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islamisme - Page 150

  • Manifestation contre l’islamisme à Paris : pas un mot dans les grands médias !

    Une semaine après la manifestation identitaire des musulmans (10 novembre 2019) à Paris, ultra-médiatisée avec la participation d'hommes politiques de premier plan, une contre-manfestation elle-aussi identitaire, anti-islamiste cette fois, était organisée dans la capitale, le 17 novembre 2019.

    Dans un soucis d'impartialité et de justice, on pouvait s'attendre à quelques images de l'évènement sur les chaines d'information. Or, pas un mot sur ce défilé à la télévision et à la radio. Seuls quelques timides articles sur le web ont relaté les faits, en l'occurence quelques centaines de militants proches de "génération identitaire", un groupe classé à l'ultra-droite.

    Son délégué, Clément Gandelin, a déclaré que cette manifestation était surtout une réponse à l'attentat de la préfecture de police de Paris et au phénomène de l'infiltration par les islamistes de nos structures administratives, économiques et autres (y compris les médias ?). Aucune personnalité d'ampleur ne s'est déplacée. En croisant les sources, on apprend que les participants étaient plutôt jeunes, mais pas seulement (un prof de collège à la retraite aborde la question des repas hallal dans les cantines). Des photos des terroristes ont été brandies aux côtes des drapeaux tricolores. Aucun incident n'est à signaler, hormis un drapeau algérien sorti d'une fenêtre au passage du cortège. A noter que la LDJ (ligue de défense juive) appelait à rejoindre le cortège.

    Pas de voitures brûlées, pas de mobilier urbain saccagé ni d'affrontement avec les forces de l'ordre : il est vrai que ce défilé paisible contrastait avec les démonstrations des barbares d'ultra-gauche sur la Place d'Italie la veille, retransmises en direct sur BFM-TV et plus portrices sur l'audience qu'un défilé de braves gens inquiets par la montée des violences islamistes et gauchistes : c'est le principe de l'audimat et de la logique publicitaire.

    Deux poids deux mesures. Pas de couverture médiatique pour des gens suspectés d'extrêmisme et de "racisme", alors qu'aucune croix celtique ou insulte raciste n'ont été rapportées. Un nombre assez faible de manifestants ? Certes, les médias pouvaient considérer comme anecdotiques cette marche sur ce critère, mais alors pourquoi relater régulièrement les rassemblements pro-migrants de quelques dizaines de gugusses ? Pourquoi assurer une couverture médiatique aux associations subventionnées qui soutiennent les sans-papiers ? Aux quelques étudiants qui bloquent l'entrée des universités ? Aux individus qui défilent contre les "violences polcières" ? Tout est question de choix journalistiques, liés à la formation culturelle et idéologique des gens chargés de l'information en France.

    Autre motif de cette censure : les "mauvaises idées" des militants de génération identitaire : souverainistes, partisans de la préférence nationale, contre l'immigration, pour le droit à la sécurité et la tranquillité. Autant de thèmes classés très à droite dans l'hexagone, ce qui n'est pas forcément le cas ailleurs. Qui sont-ils ces militants ? D'après les photos, essentiellement des jeunes, mais aussi des retraités comme ce prof d'anglais qui aborde la question des repas hallal dans certaines cantines scolaires. On ne voit ni nazillon, ni fou furieux encagoulé près à en découdre. Pas de black block, antifas et autres toqués tout de noir vêtu prêts à tout casser :

    Résultat de recherche d'images pour "génération identitaire"

    Alors pourquoi ce silence télévisuel sur le sujet ? Peur de faire de la promo pour des gens politiquement incorrects ? Peur des islamistes ? Consignes du pouvoir en place ? Certes, on a le droit de désapprouver les mots d'ordre de ce défilé, mais on a aussi le devoir de laisser les gens exprimer leurs inquiétudes, surtout trois cents morts après les attentats jihadistes. De plus, les manifestants paient aussi la redevance télévisuelle (140 euros !) et ils ont le droit à un peu de respect de la part des journalistes. Soit chacun a la parole, soit on sélectionne : c'est la démocratie sous contrôle des opinions... La France est bien le pays des blocages culturels, où une caste de bobos reproche aux autres son propre refus de s'ouvrir aux points de vue contraires. 

