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islamisme - Page 154

  • Islam en France, islam de France ?

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    Jérôme Besnard est élu local et conseiller national du parti les Républicains.Il a travaillé comme collaborateur d'élus dans plusieurs villes concernées par une forte activité islamique. Il a également été chargé d'enseignement en droit constitutionnel à l’Université Paris V.

    Si toutes les religions se valent, pourquoi accorder une place particulière à l'islam dans l'organisation religieuse de la France ?

    Parce que justement toutes les religions ne sont pas égales dans notre pays, du moment que l'on fait un minimum abstraction du droit. Elles n’ont ni la même Histoire, ni le même poids, elles ne posent pas les mêmes problèmes au pouvoir temporel. Le christianisme s’accorde très bien de la laïcité envisagée comme distinction du temporel et du spirituel. Minorité se pensant comme une minorité, le judaïsme a accepté il y a déjà plus de deux siècles de se plier aux règles concordataires imposées par Napoléon. Religion qui a été la matrice de l'unité française à côté de l'œuvre politique  des rois de France, le catholicisme continue de modeler le paysage français par ses églises et ses cathédrales. Il n'a cédé ses prérogatives que devant la force déployée par l'idéologie radical-socialiste sous la IIIe République. L'Islam lui, à la différence des deux autres est une religion d'importation et d'implantation récente liée un phénomène politique et économique l'immigration de masse.

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  • Vers la révolution culturelle islamique

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    Un nouvel islam est apparu ces dernières décennies. Un islam qui a forgé le concept d'islamophobie pour réduire au silence ses opposants. Un islam qui peut enfin prétendre à l’universalité car il s'uniformise grâce à l’islamophobie, ce nouveau délit, qui est aussi l’outil uniformisateur d'une communauté qu se constitue au fur et à mesure qu'on en parle.

    La nouvelle communauté politique - que l’on peut appeler faute de mieux l'islam à l'Occidentale - est une coproduction, que se partagent les musulmans réformateurs et des Occidentaux déconstructeurs.

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  • «La menace terroriste demeure élevée en cette fin d’année» indique le patron de la DGSI

    Nicolas Lerner, le directeur général de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a rappelé que la menace terroriste était toujours présente en France. « La menace terroriste demeure élevée en cette fin d’année 2019 », a-t-il notamment affirmé.

    Dans un interview accordé à franceinfo, le patron de la DGSI a passé en revu plusieurs sujets. « La menace terroriste demeure aujourd’hui élevée en cette fin d’année 2019. Je rappelle que plusieurs attentats ont été tentés. Souvenons-nous de Lyon au mois de mai dernier, souvenons-nous aussi du drame qui s’est passé au sein de la prison de Condé-sur-Sarthe« , a déclaré Nicolas Lerner.

    Actu17

  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Alexandre Del Valle "L’alliance avec les islamistes ne paye jamais"

    Alexandre Del Valle, géopolitologue, essayiste et auteur de "Le Projet", (co écrit avec Emmanuel Razavi) Edition L'artilleur est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio !


    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/12/04/sur-sud-radio-avec-andre-bercoff-alexandre-del-valle-l-allia-6195448.html

  • Recension de « La France djihadiste » d’Alexandre Mendel, par Jean-Gérard Lapacherie

    La-France-djihadiste-190x300.jpgAlexandre Mendel, La France djihadiste. Document. « En ce moment à 15 minutes de chez vous ». Préface de Thibault de Montbrial, Ring, 21016, 20 €

