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lobby - Page 467

  • Les ONG immigrationnistes devant la justice italienne, par Olivier Bault

    ONG Sea Watch

    Libérée au début de l’été 2019 sur ordre d’un juge italien marqué à gauche, la militante allemande d’extrême gauche Carola Rackete, ancien capitaine du Sea-Watch 3 qui avait forcé le passage vers le port de Lampedusa avec son chargement de « migrants », fait aujourd’hui partie des signataires d’un appel en faveur de l’ONG italienne Mediterranea Saving Humans. Celle-ci fait l’objet d’une enquête du parquet de Raguse, en Sicile, à propos de la prise en charge rémunérée (pour un montant total estimé à 125 000 euros) le 11 septembre 2020, en vue de leur transfert vers l’Italie, de 27 candidats à l’immigration illégale en Europe qui avaient été récupérés par le navire-citerne danois Maersk Etienne. Les signataires de l’appel protestent contre « l’attaque politico-judiciaire » en cours contre les ONG comme Mediterranea Saving Humans.

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  • L'avènement de l'ethno-socialisme (rediff)

    Dr. Pierre Krebs

    Genève, 20 Janvier, 2013

    Quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie, disait Jacques Prévert. Et il clignait de l’œil. Mais notre peuple à qui on a désappris les valeurs essentielles de la vérité et les règles élémentaires de la liberté ne comprend même plus les clins d’oeil et il se laisse hacher menu, chaque matin, dans la machine-à-mentir du Système quand il ne se couche pas à plat ventre, le visage dans la poussière, devant les idoles en matière plastique de Mammon.

    Que faire alors ? interroge l’homme révolté.

    Et le sage de lui répondre : Traque le mensonge et laisse éclater la vérité sur la place publique! – Fort bien. Seulement, lorsque la vérité a été dite et les mensonges oubliés, il reste encore les menteurs, rétorque l’homme révolté.

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  • Stanislas Berton : La guerre invisible de l'Etat profond contre la France

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    « Nous voici arrivés à l’heure fatidique où ce qui se joue n’est rien de moins que le destin de la France et l’avenir de notre peuple ». Alors que confrontés à l’effondrement de leur pays, de plus en plus de Français se demandent « que faire ? », Stanislas Berton révèle le processus de destruction méthodique de la France et de son peuple par une minorité d’idéologues tout en proposant des solutions concrètes pour neutraliser leur influence, sauver notre pays et restaurer sa grandeur. « La France retrouvée », un livre fondateur pour reconstruire une France fière, une France forte. En pensées et en surtout en actes.


    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2021/03/18/stanislas-berton-la-guerre-invisible-de-l-etat-profond-contr-6304347.html

  • Rire contre le racisme : la rééducation par France Télévisions

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    On le sait, la présidente de France Télévisions a une dent contre les mâles blancs, supposés sexistes, anti-LGBTQI et, bien sûr, indécrottablement racistes. Et leurs femmes aussi, peut-être, puisqu’elles acceptent de partager le quotidien de ces monstres… Alors, cette semaine, grâce à nos impôts, Mme Ernotte a mis le paquet avec une programmation spéciale autour du , en préambule de la Journée contre la discrimination raciale prévue le 21 mars et de la Semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme, du 21 au 28 mars. Les masochistes pouvaient donc choisir leur première séance de rééducation sur France 2, ce mardi soir, avec « Rire contre le racisme ».

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  • Sur le site officiel de l'Action française : écologisme : un délire sociétal, l’éditorial de François Marcilhac.

    Après l’adoption récente de la pro­po­si­tion de loi visant à ren­for­cer la lutte contre la mal­trai­tance ani­male, qui, entre bonnes inten­tions et délire anti­spé­ciste, aura pour consé­quence d’affecter des sec­teurs entiers de l’économie (tou­risme, éle­vage, com­merce) (et d’après leurs auteurs, ce n’est qu’une pre­mière étape), la mai­rie éco­lo­giste de Stras­bourg, dans une même logique anti­spé­ciste, se pré­oc­cupe davan­tage du sort bien­veillant à réser­ver aux rats et aux punaises de lit que de san­té publique, tan­dis que la mai­rie éco­lo­giste de Lyon, pré­tex­tant la crise sani­taire, impose aux enfants des menus sans viande. 

