« On est dans des zones de non-droit. […] Les lois de la République ne s’appliquent pas. […] Plus de 100 mosquées radicales ont été recensées et seulement 7 ont été fermées. Qu’ont-ils fait des 93 autres ?! »
Nicolas Bay (député européen RN) sur CNews
islamisme - Page 150
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[VIDÉO] « Plus de 100 mosquées radicales ont été recensées et seulement 7 ont été fermées. Qu’ont-ils fait des 93 autres ?! » – Nicolas Bay (RN)
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A Mulhouse, Macron prononce son discours de la méthode rustine pour sauver le "vivre ensemble".
L'avis de Jean-François TouzéPar un paradoxe d'apparence, c'est Mulhouse, ville emblématique de l'islamisation de la France puisqu'elle abrite la mosquée-cathédrale An-Nour gérée par des proches des Frères musulmans, que Macron, a choisi pour inaugurer sa séquence "laïciste".En se contentant de déplorer les maux du "communautarisme" (terme équivoque car tous les communautarismes ne se valent évidemment pas) et du "séparatisme" (ce qui suppose une appartenance préalable), au lieu de désigner clairement les menaces que fait peser sur la France l'offensive multimodale et polymorphe menée par l'islamisme, Emmanuel Macron a tenté, dans une intervention aussi incantatoire que décalée, de dissimuler son impuissance à faire face. Il a surtout peiné à légitimer, par avance, les seules mesurettes que ce régime décomposé soit encore vaguement capable de prendre, énième "plan de lutte contre la radicalisation" dont l'annonce sera faite dans une dizaine de jours mais que chacun connaît déjà : renforcement de la laïcité, contrôle des fonds cultuels venus de l'étranger et organisation du culte musulman. Ce n'est pas un plan de combat contre l'islamisme, tout au plus un garde-fou contre ses effets les plus criants. C'est surtout une méthode de rafistolage du "vivre ensemble". -
L’armée syrienne poursuit son offensive et libère la banlieue d’Alep, par Antoine de Lacoste.
Que peut-il se passer maintenant ? L’armée syrienne peut reprendre le sud de la province, relativement isolé maintenant, mais également poursuivre vers l’ouest en direction de la frontière turque, ce qui est diplomatiquement assez périlleux
Après les multiples menaces turques et la libération de l’autoroute Damas-Alep, principal objectif à court terme, on pouvait penser que l’offensive de l’armée syrienne allait connaître une pause. Il n’en a rien été et les combats continuent à faire rage entre islamistes et soldats syriens.
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“Séparatisme”, “communautarisme”… Et si on parlait simplement d’islamisme?
Le changement sémantique voulu par Emmanuel Macron démontre que les dirigeants français errent complètement, alors que monte la menace islamiste sur notre sol. L’analyse de Céline Pina.
Face aux attentats, violences et tensions qui traversent notre société, le Président de la république n’a pas été avare de plans. On nous a d’abord vendu en fanfare des plans contre la radicalisation, on les a même relancés. Sans succès. On nous a dit alors qu’on allait voir ce qu’on allait voir et que le gouvernement allait lancer un plan contre le communautarisme. On n’a rien vu. Aujourd’hui, tout le monde attend avec impatience le nouveau nouveau plan. Contre le séparatisme cette fois-ci. Le problème c’est que pour l’instant toutes ces annonces n’impulsent aucune dynamique et n’obtiennent pas de résultats. Au moins l’analyse du bilan n’est-elle pas épuisante : ces plans sont en général des coquilles vides qui ne servent qu’à mettre en scène une volonté politique, celle-ci tenant lieu d’action concrète et permettant de faire durer l’immobilisme comme de faire patienter le peuple jusqu’au prochain attentat, au prochain meurtre, au prochain scandale, à la prochaine adolescente chassée de son lycée par une meute fanatisée…
Un errement sémantique qui en dit beaucoup
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Communautarisme: pris à partie, Emmanuel Macron vante la reconquête républicaine
En visite à Mulhouse pour ouvrir la séquence de lutte contre le « séparatisme », le président a surtout tenté de convaincre des bienfaits de la reconquête républicaine.
