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lobby - Page 1726

  • Le grignotage juridique au service de la vie

    Présent. Extrait :

    "[...] Se servir d’un arsenal juridique, c’est justement la spécialité de nos adversaires. Ils sont très forts pour contourner une loi qui existe ou arriver à leurs fins, quand la loi ne le permet pas. Il faut que l’on arrive à user des mêmes méthodes pour avancer. Quand une loi existe, il faut en dénicher les failles. Par exemple, si une loi était votée pour permettre l’euthanasie, il faudrait utiliser la notion d’abus de faiblesse, et se mobiliser juridiquement pour attaquer là-dessus dès qu’il y aurait un cas d’euthanasie. Dans le cas de l’avortement, il faut que nous réussissions à réclamer de nouveaux droits qui viendraient battre en brèche la suprématie de l’avortement. On agit sur de petites choses : une meilleure information, etc. C’est par ce grignotage juridique que, petit à petit, nous pourrons arriver à quelque chose.

    Enfin, tout ne se fait pas sur le plan législatif.Au quotidien, il faut s’engager pour développer une culture du soin, réfuter les arguments et proposer un discours alternatifà celui que nous servent constamment tous les faiseurs d’opinion.

    Mais cela sert-il à quelque chose, aujourd’hui, d’en parler avec le Français de la rue ? Ecoute-t-il ?

    Clairement, il y a certaines choses qui ne fonctionnent pas lorsque l’on parle de l’avortement en le présentant sous l’angle « pour-contre », « bien-mal ». Tout d’abord parce que nos contemporains se sentent jugés et ils ont horreur de cela, horreur des discours moraux.Ce qu’il faut, c’est revenir à la réalité concrète de l’avortement. Aujourd’hui, dans la grande majorité des cas, les femmes qui ont recours à l’avortement y sont forcées : des parents qui obligent leur fille, un conjoint sa femme. Il faut que ces femmes puissent avoir le choix de poursuivre leur grossesse. Il faut protéger la femme enceinte. Le gouvernement ne peut pas refuser cela.

    Ensuite, il suffit d’expliquer concrètement ce qui se passe lorsqu’un enfant est avorté. L’exemple des avortements tardifs est particulièrement dur, mais c’est concret et cela parle aux gens. Certains se réfugient dans le déni, ne veulent pas en parler parce que c’est trop horrible. Mais en faisant appel à l’émotion, le discours porte ses fruits. [...]"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pas de leçons à recevoir !

    Comme nous l’a confié un internaute avec une pointe d’agacement, « Si un rassemblement de rue suffit à résoudre les problèmes, pourquoi ne pas organiser la même chose avec des panneaux JE SUIS CHOMEUR » ? Chômeurs, les rescapés de Charlie hebdo ne le seront pas dans l’immédiat. Alors que les ventes du journal s’étaient spectaculairement écroulées ces dernières années pour plafonner aux alentours de 40 000 exemplaires chaque semaine, le nouveau numéro de Charlie hebdo à paraître demain, dont la une représente le prophète arborant une pancarte je suis Charlie, a été tiré à trois millions d’exemplaires. Un tirage que même dans leurs rêves les plus fous les membres de l’équipe de l’hebdomadaire d’extrême gauche n’auraient jamais imaginé. Ils n’auraient pas imaginé non plus, eux qui n’ont jamais cessé de cracher sur le drapeau, la police, les militaires, les traditions, de voir le président de la république leur rendre hommage l’occasion d’une cérémonie organisée en mémoire de toutes les victimes à l’hôtel des Invalides cette semaine.

    Bruno Gollnisch rappelle à cette occasion que ce sont des figures de la gauche et de l’extrême gauche, les amis et complices de Charlie qui ont fait circuler une pétition en 2011 pour (exiger) que le gouvernement français renonce au transfert des cendres du général Marcel Bigeard (décédé en juin 2010), héros notamment de la lutte antiterroriste, à l’hôtel des Invalides à Paris. Une « initiative» jugée « historiquement infondée, politiquement dangereuse et humainement scandaleuse ». Pétition qui fut signée notamment par d’anciens terroristes du FLN, le Président d’honneur du Mrap, Mouloud Aounit, l’ex ministre communiste Anicet le Pors, le secrétaire national du PC, Pierre Laurent, le député écolo-gauchiste Noël Mamère, le président de la LDH, Pierre Tartakowsky…

