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islamisme - Page 154

  • Zoom – Mgr Dominique Rey – L’islam : menace ou défi ?


    Monseigneur Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon fait un double constat : l’islam est pluriel avec une frange radicale et la France vit une balkanisation de son territoire. Les constats débouchent sur un avertissement fondé sur l’engagement de l’évêque auprès des Chrétiens d’Orient : les tensions et les drames qu’ils connaissent dans leur pays pourraient bien se vivre en Occident, de manière aussi tragique. Monseigneur Rey répond à toutes les ambiguïtés de l’Eglise en matière d’immigration, à toutes les incompréhensions, comme la présence de l’évêque de Belfort à un sulfureux rassemblement contre l’islamophobie.

    https://www.tvlibertes.com/zoom-mgr-dominique-rey-lislam-menace-ou-defi

  • Les 4 raisons qui expliquent le succès de la manifestation contre l’islamisme à Paris – Clément Martin (Les Identitaires)

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    Dimanche 17 novembre à Paris, Génération Identitaire organisait une manifestation contre l’islamisme. Place Denfert-Rochereau, près de 1 000 personnes se sont retrouvées dans la rue et ont marché ensemble jusqu’à Cambronne.

    Une forte mobilisation malgré l’absence de relais dans les médias mainstream et la censure des réseaux sociaux

    À l’inverse de la manifestation contre l’islamophobie, dont l’annonce a été complaisamment relayée par les médias, notre manifestation contre l’islamisme n’a pas été annoncée dans la presse. D’autre part, nos canaux de communication ont été largement amoindris par la censure qui nous vise sur l’intégralité des réseaux sociaux. Dans ces conditions, parvenir à mettre près de 1 000 personnes dans la rue relève presque du tour de force.

    Un record d’affluence en 15 ans d’activisme identitaire

    Les identitaires ont déjà manifesté plusieurs fois à Paris depuis le début de leur existence. En 2016, nous avions organisé la manifestation « On est chez nous » où nous avions réuni 500 personnes. À l’époque, nous avions encore notre page Facebook et notre compte Twitter. Cette année, alors même que les conditions étaient réunies pour connaître un tassement de la mobilisation (censure sur les réseaux sociaux, etc) nous avons réussi à dépasser nos précédents records d’affluence.

    La préfecture de police de Paris a plié

    En 2017, nous avions voulu manifester à Paris contre l’islamisme. La préfecture de police de Paris (alors infiltrée par un islamiste) avait interdit notre rassemblement sous des prétextes fallacieux. Nous avions considéré qu’il s’agissait là d’une interdiction abusive et nous avions porté plainte. Au mois de juin dernier, nous avons fait condamner l’État devant le tribunal administratif pour cette décision. Cette fois-ci, la préfecture de Police a préféré autoriser notre rassemblement malgré certaines menaces d’interdiction en amont pour nous décourager. Nous avons finalement emporté la victoire.

    Première manifestation nationale contre l’islamisme depuis les attentats de Merah

    Depuis les attentats islamistes de Mohammed Merah en 2012, aucune manifestation d’ampleur n’avait eu lieu dans la rue pour dénoncer l’islamisme. Face à l’inaction des différents gouvernements, il était temps que les Français puissent descendre dans la rue. Grâce à Génération Identitaire, c’est chose faite.

    Nous remercions tous les participants pour cette belle victoire de la résistance identitaire qui doit faire taire les pessimistes et servir de référence pour d’autres mobilisations à venir. Nous sommes les principaux adversaires de Bellatar, de Madjid Messaoudene (LFI) et du CCIF dont nous réclamons la dissolution. Face aux islamistes, défendons notre identité !

    Clément Martin

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    https://fr.novopress.info/216142/les-4-raisons-qui-expliquent-le-succes-de-la-manifestation-contre-lislamisme-a-paris-clement-martin-les-identitaires/

  • En quoi l’islam n’est-il pas politique ?

    En quoi l’islam n’est-il pas politique ?

    C’est l’un des sujets qui sera traité samedi prochain lors du colloque organisé par Chrétienté Solidarité et l’AGRIF. La plupart des politiques et commentateurs répètent presque tous :

    « Le problème, ce n’est pas la religion musulmane, ce n’est pas l’islam, le problème, c’est l’islam politique ».

    Bernard Antony pose la question :

    Mais où donc l’islam n’est-il pas politique ?

