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islamisme - Page 195

  • Samedi 1er septembre : colloque en mémoire des morts de Breslan

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    Contre la barbarie et la terreur qu'ils cherchent à nous imposer: Union de toutes celles, et de tous ceux, qui sont attachés à nos libertés, et à notre civilisation : 
    Mémoires et Vérités rend hommage aux victimes du terrorisme. Beslan (1er septembre 2004) Paris (13 novembre 2015) et Nice (14 juillet 2016).
    Le samedi 1er septembre 2018, au Centre Cultuel et Culturel de Russie (1, quai Branly 75007 Paris).
    16 heures :
    Cérémonie religieuse Cathédrale de la Sainte-Trinité (1, quai Branly à Paris). Chœurs de la Cathédrale dirigée par Alexis Tcherkov.
    17 heures :
    Cérémonie civile et Colloque Mémoires et Vérités sur le thème Beslan, Paris, Nice, victimes d'un même terrorisme islamiste. Au Grand Amphithéâtre du Centre Culturel russe de Paris.
    Henri-Paul Falavigna : Vérité pour l’attentat de Beslan, terroristes seuls responsables (vidéos)
    Jean-Claude Hubler, vice-President de l'Association des victimes de l’attentat terroriste de Nice : face au terrorisme. Solidarité entre toutes les victime.
    Georges Fenech, ancien magistrat : bilan de l'arsenal judiciaire contre l’islamisme.
    Xavier Raufer, criminologue : autopsie de l'islamisme.
    Emmanuel Leroy, Président d’une association de soutiens aux jeunes victimes du terrorisme : l’étiologie du terrorisme : une stratégie de propagande et de contrôle des populations.
    Capitaine (er) Pierre L. Plas (TAP. URH. DRM.) : la terreur est-elle devenue une arme géostratégique de niveau planétaire.

    Solidarité enfants de Beslan association humanitaire et d'amitiés France Ossétie-Alania Fédération de Russie.

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  • Le concert de Medine au Bataclan : un nouvel attentat contre le peuple de France

  • La mise en place d’un islam de France : une vaste entreprise d’islamisation de la France à fonds publics

    6a00d83451619c69e2022ad3663205200c-200wi.jpgL'abbé Michel Viot revient sur le projet gouvernemental concernant l'organisation de l’islam de France :

    "[...] Je pense, et je crois ne pas être le seul, qu’il va s’appuyer sur les idées développées par Monsieur Hakim El Karoui dans son livre L’islam, une religion française (Editions Gallimard-Le Débat, décembre 2017). Ce livre est important (il a été précédé par une étude publiée par l’Institut Montaigne), parce qu’il est fort intelligemment présenté et aborde pratiquement tous les points difficiles de l’entreprise. Mais des flous et des obscurités demeurent, et même ce qui peut apparaître comme des dissimulations. Pourquoi, par exemple, laisser entendre que ce serait la seule lutte contre l’islamisme, à partir de 2015, qui aurait motivé son engagement dans la cité comme musulman alors que Monsieur El Karoui dirigeait dès 2010-11 – et c’était parfaitement son droit – un établissement musulman culturel et cultuel (l’ICI de Paris). S’agissait-il alors de lutter contre l’islamisme ? C’est certes à la limite du procès d’intention fait à l’auteur ; je l’assume parce que je crois simplement que ce qu’il propose peut avoir, entre autres, de très graves conséquences sur la paix publique. Pire, il est permis de se poser la question, à la lecture de son livre, si cette mise en place d’un islam de France ne va pas en fait consister en une vaste entreprise d’islamisation de la France à fonds publics.

    Je dirige depuis deux ans une émission mensuelle sur Radio Courtoisie : Le libre journal de lumière et d’espérance. Mon émission de rentrée se tiendra le dimanche 2 septembre en direct de 12 h à 13 h 30, avec pour titre « Islam de France, l’heure de vérité ». Nous y discuterons de « l’islam de France », et essaierons de montrer quelles sont les conséquences de sa mise en place et structuration pour tous les Français.