    Encore une fois les bobos, par leur poli­tique, ciblent les classes popu­laires, celles qui vivent dans les tau­dis infes­tés de rats et de punaises, et qui ne peuvent pas ache­ter de la viande à leurs enfants, ou n’achètent que de la viande pour ani­maux, lorsque les super­mar­chés consentent encore à en vendre. Mais qu’importe ? Nous savions déjà que délire socié­tal et injus­tice sociale vont de pair. C’était le socia­liste finan­ceur de Hol­lande Pierre Ber­gé qui décla­rait, en 2012 : « Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour tra­vailler à l’u­sine, quelle dif­fé­rence ? » Ajou­tant, avec un cynisme d’une totale abjec­tion : « C’est faire un dis­tin­guo qui est choquant. »

    Car l’abjection, pré­ci­sé­ment, n’a plus de limites, même celles, peut-être hypo­crites, mais qui témoi­gnaient encore d’un sens du Bien, de la bour­geoi­sie de jadis.  Car c’est au nom même de la morale, voire de la sau­ve­garde de la Terre elle-même, c’est-à-dire au nom même du Bien, que la bour­geoi­sie actuelle pour­suit son œuvre de des­truc­tion de la socié­té. Et ils ont beau se cha­mailler, macro­niens et éco­lo­gistes ont conclu, en la matière, un pacte mor­ti­fère, ayant pour com­plices directs une gauche et une extrême gauche qui veulent aller encore plus loin sur tous les sujets (PMA, GPA, eutha­na­sie, anti­spé­cisme, immi­gra­tion­nisme, déco­lo­nia­lisme, « anti­ra­cisme », éco­lo­gisme), et pour com­plice indi­recte une droite qui s’est eutha­na­siée elle-même. Ain­si, dans l’attente que le texte sur la PMA pour toutes, l’extension de l’avortement jusqu’à la veille de la nais­sance et les mani­pu­la­tions géné­tiques sur les embryons soit défi­ni­ti­ve­ment adop­té à l’Assemblée, celle-ci se penche sur deux autres pro­jets d’une urgence abso­lue : l’inscription de la sau­ve­garde de la pla­nète à l’article 1er de la Consti­tu­tion, qui devien­dra bien­tôt un inven­taire à la Pré­vert et, bien évi­dem­ment, le pro­jet de loi « por­tant lutte contre le dérè­gle­ment cli­ma­tique et ren­for­ce­ment de la rési­lience face à ses effets » : en clair, la tra­duc­tion légis­la­tive des pro­po­si­tions du machin citoyen pour le climat.

    Car ce n’est rien com­prendre à l’écologisme que de ne pas voir, qu’avant d’être un com­bat « pour » la pla­nète, il est une cause socié­tale, visant, de même que les autres causes socié­tales évo­quées plus haut, à la trans­for­ma­tion des fon­de­ments la socié­té ou, plu­tôt, à leur des­truc­tion. De mêmes défen­seurs et une même logique les habitent : ce vieux rêve révo­lu­tion­naire de faire du pas­sé table rase et d’imposer, par la contrainte, un homme « nou­veau », voire bien­tôt « aug­men­té ». Peu importent alors les dis­pu­ta­tiones sco­las­tiques sur le fait de savoir si l’inscription à l’article 1er de la Consti­tu­tion que « [la France] garan­tit la pré­ser­va­tion de l’environnement et de la diver­si­té bio­lo­gique et lutte contre le dérè­gle­ment cli­ma­tique » empor­te­ra, ou non, une obli­ga­tion de résul­tat — en séance publique, le rap­por­teur a évo­qué une « quai-obli­ga­tion de résul­tat », objet juri­dique non iden­ti­fié…  C’est un uni­ver­sa­lisme patho­lo­gique sur fond de volon­ta­risme ubuesque dont témoigne sur­tout cet ajout à la loi fondamentale.