    N’est-elle pas une internationale politique l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), avec ses 57 États membres, organisation intergouvernementale dont le siège est à Djeddah en Arabie et qui possède une délégation permanente à l’ONU ?

    À l’échelle planétaire, existe-t-il une autre organisation confessionnelle dont les membres soient exclusivement des États ? L’islam n’est-il pas politique dans ses livres sacrés ? Le Coran et les Hadîths ? Ne l’est-il pas dans le Coran où est sans cesse martelé « Obéissez à Allah, obéissez à son prophète ! » ?

    Et ce prophète, Mahomet, le modèle à imiter en tous domaines, ne fut-il pas à la fois chef religieux, chef de guerre, chef politique, et ordonnateur des mœurs ?

    Et la place des femmes dans la société, c’est-à-dire dans l’oumma, la communauté des croyants, n’est-elle pas également de l’ordre de la politique ?

    Ne l’est-il pas dans les Hadîths, où sont racontés les faits et gestes du prophète, à imiter en tous points, et ses enseignements, notamment sur les femmes, sur la guerre, sur le commerce et les finances, sur la justice et les peines à appliquer ?

    L’islam n’est-il pas politique dans sa loi fondamentale, la charia, tirée des actes et des paroles du prophète, la charia qui dicte tout, à tous, en tous domaines ? Et qui, pour le moins, constitue le système de référence de tous les codes, politiques, législatifs et judiciaires de tous les pays d’islam (à l’exception de la particularité libanaise) ?

    Quant aux organisations des musulmans en France, la plus nombreuse, celle qui s’intitule aujourd’hui « musulmans de France » et qui était jusqu’il y a peu l’UOIF (Union des Organisations Islamiques de France), n’est-elle pas tout simplement la section en France de l’organisation internationale des Frères musulmans, organisation politique s’il en est, et d’un islam jihâdiste conquérant !

    Pour ce qui est des autres organisations, comme elles dépendent presque toutes d’États étrangers (Maroc, Algérie, Turquie, etc…), qui pourrait sérieusement les prétendre non politiques ?

    Islam non politique sans doute que celui de l’organisation des mosquées turques organisatrice des meetings, chez nous, du chef de l’État turc, l’islamo-ottoman Erdogan, qui entend être le nouveau calife du nouvel empire ottoman !

    En vérité, évoquer un « islam politique » à ne pas accepter, pour le différencier de l’islam en général, considéré seulement comme une religion, c’est au mieux faire preuve d’un tragique déni de réalité.

    https://www.lesalonbeige.fr/en-quoi-lislam-nest-il-pas-politique/

  • Manifestation contre l’islamisme à Paris : pas un mot dans les grands médias !

    Une semaine après la manifestation identitaire des musulmans (10 novembre 2019) à Paris, ultra-médiatisée avec la participation d'hommes politiques de premier plan, une contre-manfestation elle-aussi identitaire, anti-islamiste cette fois, était organisée dans la capitale, le 17 novembre 2019.

    Dans un soucis d'impartialité et de justice, on pouvait s'attendre à quelques images de l'évènement sur les chaines d'information. Or, pas un mot sur ce défilé à la télévision et à la radio. Seuls quelques timides articles sur le web ont relaté les faits, en l'occurence quelques centaines de militants proches de "génération identitaire", un groupe classé à l'ultra-droite.

    Son délégué, Clément Gandelin, a déclaré que cette manifestation était surtout une réponse à l'attentat de la préfecture de police de Paris et au phénomène de l'infiltration par les islamistes de nos structures administratives, économiques et autres (y compris les médias ?). Aucune personnalité d'ampleur ne s'est déplacée. En croisant les sources, on apprend que les participants étaient plutôt jeunes, mais pas seulement (un prof de collège à la retraite aborde la question des repas hallal dans les cantines). Des photos des terroristes ont été brandies aux côtes des drapeaux tricolores. Aucun incident n'est à signaler, hormis un drapeau algérien sorti d'une fenêtre au passage du cortège. A noter que la LDJ (ligue de défense juive) appelait à rejoindre le cortège.

    Pas de voitures brûlées, pas de mobilier urbain saccagé ni d'affrontement avec les forces de l'ordre : il est vrai que ce défilé paisible contrastait avec les démonstrations des barbares d'ultra-gauche sur la Place d'Italie la veille, retransmises en direct sur BFM-TV et plus portrices sur l'audience qu'un défilé de braves gens inquiets par la montée des violences islamistes et gauchistes : c'est le principe de l'audimat et de la logique publicitaire.

