jovanovic : "Le Mossad s’en donne à cœur joie en France"

    Au sommaire de cette seconde partie du numéro 255 de Politique & Eco :

    - À qui profite le crime de la pandémie ? Bill Gates, prémonition ou prévision ?
    - Deux mois de prison à domicile et 400 000 commerces et PME au tapis
    - Un collaborateur de Véran véreux
    - Corruption, assassinat de personnes âgées, mensonges publics, mise en danger de la vie d’autrui, dissimulation de preuves...
    - Les banques centrales rachètent l’or qu’elles avaient vendu !
    - La France comme le Liban.
    - La Macronie est-elle en train de couler ?
    - Les fonds de pension en question
    - Adieu à l’épargne

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La République contre la France et les Français : à l’école l’arabe oui, le breton et le corse non

    Faute d’argent, l’Education nationale change les règles concernant l’étude du breton et du corse dans les écoles primaires.

    Un dispositif avait été mis en place en 2000 prévoyant « une initiation » à la langue régionale « dans les trois cycles de l’école primaire à l’exception des élèves de petite section. Cette initiation se fait sur la demande de l’école et est intégrée à son projet. Les cours, d’une durée d’une heure, se déroulent une fois par semaine sur le temps scolaire. »

    Lire la suite

  • Ces 20 attentats islamistes trop vite oubliés (Vidéo)

    Leur récurrence a fait leur banalité. Ces dernières années ont été marquées par d’incessants attentats islamistes, perpétrés pour la majorité par d’anciens délinquants radicalisés et issus de l’immigration extra-européenne. Retour sur 20 attaques terroristes qui ont touché la France. Une vidéo Valeurs actuelles en partenariat avec l’Institut Libre de Journalisme.


    https://www.tvlibertes.com/actus/ces-20-attentats-islamistes-trop-vite-oublies-video

  • CEDH : des terroristes étrangers invoquent les droits de l’homme pour rester en Europe

    CEDH : des terroristes étrangers invoquent les droits de l’homme pour rester en Europe

    N’est-il pas paradoxal de voir des terroristes de Daech invoquer les « droits de l’homme » pour être autorisés à rentrer en Europe, ou pour ne pas en être expulsés, alors même qu’ils en détestent la culture et l’ont combattue, au point de se rendre coupables de crimes de guerre et de génocides ? De tels cas se multiplient devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH).

    L’ECLJ est intervenu dans deux d’entre eux, afin de porter une interprétation des droits de l’homme qui ne soit pas naïve, tout en restant ferme sur les principes.

    À cette occasion, l’ECLJ vient de publier un nouveau Rapport sur les conditions du retrait de la nationalité des terroristes.

    Dans l’une de ces affaires, un ancien combattant de Daech, issu d’un couple mixte danois et tunisien, conteste la déchéance de sa nationalité danoise et son expulsion vers la Tunisie, dont il est ressortissant. Dans l’autre, un Irakien conteste son expulsion vers l’Irak pour avoir organisé le financement d’une organisation terroriste irakienne depuis l’Allemagne, où il vit avec son épouse turque et leurs enfants (de double nationalité allemande et turque).

    Par ces affaires, la CEDH doit donc se prononcer sur deux questions importantes :

    1. Un État européen peut-il retirer sa nationalité puis expulser hors d’Europe un terroriste ayant jusqu’alors une double nationalité ?
    2. Un État européen peut-il expulser un terroriste étranger ayant fondé une famille binationale sur son territoire ?

    Lire la suite

  • Damien Rieu : « Combattre ceux qui soutiennent les djihadistes n’est pas une incitation à la haine ! »

    capture-decran-2020-05-21-a-12-37-48.png

    Le procès en appel de Damien Rieu et d’autres militants patriotes qui avaient occupé le chantier de la mosquée de Poitiers, en octobre 2012, se tenait ce mercredi, devant le tribunal correctionnel.  L’avocat général a écarté le délit de « provocation à la haine » pour ne retenir que des éléments anecdotiques.

    Damien Rieu revient sur ce procès et évoque, au micro de Boulevard Voltaire, les raisons de son engagement.

    Vous sortez peut-être de l’avant-dernier acte du procès qui vous oppose à la mosquée de Poitiers. Quelle est la seule charge retenue contre vous ?

    Lire la suite

  • Turquie : Erdogan désigne injurieusement les survivants des massacres turcs de chrétiens !

    Le 4 mai, lors d’une réunion d’information sur le coronavirus, le président turc Recep Erdogan a utilisé l’expression de « rescapés de l’épée », dans une rhétorique paranoïaque dont il est familier.
    Ce terme très péjoratif désigne de façon assez inhumaine les survivants des grands massacres commis envers les minorités chrétiennes spécialement, par les Turcs entre 1894 et 1924…
    L’utilisation de cette expression par le conquérant et vindicatif Erdogan, qui semble se prendre pour un nouveau sultan, est scandaleuse mais aussi inquiétante…

    De Uzay Bulut, journaliste turc, sur Gatestoneinstitut :

    « « Nous ne permettrons pas à des rescapés de l’épée de mener des activités [terroristes] dans notre pays », a-t-il dit. « Leur nombre a beaucoup diminué mais il en existe toujours ».

    « Rescapés de l’épée » (kılıç artığı en turc) est une insulte courante à l’encontre des survivants des massacres perpétrés contre les chrétiens – Arméniens, Grecs et Assyriens – dans l’ex-Empire ottoman puis en Turquie.

    Qu’un chef d’Etat comme Erdogan emploie publiquement cette expression a de quoi alarmer. Non seulement parce qu’il insulte les victimes et les survivants de massacres, mais parce qu’il met également en danger l’actuelle communauté chrétienne turque déjà en butte à des « pressions » ou les attaques physiques sont monnaie courante.Garo Paylan, député arménien au Parlement turc, a protesté sur Facebook :

    Lire la suite