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lobby - Page 558

  • Les complices de l’islam terroriste

    Les complices de l’islam terroriste

    La décapitation de vendredi montre dans l’enchainement des faits une accablante complicité d’un certain nombre d’acteurs.

    Samuel Paty s’apprêtait à être sanctionné par l’Académie des Yvelines pour avoir osé montrer des caricatures du prophète Mahomet.

    Abdelhakim Sefrioui, prédicateur islamiste connu du renseignement, a été placé en garde à vue. Le 8 octobre, il avait appelé à la mobilisation contre l’enseignant. Son CV dévoile un profil d’islamiste expert de l’agit-prop.

    L’islamiste qui a décapité ce professeur d’histoire est un tchétchène de 18 ans né à Moscou, nommé Abdoulakh Anzorov. Il était connu pour des antécédents de droit commun, mais disposait d’un casier vierge. Il n’était pas connu pour sa radicalisation mais ferait partie d’une bande d’Éragny fréquentée par un islamiste fiché “S”. Sa famille est originaire d’un village au sud de Grozny, en Tchétchénie, et est arrivée en France en 2008. Leur demande d’asile pour obtenir le statut de réfugié politique leur a été refusée par l’administration, mais cette décision a été cassée en 2011 par la Cour nationale du droit d’asile. La famille Anzorov a donc obtenu le statut de réfugié et l’assaillant a reçu automatiquement une carte de séjour valable 10 ans en mars 2020, à sa majorité. Si la justice, en 2011, avait suivi l’administration, cette famille aurait fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire.

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  • “Collabos, collabos !”,”dégagez !” : l’intervenante de l’UNEF huée à Paris lors de l’hommage à Samuel Paty

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    De nombreuses manifestations ont été organisées dans la plupart des villes françaises pour rendre hommage à Samuel Paty, le professeur d’histoire décapité le vendredi 16 octobre à , par un Tchétchène islamiste ayant obtenu le statut de réfugié en mars dernier.

    A Paris, plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées place de la République. Munies de pancartes « Non au  de la pensée » ou « Je suis prof », la mémoire de Samuel Paty a été saluée dans le calme. « Je suis Samuel », « Liberté d’expression, liberté d’enseigner », scandaient les manifestants. Des applaudissements ont été entendus, puis une minute de silence a été respectée et une Marseillaise a été chantée vers 15h30.

    “Dégagez !”, “collabos, collabos, collabos !”, “traîtres à la laïcité !”

    En revanche la tension est montée lorsque la représentante du syndicat étudiant UNEF a pris la parole pour rendre hommage au professeur. Son intervention à la tribune a été couverte par des huées et des sifflets. Malgré l’appel au calme d’un des organisateurs, elle a eu du mal à terminer sa brève  allocution, comme en témoignent des vidéos postées sur Twitter. “Dégagez !”, “collabos, collabos, collabos !”, “traîtres à la laïcité !” pouvait-on entendre dans la foule.

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  • Dix professeurs de droit contre "la police de la pensée" à l'université

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    Ils dénoncent, dans une tribune, le « lynchage » dont serait victime l'un de leurs collègues de Paris-1, après un cours controversé sur le mariage pour tous.

    Une dizaine de professeurs de droit (*), parmi lesquels le constitutionnaliste Olivier Beaud (Paris 2-Panthéon-Assas) et le civiliste Rémy Libchaber (Paris-1-Panthéon-Sorbonne) dénoncent, dans une tribune transmise au Point, le « lynchage médiatique » et la mise « au pilori » de leur collègue Aram Mardirossian. Cet historien du droit de Paris-1 a suscité une vive polémique après son cours d'histoire du droit de la famille, le 29 septembre, dans lequel il revendiquait haut et fort son hostilité au mariage pour tous, avant de se lancer dans une improbable comparaison chevaline : « Donc, il va y avoir forcément quelqu'un, un jour, qui va aller devant un tribunal et qui va dire : “Voilà, je suis discriminé, j'ai une jument, je l'adore, je ne peux pas l'épouser, c'est un scandale. C'est une discrimination !” » avait-il lancé à ses étudiants de L2. Le cours avait été filmé par l'un d'eux et aussitôt mis en ligne sur les réseaux sociaux, déclenchant une avalanche de réactions hostiles, sur Internet, de nombreux militants LGBT, dénonçant notamment « une comparaison scandaleuse entre homosexualité et zoophilie ».

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  • Échec à l'intox pseudo humanitaire

    6a00d8341c715453ef0263e96e1f5a200b-320wiVotre chroniqueur tient à saluer aujourd'hui une analyse, enfin, réaliste de la situation migratoire aux frontières de l'Europe. C'est, en effet, l'honneur du quotidien Présent d'avoir publié en ligne ce 14 octobre l'article d'Olivier Bault, spécialiste de l'Europe centrale et danubienne, que l'on trouvera dans son intégralité ci-dessous.[1]

    Ce regard tranche avec le lot quotidien fielleux des gros médias parisiens, alimentés par la désinformation pro- Frères musulmans qui s'emploient au désarmement moral de l'Europe, au nom du politiquement correct. Ce qui reste de la Chrétienté doit se ressaisir et se mobiliser pour défendre les confins de l'Europe, de la Baltique à la Mer Égée.