    Deux poids deux mesures. Pas de couverture médiatique pour des gens suspectés d'extrêmisme et de "racisme", alors qu'aucune croix celtique ou insulte raciste n'ont été rapportées. Un nombre assez faible de manifestants ? Certes, les médias pouvaient considérer comme anecdotiques cette marche sur ce critère, mais alors pourquoi relater régulièrement les rassemblements pro-migrants de quelques dizaines de gugusses ? Pourquoi assurer une couverture médiatique aux associations subventionnées qui soutiennent les sans-papiers ? Aux quelques étudiants qui bloquent l'entrée des universités ? Aux individus qui défilent contre les "violences polcières" ? Tout est question de choix journalistiques, liés à la formation culturelle et idéologique des gens chargés de l'information en France.

    Autre motif de cette censure : les "mauvaises idées" des militants de génération identitaire : souverainistes, partisans de la préférence nationale, contre l'immigration, pour le droit à la sécurité et la tranquillité. Autant de thèmes classés très à droite dans l'hexagone, ce qui n'est pas forcément le cas ailleurs. Qui sont-ils ces militants ? D'après les photos, essentiellement des jeunes, mais aussi des retraités comme ce prof d'anglais qui aborde la question des repas hallal dans certaines cantines scolaires. On ne voit ni nazillon, ni fou furieux encagoulé près à en découdre. Pas de black block, antifas et autres toqués tout de noir vêtu prêts à tout casser :

    Résultat de recherche d'images pour "génération identitaire"

    Alors pourquoi ce silence télévisuel sur le sujet ? Peur de faire de la promo pour des gens politiquement incorrects ? Peur des islamistes ? Consignes du pouvoir en place ? Certes, on a le droit de désapprouver les mots d'ordre de ce défilé, mais on a aussi le devoir de laisser les gens exprimer leurs inquiétudes, surtout trois cents morts après les attentats jihadistes. De plus, les manifestants paient aussi la redevance télévisuelle (140 euros !) et ils ont le droit à un peu de respect de la part des journalistes. Soit chacun a la parole, soit on sélectionne : c'est la démocratie sous contrôle des opinions... La France est bien le pays des blocages culturels, où une caste de bobos reproche aux autres son propre refus de s'ouvrir aux points de vue contraires. 

    Sur la question de l'islamisme, il est utile de parcourir cet article déroutant évoquant l'opinion des algériens sur la manifestation du 10 novembre dernier :

    https://www.lepoint.fr/afrique/manifestation-contre-l-islamophobie-ce-qu-en-disent-des-algerois-12-11-2019-2346815_3826.php

    Si le racisme et le choc culturel entre Europe et Maghreb sont évoqués, beaucoup d'algériens insistent sur la pratique personnelle de la religion qui ne doit pas s'imposer aux autres, ni interférer sur les lois en place. Surtout, le musulman ne doit pas choquer quand il émigre dans un pays qui a la générosité de l'accueillir. Des opinions qui contrastent avec celles de la majorité de nos journalistes télévisuels. Il est vrai qu'en Algérie, leurs confrères ne sont pas formés par des nervis d'extrême-gauche et des frères du Grand Orient de France. Tout est question de climat culturel. A voir des "fascistes" partout, on finit par en fabriquer !

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/manifestation-contre-l-islamisme-a-219332

  • CHARLES GAVE : "On va vers une guerre civile !"

    Conférence de Charles Gave à Culey

    Charles Gave : Je viens de passer une journée dans l’est de la France, invité par le Maire d’une petite commune de la Meuse, Culey, que je remercie ici. J’en suis revenu encore plus indigné que je ne l’étais en partant, tant la situation des habitants y est encore plus désastreuse que tout ce que je pouvais imaginer. Je me suis précipité en rentrant sur mon ordinateur pour écrire un compte rendu de ce petit voyage. En l’écrivant, j’ai eu la sensation que j’avais déjà tout décrit avant même d’y être allé. J’ai vérifié, et j’ai retrouvé ce texte que j’ai écrit il y a environ un an et que je reprends in extenso, n’ayant rien à y ajouter.

