Marine Le Pen sur l’affaire Mila : « Le fondamentalisme islamiste est en train de ravager notre pays »
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Marine Le Pen sur l’affaire Mila : « Le fondamentalisme islamiste est en train de ravager notre pays »
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Urgence ... islamisme et Turquie
Préparant une conférence, qui sera consacrée au sujet et que je suis invité à donner le 24 février, je rassemblerai à partir d'aujourd'hui, en marge de cette un certain nombre d'éléments d'information et, partant de là, de réflexions, sur l'actuel contentieux euro-turc et particulièrement franco-turc : occulté dans la plupart des médias de l'Hexagone, il occupe une place de choix sur le site d'information, ou plutôt de désinformation, de l'agence officielle de l'État turc Anadolu.
À ce sujet il faut dire merci au quotidien Présent d'avoir eu le courage de reprendre les deux informations ci-dessous que vous ne trouverez guère dans les journaux du système[1]et que je reproduis sans honte.
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Mila : qui n’a dit mot consent
59% des jeunes soutiennent les harceleurs et se prononcent pour l’interdiction du blasphème. Céline Pina s’inquiète: l’Affaire Mila nous parle de la fin de notre république, selon elle.
En ce début février, le sondage révélé par Charlie Hebdo suite à l’affaire Mila et portant sur le droit au blasphème a de quoi faire frémir. Une jeune fille risque sa vie alors qu’elle n’a rien fait de mal et 50% des Français, au lieu de la soutenir, défendent la sacralisation d’une religion en utilisant les mots des islamistes, dont un qui fut naguère beau mais justifie aujourd’hui toutes les soumissions : le respect.
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[VIDÉO] Débat Eric Zemmour/Marlène Schiappa : « Ah bon ? Mohammed c’est un prénom islamique ? »
Eric Zemmour : « Il y a des départements comme la Seine-Saint-Denis où se sont les prénoms islamiques qui sont en tête.
Marlène Schappa : – C’est quoi un prénom islamique ?
– Mohammed c’est un prénom islamique, c’est un prénom qui sort du Coran.
– Ah bon ? »Face à l’info sur CNews : à regarder en replay ici
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Albi : des drapeaux du Maroc, de la Tunisie et de l’Algérie accrochés sur le toit de l’Église, le prêtre porte plainte
Ce dimanche 9 février, dans le quartier de Rayssac d’Albi (Tarn) un groupe de jeunes a été surpris alors qu’ils accrochaient des drapeaux du Maroc, de la Tunisie et de l’Algérie sur le toit de l’Eglise- Saint -Jean-Baptiste.
Le curé de la paroisse, le Père Paul de Cassagnac a déposé plainte ce lundi 10 février exprimant son soutien aux témoins de cette scène. En réponse l’archidiocèse publia un communiqué où ils reprennent les mots du Curé qui appelle à : « rechercher la paix et à réveiller le sens religieux »Suite à l’appel d’un riverain la Police s’est immédiatement rendue sur les lieux mais les jeunes étaient déjà partis et les drapeaux décrochés.
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Djihad politique aux Municipales
Les Municipales seront-elles marquées par l’émergence de listes islamistes ? Le phénomène inquiète, mais il est encore incertain. Il ne représenterait en tous états de cause que la partie émergée de la pénétration islamiste dans nos communes.
« Non aux listes communautaristes » ! Cri d'alarme ou écran de fumée ? À l'approche des Municipales, nombreux sont ceux qui se sont émus de la possibilité de listes communautaires - comprendre « musulmanes », en Nov-langue - dans le scrutin de mars prochain.
Le 8 novembre, Bruno Retailleau déposait une proposition de loi pour l'interdiction des listes communautaires. Alors que Macron se prononçait contre le 19 novembre dernier, Gérard Larcher, président du Sénat, confiait qu'« aux Municipales de 2020, le problème [de l'infiltration de salafistes ou de Frères musulmans dans les listes électorales] pourrait se poser en certains points du territoire ». Céline Pina, militante de gauche laïque engagée contre l'islamisme, publiait une tribune appelant à interdire de telles listes. Dans son collimateur, l'Union des démocrates musulmans français (UDMF), pointant justement que « cela dépasse la question de la laïcité. C'est une question civilisationnelle. »
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Familles de djihadistes : premier examen de la CEDH d’une requête contre la France
La CEDH va examiner pour la première fois une requête déposée contre la France par des grands-parents suite au refus de rapatrier leur fille et ses enfants de Syrie.
La Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a pour la première fois accepté d’examiner une requête déposée contre la France pour son refus de rapatrier une famille de djihadistes, a indiqué ce lundi auprès de l’institution judiciaire du Conseil de l’Europe.
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Cet islam politique qui s’installe en France
Depuis une dizaine d’années seulement, un islam intégriste noyaute les banlieues et obtient un pouvoir grandissant grâce à son investissement électoral et associatif, décrit François Pupponi.
Maire de Sarcelles pendant vingt ans, de 1997 à 2017, et habitant de cette ville depuis plus de cinquante ans, François Pupponi a tout vu : la pauvreté grandissante de certains quartiers, l’écart qui se creuse entre ce territoire perdu de la République et les grandes métropoles, « l’ensauvagement des “ jeunes issus de la diversité” », l’une des plus violentes manifestations antisémites depuis 1945 et enfin l’irruption il y a peu d’un islam radical gangrenant tous les milieux, associatif, cultuel, sportif et social. C’est donc avec les yeux de l’expérience qu’il décrit dans un livre témoignage, les Émirats de la République, comment des musulmans fondamentalistes prennent le pouvoir dans les municipalités et finissent par être une menace pour la République, au grand dam de la communauté musulmane elle-même et des autres habitants. Un récit instructif et riche d’enseignements.
Découvrez cet entretien paru dans Valeurs Actuelles. -
Avec l’affaire Mila, l’islamophobie en prend un coup
L’« affaire Mila » se dégonfle peu à peu. Nicole Belloubet est allée à Canossa en passant par Le Monde pour expliquer que le délit de blasphème n’existe pas en France, que « juridiquement, l’insulte à la religion n’existe heureusement pas dans notre République. Seules sont réprimées les injures faites à autrui en raison de son appartenance à une religion déterminée, comme celles adressées à une personne en raison de ses origines, de ses orientations sexuelles, de son sexe… » Dont acte.
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L’année 2020 démarre par une explosion de violences
Le bilan de la délinquance en France pour l’année 2019 était mauvais. L’année 2020 démarre par une explosion de la violence au quotidien. Les chiffres que Le Figaro a décortiqués sont ceux du gouvernement lui-même, tirés de l’«état 4001», qui reflète l’activité des services de police et de gendarmerie. Ils révèlent que les infractions les plus graves subissent un véritable choc statistique.
https://www.tvlibertes.com/actus/lannee-2020-demarre-par-une-explosion-de-violences