    Alexandre Mendel est « reporter ». Le nom reporter est emprunté à l’anglais (« celui qui recueille des informations pour les publier dans un journal »), lequel l’a emprunté à l’ancien français, langue dans laquelle le verbe reporter avait pour sens, aux XIIe et XIIIe siècles, « porter témoignage de ou sur… » ou « rapporter » (des paroles ou ce que l’on a vu). Même si le mot est anglais (en français, il devrait s’écrire reporteur), l’activité qu’il désigne s’enracine dans la longue histoire de la France et de sa langue. Cette activité a été illustrée au XXe siècle par des journalistes, tels Albert Londres ou Joseph Kessel, ou par des écrivains qui se sont illustrés dans le reportage, tels Georges Bernanos, André Gide ou Albert Camus, pour ne citer que ces trois noms. Elle est ou elle a été l’honneur du journalisme, honneur hélas perdu et depuis longtemps jeté aux oubliettes, les journalistes actuels préférant le mol oreiller des enfants de chœur qui, « précédant les processions », comme dirait Albert Londres, « plongent la main dans une corbeille de pétales de roses », qu’ils répandent dans leurs écrits et discours. En bref, manger dans la main des dominants et des puissants est plus rémunérateur que de porter des faits à la connaissance des citoyens désireux d’être éclairés. Albert Londres résume ainsi son activité : « Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie » : bagnes, colonisation, exactions, comme Kessel a porté sa plume dans la plaie de la traite par de bons musulmans de malheureux noirs qu’ils ont réduits à l’esclavage – et cela en 1930 ! – (lire Marchés d’esclaves), comme Gide la sienne dans l’exploitation coloniale ou le communisme, Bernanos dans l’assassinat d’innocents en Espagne au nom du Christ, Camus dans la misère des indigènes cherchant dans les poubelles des quartiers repus d’Alger de quoi ne pas mourir de faim.

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  • L'islamophobie, arme des islamistes

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    Dans un tonitruant appel, une certaine gauche se mobilise - parfois à reculons - contre l’islamophobie. L’occasion de revenir sur cette arme de destruction massive du débat public, puissant vecteur de l’islamisation en cours. revue de détail idéologique.

    Ce 10 novembre se tient un rassemblement pour « dire STOP à l'islamophobie ». La pétition afférente, publiée dans Libération, a été lancée entre autres par le CCIF (Comité contre l'islamophobie en France, proche des Frères musulmans), Madjid Messaoudène, du Front de Gauche, le NPA et l'UNEF.

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  • En attendant les Hobbits : L'Amérique et l'islam

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    L’incroyable attentat terroriste perpétré au sein même de la préfecture de police, par un fonctionnaire de police initié au secret défense, a donné lieu à un concert d’indignation dénonçant le laxisme des autorités, l’imprudence de la hiérarchie, les dysfonctionnements de notre appareil de sécurité etc. Il faut aller plus loin ! L’islam politique a avant tout, une dimension internationale.

    Si tant de timidité a été marquée à l'égard de ce fonctionnaire assassin, que ses collègues savaient converti à l'islam et radicalisé, ce n'est pas seulement en raison du statut de la fonction publique (qui n'interdit pas les mutations), ni même de la crainte de poursuites pour islamophobie. C'est aussi parce que sa hiérarchie craignait d'être traînée devant cet autre tribunal, celui des médias, dont la récente affaire de l’accompagnatrice voilée d’enfants au conseil régional de Dijon a montré combien ils sont prompts à s’enflammer en faveur d'une musulmane militante.

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  • Pour Nike, la « modestie » féminine s’écrit hijab !

    En décembre 2017, dans ce temps de l’Avent où nous nous apprêtions à fêter le père Noël, héros ayant remplacé dans les esprits et les supermarchés la naissance d’un Christ qu’on n’ose plus montrer dans sa crèche, la marque Nike lançait le premier hijab « adapté aux sports de haut niveau ». Le hijab Nike Pro était né et promis à un bel avenir.

    Il paraît que la demande était forte, les femmes brûlant de courir, sauter, danser, patiner, skier peut-être, bien enrobées de voiles pudiques.

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  • Impossible populisme français

    Le 10 novembre avait lieu à Paris la funeste manifestation dite « contre l’islamophobie ». pour la première fois l’un des grands partis français épousait sans nuance la cause des déracinés de banlieue. La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon a choisi son camp. Mais que donnera ce cocktail ?

    Ils ont chanté la Marseillaise Place de la Nation. Et ils n’étaient que 13 000. Autant dire, pavoisent Danielle Obono ou Esther Benbassa après Jean-Luc Mélenchon, que tout est bien qui finit bien, même si le Parti de l'Ordre a eu très peur, sans oser se l'avouer. Remarquable déroulé du programme. Pas d'agressivité. Pas de casse. Les militants du CCIF sont des citoyens comme les autres. Et ils ont le sens de l’organisation, comme le reconnaît Eric Tegnèr, qui milite à la droite des Républicains mais qui s’étaient rendu à la Manif, histoire de voir. Tout était presque parfait, malgré les fichés S et autres frères musulmans qui défilaient.

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