    J’aurais souhaité la présence de Monsieur El Karoui. Elle ne sera apparemment pas possible, et s’il doit en être ainsi, je le regrette. Mais le sujet sera quand même traité. Accompagné d‘Alain Wagner (de l’International Civil Liberties Alliance), mon ami et collaborateur Odon Lafontaine, auteur du Grand secret de l’islam sera présent. Il fait partie de ceux qui dans le sillage du P. Edouard-Marie Gallez étudient l’islam avec sérieux, avec la même exigence de vérité que pour tout ce qui concerne le christianisme. L’esprit critique n’est point incompatible avec celui de foi dans la tradition catholique. Nous avons donc des questions précises à poser, tant à partir de textes religieux que de faits historiques incontestables. Ce qui se produit par exemple quand l’islam rencontre la modernité. Les siècles qui précèdent le nôtre sont riches d’exemples à ce sujet. Ils seront évoqués au cours de cette émission, avec d’autres considérations, tirées du livre de Monsieur El Karoui que nous commenterons. Je me permets de rappeler à ce propos qu’Odon Lafontaine et moi-même avons écrit La Laïcité, mère porteuse de l’islam ?(éditions Saint Léger-Les Unpertinents) qui traite ce sujet au fond. J’y renvois les lecteurs pour préparer l’émission."

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  • Immigration : danger toujours immédiat

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    Notre société part à la dérive. N’en déplaise aux cœurs sensibles, aux amoureux d’utopiques droits de l’homme, à la fausse générosité d’une gauche méprisante autant que meurtrière, d’une droite irresponsable, mais l’immigration est responsable de la désagrégation de la société française. Par ses dommages collatéraux sur l’ensemble des acteurs sociaux : éducation, santé, religion, justice. Une grande partie des immigrés refusent les lois de la République, plus encore la culture française qu’elle ignore superbement. Cette haine de la France s’exprime aussi dans les moquées qu’on laisse pousser dans toutes les métropoles. Le fossé entre la France gauloise et les immigrés est culturelle. On ne pourra jamais combler le fossé des imaginaires dont la langue est l’expression majeure. Or, dans cette France en voie de déstructuration, les minorités conservent leur langue car elle demeure le lien communautaire par excellence.

     Il nous a paru révélateur de reproduire l’article suivant

     Les policiers, premiers témoins de la brutalité et de la haine

    Par Hugo Wintrebert

    Il suffit d’un regard. Deux individus se croisent, se toisent et c’est tout. Un coup d’œil ou une simple cigarette refusée : un motif parfois suffisant pour que se déchaîne une haine hors de toute proportion. Une violence sans cause, mais aux conséquences parfois tragiques. À Paris, au petit matin du 8 août, un homme monte dans un bus avec son vélo. Un voyageur lui fait une remarque. Quelques secondes après, le voilà gisant sur le trottoir, le cou transpercé par un coup de clef.

    Aux premières loges de ce spectacle sinistre, les policiers. Car derrière les chiffres démontrant la hausse des agressions, se cache un sentiment diffus au sein des forces de l’ordre : celui d’un recours toujours plus débridé à la violence par la population, d’une « radicalisation des rapports sociaux », voire d’un « ensauvagement de la société » pour reprendre les termes de Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat Synergie police.

    « L’utilisation de la violence ne fait que s’amplifier, relève Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint du syndicat Alliance. La société ressemble de plus en plus à une rame de métro. C’est un monde du chacun pour soi, où les incivilités sont légion. Et en cas d’agression, les voyageurs préfèrent baisser les yeux, conscients que s’ils interviennent, ils seront forcément victimes. » Un constat partagé par Jérémie Dumont, secrétaire général adjoint du syndicat des commissaires de la police nationale, qui précise qu’« il ne s’agit pas nécessairement que d’individus venant de zones urbaines sensibles, mais d’un mouvement plus large de l’en- semble de la société ».

