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lobby - Page 1723

  • Les charlots du jour

    Exit les 17 victimes tuées par des fous d'Allah. François Hollande a affirmé que les musulmans sont dans le monde les "premières victimes du fanatisme, du fondamentalisme, de l'intolérance". Exit aussi les minorités chrétiennes persécutées dans tous les pays musulmans. François Hollande a ajouté que "l'Islam est une religon compatible avec la démocratie".

    De son côté, Jack Lang, président de l'Institut du monde arabe (IMA), a déclaré que l'islam est "une religion de paix et de lumière".

    Il faudra que ces charlots nous expliquent comment des livres ne prônant ni la paix, ni la lumière, ni les bisous pullulent au sein de l'Institut du monde arabe, comme le montre l'Observatoire de l'islamisation.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

     

  • Les éditions Oxford University Press interdisent les mots « cochon « et saucisse » afin d’éviter de contrarier les musulmans

    L’Oxford University Press – OUP, plus grande maison d’édition pédagogique au monde avec 6.000 employés- a mis en garde ses auteurs pour qu’ils n’utilisent plus les mots porcs, saucisses ou expressions rattachées au cochon dans les livres pour enfants, afin d’éviter d’offenser les Musulmans et les Juifs.

    L’existence de ces directives est apparue après un débat radiophonique sur la liberté d’expression à la suite des attentats de Paris.

    Lors d’une émission sur Radio 4 le présentateur Jim Naughtie a déclaré: « J’ai ici une lettre qui a été envoyée par l’OUP à un auteur qui écrit pour les jeunes. » « Parmi les choses interdites dans le texte de l’OUP nous avons : porcs et saucisses ou toute autre chose qui pourrait être perçu comme en relation avec du porc. »
    “Franchement si un éditeur respectable, lié à une institution académique, dit « vous devez écrire un livre dans lequel vous ne pouvez  pas parler de porcs parce que certaines personnes pourraient être offensées » c’est ridicule. C’est une blague. “

     

    Ces règles de publication ont depuis lors été ridiculisées en mettant en doute que des musulmans ou des juifs puissent être offensées par la mention des animaux de la ferme dans un livre pour enfants.

    Le député Tory Philip Davies, a déclaré : « comment diable quelqu’un peut-il trouver le mot « cochon » ou le « porc » agressif ? » « Aucun mot n’est injurieux. C’est le contexte dans lequel il est utilisé qui est offensant. »

    Un porte-parole de l’OUP a répondu : « l’engagement des Oxford University Press à sa mission d’excellence académique et pédagogique est absolue. »
    « Nos documents sont vendus dans près de 200 pays et en cela, et sans compromettre notre engagement en quelque sorte, nous encourageons certains auteurs de matériel pédagogique à tenir compte des sensibilités et des différences culturelles. »

    Article traduit de l’anglais à partir de The Telegraph.

    http://fr.novopress.info/181098/les-editions-oxford-university-press-interdisent-les-mots-cochon-saucisse-afin-deviter-contrarier-les-musulmans/#more-181098

  • Luc Ferry milite pour l’instauration de l’école pour les parents

    Le fanatique Ferry veut enseigner dès la primaire les dogmes de la religion républicaine mais également… Aux parents ! Et pour que les leçons soient bien assimilées, il souhaite l’ouverture d’écoles pour les parents !

    Voici ce que dit ce fou furieux : Pour Luc Ferry, ce qui peut être efficace c’est d’enseigner la morale républicaine dès le primaire. Et il faut, ajoute-t-il venir en aide aux parents. « Ce que nous vivons ce n’est pas la faillite de l’Education nationale, les professeurs ont juste de très grands problèmes lorsque les familles n’ont pas fait le boulot d’éducation morale». « Je suis pour la création de l’école des parents, qui sont souvent très démunis face à leurs enfants qui leurs échappent »… Et Pour Luc Ferry,  c’est à l’Education nationale de s’en charger. « On a les capacités à la faire dans le monde enseignant. »

    source

    http://www.contre-info.com/

  • Liberté d'expression : deux poids, deux mesures...

    Vincent Tournier est maître de conférence de science  politique à l’Institut d’études politiques de Grenoble. Il réagit sur le site Atlantico à la mise en examen de Dieudonné :

    "Quelle belle occasion pour Dieudonné de se rappeler au bon souvenir du  gouvernement. Il a raison de ne pas se gêner. Tout le monde vient de  clamer son amour pour la liberté d’expression et le droit à l’humour. Il lui  suffit donc de renvoyer l’ascenseur et de dire : vous aimez ça, la liberté,  eh bien chiche ! Dieudonné joue sur du velours, surtout lorsqu’on  se souvient que, l’an dernier, la justice s’en est pris à lui avec des arguments  pour le moins étonnants (...)