    Lire la suite ICI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Macron fait le jeu de l’islamisme, par Franck Deletraz

    9495-20191122.jpgFallait-il vraiment s’attendre à une autre réponse de la part d’un Président qui, tout en s’efforçant de convaincre les Français de sa prétendue « fermeté » face à l’islamisme, ne fait que poursuivre la politique désastreuse initiée par ses prédécesseurs ? Affirmant vouloir lutter contre le communautarisme par d’autres moyens, Macron s’est ainsi sans surprise prononcé mardi contre l’interdiction des listes communautaires aux élections, déclenchant la juste colère des élus de droite qui soutiennent la proposition de loi du sénateur Bruno Retailleau.

    « Un renoncement de plus »

    S’exprimant à l’occasion du 102e Congrès des maires de France, le chef de l’Etat a en effet déclaré qu’« il ne s’agit pas de proclamer l’interdiction pour régler le problème ». Prétextant une pseudo « difficulté de les identifier », Macron a préféré inviter les élus à « faire tomber les masques de ceux qui combattent la devise inscrite sur les frontons des mairies qu’ils convoitent ». Comment ? « Peut-être » par « des lois nouvelles ou des décisions plus fortes ». Ainsi, a-t-il annoncé que le gouvernement porterait « des actions nouvelles concrètes dans les prochaines semaines », et que le combat contre le communautarisme continuera. Mais, sans « tout confondre ». Car, a-t-il bien pris soin de préciser, cela « n’est en aucun cas un cadre de combat ou d’exclusion » contre une partie de la société française »…

    Une prise de position rapidement dénoncée par Bruno Retailleau, qui a déposé le 8 novembre une proposition de loi visant à empêcher le dépôt de listes de candidats menant une « campagne communautariste ». Pointant du doigt « un renoncement de plus » qui « théorise l’impuissance de l’Etat et banalise le communautarisme », le président des sénateurs LR a notamment rappelé que « la République doit poser des limites ». Une colère partagée par l’élu RN Sébastien Chenu, qui a dénoncé de son côté « l’impuissance » d’un Président « hypocrite » dont le parti va « soutenir des élus qui sont mouillés jusqu’au cou dans le communautarisme », comme à Denain ou à Maubeuge.

    « Incompréhension » ? Non, lâche complicité !

    Invité plus tard sur Franceinfo, Retailleau, qui avait très justement souligné fin octobre que « l’islam radical veut construire une contre-société à visée séparatiste » et que « si nous n’avons pas le courage de poser des règles républicaines très claires, nous aurons des affrontements dans la rue », a hélas cru bon d’ajouter que « Macron n’a pas compris la dangerosité de cette idéologie totalitaire ». Une méprise, selon nous. Car, plus que d’incompréhension, c’est d’une incroyable lâcheté dont font preuve Macron et son gouvernement. D’abord, en renonçant, au nom d’un égalitarisme délirant et d’un absurde refus de « stigmatiser », de désigner clairement cet ennemi intérieur et extérieur qu’est aujourd’hui l’islamisme. C’est d’ailleurs aussi, en partie, l’un des travers de la proposition de loi Retailleau qui, pour tenter d’endiguer ce péril, risque de frapper tout autant voire plus d’inoffensives listes chrétiennes. Lâcheté du pouvoir ensuite, lorsqu’il tente de persuader nos compatriotes, pour cacher sa pitoyable capitulation en rase campagne, qu’islam et France sont compatibles. Or, la vérité, c’est qu’aux yeux de tout vrai et bon musulman, notre pays est voué à rejoindre tôt ou tard le Dar al-Islam.

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 20 novembre 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Le statut de "dhimmi", selon les textes islamiques par Marie-Thérèse Urvoy

  • Et la palme du dhimmi est attribuée à…

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    Suite au magnifique festival contre l’islamophobie, les nominés pour recevoir la palme du dhimmi ont enfin été révélés.

    Malheureusement absents, François Ruffin ne pourra concourir car il jouait au foot et mangeait des gaufres, tout comme Yannick Jadot qui avait un rendez-vous chez l’ophtalmo pour régler ses problèmes oculaires qui l’empêchent de lire correctement les pétitions qu’il signe. N’ont pas été retenus, non plus, Philippe Martinez et Nathalie Arthaud ainsi que leur bande syndicaliste au complet. Leur prestation surjouée n’a pas convaincu le jury. On sent la fin de carrière, des comédiens fatigués, peu aidés par des scénaristes plus très inspirés.