    Si les Français, peuvent être légitimement « surpris » de voir les vieux bolchos libertaires de Charlie Hebdo honorés aux invalides, les autorités pénitentiaires l’ont été aussi par le parcours de certains détenus. Certes, si le comportement des embastillés permettait de préjuger de leur réinsertion, les choses seraient peut être plus simples. Une dépêche Reuters rapporte ainsi que « Amedy Coulibaly, qui a tué cinq personnes la semaine dernière à Montrouge et Paris, était un détenu exemplaire avant sa libération en mai 2014, a déclaré lundi le porte-parole du ministère de la Justice, soulignant la difficulté de la lutte contre la radicalisation en prison. Chérif Kouachi, auteur avec son frère Saïd de l’attaque armée contre Charlie Hebdo qui a fait 12 morts, ne s’est pas non plus distingué en détention par des appels à la prière ou au djihad… »

    Autre membre de cette bande (islamique) des Buttes-Chaumont, l’imam responsable parait-il de leur endoctrinement, Farid Beneyettou, actuellement infirmier stagiaire à l’hôpital de la Salpêtrière, donne lui aussi toute satisfaction… voilà qui est rassurant. Comme l’est aussi cette anecdote qui nous a été confiée par un membre d’Air France travaillant au sol. Il nous a expliqué avoir vu « tous les barbus de la maintenance de Roissy » -« engagés en priorité parce qu’ils résident dans le 9-3 »-, « se réjouir bruyamment et publiquement à l’annonce des attentats… ».

    Sur le site d’@rrêt sur images, son fondateur, Daniel Schneidermann, qui était à la manif parisienne de dimanche -dans laquelle « il y a aussi Bruno Gollnisch » lui explique-t-on !- nous livre le fruit de quelques unes de ses discussions dans le cortège. Il évoque cette « principale d’un collège du secteur » a qui a été rapportée que « dans la cour (de son établissement) , trois élèves auraient estimé qu’ils avaient bien cherché ce qui leur était arrivé, les gars de Charlie. Elle les a fait venir dans son bureau, un par un, pour leur parler liberté, égalité, fraternité. Un par un. Prendre le temps. Madame, vous nous dites que vous êtes pour la liberté d’expression, mais si on dit le contraire de vous, on n’a pas le droit , a répondu un des rebelles. Aïe. Pas gagné (…) ». D’autant moins gagné ajouterons nous quand la simple consultation des réseaux sociaux permet de constater la popularité des hashtags « je suis Kouachi » ou « je suis coulibaly ».

    « Il paraît indique encore le journaliste, que dans l’arrondissement (des Buttes-Chaumont, NDLR) , certaines bibliothèques ont refusé de coller le panneau Je suis Charlie , craignant des représailles. Ça me rappelle ce que disait Judith sur le plateau (d’@rrêt sur images, NDLR), sur son lycée du 93 où elle préfère, elle aussi, ne pas arborer l’autocollant. Ces lieux où ce serait une provocation de coller Je suis Charlie . Ces lieux que laisse dans l’ombre l’émotion de l’instant, mais qui seront toujours là demain, après la journée historique. Demain, où tout commence ».

    Mais les «salauds» ce sont bien sur les membres du FN…et particulièrement Jean-Marie Le Pen qui ose fustiger « les charlie » de l’UMPS et leurs idiots utiles qui sont des « charlots responsables de la décadence de la France».

    Président d’honneur du FN qui a été également incendié par les donneurs de leçons et autres prescripteurs du bon goût politiquement correct pour avoir communiqué sur le thème « je suis Charlie Martel ». Marine Le Pen a noté que « cette irrévérence » « était très Charlie », « très dans l’esprit (transgressif) Charlie Hebdo». Et d’ajouter : «La liberté d’expression en France est aujourd’hui une vraie question.» «Si je suis Charlie c’est être d’accord avec la liberté d’expression, je suis Charlie, si c’est être d’accord avec la ligne éditoriale de Charlie Hebdo, non, je ne suis pas Charlie!».

