
Le député Emmanuelle Ménard est interrogée dans Valeurs Actuelles sur le projet de loi du gouvernement « confortant le respect des principes de la République ». Extraits :
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Le député Emmanuelle Ménard est interrogée dans Valeurs Actuelles sur le projet de loi du gouvernement « confortant le respect des principes de la République ». Extraits :

© Richard Ying et Tangui Morlier / CC by-sa
L’Assemblée nationale a commencé la discussion du projet de loi qui à l’origine était destiné à combattre le séparatisme islamiste. Le sujet particulièrement difficile va préoccuper les députés pendant 15 jours. Les responsables religieux s’inquiètent d’une remise en cause des équilibres établis autour de la loi de 1905.
Le débat qui s’est ouvert hier à l’Assemblée nationale sur le projet de loi confortant le respect des principes de la République est d’évidence à haut risque. D’abord parce qu’il traite de la question cruciale du séparatisme islamiste. Impossible de l’éluder, elle est du plus strict intérêt public pour l’équilibre social et même pour la paix sociale.
Sur sa chaîne YouTube, Jean Messiha revient sur l’affaire de Génération identitaire et les menaces proférées par Gérald Darmanin.
Chers amis, on se retrouve comme chaque semaine pour une nouvelle vidéo. J’ai décidé de vous parler cette semaine de l’affaire de génération identitaire puisque vous savez que la semaine dernière, il y a eu un grosse émission de balance ton post consacré à la demande de dissolution de génération identitaire et puis effectivement il y a une actualité brûlante puisque Gérald Darmanin étudie les pistes pour cette dissolution et a même demandé au parquet d’ouvrir une enquête donc cette vidéo est consacrée à cette problématique que je vais mettre en perspective pour vous, pour essayer de mieux vous faire comprendre les enjeux et les dessous de cette histoire.
Le confinement ne sert à rien. A rien, sinon à déresponsabiliser les gens et à créer un système mentalement oppressif et économiquement destructeur.
Après un an d’hystérie sanitaire, la raison a tenté une percée vendredi soir, avec la décision d’Emmanuel Macron, annoncée par son premier ministre, de surseoir au troisième confinement jusqu’alors annoncé comme imminent. “J’ai confiance en nous“, a tweeté samedi le chef de l’Etat, en feignant d’oublier sa précédente politique d’infantilisation et de culpabilisation des Français.

Eric Zemmour évoque d’une part la désobéissance civile, d’autre part la loi liberticide sur les principes républicains, laquelle, créée d’abord pour résoudre les problèmes nés de l’islamisation de la France, se retrouve être une loi contre nos libertés : religieuses, éducatives…


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Dimanche 31 janvier matin, le collectif féministe Némésis a organisé une manifestation au Trocadéro à l’occasion du « No Hijab Day », journée sans voile créée par une féministe anglaise en février 2020 pour prendre le contre-pied du « Hijab Day », journée faisant la promotion du voile islamique. Ces militantes étaient revêtues symboliquement du niqab. Boulevard Voltaire a interviewé la responsable de ce collectif.
Vous êtes la responsable du collectif Némésis, collectif féministe. Vous étiez une vingtaine de militantes à manifester place du Trocadéro arborant une burqa. Pourquoi avoir organisé ce happening ?

Le collectif Nemesis a mené une action « #nohijabday » et contre l’islamisation ce dimanche matin au Trocadéro à Paris. Alice, la présidente du groupe, a été interpellée par la police.
Le 18 janvier 2020 éclatait « l’affaire Mila » du nom de cette adolescente menacée de mort par des centaines d’individus après avoir tenu des propos peu élogieux concernant l’islam.
Le discours était bien ficelé, il a suffi d’une image pour le ruiner. Alors que Macron s’exprimait le 18 février contre le « séparatisme isalamiste », il s’est fait photographier en compagnie d’une jeune femme portant le voile intégral. Symbole parfait de son impuissance.
Le verbe était haut, la voix ferme. Macron a étalé son courage, le 18 février dernier au « Quartier de Reconquête Républicaine » de Bourtzwiller à Mulhouse. Le Président a osé nommer le « séparatisme islamiste » ! Oh, le joli mot, « séparatisme » ! Plus précis que la « radicalisation » (qui n’était jamais islamiste), plus fort que le « communautarisme », les précédentes marottes présidentielles sur le thême de l’islamisme conquérant.