    Voici donc l'article auquel L'Insolent n'a rien à ajouter, sinon le petit commentaire qu'on trouvera en bas de cette chronique :

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  • Français malgré eux

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    Français malgré eux 1.jpegPour les Houria Bouteldja et Rokhaya Diallo, la France est un pays irréductiblement colonialiste envers les populations d'origine étrangère, l'État français structurellement raciste et sa dette envers les descendants d'esclaves ou de colonisés, inextinguible.

    L'immigration arabo-africaine est donc devenue le prix à payer, et quiconque s'oppose à la fin souhaitée de cette France blanche est invité à la quitter !

    Ils se définissent comme indigénistes, décolonialistes voire racialistes. Ils veulent abolir « le privilège racial blanc » - en fait la France éternelle, celle qui s'est faite sans eux - et établir une sorte de non-mixité ethnoculturelle, bannir peu à peu le Blanc de l'espace public, ce qui, il faut bien l'avouer est l'aboutissement tardif mais logique de la discrimination positive. Ils ont inventé une novlangue et des expressions comme blanchité structurelle, blantriarcat oppressif se sont créés un ennemi fantasmagorique le mâle blanc. Ils veulent légitimer le grand effacement des peuples blancs historiques par des peuples exotiques d'importation. De la France aux Français à la France aux foncés Comme l'explique très clairement Rokhaya Diallo dans son ouvrage au titre très explicite : À nous la France « La France blanche a vécu et ceux qui n'aiment pas cette nouvelle France en devenir peuvent la quitter »

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  • François Bousquet, Jean-Yves Le Gallou : Le réchauffement en débat

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    Deux hommes de droite débattent du réchauffement climatique. François Bousquet, journaliste et directeur de la rédaction du Choc du mois(1), croit que l'activité humaine en est la principale responsable, Jean-Yves Le Gallou, fondateur du site Polémia et directeur du journal de la réinformation sur Radio-Courtoisie, est sceptique. Monde et Vie leur donne la parole.

    M&V: L'écologie semble aujourd'hui prise en otage par l'idéologie. Est-ce vraiment le cas ?

    François Bousquet : Oui. Depuis 30 ans, la droite a laissé écologie à la gauche, qui l’a monopolisée, et le discours tiers-mondiste et trotskiste s'est recyclé dans les thématiques écologiques. Je le déplore et j'aimerais que la droite réintègre un discours et une vision écologiques du monde. Historiquement, la droite légitimiste et nationaliste est la première à avoir critiqué efficacement l'idée de progrès, voilà 150 ans. Il est dommage qu’on l'ait oublié.

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  • « France d’après » : un enseignant décapité dans la rue par un Tchétchène

    Les Français vont devoir s’habituer, ont prévenu Macron et d’autres individus comme lui…
    A moins qu’ils ne changent de régime et inversent l’immigration, ce que Macron a oublié de préciser.

    « La victime est un professeur d’histoire au collège-lycée du Bois d’Aulne. Il a récemment montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, prophète de l’Islam, lors d’un cours sur la liberté d’expression. […]

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  • Le grand enfermement : préservons nos libertés et notre santé mentale

    Le grand enfermement : préservons nos libertés et notre santé mentale

    De Jacques Bompard :

    Pire que le Covid, il existe une maladie kafkaïenne qui s’est emparée de l’exécutif. Concomitante du virus asiatique, ce dérèglement de la logique et du bon sens se traduit par une surenchère des oukases sanitaires, contradictoires les unes avec les autres et perpétuellement changeantes.

    Il n’y a pas que le nombre de lits de réanimation qui n’a pas changé depuis le mois de mars. Aucune leçon médiatique n’a été tirée de la cacophonie de la période du confinement.

    Ainsi, le discours d’Emmanuel Macron le 14 octobre au soir a ouvert le grand retour des règles absurdes de « Jacques a dit : pas plus de six à table » ou encore de « Jacques a dit : le virus va dans les bars qu’après 21 heures ».

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  • Le « Planning familial » veut l’avortement libre jusqu’au terme de la grossesse

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    La « culture de mort » progresse à grands pas en France, et c’est logique.
    Les députés sont en train de faire passer le délai légal de l’infanticide in utero – sans motif – de 12 à 14 semaines.  Et il y a quelques semaines la députaille autorisait l’avortement jusqu’au terme de la grossesse en cas de « détresse psycho-sociale », prétexte flou et bidon.

    Mais pour le Planning familial, ce n’est qu’une étape avant la libéralisation totale de l’avortement volontaire, sans motif, jusqu’au terme (et pourquoi pas après d’ailleurs ? Le bébé ne change pas substantiellement entre la veille de l’accouchement et le lendemain…).
    Il faut préciser que cette organisation extrémiste n’a pas qu’une action de militantisme et de lobbying.

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