    C’est tout le problème de la liberté d’expression. On veut en faire un  principe absolu, mais on oublie que cette liberté a ses limites, lesquelles sont  fixées par l’Etat en fonction des circonstances. L’an dernier, l’Etat a  considéré que Dieudonné constituait une menace pour l’ordre public parce qu’il  entraîne sur son nom une dynamique qui se nourrit de la détestation des juifs et  du système politique. La contradiction entre l’annulation des spectacles et la  proclamation de la liberté est flagrante, mais elle est logique si l’on admet  que la liberté est d’abord une notion politique. Chacun revendique la liberté  pour soi, mais pas pour ses adversaires (...)

    L’argument est toujours le même : il y a deux poids deux  mesures, donc votre liberté est hypocrite. Ce n’est pas totalement faux (...)

    De son côté, la justice est loin d’être très claire sur les  limites de la liberté d’expression. Lorsque Christiane Taubira est comparée à un  singe par une militante du Front national, la sanction est très lourde (9 mois  de prison ferme en première instance) ; mais lorsque Charlie Hebdo  compare Bruno Megret à un "petit rat", il est relaxé. Nicolas Bedos a  également été relaxé lorsqu’il a traité Marine Le Pen de "salope fascisante".  Par contre, l’assistant parlementaire d’un sénateur socialiste a été condamné  pour avoir traité Marion Maréchal-Le Pen de "salope", et on verra ce  qu’il adviendra pour Guy Bedos pour avoir utilisé le même qualificatif à l’égard  de Nadine Morano. Bref, on voit bien que la subjectivité reste très forte. Les  tribunaux tiennent manifestement compte des caractéristiques du locuteur (qui  parle ?) et du contexte (d’où parle-t-il ? à qui ? quand ?). Les intellectuels et les artistes bénéficient d’un statut particulier.Lorsque Jean Baudrillard, au lendemain des attentats du 11-Septembre,  parle de la "jubilation prodigieuse de voir détruire cette superpuissance  mondiale" (Le Monde, 2 novembre 2001), ne fait-il pas l’apologie du  terrorisme ? (...)

    Le gouvernement aura donc beaucoup de mal à répondre à Dieudonné et à ses  soutiens.

    C’est assez paradoxal parce que, finalement, la sacralisation  de Charlie Hebdo n’était nullement donnée d’avance. On a même le sentiment que  les attentats ont quelque peu forcé la main des élites, contraintes de délaisser  une stratégie qui visait plutôt à gagner les faveurs de la population musulmane,  gauche et droite confondues. Souvenons-nous en effet que, en 2006, lors  de la première affaire des caricatures, puis en 2011-2012 lorsque Charlie Hebdo  a décidé d’en remettre une couche, les hauts responsables politiques étaient  très critiques à l’égard des caricatures "

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Face au faux argument des "apatrides" : Retirer la citoyenneté aux gens qui nous combattent

     

    Parmi les rares écrits sauvables de Sigmund Freud, son introduction à la psychanalyse pourrait être relue à frais nouveaux, en particulier dans la définition qu'il donne de l'hystérique : c'est une personne qui souffre de réminiscences. Sa paralysie mentale découle de ce poids terrifiant d'un passé fantasmé. Les rédacteurs de la Bible en ont fait la légende de la femme de Loth, laquelle "regarda en arrière, et devint une statue de sel." (1)⇓

    La terrible connotation du mot apatride semble ainsi interdire de réfléchir au problème, radicalement nouveau pourtant, que posent à nos sociétés les volontaires pour la prétendue "guerre sainte" que mènent les fous et les criminels ralliés au Néo-Califat s'intitulant "État islamique".

    Le danger qu'ils nous posent amène bien légitimement au désir, c'est bien là le moindre mal que l'on puisse leur souhaiter, de leur retirer les citoyennetés dont ils se sont volontairement retirés. Ces gens brûlent eux-mêmes leurs passeports français.

    Or, paralysés par la peur de ressembler aux régimes totalitaires du passé, jeune-turc de 1915, bolchevik ou – pire encore du point de vue "mémoriel" – nazi, nous acceptons de baisser les bras.