    Il en est de même du pro­jet de loi fleuve tra­dui­sant dans la loi les reven­di­ca­tions télé­gui­dées des 150 idiots utiles de la Conven­tion citoyenne pour le cli­mat… Ceux qui pensent que Macron s’est pié­gé lui-même en pre­nant le risque d’être désa­voué, et donc humi­lié, par la Conven­tion, qui l’a piè­tre­ment noté comme un mau­vais élève, n’ont rien com­pris à la démarche de Jupi­ter. Laquelle ? Court-cir­cui­ter une reven­di­ca­tion de démo­cra­tie directe par un machin à la léga­li­té dou­teuse tout en don­nant des gages à son élec­to­rat vert. Ce n’est pas seule­ment par ses insuf­fi­sances en matière de moyens (finan­ciers) que le texte pèche, s’agissant par exemple de la réno­va­tion ther­mique de l’habitat — nos bobos vivent dans des appar­te­ments ou des mai­sons bien chauf­fées et sans punaises de lit. — ou par son sou­tien idéo­lo­gique au véga­nisme, jugé plus « durable » (à savoir éco­lo­gique) qu’une ali­men­ta­tion nor­male. C’est avant tout par son indif­fé­rence totale à l’aménagement du ter­ri­toire. Mais pour­quoi en serait-il autre­ment ? Les bobos des métro­poles parlent aux bobos des métropoles…

    Il est arri­vé à Marine Le Pen d’évoquer la démé­tro­po­li­sa­tion… Un concept pri­mor­dial. Car la métro­po­li­sa­tion, elle a aus­si, est une idéo­lo­gie avant d’être une réa­li­té éco­no­mique et ter­ri­to­riale. Les Fran­çais l’attendent davan­tage sur ce ter­rain réga­lien que sur celui de son oppo­si­tion « à titre per­son­nel » à la chasse à courre…. D’autant que, lorsqu’on s’est offi­ciel­le­ment décla­ré à la can­di­da­ture suprême, on n’a plus d’opinion « à titre per­son­nel ». Du moins, si on a la dimen­sion d’un homme, ou d’une femme, d’Etat.

    Fran­çois Marcilhac

    https://www.actionfrancaise.net/2021/03/16/ecologisme-un-delire-societal/

  • États-Unis : dans les écoles pour élites, des parents terrorisés s’organisent face à la domination d’une idéologie antiraciste devenu folle 2/2

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    Brentwood, une école qui coûte 45 630 dollars par an, a fait les gros titres il y a quelques semaines lorsqu’elle a organisé des “sessions de dialogue et de renforcement de la communauté” ségréguées sur le plan racial. Mais lorsque je parle avec un parent d’un élève de collège de cette école, c’est du programme d’anglais de leur enfant qu’ils veulent parler. “Ils ont remplacé tous les livres sans rien dire et sans même en informer les parents.” Le programme ne comporte plus de classiques du style “The Scarlet Letter”, “Little Women”, “To Kill a Mockingbird” et “Lord of the Flies”. Parmi les nouveaux livres : “Stamped: Racism, Antiracism, and You”, “Cher Martin”, “Chère Justice”, et “Yaqui Delgado veut vous botter le cul”.

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  • Le pactole des données médicales, par Arnaud Raffard de Brienne

    données médicales santé

    La décision, incompréhensible à première vue, du gouvernement de confier l’hébergement des informations de santé de millions de nos concitoyens à Microsoft plutôt qu’à l’opérateur français OVH a de quoi légitimement choquer. Cette décision prise au début de l’été dernier à l’issue d’un processus de sélection pour le moins obscur confie à l’un des plus éminents membres des GAFAM – Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft – nos données les plus intimes du Health Data Hub, cette plate-forme destinée à la recherche médicale et statistique.

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  • Guerre Fraude. Poutine est-il un tueur ? Biden va-t-il le liquider ? (Présent)

     
     
     
     

    Ce jeudi tous les médias titraient à peu près à l’identique : « Biden dit penser que Poutine est un tueur » (Le Figaro), « Biden pense que Poutine est un tueur » (L’Express), « Pour Joe Biden, Poutine est un “tueur” et en paiera le “prix” » (Le Point), « Joe Biden accuse Vladimir Poutine d’être un tueur » (20 Minutes), etc. Sommes-nous à la veille d’une troisième guerre mondiale ?

    Quand Donald Trump s’en était pris à Kim Jong-un, en 2017, les Occidentaux avaient levé les bras au ciel : « Une nouvelle guerre mondiale ? Il ne manquait plus que cela ! Trump va tout nous faire, la catastrophe est imminente. »

    Pourtant le président américain avait quelques raisons de taper du poing sur la table. Un étudiant américain, Otto Warmbier, avait été détenu pendant 18 mois en Corée du Nord. Il avait été renvoyé aux Etats-Unis alors qu’il était dans le coma, et il était mort peu après. Et il y avait le nucléaire.

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