Lundi 2 août 2021, la nouvelle carte d’identité nationale, comportant des données biométriques stockées dans une puce électronique, est entrée en vigueur dans toute la France. A en croire le gouvernement et le ministère de l’Intérieur, elle serait à la fois plus sécurisée, plus pratique et plus moderne. Marlène Schiappa s’est d’ailleurs fendue d’un tweet à ce propos : « Aujourd’hui 2 août, la nouvelle carte d’identité peut être demandée partout en France ! Plus sécurisée et d’un format plus pratique, 500 000 exemplaires ont déjà été produits depuis le 15 mars. Et pour votre vieille carte, elle est toujours valide jusqu’à péremption. »
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Une nouvelle carte d’identité qui n’est plus nationale mais qui est biométrique
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CES INFLUENCEURS QUI VEULENT NOUS VACCINER !
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Le gros mensonge de Nelson Mandela
Un communiqué du SACP (South African Communist Party) en date du 6 décembre 2013 nous apprend officiellement ce dont l’on se doutait, mais qui n’avait jamais été réellement établi, à savoir que le « camarade Nelson Mandela » était un haut dirigeant communiste puisqu’il « (…) ne faisait pas seulement partie du SACP, mais également de son Comité central ».
Pourquoi a-t-il toujours démenti, tant oralement que par écrit, avoir été membre du SACP ? Pourquoi donc a-t-il menti ?
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Les GAFAM passent à la caisse
Il y a moins de deux mois, l’Autorité de la concurrence, saisie par trois grands groupes de presse, News Corp, Le Figaro et Rossel, infligeait à Google France une amende de 220 millions d’euros pour abus de position dominante et notamment pour avoir favorisé ses services dans le domaine de la publicité en ligne. A noter que Le Figaro avait peu après abandonné ses poursuites. C’est la première procédure au monde mettant au jour les complexes stratégies algorithmiques grâce auxquelles le géant américain de la recherche sur Internet et des applications informatiques s’organise pour fausser à son avantage le marché de la publicité en ligne, sa principale ressource. Cette amende est toutefois à mettre en perspective avec un chiffre d’affaires de plus de 55 milliards d’euros pour le groupe au premier trimestre 2021.
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Le débrief de Ludo n°19 – La décision du Conseil Constitutionnel sur le projet de loi "bioéthique"
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La puissance du déterminant ethnique, par Bernard Lugan
Afrique du Sud, Nigeria et Ethiopie, voilà trois des plus importants pays africains qui traversent actuellement des crises existentielles. Pas de ces crises économiques ou sociales qui frappent tous les Etats africains et qui, même en cas de gravité extrême ne remettent pas en cause le contrat social national. Mais des crises qui posent la question de la simple survie de ces trois Etats multi-ethniques :
– Derrière le miroir aux alouettes de la crise sociale, l’Afrique du Sud est ainsi confrontée au déterminant zulu. -
Quand les associations communautaristes feignent de ne pas avoir vu, sur Instagram, l’appel au viol des femmes blanches par un Noir
Sur les réseaux sociaux, le compte @blackingbbc a osé, mi-juillet, lancer l’horrible phrase arguant « C’est pas un viol si elle est blanche » avec, en image d’illustration, un homme noir effectuant une pression violente sur une femme blanche…
Ce message initialement publié sur Instagram a été relayé, via capture d’écran sur Twitter et Facebook et, fatalement, l’affaire a eu une résonance compréhensible au regard de la haine qu’il véhicule.
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Jean Messiha : « Les GAFAM, c’est un outil, mais aussi une idéologie »
Tandis que son compte Twitter est suspendu, Jean Messiha dénonce cette logique de harcèlement et de censure de plus en plus pesante. Il appelle à une nouvelle jurisprudence concernant les réseaux sociaux. « Seule la loi permet d’interdire à quelqu’un de dire ou pas quelque chose. »
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Refus de soutenir Mila : l’échec féministe, une réponse à Lauren Bastide
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RSE, inclusion... "Il est urgent de rappeler au monde de l’entreprise notre spécificité française", par Thibault Baranger.
Au cœur de cette course à la « responsabilisation sociétale », un premier danger peut être identifié : celui de l’essentialisation.
© NurPhoto via AFPPour Thibault Baranger, consultant en affaires publiques auprès de dirigeants d’entreprises, les grands groupes prônent de plus en plus souvent un modèle sociétal dit « inclusif » d'inspiration américaine.
Une nouvelle sémantique envahit les directions d’entreprise depuis quelques années : mission sociétale, impact, inclusion, critères ESG (environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance) ou encore ISR (investissement socialement responsable). Derrière cette nouvelle terminologie très codifiée et au-delà des effets de mode, une nouvelle réalité se dessine sous nos yeux : les entreprises sortent de leurs frontières économiques et se politisent à vitesse accélérée en s’érigeant comme les grandes garantes de l’inclusion et de la diversité.