    En réalité, si nous acceptions de regarder l'Histoire, en face, nous pourrions convenir que ni les Arméniens de l'empire ottoman finissant, ni les Russes blancs, mencheviks et autres prétendus koulaks, ni les Juifs, qui, tous, ont été déchus de leurs citoyennetés respectives contre leur gré ne peuvent être comparés à ceux et celles que nous appelons par commodité "djihadistes" et qui sont partis de leur propre chef.

    Les conformistes acceptent donc de proférer une ânerie quand ils répètent à l'envi qu'il "n'est pas question de créer des apatrides", que ce serait contraire aux principes [récents] de la France éternelle car "la convention de New York de 1954 interdit de rendre une personne apatride". (2)⇓

    La proclamation en juin 2014 d'un État islamique affirmant sa prétention d'exercer un Califat mondial, excusez le pléonasme, nous offre à cet égard une occasion de clarifier les choses.

    Celui qui se rallie à une telle doctrine reconnaît en effet que sa "nationalité", – au sens que la réglementation française accorde à ce mot toujours confondu avec la "citoyenneté", – c'est désormais la communauté des croyants, la Oumma qui englobe tout. (3)⇓

    Dans la rédaction actuelle du code civil, la déchéance de la nationalité est prévue par l'article 25. La dernière rédaction remonte à 1998.  En retrait par rapport aux versions antérieures, au gré de modifications incessantes, on ne saurait dire qu'elle ait été donnée par Dieu à Moïse sur le mont Sinaï.

    Citons-la tout de même : "L'individu qui a acquis la qualité de Français peut, par décret pris après avis conforme du Conseil d'État, être déchu de la nationalité française, sauf si la déchéance a pour résultat de le rendre apatride : 1° S'il est condamné pour un acte qualifié de crime ou délit constituant une atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation ou pour un crime ou un délit constituant un acte de terrorisme ; 2° S'il est condamné pour un acte qualifié de crime ou délit prévu et réprimé par le chapitre II du titre III [atteintes à l'autorité de l'État] du livre IV [crimes et délits contre la nation l'État et la paix publique] du code pénal ; 3° S'il est condamné pour s'être soustrait aux obligations résultant pour lui du code du service national ; 4° S'il s'est livré au profit d'un État étranger à des actes incompatibles avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France."

    Autrement dit, il existe dès maintenant quatre motifs de déchéance de nationalité : le terrorisme, l’espionnage, la haute trahison et l’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation au profit d’un État étranger.

    La restriction "sauf si la déchéance a pour résultat de le rendre apatride" ne saurait s'appliquer aux gens qui, par définition, se rallient à la Oumma islamiste et à sa supposée "guerre sainte" – dirigée contre nous. Quand ils ne sont pas déjà bi-nationaux, en droit comme en fait, on doit considérer qu'ils ont acquis de ce fait la citoyenneté correspondant au camp dans lequel ils combattent.

    La procédure actuelle passe par un décret du ministère de l’Intérieur, après avis du Conseil d’État. On doit donc concevoir une doctrine-cadre fixée une fois pour toutes en relation avec la haute juridiction administrative, et des décrets subséquents du ministère de l'Intérieur constatant tout simplement cette réalité.

    On compte depuis les années 70, les statistiques du ministère de l’Intérieur recensent 21 cas, toujours à la suite d’une condamnation pour terrorisme. La guerre dans laquelle l'agression du terrorisme islamique nous a plongés portera sans doute sur des quantités bien plus considérables sans que les principes juridiques soient sensiblement modifiés. Ils seront appliqués avec la rigueur plus ferme qu'imposent les circonstances et le salut du pays.

    La Grande Bretagne est d'ores et déjà entrée dans cette voie.

    Les Romains nous l'ont appris : salus patriae suprema lex esto. La loi suprême est le salut de la patrie.

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/

    Apostilles

    1.  Genèse 19,26
    2.  lu dans Libération, testé par de grandes marques 
    3.  sur tous ces sujets on lira avec profit les deux petits livres de Henri Lammens récemment publiés aux Éditions du Trident.
  • Il est interdit de reproduire le prophète Taubira

    En France, "on peut tout dessiner, y compris un prophète", a déclaréaujourd'hui le ministre de la Justice, Christiane Taubira.

    Enfin presque : Taubira, elle, ne peut pas être dessinée. Alors qu'il avait été relaxé, David Miège est de nouveau poursuivi en appel pour avoir osé dessiné un singe, versant une larme, au sujet duquel l'avocat déclarait :

    «Mon client porte plainte pour avoir été odieusement caricaturé en madame Taubira».

