
Chaque année, l’ONG Reporters sans frontières dresse sa liste des « prédateurs de liberté de la presse ». Elle désigne 37 chefs d’État ou de gouvernement imposant une répression massive de la liberté de la presse. Vincent Bolloré n'est pas chef d'État et ne peut donc figurer sur cette liste. Pour autant, Reporters sans frontières part aussi en guerre contre lui, reprochant aux pratiques de l’homme d’affaires de créer « un précédent dangereux pour la démocratie, par sa conception d’un journalisme aux ordres et d’une télévision d’opinion ».