    Est, en revanche, retenue, dans la catégorie fiction historique, Esther Benbassa pour sa magnifique adaptation de la déportation des Juifs version musulmane. Il fallait être sacrément culotté pour transposer la Shoah à des citoyens bénéficiant, comme tous les autres, de l’assurance chômage, des congés payés, de la couverture maladie universelle, des allocations familiales et du système de retraite. Elle l’a fait !

    L’incontournable Edwy Plenel est, évidemment, nominé comme chaque année pour sa nouvelle comédie sentimentale, un rôle un peu mielleux, mais ses admirateurs apprécieront. Ses pleurs lors de « la Marseillaise » chantée à l’unisson resteront ; on ne sait pas si ce grand sensible a également versé sa petite larme lorsque la foule a scandé à multiples reprises « Allah akbar ».

    La lutte s’annonce acharnée pour la palme du meilleur espoir féminin. Danièle Obono et Clémentine Autain sont toujours fidèles au poste, mais pourraient bien se faire rafler la mise par Elsa Faucillon, particulièrement zélée ces derniers temps.

    Enfin, on ne voit pas comment la palme suprême pourrait échapper à Jean-Luc Mélenchon. On reconnaît la marque des plus grands, capable de jouer des rôles de laïcard par le passé et de dhimmi aujourd’hui… Une carrière gigantesque.

    La cérémonie aura lieu à l’Institut du monde arabe et sera présidée par Jack Lang. La récompense, un magnifique croissant en or massif, est généreusement offerte par le CCIF et les Frères musulmans.

    Axel Vontargier

    https://www.bvoltaire.fr/et-la-palme-du-dhimmi-est-attribuee-a/

  • Génération identitaire a organisé une marche contre les islamistes à Paris

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    Le mouvement Génération identitaire a tenu, ce 17 novembre, une marche à Paris contre les islamistes, en réaction, en particulier, à l’attentat de la préfecture de Paris d’octobre. Des slogans appelant à la «remigration» s’y sont fait entendre.

    «Nous voulons la remigration. Pas d’islamistes, pas d’attentat», scandaient, entre autres slogans, les manifestants, selon le reporter de RT France présent sur place.

    Certains manifestants arboraient des portraits d’auteurs d’attentats islamistes en France, comme celui du terroriste responsable de l’attaque sanglante de l’Hyper casher à la Porte de Vincennes à Paris en janvier 2015, Amedy Coulibaly.

    L’organisation identitaire, hostile à l’immigration et à l’«islamisation» de Europe, avait appelé à manifester contre l’«islamisme», en faisant référence en particulier à l’attaque du 3 octobre à la préfecture de police de Paris, perpétrée par Mickaël Harpon, un employé de l’administration converti à l’islam. «Harpon était habilité secret défense alors qu’il fréquentait des imams salafistes fichés par la DGSI. Un islamiste était donc infiltré au plus haut niveau de l’Etat, du jamais-vu dans toute notre Histoire», pouvait-on lire dans l’appel à manifester sur Facebook. De fait, selon un rapport interne de la Direction du renseignement de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP), Mickaël Harpon était habilité secret défense. Il avait fréquenté, à Gonesse (95) où il vivait, un imam fiché S, selon des sources proches de l’enquête citées par l’AFP.

    Génération identitaire, néanmoins, ne fait pas que dénoncer l’islamisme et le terrorisme islamiste : prenant la parole devant les manifestants, la porte-parole du mouvement Anaïs Lignier a accusé sans ambages «une grande partie des musulmans» vivant en France, de souhaiter faire «appliquer la charia, les lois islamiques en France» afin «que celles-ci prennent le dessus sur nos propres lois».

    Interrogée par RT France sur la marche contre l’islamophobie organisée la semaine précédente, la porte-parole a déclaré que la manifestation de ce 17 novembre se voulait aussi en être une «réponse», même si il n’y a pas de «lien direct» entre ces deux appels au rassemblement.

    «Quand on compare l’islamophobie qui n’a fait aucun mort en France […] en comparaison de 250 morts [du terrorisme islamiste] en quelques années, évidement qu’on répond à cela et qu’il faut être aussi dans la rue», a-t-elle déclaré.

    Pour lire la suite, c’est ici !

    https://fr.novopress.info/216036/generation-identitaire-a-organise-une-marche-contre-les-islamistes-a-paris/