    Sur la question de l'islamisme, il est utile de parcourir cet article déroutant évoquant l'opinion des algériens sur la manifestation du 10 novembre dernier :

    https://www.lepoint.fr/afrique/manifestation-contre-l-islamophobie-ce-qu-en-disent-des-algerois-12-11-2019-2346815_3826.php

    Si le racisme et le choc culturel entre Europe et Maghreb sont évoqués, beaucoup d'algériens insistent sur la pratique personnelle de la religion qui ne doit pas s'imposer aux autres, ni interférer sur les lois en place. Surtout, le musulman ne doit pas choquer quand il émigre dans un pays qui a la générosité de l'accueillir. Des opinions qui contrastent avec celles de la majorité de nos journalistes télévisuels. Il est vrai qu'en Algérie, leurs confrères ne sont pas formés par des nervis d'extrême-gauche et des frères du Grand Orient de France. Tout est question de climat culturel. A voir des "fascistes" partout, on finit par en fabriquer !

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/manifestation-contre-l-islamisme-a-219332

  • CHARLES GAVE : "On va vers une guerre civile !"

    Conférence de Charles Gave à Culey

    Charles Gave : Je viens de passer une journée dans l’est de la France, invité par le Maire d’une petite commune de la Meuse, Culey, que je remercie ici. J’en suis revenu encore plus indigné que je ne l’étais en partant, tant la situation des habitants y est encore plus désastreuse que tout ce que je pouvais imaginer. Je me suis précipité en rentrant sur mon ordinateur pour écrire un compte rendu de ce petit voyage. En l’écrivant, j’ai eu la sensation que j’avais déjà tout décrit avant même d’y être allé. J’ai vérifié, et j’ai retrouvé ce texte que j’ai écrit il y a environ un an et que je reprends in extenso, n’ayant rien à y ajouter.

    Lire la suite ICI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Macron fait le jeu de l’islamisme, par Franck Deletraz

    9495-20191122.jpgFallait-il vraiment s’attendre à une autre réponse de la part d’un Président qui, tout en s’efforçant de convaincre les Français de sa prétendue « fermeté » face à l’islamisme, ne fait que poursuivre la politique désastreuse initiée par ses prédécesseurs ? Affirmant vouloir lutter contre le communautarisme par d’autres moyens, Macron s’est ainsi sans surprise prononcé mardi contre l’interdiction des listes communautaires aux élections, déclenchant la juste colère des élus de droite qui soutiennent la proposition de loi du sénateur Bruno Retailleau.

    « Un renoncement de plus »

    S’exprimant à l’occasion du 102e Congrès des maires de France, le chef de l’Etat a en effet déclaré qu’« il ne s’agit pas de proclamer l’interdiction pour régler le problème ». Prétextant une pseudo « difficulté de les identifier », Macron a préféré inviter les élus à « faire tomber les masques de ceux qui combattent la devise inscrite sur les frontons des mairies qu’ils convoitent ». Comment ? « Peut-être » par « des lois nouvelles ou des décisions plus fortes ». Ainsi, a-t-il annoncé que le gouvernement porterait « des actions nouvelles concrètes dans les prochaines semaines », et que le combat contre le communautarisme continuera. Mais, sans « tout confondre ». Car, a-t-il bien pris soin de préciser, cela « n’est en aucun cas un cadre de combat ou d’exclusion » contre une partie de la société française »…

    Une prise de position rapidement dénoncée par Bruno Retailleau, qui a déposé le 8 novembre une proposition de loi visant à empêcher le dépôt de listes de candidats menant une « campagne communautariste ». Pointant du doigt « un renoncement de plus » qui « théorise l’impuissance de l’Etat et banalise le communautarisme », le président des sénateurs LR a notamment rappelé que « la République doit poser des limites ». Une colère partagée par l’élu RN Sébastien Chenu, qui a dénoncé de son côté « l’impuissance » d’un Président « hypocrite » dont le parti va « soutenir des élus qui sont mouillés jusqu’au cou dans le communautarisme », comme à Denain ou à Maubeuge.

    « Incompréhension » ? Non, lâche complicité !