    Michel Janva

  • 276.000 clandestins (officiels) entrés dans l’UE en 2014 (+ 155 %)

    Le commissaire européen en charge des migrations, Dimitris Avramopoulos a indiqué que 276.000 clandestins sont entrés dans l’UE en 2014. Soit plus de 2 fois et demie plus que l’année précédente où il y en avait eu un peu moins de 108.000. Et encore faut-il remarquer que ce ne sont là que les clandestins “officiels”, il faudrait y ajouter les clandestins vraiment “clandestins”.

    Sur ce total, 200 000 sont entrés en « franchissant la Méditerranée dans l’irrégularité », a précisé Dimitris Avramopoulos. Et ce alors que « les conflits dans notre voisinage génèrent un afflux constant de réfugiés en Europe » qui va « continuer si une action décisive et coordonnée de l’UE n’est pas prise », a t il mis en garde.

    http://fr.novopress.info/181087/276-000-clandestins-officiels-entres-lue-en-2014-155/

  • États-Unis : une victoire de la liberté pour les patrons pro-vie

    Nos lecteurs se souviennent certainement de l’affaire Hobby Lobby. Cette chaîne d’une centaine de magasins de loisirs, avait refusé de prendre en charge pour ses employées la cotisation pour les abortifs, les pilules, les avortements ; ceci dans le cadre de la mutuelle santé à laquelle souscrivait ce commerce. Rappelons qu’aux États-Unis les Américains ont l’obligation de s’assurer auprès de compagnies privées : l’équivalent de la Sécurité Sociale n’existe pas sauf pour les pauvres et indigents. Bref, Hobby Lobby avait délibérément choisi de ne pas souscrire à cette clause rendue obligatoire par l’Obamacare, le système de soins inauguré par le Président de l’Amérique.

    Les dirigeants de Hobby Lobby, obligés de payer cette part de cotisations se portèrent en Justice. Après de longues péripéties judiciaires, la Cour Suprême leur a donné raison. Victoire importante dans la mesure où par exemple toutes les institutions religieuses étaient obligées de cotiser de même selon le diktat d’Obama. Lequel ne s’est pas incliné pour autant. Il a commencé une sorte de triste guéguerre notamment dans les États où le parti démocrate était majoritaire. Dans un certain nombre de cas, des entreprises se sont retrouvées à la case départ.

    Cela a été le cas de la compagnie Autocalm dirigée par le catholique John Kennedy dans le Michigan. « Je ne peux pas me conformer à une décision allant contre ma conscience ». Ce catholique s’est adressé à un juge fédéral (c’est-à-dire au niveau de la fédération ses États Américains). Celui-ci lui a donné raison confortant la décision de la Cour Suprême.

    Bien sûr les tenants de la liberté religieuse exultent en saluant cette victoire contre le totalitarisme anti-chrétien d’Obama. Celle-ci est aussi un soulagement pour des milliers d’entreprises redevables de millions de dollars en amendes ou en rappels de cotisation. Mais c’est surtout une grande victoire pour le droit à la liberté de conscience reconnue par la déclaration des Droits de l’homme sur le plan international.

    Un tel droit n’existe plus en France dans la mesure où nous sommes tous obligés nolens volens, que cela nous plaise ou non, de payer la Sécurité Sociale qui rembourse l’avortement.

    Jean-Pierre Dickès

    http://www.medias-presse.info/etats-unis-une-victoire-de-la-liberte-pour-les-patrons-pro-vie/22334

  • Témoignage d’un prof du 95 qui laisse J.J.Bourdin sans voix !

     

     
     
     
     
  • Agir vite en restaurant l’État-nation à la française

    Après le temps de l’émotion, c’est l’heure des décisions pour les responsables politiques. Il ne s’agit plus de faire croire que les solutions résident dans de nouveaux textes législatifs. En effet, la quinzième loi contre le terrorisme a montré ses limites. Il suffit de bien faire appliquer avec rigueur les textes existants, par exemple l’interdiction dans la rue des signes ostentatoires de religion, notamment vestimentaires, alimentaires et de langage, qui entretiennent une division malsaine dans la population.

    Si la répression s’impose sans ménagement, la prévention est tout autant urgente. Désormais, en période de guerre ouverte, il faut voir clair, affronter la réalité en face et ne communiquer qu’après avoir pris les décisions et en fonction des résultats. Quelques pistes s’offrent à nos gouvernants.

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