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Dissoudre...
L'avis de Jean-François TouzéEn 1968, alors que gauchistes et communistes venaient de tenir la rue pendant des semaines, bloquer le Pays et remettre en cause tous les fondements de notre société, le pouvoir s'empressait de répondre par la dissolution d'Occident.En 1973, face aux exactions de la LCR de Krivine, Weber et Bensaïd, le pouvoir s'attaquait à Ordre nouveau dans un faux parallélisme avec l'organisation marxiste léniniste et trotskiste.Aujourd'hui, tandis que la déferlante migratoire s'accroît, rien de plus urgent pour le gouvernement que de casser ceux qui la dénonce.Darmanin est bien un Marcellin comme les autres. Pas seulement par la consonnance finale de leur nom, mais par la volonté de réprimer toute action nationale de résistance, même si elle s'inscrit dans la légalité et le respect du droit.Solidarité avec nos camarades identitaires dont le dissolution est désormais "à l'étude" dans le grand bac d'acide sulfurique de la République. -
La Hongrie souhaite garantir la liberté d’expression sur les réseaux sociaux
Après la Pologne, c’est la Hongrie qui songe à sanctionner les réseaux sociaux pour des “abus systématiques” sur la privation de la liberté d’expression.
Le ministre hongrois de la Justice, Judit Varga, a déclaré qu’elle étudiait les sanctions possibles pour ce qu’elle a décrit comme des pratiques commerciales déloyales. Elle va aussi convoquer une réunion du comité national de la liberté numérique.
(…) “Pour réduire leur portée, Facebook limite la visibilité des opinions chrétiennes, conservatrices et de droite. J’ai une expérience personnelle de cela”.
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Retour à Métro-boulot-dodo, mais en beaucoup moins bien !, par Christian Vanneste.
La France schizophrène ? Au sens étymologique du terme plus que dans sa signification psychiatrique, la France, sa conscience collective, sont coupées en deux parts qui sont en contradiction l’une avec l’autre et ne sont pas loin d’infliger au peuple français le supplice de l’écartèlement promis aux régicides. Il y a en haut un pouvoir qui distille l’angoisse et étrangle les libertés de la majorité des Français. Ceux-ci, soumis à la peur de la pandémie, voient leur vie se restreindre jour après jour comme une peau de chagrin.
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Pédophilie : prudentes leçons, par Aristide Renou.
Illustration : Christine Ockrent et son fils Alexandre Kouchner. Hommage à la comédienne Marie-France Pisier lors d’une cérémonie en l’église Saint-Roch. Paris, 05/05/2011. © LE FLOCH/NIKO/SIPA
Les cris d’effroi accompagnent rituellement les dénonciations médiatiques de mœurs corrompus. On peut douter que la puissance publique aille véritablement à la racine du mal.
Nous avons eu, en moins d’un an, deux affaires d’abus sexuel sur mineurs extrêmement médiatiques, avec la parution des livres de Vanessa Springora et de Camille Kouchner.
Ces deux affaires présentent de nombreux points de ressemblance et pourraient nous apprendre – ou nous rappeler – bien des choses intéressantes sur un sujet censé nous tenir très à cœur : la lutte contre la pédophilie.
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Julien Aubert : pour l’écologie, contre l’écologisme (2020)
Julien Aubert, député de la cinquième circonscription du Vaucluse, est vice-président du Parti Républicain. Il s’exprime ici au nom du think-thank gaulliste Oser la France que ce jeune énarque a fondé. En 2019, ce spécialiste des énergies vertes est rapporteur de la Commission d’enquête de l’Assemblée Nationale sur la transition énergétique, propose ici sa réflexion sur l’une des grandes questions qui règle les présentes élections municipales : l’écologie.
Propos recueillis par l’abbé G de Tanoüarn
Julien Aubert, que pensez-vous de la récente visite du président Macron à la Mer de glace ?
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Pays légal et contrôle de l’opinion, par Philippe Germain.
Le noyau dur du pays légal se compose de deux élites :
- Le cœur du Système : l’élite financière.
- L’ossature du Régime : l’élite politique.
Pour électoralement conserver le pouvoir, l’élite politique contrôle le pays réel au travers d’un efficace appareil de quadrillage. Ses « clientèles » assurent la liaison avec le pays réel.
A l’ombre des députés, sénateurs, ministre, secrétaires d’État, vit tout un petit peuple de clients, conseillers généraux et municipaux, d’obligés de toutes sortes, sans lesquels le pays légal serait sans prise sur le pays réel. Là ruissellent sinécures et places dans les conseils d’administration : « Là, dira Maurras, voter, c’est manger. Voter, s’est s’assurer le vivre et le couvert. C’est donner au parti, à la petite organisation militante, le moyen de durer sur les feuilles d’émargement ». Là, dans les chapelles latérales de la grande église républicaine, réside l’estomac du pays légal. Ce n’est pas une classe, encore moins une élite, mais un vaste réseau de petites clientèles.
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Le scandaleux rapport Stora, jugé (bien sûr) « insuffisant » par les Algériens
Mercredi après-midi, Benjamin Stora, historien bien connu pour son engagement politique très à gauche et son anticolonialisme viscéral, mais néanmoins choisi en juillet dernier par Emmanuel Macron pour diriger la fameuse « mission sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », a enfin rendu son rapport au président de la République.
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Le scandaleux rapport Stora, jugé (bien sûr) « insuffisant » par les Algériens
Mercredi après-midi, Benjamin Stora, historien bien connu pour son engagement politique très à gauche et son anticolonialisme viscéral, mais néanmoins choisi en juillet dernier par Emmanuel Macron pour diriger la fameuse « mission sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », a enfin rendu son rapport au président de la République.
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Paris : 200 migrants occupent une école
Dimanche 24 janvier, dans l’après-midi, environ 200 migrants ont pénétré dans une ancienne école maternelle du XVIe arrondissement de Paris pour réclamer leur mise à l’abri « du froid et de l’épidémie », relate France Info.
Une action soutenue par « le collectif réquisition »
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Et le retour dans leur pays ?
Ils viennent en France malgré l’épidémie et les hivers plus rigoureux qu’en Afrique… et réclament leur mise à l’abri «du froid et de l’épidémie»… Il existe pourtant une solution durable et économique : le retour dans leur pays.
Environ 300 immigrés clandestins occupaient dimanche après-midi une ancienne école maternelle du XVIe arrondissement de Paris pour réclamer leur mise à l’abri «du froid et de l’épidémie». Avec l’aide des associations pro-immigration Utopia56, Droit au logement (DAL) et coordination des sans-papiers (CSP) 75.