    Pour les policiers, cette recrudescence des violences gratuites s’explique par l’impunité dont profiteraient les auteurs de ces actes. « Les magistrats sont désormais accoutumés. Ils ne condamnent jamais de manière ferme les personnes qui commettent ces violences », s’agace Patrice Ribeiro. « On retrouve les délinquants dans la rue le jour même de leur arrestation, abonde Frédéric Lagache. Seule, la police est impuissante face à une hausse des incivilités. Elle ne peut pas combler les lacunes de l’école, du manque de civisme et d’une justice laxiste. »

    La banalisation des violences n’est pas nouvelle mais certains policiers notent un phénomène émergeant : l’exhibition de la haine. Sur les réseaux sociaux, certaines rixes sont désormais filmées et des compilations de bagarres deviennent virales. Témoins de ces violences, les forces de l’ordre en sont aussi parfois les victimes. Selon les intéressés, être policier en 2018, c’est avant tout être une cible. Le moindre contrôle d’identité est source de tension. « Il n’y a plus de routine. Quand il arrive au bureau, un agent ne sait pas ce qui va lui arriver dans la journée, s’inquiète Philippe Capon, secrétaire général Unsa police. Même un petit différend familial peut dégénérer. » Dernier exemple en date : le 10 août, des gendarmes landais interviennent pour une simple affaire de vol de vélo. Trois d’entre eux ont terminé leur mission blessés, deux par arme blanche et un au moyen d’une barre métallique.

    Plus largement, les forces de l’ordre se plaignent de ne plus jouir d’une certaine forme de respect. « On ne relève même plus les insultes par exemple, sinon on passerait encore plus de temps derrière un ordinateur plutôt que sur le terrain », assure Frédéric Lagache. Avant de conclure : « Aux États-Unis, si vous frappez un policier, vous allez directement en prison. En France, les forces de l’ordre ne sont pas respectées. Alors pour les personnes lambda, c’est encore pire. »

    (Source : Le Figaro 27/08/2018)

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L'islam est faux : Mahomet n'est ni un prophète ni un modèle - La Mecque n'existait même pas au temps de Mahomet

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Longjumeau (91) : le projet de mosquée suscite des oppositions

    Face aux oppositions qui n’ont pas tardé à se faire jour, Sileymani Diakite et Ouleydy N’diaye, les porteurs de projets de la mosquée de Longjumeau (Essonne, 22 000 hab), sont « prêts à dialoguer avec tout le monde. »

    Si le calme règne dans ce secteur verdoyant de la commune, le projet de construction d’une mosquée au bord de cette voie fait grand bruit, et ce bien au-delà de la simple sphère communale. Une première salve d’oppositions avait animé la chronique voilà trois ans. Des riverains s’étaient en effet émus alors qu’un projet de ce type bruissait en ville. Réalisé début juillet, le vote en faveur de la vente de deux parcelles communales à l’association CSCIL, mobilisée pour la construction d’un centre socioculturel islamique à Longjumeau, avait relancé les craintes de certains habitants, toujours remontés aujourd’hui.

    Face à cette fronde plus ou moins visible, les porteurs du projet se disent ouverts aux échanges et aux éclairages. […] Pour favoriser la discussion et présenter le projet, une réunion « ouverte à tous » est d’ores et déjà programmée pour le soir du 28 septembre prochain à la salle Anne Frank. […]

    « Les prêches et les discours se feront, pour l’essentiel, en français, comme c’est le cas actuellement», souligne le responsable pour tenter de faire taire certaines inquiétudes. […]

    Le Parisien

    http://www.fdesouche.com/1065649-longjumeau-91-le-projet-de-mosquee-suscite-des-oppositions

  • GoFundMe bloque les paiements faits à Robert Spencer, dénonciateur de l’islamisme

    GoFundMe bloque paiements Robert Spencer islamisme
    Fin connaisseur de l’islam et de l’islamisme, dénonciateur du djihad, Robert Spencer est dans le collimateur des sites de paiement en ligne qui ont institué une censure de fait à son encontre, avec l’objectif évident de le priver de ses revenus. Spencer vient de révéler que la plateforme de financement participatif GoFundMe a annulé et rembourse sans explication les versements qui lui sont faits par les internautes pour soutenir son combat pour l’information juste sur le terrorisme islamique et les avancées musulmanes.
    Tout a commencé avec des démarches similaires de la part d’un autre service de paiement en ligne supposément neutre. Alors que Robert Spencer venait de mettre en place une campagne de levée de fonds en vue de financer la mise en place d’un nouveau studio video, le site de « crowd-funding » Patreon l’avait averti la semaine dernière de sa décision de fermer son compte.