    Car comme nous le craignions, ce je suis charlie a été en effet récupéré par les plus extrémistes qui ont détourné l’esprit qui se voulait (officiellement) fédérateur du défilé parisien de dimanche pour manifester par des slogans ou des pancartes leur haine, leur hostilité du Front National. Nous retrouvons là bien sûr la patte des collabos de l’immigration les moins finauds que sont les militants d’extrême gauche les plus bornés, eux n’ont pas encore compris qu’ils étaient les supplétifs du Medef et plus largement encore de la finance internationale.

    Jean-Luc Mélenchon a vite vendu la mèche dans l’entretien qu’il a accordé au site du Monde. «Il y a des gens qui n’ont pas arrêté une seule seconde de jeter de l’huile sur le feu. Mme Le Pen n’a pas arrêté : dès qu’il y a trois morts, elle réclame le retour de la peine de mort. Encore des morts ! Elle fait partie du problème que nous avons à régler. Tout le monde serait beaucoup plus détendu si on savait qu’on ne l’avait pas sur le dos, elle qui est prête à venir capitaliser sur les peurs. Il y a des gens qui sont un problème, d’autres une solution. Le tout, c’est de ne pas se tromper »

    Mélenchon feint une nouvelle fois de ne pas comprendre que ce sont les idées qu’il défend qui sont rejetées par les catégories populaires, que c’est le peuple Français qui a hissé Marine et le FN sur le dos d’un Système dont l’altermondialisme du Front de Gauche est partie prenante. Un Système qui accable la France et la mène à sa perte.

    Alors, encore une fois, affirme Bruno Gollnisch, nous n’avons aucune leçon à recevoir de ceux qui orchestrent actuellement une vaste opération de sidération des esprits pour mieux dissimuler leurs turpitudes. Ceux qui ont abaissé les frontières rendues perméables à la circulation des terroristes ; ceux qui ont ouvert les vannes de l’immigration massive ; ceux qui pactisent avec les bailleurs de fonds du djihadisme, se font payer des conférences à Doha à 100 000 dollars la passe ; ceux qui ont qui mis la France à la remorque de Washington, d’un nouvel ordre mondial qui s’est tant employé à détruire les Etats laïcs arabes pour leur substituer l’anarchie sanglante et le chaos islamiste.

    http://gollnisch.com/2015/01/13/pas-de-lecons-recevoir/

  • Alors toujours Charlie ?

    Voici un dessin en page 2 du nouveau numéro de Charlie Hebdo, attention dessin choquant et injurieux : voir ici

    Analyse de Boris Le Lay : Retourner la mobilisation populaire contre le peuple

    Il aborde notamment le problème des lois qui condamnent l’apologie du terrorisme.

    http://www.contre-info.com/

  • Alors toujours Charlie ?

    Voici un dessin en page 2 du nouveau numéro de Charlie Hebdo, attention dessin choquant et injurieux : voir ici

    Analyse de Boris Le Lay : Retourner la mobilisation populaire contre le peuple

    Il aborde notamment le problème des lois qui condamnent l’apologie du terrorisme.

    http://www.contre-info.com/

  • Directives de Fabius à la presse : « terroristes » plutôt que « islamistes »

    Une fois n’est pas coutume, Fabius passe les consignes à la presse aux ordres. Après « Daech » plutôt que « Etat Islamique » c’est « terroristes » à la place « d’islamistes ». Bêêêêêh répondirent les moutons...

    Dans ce refus de l’amalgame, Laurent Fabius préconise d’aller plus loin encore, en l’espèce en bannissant le mot « islamiste ». Invité ce dimanche matin duGrand Rendez-vous Europe 1-iTélé-Le Monde, le ministre des Affaires Etrangères précise sa pensée :

    Je n’aime pas… Je ne veux pas faire le censeur (sic), mais je pense que l’expression islamiste – et j’en avais aussi fait la remarque dans l’expression Etat islamique – est probablement pas celle qu’il faut utiliser. J’appelle ça des terroristes. Parce dès lors que vous utilisez le mot islam, vous favorisez une espèce de vision de continuité entre le musulman, qui pratique sa religion qui est une religion de paix, et puis quelque chose qui serait une certaine interprétation de la religion musulmane.