    Invité plus tard sur Franceinfo, Retailleau, qui avait très justement souligné fin octobre que « l’islam radical veut construire une contre-société à visée séparatiste » et que « si nous n’avons pas le courage de poser des règles républicaines très claires, nous aurons des affrontements dans la rue », a hélas cru bon d’ajouter que « Macron n’a pas compris la dangerosité de cette idéologie totalitaire ». Une méprise, selon nous. Car, plus que d’incompréhension, c’est d’une incroyable lâcheté dont font preuve Macron et son gouvernement. D’abord, en renonçant, au nom d’un égalitarisme délirant et d’un absurde refus de « stigmatiser », de désigner clairement cet ennemi intérieur et extérieur qu’est aujourd’hui l’islamisme. C’est d’ailleurs aussi, en partie, l’un des travers de la proposition de loi Retailleau qui, pour tenter d’endiguer ce péril, risque de frapper tout autant voire plus d’inoffensives listes chrétiennes. Lâcheté du pouvoir ensuite, lorsqu’il tente de persuader nos compatriotes, pour cacher sa pitoyable capitulation en rase campagne, qu’islam et France sont compatibles. Or, la vérité, c’est qu’aux yeux de tout vrai et bon musulman, notre pays est voué à rejoindre tôt ou tard le Dar al-Islam.

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 20 novembre 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Le statut de "dhimmi", selon les textes islamiques par Marie-Thérèse Urvoy

  • Et la palme du dhimmi est attribuée à…

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    Suite au magnifique festival contre l’islamophobie, les nominés pour recevoir la palme du dhimmi ont enfin été révélés.

    Malheureusement absents, François Ruffin ne pourra concourir car il jouait au foot et mangeait des gaufres, tout comme Yannick Jadot qui avait un rendez-vous chez l’ophtalmo pour régler ses problèmes oculaires qui l’empêchent de lire correctement les pétitions qu’il signe. N’ont pas été retenus, non plus, Philippe Martinez et Nathalie Arthaud ainsi que leur bande syndicaliste au complet. Leur prestation surjouée n’a pas convaincu le jury. On sent la fin de carrière, des comédiens fatigués, peu aidés par des scénaristes plus très inspirés.

    Est, en revanche, retenue, dans la catégorie fiction historique, Esther Benbassa pour sa magnifique adaptation de la déportation des Juifs version musulmane. Il fallait être sacrément culotté pour transposer la Shoah à des citoyens bénéficiant, comme tous les autres, de l’assurance chômage, des congés payés, de la couverture maladie universelle, des allocations familiales et du système de retraite. Elle l’a fait !

    L’incontournable Edwy Plenel est, évidemment, nominé comme chaque année pour sa nouvelle comédie sentimentale, un rôle un peu mielleux, mais ses admirateurs apprécieront. Ses pleurs lors de « la Marseillaise » chantée à l’unisson resteront ; on ne sait pas si ce grand sensible a également versé sa petite larme lorsque la foule a scandé à multiples reprises « Allah akbar ».

    La lutte s’annonce acharnée pour la palme du meilleur espoir féminin. Danièle Obono et Clémentine Autain sont toujours fidèles au poste, mais pourraient bien se faire rafler la mise par Elsa Faucillon, particulièrement zélée ces derniers temps.

    Enfin, on ne voit pas comment la palme suprême pourrait échapper à Jean-Luc Mélenchon. On reconnaît la marque des plus grands, capable de jouer des rôles de laïcard par le passé et de dhimmi aujourd’hui… Une carrière gigantesque.

    La cérémonie aura lieu à l’Institut du monde arabe et sera présidée par Jack Lang. La récompense, un magnifique croissant en or massif, est généreusement offerte par le CCIF et les Frères musulmans.

    Axel Vontargier

    https://www.bvoltaire.fr/et-la-palme-du-dhimmi-est-attribuee-a/

  • Génération identitaire a organisé une marche contre les islamistes à Paris

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    Le mouvement Génération identitaire a tenu, ce 17 novembre, une marche à Paris contre les islamistes, en réaction, en particulier, à l’attentat de la préfecture de Paris d’octobre. Des slogans appelant à la «remigration» s’y sont fait entendre.

    «Nous voulons la remigration. Pas d’islamistes, pas d’attentat», scandaient, entre autres slogans, les manifestants, selon le reporter de RT France présent sur place.

    Certains manifestants arboraient des portraits d’auteurs d’attentats islamistes en France, comme celui du terroriste responsable de l’attaque sanglante de l’Hyper casher à la Porte de Vincennes à Paris en janvier 2015, Amedy Coulibaly.

