A son tour, le CNRS fait la propagande de la Gestation Pour Autrui. Daniel Borrillo, qui défend la GPA, fait un parallèle avec… l’avortement, comme quoi la culture de mort est un bloc :
En France, une femme a la faculté d’avorter, tout comme celle d’abandonner un enfant en accouchant sous X ou de faire un don d’embryons surnuméraires à un autre couple ou à la science. Pourquoi n’aurait-elle pas le droit de mener à terme une grossesse pour quelqu’un d’autre, pourvu que son consentement libre et éclairé soit garanti ? Il serait donc logique, selon moi, d’inscrire la GPA dans le répertoire des libertés fondamentales, de l’envisager comme une manifestation de la liberté de procréer ou de ne pas procréer.