  • Guerre de l’information entre OTAN/UE et Russie

    Pour réagir aux chaînes d’information internationales russes, de plus en plus regardées, l’Union Européenne envisagerait la création d’une chaîne russophone atlantiste.

     

    Edgars Rinkevics, ministre letton des Affaires étrangères, a souligné dans un entretien à BuzzFeed News que « la télévision russe, en particulier sur les deux dernières années, a été très agressive dans ce qui ne peut plus être considéré comme des actualités normales ou du journalisme normal, et il s’agit plus d’une guerre de l’information et de propagande. » Et comme les habitants des pays de l’ex-Union Soviétiques ont pour habitude de regarder les chaînes russes, l’UE souhaite réagir vite.

    13 États-membres (pays baltes, scandinaves et Pologne) soutiendraient ce projet, qui est dans les cartons depuis une dizaine d’années. Selon M. Rinkevics, cette chaîne serait destinée à diffuser des informations « bien conformes à la réalité » (laquelle ?) et également de proposer des divertissements, le tout en langue russe.

    Sans doute que les objectifs affichés cachent également une volonté de s’immiscer sur les écrans russes pour enrayer la popularité grandissante de Vladimir Poutine auprès de son peuple. Mais le Kremlin est déjà préparé à une telle éventualité : Moscou a d’ores et déjà mis en place une limitation des investissements étrangers dans les médias russes. Aussi, la Russie va prochainement poursuivre sa politique d’expansion médiatique internationale en lançant la chaîne Russia Today en version française.

    Vu sur Realpolitik

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Guerre-de-l-information-entre-OTAN

  • Manuel Valls va-t-il interdire la diffusion des hadiths ?

    Lu sur le blog de Yves Daoudal :

    "Les condamnations pleuvent, et les enquêtes se multiplient, pour « apologie du terrorisme », envers un certain nombre d’énergumènes qui ne sont pas Charlie et ne sont pas non plus de notre paroisse. Manuel Valls a déclaré hier que « l’apologie du terrorisme, le racisme et l’antisémitisme ne sont pas des opinions, ce sont des délits ». Mais le ministre de l’Intérieur, celui-là même qui fait la chasse aux apologistes du terrorisme, avait déclaré que « ce n’est pas un délit de prôner le jihad ».

    Il faudra quand même qu’on nous explique, s’il vous plaît, quelle est la différence, quand il s’agit de musulmans, entre terroristes et jihadistes, alors que dans les médias ces mots désignent les mêmes personnes.

    Dans le seul recueil de hadiths (propos du Prophète) de Boukhari, qui est le plus connu et universellement considéré comme « authentique », il y a 308 hadiths sur le jihad, dans le seul chapitre sur le jihad (car tout recueil de hadiths, comme tout traité de l’islam, a un chapitre sur le jihad). Dans un autre recueil, celui d’an-Nasa’i, qui fait également partie de la Sunna, et qui est moins épais, il ya 110 hadiths sur le jihad, dont celui-ci qu’on retrouve sous différentes versions dans les autres recueils :

    « Abou Hourairah lui a dit que le Messager d’Allah a dit : J’ai été désigné pour combattre les gens jusqu’à ce qu’ils disent Il n’y a pas d’autre dieu que Allah. Quiconque dit Il n’y a pas d’autre dieu que Allah, sa vie et ses biens sont en sûreté pour ce qui est de moi, restant sauf ses droits (ceux de la charia), et sa rétribution sera avec Allah. »

    A propos de l’antisémitisme, je rappelle ces quelques autres hadiths.

    Et sur le fait que bien entendu tout « cela n’a rien à voir avec l’islam », àce propos de Mohammed Merah.

    Tout à l’heure sur BFM, l’avocat de la femme de Saïd Kouachi citait celle-ci disant que son mari « pratiquait un islam normal ».