    L’organisation identitaire, hostile à l’immigration et à l’«islamisation» de Europe, avait appelé à manifester contre l’«islamisme», en faisant référence en particulier à l’attaque du 3 octobre à la préfecture de police de Paris, perpétrée par Mickaël Harpon, un employé de l’administration converti à l’islam. «Harpon était habilité secret défense alors qu’il fréquentait des imams salafistes fichés par la DGSI. Un islamiste était donc infiltré au plus haut niveau de l’Etat, du jamais-vu dans toute notre Histoire», pouvait-on lire dans l’appel à manifester sur Facebook. De fait, selon un rapport interne de la Direction du renseignement de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP), Mickaël Harpon était habilité secret défense. Il avait fréquenté, à Gonesse (95) où il vivait, un imam fiché S, selon des sources proches de l’enquête citées par l’AFP.

    Génération identitaire, néanmoins, ne fait pas que dénoncer l’islamisme et le terrorisme islamiste : prenant la parole devant les manifestants, la porte-parole du mouvement Anaïs Lignier a accusé sans ambages «une grande partie des musulmans» vivant en France, de souhaiter faire «appliquer la charia, les lois islamiques en France» afin «que celles-ci prennent le dessus sur nos propres lois».

    Interrogée par RT France sur la marche contre l’islamophobie organisée la semaine précédente, la porte-parole a déclaré que la manifestation de ce 17 novembre se voulait aussi en être une «réponse», même si il n’y a pas de «lien direct» entre ces deux appels au rassemblement.

    «Quand on compare l’islamophobie qui n’a fait aucun mort en France […] en comparaison de 250 morts [du terrorisme islamiste] en quelques années, évidement qu’on répond à cela et qu’il faut être aussi dans la rue», a-t-elle déclaré.

    Pour lire la suite, c’est ici !

    https://fr.novopress.info/216036/generation-identitaire-a-organise-une-marche-contre-les-islamistes-a-paris/

  • Les cocus de l’antiracisme

    Les cocus de l’antiracisme

    Effet boomerang chez les professionnels de l’antiracisme :

    Voilà que les idéologues de l’antiracisme « première génération » expriment de plus en plus souvent leur indignation et leur amertume en découvrant le racisme de « deuxième génération ».

    On a pu ainsi, ces derniers jours, voir et entendre sur plusieurs chaînes l’avocat Alain Jacubowicz, ancien président de la LICRA, déclarer : « Oui, nous avons fait des erreurs ! », évoquant le fait que l’antiracisme d’origine était fondé sur un a priori de défense de minorités (« les juifs », « les noirs », « les arabes », « les musulmans ») et que le méchant était « toujours le blanc », « de droite » et « souvent nanti ».

    Ainsi, il n’y a pas longtemps que Jacubowicz a découvert la réalité du racisme antiblanc de l’islamo-gauchisme d’Houria Bouteldja et de ses « indigènes de la République » : avec à peine dix ans de retard sur l’AGRIF ! 

    Et comme si, d’ailleurs, le fait d’avoir érigé en principe que « le blanc » était le méchant, n’avait pas relevé d’un parfait a priori raciste. Votre racisme en vérité, Me Jacubowicz !

    Mais quelle belle preuve, aussi, de votre ignorance de l’idéologie islamique.

    Si vous aviez, au long de votre carrière, un tant soit peu pris la peine de parcourir le Coran et les Hadîths, vous en auriez trouvé, de l’appel à la haine contre les juifs et contre les « polythéistes » (les chrétiens). Et que n’avez-vous lu au moins sur cela quelques ouvrages de votre excellente coreligionnaire Bat Ye’Or !

    Ce communautarisme n’est en réalité objectivement qu’un principe d’apartheid comme cela a toujours été pratiqué dans l’islam. L’islam n’a d’ailleurs pas le monopole de cela ! Et pour ce qui est du christianisme, s’il a pu en être jadis ainsi, ce ne put jamais être fondé ni sur la lettre ni sur l’esprit de l‘Évangile.

    Pour ce qui est du combat contre le racisme antiblanc modèle Bouteldja, je conçois que vous soyez furieux de vous être somme toute fait idéologiquement cocufier par dame Bouteldja et sa clique.

    Mais voilà que vous en venez aussi à l’heureuse formulation qu’il y a des racistes partout, dans tous les peuples et sur tout l’échiquier politique.

