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MONSIEUR PATY, LES ISLAMISTES ET LA RÉPUBLIQUE
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Nouvelle décapitation terroriste islamiste à Nice : on en a marre.
La basilique Notre-Dame de l'Assomption, à Nice. Mister No - Creative Commons
Dans l'attente de développements de l'enquête, nous redonnons la position que nous avons exprimée juste après la décapitation de Samuel Paty :
La basilique Notre-Dame de l'Assomption où a eu lieu la décapitation :
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Guillaume Bigot, après l’attentat de Conflans : « On assiste à un retournement de veste des politiques sur l’islamisme »
Depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, on assiste à de nombreuses prises de parole de la part des politiques ayant la volonté d’engager « la guerre » contre l’islamisme.
Guillaume Bigot, qui vient de publier La Populophobie (Plon), s’interroge sur la portée de la parole de la classe politique et se dit « écœuré » devant l’hypocrisie de ceux qui dénoncent l’islamisme après avoir souvent « cherché l’accommodement » .
Depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, on sent une volonté de la part de nos politiciens d’engager la guerre, pour reprendre leurs mots contre le terrorisme islamiste. Cependant, derrière les mots, on attend encore une action claire. Le moins que l’on puisse dire, la parole est assez chaotique. Quelle est votre opinion sur la parole politique ?
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Franceinfo : de l’art de la minimisation du poids de l’islamisme à l’école
Dans la masse des reportages diffusés sur Franceinfo depuis l’assassinat islamiste du professeur Samuel Paty le vendredi 16 octobre 2020 à proximité du collège où il travaillait, l’émission « le choix de franceinfo » donnait à entendre un reportage très prudent et peu « stigmatisant » le lundi 19 octobre 2020.
L’émission d’Alexis Morel proposait ce sujet : Contestations d’enseignement : « Nous sommes confrontés à une remise en question de la parole du professeur par rapport aux réseaux sociaux ». Le reportage explique « le désarroi » de nombreux enseignants face « aux réactions de certains de leurs élèves sur des parties jugées sensibles du programme ».
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IMPOSER LES CARICATURES, EST UNE FAUTE POLITIQUE ET PSYCHOLOGIQUE !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Pour le président de la République, il semble que l’horizon indépassable de la lutte contre l’islamisme, soit la publication ad vitam aeternamdes caricatures de « Charlie Hebdo » sur le Prophète. Pense-t-il guérir ainsi la fièvre musulmane qui s’est emparée du monde arabe, mais pas que ?
Est-il opportun d’agiter le chiffon rouge devant une communauté prompte à s’embraser, dès que l’on touche aux « poils de la barbe du Prophète » ? (Barbe supposée, car dans le monde musulman, il n’y a pas de représentation graphique des visages…). Surtout, alors que l’on est incapable, par manque de volonté politique, de faire régner l’ordre dans les zones de non droit et autres quartiers difficiles, il est inutile d’exciter la haine des fidèles. Des prédicateurs sournois et autres imams autoproclamés n’attendent que cela.
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Appels à la décapitation, demande de rançons : résister aux menaces islamistes
Jérémie Bréaud est le maire nouvellement élu de Bron, ville de 38 000 habitants de la banlieue de Lyon. Cette ville a basculé à droite le 28 juin, après une très longue mainmise du PS et du PC. Jeudi matin, les habitants de Bron ont découvert des appels au meurtre peints sur les murs de la ville : « Jérémy Breaud on va te décapité » et aussi « Nik la mumu ». La mumu en question, c’est la police municipale. Ces menaces sont prises au sérieux, et le maire est désormais sous protection policière.
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Haute-Saône : un lycéen converti à l’islam et radicalisé appelle, sur Internet, à répéter l’attentat de Conflans
Depuis la mort de Samuel Paty, la vigilance des autorités s’est accrue pour traquer, sur les réseaux sociaux, les messages soutenant le terrorisme islamiste. Un lycéen de 16 ans a été interpellé, dimanche, à Lure, en Haute-Saône, et placé en garde à vue après avoir posté, le 20 octobre, sur Internet, ce message menaçant : « Quelconque mécréant souhaitant salir l’islam mérite de subir le même sort que M. Paty Allahou Akbar », a annoncé, lundi, le parquet de Vesoul.
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Zoom – Ivan Rioufol : « Il y a une contre-société islamiste en France »
Le journaliste et éditorialiste du Figaro se bat depuis des années contre la montée de la violence islamiste. Chaque jour, les faits lui donnent raison. Malgré les menaces et les insultes, Ivan Rioufol s’en prend au « Camp du Bien » et n’hésite pas à prendre la défense des Gilets Jaunes, de Trump, de Raoult qui agacent tant le système ! Relire les analyses hebdomadaires d’Ivan Rioufol (rassemblées dans « Le réveil des somnambules ») montre à quel point les faits sont têtus. L’auteur s’inspire du cardinal Sarah : »Tant que nous n’aurons pas conscience de la gravité de notre déchéance, nous ne réagirons pas ! ».
https://www.tvlibertes.com/zoom-ivan-rioufol-il-y-a-une-contre-societe-islamiste-en-france
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La marche turque, par Georges-Henri Soutou.
Balkans, Chypre, Grèce, Syrie… La Turquie veut redevenir une puissance méditerranéenne. Faut-il la laisser faire ?
Une crise, qui couvait depuis des années, est passée en quelques mois au centre des préoccupations internationales : celle qui oppose la Turquie à la Grèce et à Chypre, et dans laquelle la France se trouve très impliquée. Résumons le contexte. Grecs et Turcs ne sont pas d’accord sur leurs frontières maritimes respectives (eaux territoriales et zones d’exploitation économique exclusives), autour des nombreuses îles grecques qui se trouvent tout près du littoral turc.
Ce n’est pas le seul cas, et les tribunaux internationaux règlent ces questions épineuses souvent en limitant ces zones autour d’îles qui pourraient, sinon, rendre difficile la situation du pays voisin. Mais la Turquie n’a pas signé la Convention de l’ONU sur le droit de la mer.
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Dernières nouvelles d’Allemagne (et de Finlande) : « la terreur islamiste est une menace permanente »
Il semblerait qu’un frémissement de courant d’air idéologique se fasse jour dans l’entre-soi médiatico-politico-journalistique parisien. Après les crimes de guerre (puisque « nous sommes en guerre » et que nous parlons de crimes) du Bataclan, et Nice il y aura cinq ans bientôt, je ne suis pas vraiment étonné que les colossales forces inertielles idéologiques à l’œuvre en France et en Europe aient permis une nouvelle et énième boucherie islamiste dont la victime est un enseignant cette fois. L’on nous épargna, du moins, les précédents océans de « bisounourseries » à base d’allumettes et de cire, de sucreries émotionnelles ou autres actes de résistance héroïque devant une bonne bière en terrasse.