    Lire la suite sur RéinfoTV

  • Fiché S car "lié aux groupes islamistes armés algériens", il est LREM et a participé à la campagne électorale

    Expulsable maIs jamais expulsé, lié aux groupes islamistes armés algériens et faisant l'objet d'un arrêté de reconduite à la frontière mais devenu citoyen français, fiché S mais candidat aux législatives de 2012, il a finalement pris part en 2017 à la campagne législative du secrétaire d'État au numérique Mounir Mahjoubi, candidat dans le 19ème arrondissement de Paris.

    Voici un homme du "nouveau monde".

    "Plus tard, dans Le Journal du dimanche, une source présentée comme un haut fonctionnaire du ministère de l'Intérieur avait affirmé que la fiche S de ce militant avait été désactivée avant la campagne électorale.

    En réalité, il n'en est rien. Ce militant fiché S fait régulièrement l'objet d'un contrôle minutieux lors de son passage au filtre police des aéroports. Néanmoins, sur le profil Facebook de cet homme, de nombreuses photos sont publiées où il apparaît aux côtés du secrétaire d'État en campagne. On le voit, par exemple, distribuer des tracts en faveur de son candidat".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/fich%C3%A9-s-car-li%C3%A9-aux-groupes-islamistes-arm%C3%A9s-alg%C3%A9riens-il-est-lrem-et-a-particip%C3%A9-%C3%A0-la-campagne-%C3%A9lec.html

  • Que nous importe ce qu'est Kamel Salhi, le tueur de Trappes ? Son origine est étrangère, il est venu porter la mort chez nous

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    Trappes, hier jeudi

    Les attentats - que leurs auteurs soient conscients et déterminés, ou malades et déséquilibrés - frappent aujourd'hui toute l'Europe.

    Ceux qui les commettent proviennent toujours des mêmes régions du globe, professent une même religion, ressortent d'une ou plusieurs autres civilisations étrangères ou hostiles à la nôtre. Qu'ils soient, si l'on peut dire, sains de corps et d'esprit au service de la guerre qu'ils nous font, ou qu'ils souffrent de diverses pathologies, le résultat est le même. Peu nous chaut. Ils portent la violence et la mort sur un continent qui en a accueilli un nombre insensé. Voilà le fait.

    Après Londres, Barcelone, Cornellà, Périgueux, c'est à Trappes, que le terrorisme a frappé hier. L'auteur se nomme Kamel Salhi. Comme le Soudanais qui a sévi l'autre jour à Londres s'appelait Salih Kater. Sainte transparence des prénoms et des patronymes ! Nous saurons demain, après-demain ou à peine un peu plus tard où un tel acte se renouvellera.

    Un remarquable article d'Yves Michaud - auteur que nous ne connaîssons pas -  publié le 15 août dans Causeur a pour titre : « Attaques au couteau : la vérité de l’intention, c’est l’acte ».

    315471992.jpgIl précise en préambule : « Déséquilibrés, terroristes, djihadistes ? Les querelles sémantiques n’y changent rien : de plus en plus d’agressions, notamment au couteau, frappent les populations occidentales. Peu importe le motif invoqué par leurs auteurs, il faut qualifier les faits en s’interrogeant sur le modus operandi des coupables. »

    Et Yves Michaud ajoute ces réflexions qui auraient pu être les nôtres - mais n'ont pas été celles de Gérard Colomb et des médias :  

    « Comme philosophe empiriste se réclamant de la philosophie analytique, j’ai en effet depuis toujours la plus grande défiance envers les explications par les intentions subjectives. Ce qui compte, ce ne sont pas les intentions mais les actes. Hegel, pourtant pas très philosophe analytique, disait que « la vérité de l’intention, c’est l’acte ».

    « Or dès qu’il y a une attaque au couteau (et il y en a beaucoup – la dernière en date à Périgueux!)  non seulement les belles âmes islamo-gauchistes mais aussi les bonnes consciences des médias s’empressent d’invoquer l’absence d’intention terroriste avérée ou la pathologie mentale ou l’alcoolisme des agresseurs pour se rassurer : non ce n’est pas une action terroriste mais juste l’acte d’un déséquilibré. Et donc, circulez il n’y a rien à voir. »

    Que dire de plus juste et de plus sérieux après Trappes ?  

    Lire l'article d'Yves Michaud dans Causeur  ICI

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/08/23/que-nous-importe-ce-qu-est-kamel-salhi-le-tueur-de-trappes-s-6074385.html