    Et pour ce qui est du racisme antiblanc, voilà que vous vous retrouvez désormais en accord avec votre remarquable confrère, notre cher Gilles-William Goldnadel qui, lui, l’a depuis longtemps analysé et dénoncé. Il se trouve aussi que, par un hasard de « zappinge », je suis tombé la semaine dernière sur un excellent documentaire passant sur la chaîne Histoire : « Heureux comme un juif en France ».

    Qu’il était émouvant aussi, ce bon juif, aussi franc qu’islamiquement inculte, avouant ingénument que, militant antiraciste et immigrationniste, il avait pendant des années œuvré pour faire entrer en France le plus possible d’immigrés, notamment musulmans. Mais voilà que maintenant, il s’en mord les doigts. Il a certes le courage de l’avouer.

    Et pour ce qui est de nous, à l’AGRIF, nous efforçant, ô certes pas toujours très facilement, à être dans la conformité avec notre modèle évangélique, nous sommes très satisfaits de voir arriver des « ouvriers de la onzième heure » du combat contre l’authentique racisme des néo-antiracistes !

    Puissent-ils du moins ne pas nous reprocher d’avoir eu raison avant eux puisque nous n’en tirons aucun mauvais orgueil.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-cocus-de-lantiracisme/

  • L’islamisation, cette nouvelle invasion

    L’islamisation, cette nouvelle invasion

    Une semaine après la manifestation islamo-gauchiste, plusieurs centaines de personnes ont manifesté contre l’islamisme, à l’appel de Génération Identitaire. Les manifestants ont brandi des photos des terroristes :

    Arnaud Danjou, président d’Académie Cristiana, a prononcé un discours lors de cette manifestation « face aux islamistes, défendons l’Europe », rappelant la longue histoire de la lutte de l’Europe chrétienne contre l’hydre musulmane :


  • Les funérailles de Jean-Luc Mélenchon

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    Ou Mélenchon à la manif contre l'islamophobie

    Faut reconnaître que Mélenchon a eu un bel enterrement. Quasiment des funérailles nationales. Pas comme celles de Mitterrand qu’il admirait tant, mais pas loin. Il est vrai qu’on en avait peut-être fait un peu trop, pour le Président charentais. André Santini, à l’époque, avait même trouvé qu’on n’en avait pas fait autant pour Giscard ! Certes, entre la Bastille et la Nation, cela aurait eu plus de gueule – de sens, on sait pas, mais de gueule, c’est sûr. Le convoi funéraire avait quand même pour destination finale Nation, c’est déjà ça. Pas mal, comme endroit, pour se faire enterrer de son vivant.

    Du monde ? Pas mal. On dit autour de 13.500 personnes. Ça ne serait pas entré dans Notre-Dame ou Saint-Sulpice, mais vu que Jean-Luc est un laïque de stricte observance, pas de regrets à avoir, du coup. À part les regrets éternels, évidemment. Et l’ambiance, pas trop lourde, l’ambiance ? Pas du tout. Un enterrement comme on aimerait en avoir un : pas compassé pour un sou, bon enfant, convivial, j’allais dire primesautier. On chantait, on tapait dans les mains, on rigolait. Pour paraphraser le délicieux Ludwig von Apfelstrudel, si, place de la Nation, ça n’a pas fini en farandole en chantant des tyroliennes (c’était pas trop le genre), faut reconnaître qu’on n’a pas dû regretter son après-midi. Clémentine n’avait même pas mis le voile noir qui sied pourtant si bien au chœur des pleureuses en ces tristes circonstances. Mais cela faisait ressortir d’autant la belle chevelure blonde d’Autain.

    Et sinon, la gauche avait envoyé des délégations pour tenir les cordons du poêle et signer les registres à la fin des obsèques ? La gauche, c’est-à-dire ? Le Parti socialiste, par exemple. Euh, non. Personne. Faut dire, déjà, qu’ils ne sont plus très nombreux : entre les morts, les morts-vivants et ceux qui ont refait leur vie chez Macron. Certes, « mort, même l’ennemi a droit au respect », disait récemment Jean-Marie Le Pen à propos de Jacques Chirac, mais ils avaient peut-être bien compris qu’assister à l’enterrement de Mélenchon entouré d’une telle pompe funèbre, c’eût été finir de s’enterrer eux-mêmes. Cette lucidité des derniers instants !

    Georges Michel

    https://www.bvoltaire.fr/les-funerailles-de-jean-luc-melenchon/