« Monsieur le Président, vous venez parler de communautarisme dans notre ville, mais nous, les jeunes, n’avons même pas été consultés ! » En déplacement à Mulhouse, ce mardi 18 février, c’est finalement par un bain de foule qu’Emmanuel Macron a décidé d’ouvrir la tant attendue séquence de lutte contre le communautarisme, ou plus exactement, contre le « séparatisme », selon sa nouvelle expression.
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Sur Sud Radio avec André Bercoff, Claude Ardid -"La montée de la violence autour de la laïcité dans les écoles a été cachée".
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Laïcité : le plan de lutte de Macron contre le « séparatisme »
Le chef de l’Etat doit se rendre à Mulhouse, mardi, pour aborder les questions de radicalisation, d’islam politique et de communautarisme. Une prise de position très attendue depuis le début du quinquennat.
Après les débats sémantiques, place aux annonces. Emmanuel Macron doit commencer à dévoiler, mardi 18 février, à l’occasion d’un déplacement à Mulhouse (Haut-Rhin), son plan de lutte contre le communautarisme. Ou plutôt contre le « séparatisme islamiste », appellation finalement retenue par l’Elysée, après plusieurs mois de tractations et de débats. Une manière, selon l’entourage du chef de l’Etat, d’agréger sous un même terme ces « notions entremêlées » que seraient la radicalisation, l’islam politique et le communautarisme. Et de cibler plus clairement « l’hydre islamiste » dénoncée par Emmanuel Macron au lendemain de l’attentat contre la Préfecture de police, à Paris, en octobre 2019.
https://www.tvlibertes.com/actus/laicite-le-plan-de-lutte-de-macron-contre-le-separatisme
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Libération de djihadistes français : Guillaume Larrivé sonne l’alerte
Le 13 février 2020, le député LR Guillaume Larrivé écrivit une lettre ouverte, publiée par Le Figaro, adressée à Emmanuel Macron au sujet de la libération de djihadistes français d’ici 2022 :
« 531 individus sont incarcérés pour des faits de terrorisme islamique. Or, parmi eux, objectivement regardés comme les plus dangereux à ce stade, 43 seront libérés au cours de l’année 2020, 57 le seront en 2021, et 46 encore en 2022. »
L’association de mots « djihadistes français » pourrait être perçue pour beaucoup comme un oxymore, mais c’est pourtant la réalité de la société française actuelle. De la même façon que l’État français envisage de rapatrier des islamistes partis en Syrie pour prêter allégeance à l’État islamique, la logique du système judiciaire impose dorénavant la libération de ces détenus, de nationalité française.
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Éric Zemmour : « Aujourd’hui, Napoléon réunirait les dignitaires musulmans et les obligerait à bazarder la moitié du Coran »
13/02/2020 – FRANCE (NOVOpress)
Face à Thierry Lentz, Éric Zemmour a déclaré : « Aujourd’hui, Napoléon réunirait les dignitaires musulmans et les obligerait à bazarder la moitié du Coran ».Un passage à voir dans la 2ème partie de l’émission « Face à l’info » du 12 février 2020.
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L’affaire Mila, ou les leçons de la “racaillisation” de la France
Le déferlement de haine et de menaces qui s’est abattu sur Mila après que quelques phrases de sa part ont été publiées sur les réseaux sociaux témoigne du renoncement de la France à défendre ses valeurs, estiment Jean Messiha et Frédéric Amoudru, ancien cadre d’une grande banque française.
Une jeune fille, comme des millions d’internautes, “tchate” sur Instagram et se livre à une foule d’anonymes. Une racaille s’en mêle et s’adonne à ce que tant de femmes et de jeunes filles doivent supporter dans l’espace public comme dans l’espace digital : les gauloiseries (si on peut encore utiliser ce termes sans être traité de raciste) et les réflexions salaces. Elle révèle son homosexualité et dit ne pas avoir envie de coucher avec un « renoi » ou « rebeu », ce qui est encore permis dans notre pays (mais pour combien de temps encore ?). S’ensuit une bordée d’injures homophobes et sexistes « au nom d’Allah ». Piquée au vif, la jeune fille contre-attaque et dit, en termes crûs, ce qu’elle pense de cette religion qu’on lui jette à la figure, alors que son tchat n’avait rien à voir avec les questions de foi.