Ce 18 janvier, le patron du jeune groupe automobile Stellantis n’a pas mâché ses mots à l’encontre de la politique industrielle imposée de la Commission européenne. Il lui adresse – par le biais d’une interview faite à Paris et publiée simultanément par quatre journaux européens (Les Échos, Handelsblatt, Corriere della Sera, El Mundo) - une sévère mise en garde quant aux conséquences sociales graves que risque d’entraîner son plan de décarbonation de l’industrie automobile par le tout électrique.
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Contre Bruxelles, Carlos Tavares annonce le chaos social. Et s’il avait raison ?
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Démythifier Mai 68 ou comment l’idéologie soixante-huitarde est devenue un instrument de domination 1/2
Werner Olles, ancien activiste du 68 allemand, a été membre du SDS de Francfort-sur-le-Main puis de divers groupes de la “nouvelle gauche” avant de rejoindre les cercles nationaux-révolutionnaires et néo-droitistes allemands. Dans cet article, rédigé en 2001, il explique les raisons qui l’ont poussé à abandonner l’univers politico-intellectuel des gauches extrêmes allemandes. On notera qu’il cite Pier Paolo Pasolini et déplore que l’arrivée aux postes du pouvoir des premiers anciens activistes, avec un Joschka Fischer devenu ministre des Affaires étrangères, n’a rien changé à la donne : l’Allemagne est toujours dépendante des États-Unis, sinon davantage, et le débat intellectuel est toujours bétonné…
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Face au refus de la Pologne de se soumettre aux décisions de Bruxelles, l’Union européenne lui réclame 69 millions d’euros de pénalités
Face au refus de la Pologne de se soumettre aux décisions de Bruxelles, et notamment à certaines décisions de la Cour de justice de l’UE, l’Union européenne lui réclame 69 millions d’euros de pénalités. Ce n’est pas tout, l’exécutif communautaire menace également de prélever cet argent sur les fonds du plan de relance européen en cas de retard.
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Poursuivons le combat pour la Vie !
Communiqué de Choisir la Vie :
Alors que la Marche pour la Vie a réuni ce dimanche des milliers de manifestants pour dénoncer la proposition de loi Gaillot tendant à allonger le délai légal de l’avortement de 12 à 14 semaines de grossesse, les slogans scandés haut et fort par la foule seraient-ils parvenus jusqu’aux oreilles des sénateurs ?Car ce mercredi 19 janvier, alors que la proposition de loi revenait en deuxième lecture au Sénat, c’est bien par une très large majorité que les sénateurs l’ont rejetée, conscients, à l’instar du député LR Alain Milon [que la proposition de loi] “était un mauvais coup pour les femmes…” et qu’à 14 semaines l’IVG était une “opération souvent insoutenable pour nombre de professionnels”.Choisir la Vie se réjouit de ce vote et félicite les sénateurs qui se sont opposés à voir légiférer toujours davantage la barbarie sous couvert du motif fallacieux d’offrir aux femmes une plus grande liberté.Elle invite les députés et les sénateurs qui se réuniront demain en commission mixte paritaire à maintenir cette opposition à l’allongement à 14 semaines du délai d’IVG afin d’éviter une nouvelle navette parlementaire, et tous les défenseurs de la Vie à poursuivre leurs démarches de sensibilisation auprès de leurs élus. -
Les démocraties mises à mal, selon le dernier rapport de Dominique Reynié
La liberté et la démocratie mises à mal par les rencontres entre différentes cultures, telle est l’analyse non pas de quelque polémiste réactionnaire ou populiste mais de… la Fondation pour l’innovation politique, un think tank libéral, progressiste et européen, présidée par Dominique Reynié, politologue dont certaines prises de position illustrent bien une pensée progressiste : le mariage homosexuel, la PMA et la GPA, l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne ou encore la discrimination positive à Sciences Po Paris (il avait, en effet, appuyé cette suggestion à Richard Descoings, alors directeur de l’IEP, en lui faisant remarquer qu’il était déplorable qu’il n’y ait « aucun nom à consonance arabe dans la liste de la nouvelle promotion de l’ENA »).
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L’ancien président du « Refuge » visé par plusieurs plaintes pour agressions sexuelles, harcèlement moral et viol
Nicolas Noguier, l’ancien président et fondateur du Refuge (une association d’aides aux jeunes LGBT + en situation de rupture familiale) a été mis en examen par un juge d’instruction pour viol, harcèlement moral, harcèlement sexuel, travail dissimulé et atteinte sexuelle.
Le viol allégué aurait été commis en 2014, tandis que les faits de harcèlements auraient eu lieu entre 2014 et la fin de l’année 2021. Nicolas Noguier a été placé sous contrôle judiciaire à l’issue de son interrogatoire.
Maître Sahand Saber et Maître Stéphane Fernandez ses avocats sont malgré tout confiants : « Nicolas Noguier a été mis en examen mais remis en liberté sous contrôle judiciaire, preuve que les charges à son encontre sont insuffisantes. Nous sommes confiants pour la suite de la procédure. »
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LIVE EXCLUSIF : NATACHA REY Journaliste revient !
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Le discours de Macron au Parlement européen
Mercredi, le chef de l’Etat a prononcé devant les eurodéputés réunis à Strasbourg le traditionnel discours marquant le lancement de la présidence tournante de l’UE, que la France exercera jusqu’au 30 juin. Une intervention, à vrai dire, sans grande surprise, puisque Emmanuel Macron y a une fois de plus manifesté son européisme absolu, en défendant un projet qui ne fera qu’accentuer encore un peu plus la mainmise de Bruxelles sur notre pays. Des propositions dont la toxicité n’a cependant pas échappé à une partie de l’opposition, droite nationale en tête, qui n’a pas hésité à interpeller le président en plein Parlement européen.
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En finir avec le consensus moutonnier
Il ne semble pas inutile, aux yeux de votre chroniqueur, de revenir sur l'audition parlementaire du 12 janvier. Celle-ci, soulignons-le a permis en effet de reconduire, pour 3 ans, enjambant par conséquent le calendrier électoral, à un poste clef, celui de directeur général de l'Office Français de l'Immigration et de l'Intégration. Il s'agit de l'un des personnages les plus clairement immigrationnistes du dispositif étatique hexagonal, en la personne M. Didier Leschi. Venu de l'extrême gauche, admirateur avoué de Henri Krasucki, ce haut fonctionnaire avait été nommé initialement par François Hollande et confirmé sous Macron.
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LR: le bras droit de Pécresse, Patrick Karam, accusé d’accointances avec l’islamisme