    Philippe Carhon

  • Malaise à l’école : ils sont Kouachi (Présent 8271)

    Les médias pourront toujours diffuser en boucle les discours d’apaisement de Boubaker ou de Chalghoumi, ils pourront bien marteler qu’il ne faut « surtout pas faire d’amalgame », il n’en restera pas moins que, sur le terrain, la majorité des « jeunes » musulmans cautionnent les crimes perpétrés par les Kouachi et autre Coulibaly. Comme l’ont montré les nombreux incidents qui ont accompagné vendredi dernier l’évocation des attentats dans les établissements scolaires.
    Malaise à l’école : ils sont Kouachi (Présent 8271)

    « Au moins 80 % »

    Dans le courrier qu’il avait adressé le 7 janvier à l’ensemble du personnel enseignant, le ministre de l’Education, rappelant que « la République a confié à l’Ecole, dès son origine, la mission de former des citoyens, de transmettre les valeurs fondamentales de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité », avait invité les profs « à répondre favorablement aux besoins ou demandes d’expression qui pourraient avoir lieu dans les classes »Et ils n’ont pas été déçus !

    Quand ils n’ont pas tout bonnement éludé la question, conscients qu’ils étaient des risques de dérapage, ils se sont heurtés aux réactions les plus hostiles. Ainsi, sur son compte Facebook, une enseignante raconte-t-elle comment, lors de son arrivée jeudi dernier à l’école, elle a été accueillie par des « Moi j’suis pour ceux qui l’ont tué »… Dans une classe de 3e d’un collège du XIIIe arrondissement de Paris, huit élèves sur 26 ont rejeté la décision de décréter un jour de deuil national, l’un d’eux expliquant même au prof de français qu’« ils l’ont bien cherché ». Mieux : dans une école élémentaire de Seine-Saint-Denis, ce sont « plus de 80 % des élèves d’une classe » qui ont refusé la minute de silence en hommage aux douze personnes assassinées ! Et dans un lycée professionnel de Bobigny, ladite minute s’est faite sur fond de « Allah Ouakbar »

     

    « Je suis Kouachi »

    Cette minute de silence ayant été laissée à l’appréciation des proviseurs, un prof d’anglais de l’Académie de Versailles s’est même vu demander de ne pas la faire respecter pour… « éviter les troubles » ! C’est que les risques sont réels. Comme l’a découvert à ses dépens cet élève de quinze ans d’un lycée technique de Châteauroux qui, pour avoir défendu la tolérance et la laïcité sur Facebook, s’est fait roué de coups vendredi par trois élèves de son lycée. Bilan : huit jours d’ITT. Et puis il y a cette enseignante de Lille, qui s’est entendu dire par un élève de quatrième : « Si tu fais la minute de silence, je te bute à la kalach »

    Surprise ? Pas vraiment. A l’instar de ceux du 11-Septembre, de Mérah ou encore de Nemouche, il est clair que les attentats perpétrés par les frères Kouachi et Coulibaly ont été largement applaudis dans les banlieues abandonnées à l’immigration, aux imams salafistes et à l’argent des Qatari.

    Franck Deletraz

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    http://fr.novopress.info/181000/malaise-lecole-kouachi/

  • Islamisme en prison : Christiane Taubira travestit la réalité

    Rediffusion – Cet article a été publié sur Novopress une première fois en juin 2014. Nous en proposons la lecture aux internautes en raison de son actualité.

    Christiane Taubira  l’a annoncé hier matin sur RTL : la « radicalisation » de musulmans en prison ne concernerait que 90 personnes en France. Un ancien détenu nous explique pourquoi ce chiffre n’est pas crédible compte tenu des réalités carcérales.

     

    Les apprentis djihadistes en prison ne seraient donc que 90 en France. 90 personnes sur 69 000 prisonniers (chiffres d’avril 2014), soit 0,13% des détenus. Quand il est possible d’affirmer sans trop s’aventurer que plus de la moitié des détenus en France sont musulmans, il s’agit donc ici d’un taux extrêmement faible.

    Or, pour tout surveillant de prison ou ancien détenu, le nombre annoncé par la Garde des Sceaux a de quoi laisser pantois. Car qui connaît un minimum le fonctionnement d’un établissement pénitentiaire au quotidien sait qu’il est impossible pour l’Etat de précisément chiffrer le phénomène. Explications…

    Des moyens de renseignement limités

    Le lieu le plus sensible d’une prison est la cour de promenade. C’est bien souvent un lieu de bagarres et de règlements de comptes, mais c’est surtout un lieu où les détenus échangent entre eux plusieurs heures par jour. Un terrain qui est donc propice à la diffusion du discours djihadiste ainsi qu’à la transmission de contacts extérieurs à la prison. C’est notamment par ces échanges qu’une personne souhaitant rejoindre les djihadistes saura où se rendre et qui contacter une fois dehors.

     

    Or, par mesure de sécurité tout à fait légitime, les surveillants pénitentiaires ne peuvent pas descendre en cours de promenade. Une interdiction qui limite considérablement les sources d’informations. En la matière, le renseignement de l’Etat se limite ainsi à la simple observation de la cour de l’extérieur : qui échange avec qui. A titre d’exemple, je me souviens que la prière effectuée par les trois quarts des détenus de ma cours de promenade le jour de l’Aïd al-Fitr (fête célébrant la rupture du jeune du Ramadan) était filmée de l’extérieur par un surveillant. Mais en dehors d’images vidéos et de rapports de l’administration pénitentiaire sur les fréquentations des uns et des autres, il est impossible de connaître la nature des propos qui peuvent être tenus entre deux détenus dans une cour de promenade.

    Ce qui est valable pour la cour de promenade l’est également pour les cellules de la prison. Comment se glisser dans l’intimité d’une cellule ? Pour limiter les moyens de communication des détenus à risque, l’administration pénitentiaire aura tendance à les placer seuls en cellule ou à l’isolement. Mais ici encore, ces méthodes sont dérisoires et ne suffisent pas à endiguer le phénomène.

    Compte tenu de ce constat, pour pouvoir annoncer un chiffre crédible, l’Etat devrait avoir recours à des moyens de renseignements tels que infiltration des cours de promenade ou les écoutes en cellule. Des méthodes qui, faute de moyens, sont impossibles à généraliser au regard des dizaines de milliers de détenus musulmans qui entrent et sortent chaque année. A l’heure actuelle, le renseignement en prison repose sur des procédés beaucoup trop superficiels pour cerner l’ampleur du phénomène. Car en vérité, les principaux indicateurs sur lesquels sont fondés les chiffres du ministère reposent sur des méthodes de renseignements se limitant à l’observation des cours de promenades de l’extérieur, au contenu des bons de cantine ou à la surveillance des correspondances…

    Minimiser l’impuissance de l’Etat

    Dans un système marqué par la communication (un système que Jean-Yves Le Gallou qualifie à juste titre de « tyrannie médiatique »), l’Etat doit montrer qu’il n’est pas dépassé par la situation à l’heure où des centaines de « français » partent rejoindre les forces djihadistes en Syrie et en Irak. La manière dont on communique officiellement sur une réalité importe dès lors plus que la réalité elle-même. Entre un Nicolas Sarkozy qui prétend chasser la racaille de la cité des 4000 à la Courneuve et une Chstiane Taubira qui minimise le phénomène djihadiste en prison, la logique est la même : l’impuissance de l’Etat doit être masquée par la communication. Et, dans le cas de la Garde des Sceaux, il est d’autant plus facile de mentir sur la situation des prisons françaises que celles-ci constituent un lieu clos exclusivement contrôlé par le ministère.

    Malheureusement, les seules sources alternatives sur la situation derrière les murs des prisons proviennent d’associations le plus souvent très orientées à gauche (tel que l’Observatoire international des prisons [OIP] dont la liste des anciens présidents comprend des personnes telles que l’avocat Thierry Levy ou la journaliste Florence Aubenas) et dont la politisation occulte tout discours franc et réaliste sur la situation dramatique des prisons françaises (et notamment le racisme anti-blanc qui s’y exprime quotidiennement, voir ainsi cette  interview de l’auteur Gérald Pichon sur le racisme anti-blanc en prison).

    Car en vérité, dans les cités comme dans les prisons, l’Etat est complètement dépassé par les conséquences à long terme de l’immigration massive. La ghettoïsation des quartiers, l’islamisation des prisons ou le départ pour le djihad de musulmans ayant la nationalité française ne sont que les effets de ce phénomène massif et incontrôlé. Des conséquences que les Français sont de plus en plus nombreux à comprendre, et que l’Etat et ses relais médiatiques ne pourront pas perpétuellement minimiser.

    Cyril Raul

    http://fr.novopress.info/169426/islamisme-en-prison-christiane-taubira-travestit-la-realite/#more-169426